" En coulisse, la guerre de 5e génération fait rage "
4 novembre 2024
" Alors que les tensions géolitiques croissent encore et que la campagne électorale américaine arrive à son apex dans quelques heures tout au plus, les coulisses d’internet bruissent des petits échos de grandes manœuvres que le grand public semble ignorer (à ses dépens ?)…
Il y a ainsi eu l’étonnante explosion du satellite Intelsat 33E, placé en orbite gétationnaire, et qui a spontanément (?) explosé le 19 octobre dernier. Oh, certes, il était fabriqué par Boeing et, de nos jours, il est rapide d’en conclure que l’explosion ou la perte totale d’un produit sortant de ce fabricant ne devrait pas surprendre.
Mais tout de même, la disparition soudaine de ce satellite de communication qui desservait des clients en Europe, en Afrique et dans certaines régions de l’Asie et du Pacifique laisse perplexe : l’orbite gétationnaire, c’est haut, tout de même et c’est dans une zone avec finalement peu de choses. La rencontre inopinée avec un météoroïde n’est pas impossible, bien sûr ; cependant, il en faut de l’énergie pour éparpiller le satellite en douzaines de débris (une vingtaine suivis par l’US Space Force, une cinquantaine par ExoAnalytic Solutions).
RosCosmos, l’agence spatiale russe a aussi confirmé, dans un Telegram posté le 22 octobre, qu’il y avait plus de 80 débris qui s’éloignaient rapidement de la trajectoire initiale du satellite. Au passage, elle note que « l’analyse des trajectoires des fragments formés montre que la destruction du satellite s’est faite en une seule étape et à haute énergie. »
L’enquête ne fait que commencer, mais certains ne se sont pas gênés pour imaginer des scénarios de guerre des étoiles. Grands fous, va. "
" Vous serez sans doute intéressés de savoir que le Canada a rejeté les demandes de publication d'un rapport secret contenant les noms de quelques 900 criminels de guerre nazis qui se sont installés au Canada après la Seconde Guerre mondiale.
Parmi les 900 noms figurant dans le rapport secret, on trouve des membres de la division SS ukrainienne de Galicie qui se sont installés au Canada. L'année dernière, un vétéran de la division nazie, Yaroslav Hunka, a été ovationné à deux reprises à la Chambre des communes lors d'une visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Anthony Rota, qui avait invité Hunka et l'avait qualifié de héros, a ensuite démissionné de son poste de président de la Chambre des communes.
La nouvelle a été accueillie avec consternation par les groupes juifs, qui se sont joints à des dizaines d'éminents universitaires du monde entier pour demander la publication des noms.
" Tatiana Ventôse - « Les élites ont atomisé la classe ouvrière française » "
" Depuis 50 ans, la France s'endette, s'appauvrit, diluée dans une Union Européenne qui l'essore et une finance mondialisée qui la pille. Notre pays est de moins en moins souverain, de plus en plus dépendant des nations à qui elle a abandonné sa production. Mais nos producteurs existent toujours : ils sont dans la France périphérique, tandis que les élites logent dans des métropoles déconnectées du réél. Dans Il est venu le temps des producteurs (éditions du Fil d'Actu), la youtubeuse politique Tatiana Ventôse en appelle à leur réveil. Nous la recevons. "
" Se débancariser : un collectif passe à l’action "
19 octobre 2024
" Communiqué de presse du Collectif Citoyen « Sortie de Banque »
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Qui sommes-nous ?
Le collectif « Sortie de Banque » est un regroupement citoyen pacifiste, non partisan, composé de bénévoles déterminés à agir face à la crise économique actuelle et aux dérives successives des gouvernements. Notre démarche est légale et nous nous adressons à toutes les forces politiques prêtes à écouter. Nous proposons une solution nationale et libre pour répondre aux enjeux de l’inflation, cesser le financement des conflits et, pour la première fois, permettre à tous de vivre sans banque, en seulement 2 heures.
Notre solution : espèces, Bitcoin et Monero
À court terme, les espèces semblent une bonne alternative pour conserver une part de contrôle sur nos échanges financiers. Cependant, vous remarquerez que seules des petites coupures sortent désormais des distributeurs (50€ max, comparé à 500€ initialement) et que la gestion des espèces est sous le contrôle de la BCE et de la BdF (Banque de France) sans possibilité de contrôle direct par les citoyens. Cela fait des espèces une solution non souveraine, et une impasse face à la montée de l’inflation.
C’est pourquoi nous proposons une autre voie.
Parmi les solutions long terme existantes, l’une des plus viables est la combinaison de Bitcoin (traçable) et Monero (intraçable comme les espèces). Ces cryptomonnaies, bien que non reconnues comme des monnaies au sens de l’UE, constituent des moyens d’échange légaux et libres. Elles permettent de reprendre le contrôle sur nos transactions tout en restant dans un cadre éthique, responsable et conforme aux législations en vigueur (conformément à l’article L561-1 du CMF en France et règlement 2018/1672 en UE). L’UE s’étant justement construite sur l’idée fondamentale d’une libre circulation des biens et marchandises.
En seulement 2 heures, chacun a désormais une alternative crédible face au projet d’€-numérique CBDC : aujourd’hui, des centaines de commerces français locaux et en ligne acceptent déjà Bitcoin/Monero.
Nous incitons bien entendu à déclarer ce qui doit l’être selon la loi, tout en affirmant que la confidentialité financière est un droit inaliénable et millénaire. "
" Dans les années 70 les cerveaux anglo-saxons et malthusiens du dépeuplement se mettent à l’œuvre : on a Kissinger (n’était-il pas devenu à cent ans une bouche inutile ?) et David Rockefeller qui accélère le tempo en créant la Trilatérale (Nelson est vice-président…). On a Licio Gelli et le Club de Rome qui annonce comme dans les films de SF (Soleil vert, Rollerball…) ce qui va se passer.
Reprenons William Engdahl, un des rares analystes à avoir une approche historique de nos problèmes (voyez son analyse de la longue guerre des Anglo-saxons contre l’Allemagne après Sedan…) :
« Pour comprendre le double langage de la durabilité, il faut remonter à Maurice Strong, un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations unies pour l’environnement et, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour étudier exclusivement le CO2 d’origine humaine. »
Engdahl nous dit encore :
« En 1992, Strong a déclaré, « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? » Au Sommet de la Terre de Rio Strong, la même année, il a ajouté : « Les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une consommation élevée de viande, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de climatisation et de logements de banlieue – ne sont pas durables.
La décision de diaboliser le CO2, l’un des composés les plus essentiels à la survie de toute vie, humaine et végétale, n’est pas le fruit du hasard. Comme le dit le professeur Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère au MIT… »
Dans mon texte sur l&rsquocident et le démon des organisations, j’ai parlé du facteur temps pour la mise en place de ces légions devenues globales de décideurs apocalyptiques. Engdahl ajoute – on est au début de la crise interminable du Covid :
« La déclaration du Forum économique mondial de faire un grand retour en arrière [textuellement The Great Reset ou la Grande Réinitialisation] est, à tous les égards, une tentative à peine voilée de faire avancer le modèle dystopique « durable » de l’Agenda 2030, une nouvelle donne verte mondiale (global « Green New Deal ») dans le sillage des mesures de lutte contre la pandémie de COVID-19. Leurs liens étroits avec les projets de la Fondation Gates, avec l’OMS et avec les Nations unies laissent penser que nous pourrions bientôt être confrontés à un monde bien plus sinistre après la fin de la pandémie de COVID-19. » "