" Incendie Notre Dame: La fumée jaune est bien l'accélérateur de feu Thermite 7.
Je le dis et je le répéte: l'incendie de Notre Dame est un attentat orchestré par les plus hauts services de l'Etat et le renseignement français. C'est une certitude. "
" Il sera bientôt interdit de cultiver son jardin pour des raisons "écologiques" ! "
" Vaincre et dépasser la société des machines
Avec Rémi Tell, fondateur du collectif Peuple Libre, essayiste, auteur de “A l’encre du néant” (éditions du Verbe Haut), et vient de rééditer “La chute de Prométhée” (éditions du Verbe Haut) "
" Xavier-Louis de Izarra : Les cons normaux sont remplacés par des cons surdoués
Les cons et les gens ordinaires comme vous et moi sont une espèce en voie de disparition. Ça devient grave. Il n'y en a plus ! Quand on parle aux gens, on remarque qu'ils sont tous HPI (Haut potentiel intellectuel) ou HPE (Haut Potentiel Émotionnel), etc. Le type par exemple qui a entraîné la France vers la faillite, n'est pas nul à chier : c'est le Mozart de la Finance.... "
" La dette: la méthode d’asservissement des peuples la plus complète et la plus sournoise.
La perte de la souveraineté des peuples est fondée sur cette dette qui entraîne une perte d’autonomie des Etats et leur sujétion à des pouvoirs non démocratiques. Mario Draghi, président de la BCE et ex Goldman Sachs boys l’a clairement reconnu.
Ça vient d’où la dette ?
C’est tout sauf une invention moderne ! Depuis les Sumériens les citoyens s’endettaient auprès des gouvernants ou des créanciers quand ils ne disposaient pas de ressources suffisantes (dû à une mauvaise récolte par exemple).
Pour les Babyloniens, la dette était même leur moyen de paiement. Ils n’avaient pas de monnaie et pour ne pas s’encombrer avec leur bétail pour faire du troc, ils notaient ce que l’autre devait lui amener quand ils auraient le temps et les ressources suffisantes.
A ce moment-là, la dette était d’abord et surtout une relation de confiance entre deux personnes et qui permettait de créer du lien social. D’ailleurs, c’était même l’expression utilisée dans le « Notre père » au début : ils ne disaient pas « Pardonne-nous nos offenses… » mais « Annule-nous nos dettes…»
Quand on a commencé à vouloir en faire une activité économique et qu’on a voulu vendre de l’argent comme on vend une marchandise, c’est devenu un peu moins sympathique. Il y avait donc les riches créanciers, comme la famille Médicis par exemple, qui prêtaient de l’argent aux citoyens, aux États ou aux entreprises, qui en contrepartie s’engageaient à rendre la somme et un petit plus pour remercier le généreux donateur. Cela a poussé les débiteurs (ceux qui contractent une dette) à faire tout et n’importe quoi pour ne plus être inquiété par la dette. "
" "Out of Shadows" lève le masque sur la façon dont les grands médias et Hollywood manipulent et contrôlent les masses en diffusant de la propagande à travers leur contenu. Notre objectif est de réveiller le grand public en faisant la lumière sur la façon dont nous avons tous été trompés et soumis à un lavage de cerveau par un ennemi caché ayant un agenda sinistre. Ce projet est le résultat de deux ans de sang, de sueur et de larmes d'une équipe de professionnels réveillés. Il a été produit et financé de manière indépendante et est disponible gratuitement sur de nombreuses plateformes pour que chacun puisse le regarder. "
" Il me semble qu’on ne peut véritablement comprendre le délitement des valeurs traditionnelles — celles qui fondent la civilisation : effort, engagement, courage, éducation… — sans comprendre en quoi celles-ci ont été détournées par une autorité illégitime qui, via la pseudo-liberté offerte par la société de consommation, aura œuvré en faveur d’une culture de la séduction propre à servir ses intérêts.
Politiciens de tous bords, artistes promus et journalistes autorisés ne s’engagent définitivement plus pour la justice, l’ordre et l’esthétique — autrement dit pour le vrai, le beau et le bien —, mais se contentent désormais d’alimenter cette nouvelle culture de la séduction, héritière du règne de la publicité, qui en fait de près ou de loin des auxiliaires du pouvoir en place.
On ne cherche plus à faire, mais à plaire. À gagner toujours plus d’électeurs, d’auditeurs, de followers, comme si la quantité acquise pouvait être, au détriment de la qualité réelle, une fin en soi. Comme si l’on avait, en quelque sorte, « sacrifié le fond pour la forme ». Avec tout ce que cela comporte de dangereusement mensonger.
En ce sens, le terme de « follower » (« suiveur », en bon français), propre au monde virtuel des réseaux sociaux, est tout à fait significatif de ce conformisme de la médiocrité, qui semble davantage relever d’une incapacité avouée à l’autonomie que d’un quelconque réflexe grégaire. Ainsi, comment qualifier la popularité d’une personnalité virtuelle « suivie » par des millions de fantômes et d’attardés ? Sa « légitimité » n’en est-elle pas toute relative ?…
De la même façon, quelle est la légitimité du représentant d’un groupe humain élu par une « majorité » de votants séduits (s’ils ne sont pas fictifs…) plutôt que convaincus ? N’atteint-on pas ici, par une collusion médiatico-politique obligée et l’impunité du mensonge, les limites de la démocratie ? "