" Un ancien scientifique de la NASA fait une expérience pour prouver que nous vivons dans une simulation "
Publié 8 août 2024
" Pourrions-nous être piégés dans une réalité simulée, plutôt que dans l’univers physique que nous supposons habituellement ?
C’est une théorie séduisante, théorisée depuis longtemps par les philosophes et popularisée par la superproduction de 1999 « The Matrix ». Et s’il existait un moyen de savoir une fois pour toutes si nous vivons à l’intérieur d’un ordinateur ? "
Par un ordinateur ?
Punaise quand je fais l'inventaire des dysfonctionnements vécus avec ce genre d'outil depuis que je me suis lancé dans l'aventure informatique ( un jour,irrité de ne pas comprendre la cause de l'un d'entre eux,l'idée me vint de le balancer par la fenêtre sachant que j'habitais au troisième étage ! )
À mon avis ( mais je me trompe peut-être... ),si simulation il y a,ce n'est pas avec ce genre de technique..........
" Ségolène Guinard, anthropologue, déconstruit nos imaginaires de conquête spatiale et ses dérives "
" Peu après le lancement d'Ariane 6, et alors que la course au spatial s'accélère entre États-Unis, Chine et Europe, Futura s'est entretenu avec la philosophe et anthropologue Ségolène Guinard, notamment spécialiste des questions liées à la vie dans les milieux extrêmes. Un entretien qui interroge notre rapport au ciel, au spatial et aux imaginaires qui en découlent, à la frontière entre crise écologique et inégalités sociales.
Elon Musk et son « arche de l'espace » pour tous nous sauver d'une guerre nucléaire, Jeff Bezos et ses « stations spatiales géantes » pour conquérir le Système solaire... L'humanité serait-elle atteinte d'un torticolis à force de regarder les étoiles, au point de ne plus être capable de baisser les yeux vers ce qu'il se passe sur Terre ? Une partie d'entre elle semble, en tout cas, déterminée à trouver les solutions dans l'espace. De quoi nous mettre des étoiles dans les yeux, si ce n'est que ce rêve a des conséquences sur notre Planète qui sont loin de faire rêver, nous rappelle Ségolène Guinard.
Futura : Vous êtes philosophe et anthropologue. Quel éclairage ces domaines de recherche apportent-ils à ces thématiques, à première vue réservées aux sciences dures ?
Ségolène Guinard : Lorsque j'étais focalisée sur la philosophie, j'interrogeais beaucoup les imaginaires de conquête. J'ai davantage travaillé dans le domaine de l'écologie que la conquête spatiale en elle-même : recréer des écosystèmes. Pour ce qui est du discours qui existe encore : aller dans l'espace pour mieux comprendre les environnements sur Terre, il y a une contradiction entre un discours écologiste, de curiosité scientifique et une technologie militariste et conquérante. Je voulais étudier, de ce point de vue, l'imaginaire et les thèmes de la colonisation, de l'environnement, de la planète, mais également l'histoire visuelle de la conquête. La question était : qu'est-ce qu'on fait de ces discours ?
Maintenant que je m'intéresse au sujet du point de vue de l'anthropologue, je veux surtout aller à la rencontre de ces acteurs du spatial et ceux affectés par la recherche. Je travaille notamment sur l'action des téléscopes qui impactent les paysages. Ce qui m'intéresse, c'est d'aller écouter les porteurs de ces imaginaires qui les réalisent, comment ils expliquent leur activité, comment ils en arrivent là... Il s'agit de comprendre comment la science est produite. C'est un peu comme si on zoomait sur des manières de faire et de produire des connaissances.
Vous l’avez dit : la conquête spatiale suppose des avancées technologiques, bien loin des discours sur la décroissance et les hymnes à la lenteur prônés par les défenseurs du climat. Les deux directions sont pourtant aussi actuelles l’une que l’autre, c’est presque aliénant... "
" La NASA reconnaît que les astronautes acheminés par Boeing jusqu’à l’ISS sont bloqués et appelle SpaceX à la rescousse
Le vaisseau Starliner, qui avait envoyé Barry Wilmore et Sunita Williams en orbite début juin pour huit jours, est jugé incapable de les ramener sur Terre en sécurité. Leur attente pourrait se prolonger jusqu’en février 2025. "
8 août 2024
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Ce devait être une escapade de huit jours, elle pourrait se prolonger jusqu’en 2025. Après des semaines de déni de la NASA, la réalité s’impose : les deux astronautes américains Barry Wilmore et Sunita Williams sont bel et bien naufragés de l’espace, coincés sur la station spatiale internationale (International Space Station, ISS). En cause, le vaisseau de Boeing Starliner, qui les avait envoyés en orbite début juin, est pour l’instant jugé incapable de les ramener sur Terre en sécurité.
C’est donc à Elon Musk et sa société SpaceX que l’agence pourrait faire appel, mais la date se trouve reportée à février 2025. « Nous nous trouvons dans une situation nouvelle, dans la mesure où nous avons plusieurs options, a déclaré l’ancien astronaute Ken Bowersox, administrateur associé de la NASA. Nous ne sommes pas obligés de ramener un équipage à bord de Starliner : nous pouvons le ramener à bord d’un autre véhicule. »
L’affaire menace l’existence même du programme spatial Starliner de Boeing et fait, plus que jamais, de SpaceX, le prestataire spatial privilégié des autorités fédérales américaines, jusqu’à présent bien plus fiable et meilleur marché. La compétition entre Boeing et la firme d’Elon Musk a commencé en 2014, lorsque la NASA avait attribué 4,2 milliards de dollars à Boeing et 2,6 milliards de dollars à SpaceX, pour créer des véhicules destinés à transporter les astronautes dans l’espace. "
" Un ancien de la NASA cherche à prouver que nous vivons dans une simulation "
10 août 2024
" L'idée que nous pourrions vivre dans une simulation informatique n’est plus réservée à la science-fiction, et gagne de plus en plus de terrain dans les cercles scientifiques et philosophiques. Si bien qu’un ancien physicien de la NASA a conçu une série d’expériences visant à prouver que notre réalité pourrait n'être qu'une construction numérique avancée, orchestrée par une intelligence supérieure.
La "théorie de la simulation" postule que toute notre existence – l'univers, la Terre, la nature, et les êtres humains, bien sûr – pourrait être le produit d'une simulation numérique, semblable à un jeu vidéo extrêmement avancé. L'idée a été popularisée par le philosophe suédois Nick trom dans un article de 2003 intitulé "Are You Living in a Computer Simulation?" [Vivez-vous dans une simulation numérique?]. Il y explique qu’une civilisation suffisamment avancée pourrait avoir la capacité de créer des simulations indiscernables de la réalité, une sorte de métavers perfectionné, et il est statistiquement probable que nous vivions dans l'une d'elles plutôt que dans la "vraie" réalité. Voilà qui n’est pas sans rappeler les films Matrix.
Tout le monde veut être l’élu
Le film Matrix des Wachowski, sorti en 1999, est souvent cité comme une représentation populaire de cette théorie. On y découvre un futur où les humains vivent dans une réalité virtuelle appelée la Matrice, créée par des machines intelligentes pour maintenir les esprits humains sous contrôle pendant que leurs corps servent de source d'énergie. Le protagoniste, qui devient l’élu, Neo, découvre la vérité sur cette illusion en choisissant la pilule rouge, et lutte pour libérer l'humanité.
Rangé dans la catégorie « science-fiction », la trilogie soulève des questions philosophiques pertinentes : quelles sont les limites de la technologie ? Comment savons-nous que ce que nous percevons est réel ? Si nos sens peuvent être trompés par une technologie suffisamment avancée, existe-t-il un moyen de distinguer la réalité d'une simulation ? Ces questions ont inspiré des générations de philosophes, de scientifiques et de technologues. À tel point qu’aujourd’hui, on écarte de plus en plus le côté « fiction » pour se concentrer sur la « science », cherchant à prouver la vérité fondamentale invoquée dans Matrix.
Beaucoup de « si » pour prouver la simulation
L'hypothèse de Nick trom repose sur trois propositions principales : soit les civilisations avancées s'éteignent avant de pouvoir créer de telles simulations, soit elles n'ont aucun intérêt à les créer, soit nous vivons presque certainement dans une simulation. Dans une interview donnée à Joe Rogan en 2018, Elon Musk s’est exprimé sur le sujet : « L’univers a 13,8 milliards d’années, donc toutes les civilisations qui ont surgi dans tout le cosmos ont eu beaucoup de temps pour parfaire leur savoir-faire technologique ». Or, en admettant la possibilité que des civilisations plus avancées que l’Homme puissent créer des simulations, alors la conclusion la plus probable est que nous faisons partie d’une sorte d’enchaînement de simulations, de couches numériques, d’expériences. "
" "ON N’A JAMAIS MARCHÉ SUR LA LUNE" : L’IMPOSTURE APOLLO | ALDO STERONE | GPTV "
" Selon Aldo Sterone, les États-Unis ont déployé des moyens colossaux pour maintenir la croyance selon laquelle ils ont réussi à envoyer des hommes sur la lune en 1969. Le contrôle de l’information a été essentiel : la NASA, avec le soutien du gouvernement américain, aurait veillé à diffuser uniquement des preuves et des témoignages conformes à cette version des faits.
Les médias, à l'époque comme aujourd'hui, auraient relayé sans contestation la narrative officielle, contribuant à enraciner cette histoire dans l'imaginaire collectif. De plus, toute tentative de remise en question aurait été discréditée ou ignorée, empêchant une réelle investigation publique. Cette stratégie de désinformation aurait permis de préserver le mythe lunaire pendant plus de 60 ans.
Le livre d'Aldo Sterone explore en profondeur les motivations qui auraient poussé les États-Unis à simuler la marche sur la lune. En pleine guerre froide, l'objectif principal était de démontrer une supériorité technologique indiscutable face à l'Union soviétique. Remporter la course à l'espace était une question de prestige national, mais aussi un outil de propagande pour affirmer le leadership américain sur la scène mondiale.
La mise en scène d'un alunissage aurait permis aux États-Unis de s'assurer une victoire symbolique, détournant l'attention des véritables défis technologiques et logistiques que représentait une mission lunaire. Ce mensonge aurait consolidé leur position géolitique et renforcé leur influence internationale à un moment crucial de l’histoire.
Aldo Sterone émet l’hypothèse que les missions Apollo n'ont jamais atteint la lune. Il avance que les astronautes n’auraient pas dépassé l'orbite terrestre, contournant ainsi les dangers des radiations spatiales, en particulier celles des ceintures de Van Allen. Les images et vidé des alunissages, diffusées dans le monde entier, auraient été tournées sur Terre, dans des studios soigneusement aménagés pour recréer le paysage lunaire.
Les incohérences visibles dans ces séquences constituent des indices irréfutables d’une supercherie. Il soulève également des questions sur l’absence de nouvelles missions lunaires : depuis 1972, aucune autre nation n'a envoyé d'hommes sur la lune, ce qui, selon lui, suggère que le véritable exploit n'a jamais été réalisé.
Un autre mystère abordé par Aldo Sterone concerne le silence de l’Union soviétique, pourtant en compétition directe avec les États-Unis durant la guerre froide. Pourquoi n'ont-ils jamais dénoncé cette prétendue imposture ? Aldo Sterone propose plusieurs explications possibles : un accord tacite entre les superpuissances pour éviter une escalade du conflit, ou un manque de preuves pour contester publiquement les États-Unis sans risquer leur propre crédibilité.
De plus, le contrôle strict de l’information et la peur d’un affrontement direct auraient pu dissuader toute tentative de révéler la vérité. Ce silence aurait permis aux États-Unis de maintenir intacte l'illusion de leur succès lunaire.
Aldo Sterone vous présente ici son ouvrage pour tout vous révéler sur cet événement historique qui continue de fasciner et interroger le monde, sur GPTV, animé par Mike Borowski. "
75 360 vues Diffusée en direct le 19 août 2024 #USA #MissionApollo #AldoSterone
Citation de fouthese
" "ON N’A JAMAIS MARCHÉ SUR LA LUNE" : L’IMPOSTURE APOLLO | ALDO STERONE | GPTV "
" Selon Aldo Sterone, les États-Unis ont déployé des moyens colossaux pour maintenir la croyance selon laquelle ils ont réussi à envoyer des hommes sur la lune en 1969. Le contrôle de l’information a été essentiel : la NASA, avec le soutien du gouvernement américain, aurait veillé à diffuser uniquement des preuves et des témoignages conformes à cette version des faits.
Les médias, à l'époque comme aujourd'hui, auraient relayé sans contestation la narrative officielle, contribuant à enraciner cette histoire dans l'imaginaire collectif. De plus, toute tentative de remise en question aurait été discréditée ou ignorée, empêchant une réelle investigation publique. Cette stratégie de désinformation aurait permis de préserver le mythe lunaire pendant plus de 60 ans.
Le livre d'Aldo Sterone explore en profondeur les motivations qui auraient poussé les États-Unis à simuler la marche sur la lune. En pleine guerre froide, l'objectif principal était de démontrer une supériorité technologique indiscutable face à l'Union soviétique. Remporter la course à l'espace était une question de prestige national, mais aussi un outil de propagande pour affirmer le leadership américain sur la scène mondiale.
La mise en scène d'un alunissage aurait permis aux États-Unis de s'assurer une victoire symbolique, détournant l'attention des véritables défis technologiques et logistiques que représentait une mission lunaire. Ce mensonge aurait consolidé leur position géolitique et renforcé leur influence internationale à un moment crucial de l’histoire.
Aldo Sterone émet l’hypothèse que les missions Apollo n'ont jamais atteint la lune. Il avance que les astronautes n’auraient pas dépassé l'orbite terrestre, contournant ainsi les dangers des radiations spatiales, en particulier celles des ceintures de Van Allen. Les images et vidé des alunissages, diffusées dans le monde entier, auraient été tournées sur Terre, dans des studios soigneusement aménagés pour recréer le paysage lunaire.
Les incohérences visibles dans ces séquences constituent des indices irréfutables d’une supercherie. Il soulève également des questions sur l’absence de nouvelles missions lunaires : depuis 1972, aucune autre nation n'a envoyé d'hommes sur la lune, ce qui, selon lui, suggère que le véritable exploit n'a jamais été réalisé.
Un autre mystère abordé par Aldo Sterone concerne le silence de l’Union soviétique, pourtant en compétition directe avec les États-Unis durant la guerre froide. Pourquoi n'ont-ils jamais dénoncé cette prétendue imposture ? Aldo Sterone propose plusieurs explications possibles : un accord tacite entre les superpuissances pour éviter une escalade du conflit, ou un manque de preuves pour contester publiquement les États-Unis sans risquer leur propre crédibilité.
De plus, le contrôle strict de l’information et la peur d’un affrontement direct auraient pu dissuader toute tentative de révéler la vérité. Ce silence aurait permis aux États-Unis de maintenir intacte l'illusion de leur succès lunaire.
Aldo Sterone vous présente ici son ouvrage pour tout vous révéler sur cet événement historique qui continue de fasciner et interroger le monde, sur GPTV, animé par Mike Borowski. "
75 360 vues Diffusée en direct le 19 août 2024 #USA #MissionApollo #AldoSterone
" Diffusé sur Arte en octobre 2002, le vrai-faux documentaire "ération Lune" signé par William Karel jetait le trouble : et si la mission Appollo 11 n'était jamais arrivée sur la Lune et était une mise en scène ? La Fake News élevée au rang d'art.
21 juillet 1969. La mission Appollo 11 entre dans l'Histoire. Neil Armstrong effectue "un petit pas pour l'homme, un pas de géant pour l'Humanité" en foulant le sol de la Lune, devant les yeux médusés de millions de téléspectateurs qui découvrent les images en direct. Alors que la mission célèbre ce 21 juillet 2019 ses 50 ans, beaucoup de personnes continuent hélas de penser que l'Homme n'a jamais marché sur la Lune en ce mois de juillet 1969.
Les images diffusées en direct par la NASA ? Une superproduction tournée dans le plus grand secret dans un studio hollywoodien, qui plus est par un de ses plus illustres cinéastes, Stanley Kubrick. Pour les conspirationnistes de tous poils dont les théories pullulent sur la toile, la NASA était incapable d'un tel exploit technologique à cette époque. Il s'agissait de missions sans équipage humain. D'autres affirment même qu'il fallait dissimuler la complicité d'extraterrestres ou la découverte d'une civilisation lunaire...
Quoi qu'il en soit, cette rumeur n'a jamais cessée de courir; elle est même devenue un pilier des Fake News. Au moment des premiers alunissages, moins de 5 % des Américains doutaient de la réalité de l'événement. Un taux passé à 6 % dans des études plus récentes, dont un sondage de référence, réalisé par Gallup en 1999. De même, 9 % des Français adhèrent à ces croyances, selon un sondage Ifop de cette année, ou encore 25 % des Britanniques interrogés par TNS en 2009, et même 57 % des Russes sondés par Vtsiom en 2018. Interviewé par l'Agence France Presse, Didier Desormeaux, auteur d'un ouvrage intitulé Le Complotisme, décrypter et agir (Réseau Canopé, 2017), co-écrit avec l'historien français Jérôme Grondeux, estime que cet événement concentre l'intérêt des sceptiques à cause de son importance : "Cet épisode de la conquête spatiale est l'un des événements majeurs pour l'humanité, le remettre en question ébranle les fondements mêmes de la science et de la conquête de l'homme sur la nature".
Si d'autres théories du complot, comme celle visant l'assassinat de JFK en 1963, se sont aussi appuyé sur les images, "ce qui est nouveau, c'est que cette rumeur repose sur le décryptage minutieux de tous les signes cinématographiques repérés sur les images expédiées par la Nasa" précise Didier Desormeaux, qui ajoute : "il s'agit de la première théorie du complot construite entièrement sur la réinterprétation visuelle d'un fait d'actualité : c'est une mise en scène qui est dénoncée, et non un fait que personne ne remet en cause".
OPÉRATION LUNE, BRILLANT DOCUMENTEUR
C'est là qu'entre en scène le documenteur Opération Lune, signé par William Karel, qui a largement contribué justement à nourrir la sphère complotiste et les spéculations plus ou moins fantaisistes autour de l'alunissage de la mission Appollo 11. "
" Interview de l’ufologue Egon Kragel : « OVNI, les rencontres qui défient le FBI et le Pentagone »
Plongez dans l'univers fascinant des OVNIS avec notre invité exceptionnel, Egon Kragel, ufologue et auteur de plusieurs enquêtes sur le sujet. Son dernier livre, "OVNI, les rencontres qui défient le FBI et le Pentagone", publié aux éditions Max Milo, est une mine d'informations et de récits palpitants. "
" Et maintenant des microplastiques… retrouvés dans le cerveau
Cette découverte n’a rien de rassurante. L’omniprésence des plastiques dans notre environnement et leurs effets potentiels sur la santé humaine se confirme avec la découverte de leur présence dans notre cerveau. "
" Qu’est-ce que l’IA ? Illusions numériques, fausses promesses et rééducation de masse
Au cours des cinq dernières années, le concept d’intelligence artificielle a fait l’objet d’une grande fanfare, à tel point que sa primauté est considérée dans les médias comme une évidence. L’idée que les algorithmes peuvent “penser” est devenue un mythe omniprésent, un fantasme de science-fiction qui prend vie. La réalité est beaucoup moins impressionnante… "
" Avicenne, un scientifique persan qui a vécu il y a plus de 1 000 ans, a mené une expérience remarquable. "
28 août 2024
" Avicenne, un scientifique persan qui a vécu il y a plus de 1 000 ans, a mené une expérience remarquable.
Il a placé deux agneaux en bonne santé dans des cages séparées, mais seul l’un d’eux pouvait voir un loup dans une troisième cage à proximité. Les résultats de cette expérience étaient tout simplement stupéfiants.
Les deux agneaux recevaient la même nourriture, et leur poids de départ était identique. Cependant, après plusieurs mois, l’agneau qui pouvait voir le loup est devenu irritable, agité et faible, montrant une perte de poids significative et des signes de mauvais développement.
L’agneau soumis à un stress chronique, constamment exposé au danger perçu, a finalement succombé. En réalité, le loup ne représentait aucune menace réelle, mais cela dépassait la compréhension de l’agneau.
Cette expérience a démontré que des niveaux élevés de cortisol, l’hormone du stress, impactent négativement le métabolisme des mammifères.
Mille ans plus tard, nous nous retrouvons dans une situation similaire, mais cette fois-ci, nous sommes pleinement conscients des effets nocifs du stress. "
" Un court clip montrant deux « robots humanoïdes » très sexy présentés à la conférence mondiale sur les robots de Pékin de cette année a suscité un vif débat en ligne sur la question de savoir s’il s’agit de véritables robots. "
VIDÉO / Document
" Cette année, la conférence mondiale sur les robots de Pékin accueille des centaines d’exposants internationaux et plus d’un millier d’invités spéciaux, mais l’événement est récemment devenu viral pour une raison qui n’a pas grand-chose à voir avec la technologie, mais plutôt avec le maquillage et le « cosplay ».
Ex-Robot, une entreprise chinoise spécialisée dans les robots humanoïdes bioniques, a dévoilé ses dernières créations devant des centaines de journalistes et de visiteurs, et bien qu’elles soient impressionnantes, deux d’entre elles se sont vraiment distinguées par leur apparence de poupée. De nombreux utilisateurs de X ont été impressionnés par la beauté des deux robots, tandis que d’autres se sont demandé s’il s’agissait de véritables robots ou de vraies femmes déguisées en androïdes.
Après avoir visionné le clip plusieurs fois, il est clair que les robots controversés qui se trouvent au premier plan de la scène Ex-Robot sont nettement plus beaux que les animatroniques qui se trouvent à l’arrière-plan. Cependant, ils présentent les mêmes mouvements de tête et de membres peu naturels, des yeux sans vie et des equelettes futuristes inspirés des mangas et des animes japonais. "
" Ah selon Marianne qui sait tout, et qui dispose de la vérité sans conteste possible, ceux qui aiment Matrix sont des fachos et des paranos.
On en est là...
Avec une simple recherche, ils auraient trouvé une liste longue comme mon bras, de scientifiques étant persuadés que nous vivons dans une simulation informatique.
Une autre liste aussi longue, de scientifiques persuadés que nous vivons dans un univers multidimensionnels.
Nous ne sommes capables de "voir" que 3 dimensions alors qu'il en existe bien plus.
Mais tout le monde sait que les journalistes de Marianne savent mieux que personne, de comment se compose notre univers... "