" 1970 - Le grand rassemblement de l'île de Wight "
VIDÉO
" Les 28, 29 et 30 août 1970 , le festival de l'île de Wight rassemble près de 600 000 spectateurs. Il atteint son sommet historique avec les prestations de Jimi Hendrix, Miles Davis, Emerson, Lake and Palmer ou encore The Who et The Doors. Il voit, cette même année, une des dernières prestations des Doors.
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" "L’État français est un des plus gros producteurs de fake news" Idriss Aberkane "
05 novembre 2024
VIDÉO
" Le 7 novembre prochain, France-Soir célèbrera ses 80 ans d’existence, marquant ainsi un jalon dans l’histoire du journalisme indépendant.
A l’aune de cet anniversaire, alors que la France est à la dérive, force est de constater que ce que nous publions depuis quelques années s’est avéré exacte, et les journalistes des médias mainstream de commencer à en parler, allant jusqu’à avouer que jusqu’à peu, il était impossible d’aborder certains sujets : au micro d’Eric Morillot, Christine Kelly se reconnaissait "une liberté d’expression à l’antenne, mais avouait son impossibilité d’évoquer les vaccins sur Cnews, ainsi que dans tout autre media". Récemment le Pr Delfraissy rappelait le fait qu’un médecin qui vous dit « qu'un médicament n'a pas d'effets secondaires est un menteur". Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction du JDD, soulignait que Youtube interdisait encore de dire que "le vaccin ne protégeait contre la transmission" sous peine de perdre de sa chaine. Marc Zuckerberg avouait avoir subit des pressions de l’administration Biden pour censurer les contenus de Meta. Et ce 2 octobre le Canard enchainé moquait une nouvelle étude fort peu crédible du nom de « Celle », assez largement diffusée dans les médias et qui appuyait encore sur l’origine naturelle du virus.
France-Soir, media 100% libre a toujours choisi l’information juste, même quand elle était difficile à dire, et nous l’avons payé le prix fort.
A ce titre nous avons décidé de republier les vidé et les articles les plus marquants de ces dernières années sur les sujets du covid et de politique.
Aujourd'hui nous remettons en avant l'interview d'Idriss Aberkane, fervent défenseur de la vérité et des libertés. "
" Et si le problème n’était pas de sauver notre modèle social mais de l’achever ? "
" Voilà une question sacrément provocante, mais il est nécessaire de la poser.
Et pour cause.
Il ne se passe pas un jour sans qu’un de nos mamamouchis, députés, ministres ou même président ne nous parle de “sauver notre modèle social”.
Or, plus le temps passe et plus je me demande si justement le problème n’est pas ce postulat de base erroné.
“Il faut sauver notre modèle social” comme autrefois le soldat Ryan… Le problème c’est que pour sauver le soldat Ryan, on va sacrifier tout plein d’autres soldats. Si Ryan et sa maman sont contents d’être sauvés, plein d’autres mamans, elles, seront endeuillées sur l’autel de cet objectif.
Avec notre modèle social c’est un peu la même chose. Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel de son sauvetage, et il pourrait être plus “rentable” ou moins “douloureux” ne ne surtout pas sauver notre soldat modèle social.
Vous remarquerez ici que je partage avec vous une réflexion. Pas une certitude.
Pourquoi cette “humilité” dans le débat ?
Parce que nous sommes, je pense, tous conscients du nécessaire équilibre, tous conscients de la juste et indispensable solidarité de chacun à l’égard de tous quand frappent les coups durs de la vie.
Donc dire qu’il ne faut pas sauver CE modèle social là, ne veut pas dire qu’il ne nous en faut pas un autre !
Allez, revenons à notre modèle social qu’il faudrait donc sauver même si nous devons tous y passer pour y arriver.
La première grande critique que l’on peut lui faire c’est son inflation.
Il grossit en permanence. Depuis la nuit des temps. Il devient obèse et rien ne semble pouvoir l’arrêter.
Nous sommes passés de 40 % du PIB de dépenses publiques à presque 60 % aujourd’hui, tout en sachant que ce pays était nettement plus joyeux dans les années 70 qu’aujourd’hui où nous sommes devenus un pays “asile à ciel ouvert” de dépressifs chroniques. "
" Ça y est, Onfray est enfin classé à l’ultra-droite "
8 novembre 2024
" Le philosophe stagnait à l’extrême-droite depuis des années. Tous ses fans attendaient son accession à l’ultra-droite. Elle était annoncée comme imminente, et puis rien. Les plus chauds de ses supporters commençaient à désespérer. Pourtant, Cassen était classé à l’ultra-droite depuis longtemps, avait même réussi à décrocher le label fasciste et pouvait espérer sous peu celui de nazi : "
" Folie monétaire : le retour de la planche à billets "
" La Banque d’Angleterre a décidé de rebrancher la planche à billets
Selon la BBC, la Banque d’Angleterre a décidé « d’injecter £75 milliards de plus dans l’économie ». Saviez-vous que c’était si facile ? Je veux dire par là: pourquoi ne pas injecter £500 milliards ? Ou un trilliard. Dans la logique de la BBC, nous serions la nation la plus riche de la planète.
Je ne parviens pas à croire que je sois obligé de l’écrire, et pourtant il faut l’affirmer : rien de nouveau ne sera fabriqué, inventé ou développé en résultat direct de ces folies monétaires. Il n’y aura pas de nouveaux services disponibles, on ne créera pas de nouvelles entreprises. En revanche, l’argent déjà en circulation – l’argent de nos comptes bancaires, du fond de nos poches ou sous nos matelas – perdra de la valeur. En d’autres termes, le gouvernement se sert sur le compte de votre épargne et, ce faisant, entrave la productivité, réduit les incitations au travail et affaiblit la compétitivité de l’économie britannique.
C’est précisément ce que la Banque d’Angleterre dit sur son site internet:
La stabilité monétaire est l’un des deux corps de métier de la Banque d’Angleterre. La stabilité monétaire signifie la stabilité des prix – une inflation faible – et la confiance dans la monnaie. La stabilité des prix est définie par le taux d’inflation que le gouvernement s’est fixé et que la Banque centrale cherche à remplir à travers des décisions prises par le Comité de politiques monétaires. "