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La dépression de Qattara (en arabe Munḫafaḍ al-Qattarah) est une dépression située dans le nord-ouest de l'Égypte, dans le gouvernorat de Marsa-Matruh. Elle fait partie du désert Libyque.
La dépression de Qattara est un désert de sel couvert de Schorres avec des dunes de sable.
Une vingtaine de kilomètres à l'ouest de la dépression se trouvent les oasis de Siwa et Jaghbub.
Son point le plus bas se situe 133 m en dessous du niveau de la mer. C'est le deuxième point le plus bas d'Afrique après la Dépression de l'Afar.
Dans la Dépression , il y a des schorres sous les bords de l'escarpement du nord-ouest et du nord et de vastes lacs salés asséchés qui sont parfois inondés.
Les schorres occupent environ 300 kilomètres carrés.
Environ un quart de la région est occupée par des lacs salés asséchés composées de croûte dure et de boue collante, parfois rempli d'eau.
La dépression a été formé par le travail combiné de l'altération de sel et de l'érosion éolienne.
Des monticules de sels constituent le plancher de la dépression, puis le vent balayant les sables il en résulte une altération du sel et une érosion éolienne.
On trouve, comme seule végétation, des bosquets d'acacia raddiana, dans les sables peu profond, et des phragmites, dans les marécages, qui survivent grâce aux eaux de ruissellement de pluie et aux eaux souterraines.
L'oasis Moghra, dans le nord-est de la dépression, est située au bord d'un lac saumâtre de 4 km2 et d'un marécage couvert de phragmites. La partie sud-ouest de la dépression fait partie de la zone protégée de l'oasis sauvage de Siwa.
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fantassin38 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "ondine38"Citation de "fantassin38"
oui exact !
trop de questions !
trop de fausses théories !
je connais la théorie de jean kuzniar !
en fait son étude est bien faite, mais tout le monde sait que cette théorie ne peut être valable que si ce monsieur puisse en faire la démonstration pour le transport des blocs depuis le port juqu'a giseh ! sur le sable !!
pas facile je reconnais !
mais on a bien réussi à reconstituer les dressage des statues de l'ile de paques !
bon ok au bout d'une foultitude d'essais !
mais por giseh pour l'instant rien !
et surtout 25 ans pour la construire avec les outils de kuzniar!
impossible
même avec d'autres outils!
25 ans ... cela me fait sourire !!!
Les suppositions seraient d'une organisation en 3/8, avec entre 50 000 et 100 000 ouvriers.
Mais voilà, ce ne sont que des suppositions ...
oui
mais comment faire pour installer autant d'hommes sur ce site ??,
le site a été passé aux infrarouges ... attendons!
les photos satellites ne révèlent pas tot ..
hélas !
et certaines photos ne seront pas divulguées !!
pourquoi ?
à priori pour études !
loll
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fantassin38 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"La dépression de Qattara (en arabe Munḫafaḍ al-Qattarah) est une dépression située dans le nord-ouest de l'Égypte, dans le gouvernorat de Marsa-Matruh. Elle fait partie du désert Libyque.
La dépression de Qattara est un désert de sel couvert de Schorres avec des dunes de sable.
Une vingtaine de kilomètres à l'ouest de la dépression se trouvent les oasis de Siwa et Jaghbub.
Son point le plus bas se situe 133 m en dessous du niveau de la mer. C'est le deuxième point le plus bas d'Afrique après la Dépression de l'Afar.
Dans la Dépression , il y a des schorres sous les bords de l'escarpement du nord-ouest et du nord et de vastes lacs salés asséchés qui sont parfois inondés.
Les schorres occupent environ 300 kilomètres carrés.
Environ un quart de la région est occupée par des lacs salés asséchés composées de croûte dure et de boue collante, parfois rempli d'eau.
La dépression a été formé par le travail combiné de l'altération de sel et de l'érosion éolienne.
Des monticules de sels constituent le plancher de la dépression, puis le vent balayant les sables il en résulte une altération du sel et une érosion éolienne.
On trouve, comme seule végétation, des bosquets d'acacia raddiana, dans les sables peu profond, et des phragmites, dans les marécages, qui survivent grâce aux eaux de ruissellement de pluie et aux eaux souterraines.
L'oasis Moghra, dans le nord-est de la dépression, est située au bord d'un lac saumâtre de 4 km2 et d'un marécage couvert de phragmites. La partie sud-ouest de la dépression fait partie de la zone protégée de l'oasis sauvage de Siwa.
ne serait ce pas sous cette étendue que se situe la plus grande réserve d'eau douce souterraine d'afrique ??
ma mémoire me fait un peu défaut !
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Citation de "fantassin38" La partie sud-ouest de la dépression fait partie de la zone protégée de l'oasis sauvage de Siwa.
ne serait ce pas sous cette étendue que se situe la plus grande réserve d'eau douce souterraine d'afrique ??
ma mémoire me fait un peu défaut ![/quote]
Ha, je ne sais pas .. Il faudrait demander cela à Alain GACHET (l'auteur du livre : l'homme qui fait jaillir l'eau du désert) ...
Je vais tâcher de voir ...
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fantassin38 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"Citation de "fantassin38" La partie sud-ouest de la dépression fait partie de la zone protégée de l'oasis sauvage de Siwa.
ne serait ce pas sous cette étendue que se situe la plus grande réserve d'eau douce souterraine d'afrique ??
ma mémoire me fait un peu défaut !
Ha, je ne sais pas .. Il faudrait demander cela à Alain GACHET (l'auteur du livre : l'homme qui fait jaillir l'eau du désert) ...
Je vais tâcher de voir ...[/quote]
je vais essayer de trouver aussi !
j'avais vu un reportage la dessus !
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ieds-des-pyramides-egyptiennes.html#xtor=EPR-2-[SEADerMin]-20160415" target="_blank">http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/20160415.OBS8629/le-cea-auieds-des-pyramides-egyptiennes.html#xtor=EPR-2-[SEADerMin]-20160415
Le CEA au pied des pyramides égyptiennes
Par Aline Kiner
Le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives rejoint la campagne ScanPyramids dans son projet d'exploration des pyramides égyptiennes.
EXPLORATION. Le fleuron de la physique fondamentale français au pied des pyramides ! Qui l’aurait imaginé ? Cette rencontre improbable vient pourtant d’être officialisée :
ScanPyramids a annoncé ce vendredi 15 avril 2016 que le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives) la rejoignait dans son projet d’exploration des grands monuments funéraires de l’Egypte ancienne.
Depuis le 25 octobre 2015, ScanPyramids, une mission lancée par la faculté des ingénieurs de l’université du Caire et l’institut HIP (Heritage Innovation Preservation) sous l’autorité du ministère des Antiquités égyptien, mobilise des techniques high-tech non invasives afin de révéler, dans Kheops et Khéphren à Gizeh, la pyramide rhomboïdale et la pyramide rouge à Dahchour, des structures méconnues.
A côté de la thermographie infrarouge et de la reconstruction en 3D, l’équipe a ouvert un autre champ de vision, particulièrement fascinant : il s’agit d’utiliser des particules cosmiques, les muons qui tombent en permanence sur la terre et sont capables de franchir des roches de grande épaisseur, pour radiographier les monuments en profondeur.
C’est ainsi que durant quarante jours entre janvier et février 2016 , l’équipe du professeur Kunihiro Morishima, de l’Université de Nagoya (Japon) a placé quarante capteurs à muons à base d’émulsions chimiques dans la chambre basse de la pyramide rhomboïdale. Les résultats sont en fin d’analyse et montrent d’ores et déjà que la technique fonctionne bien pour des monuments aussi massifs que les pyramides.
Les détecteurs doivent être installés dans les sables du désert égyptien avant la fin du mois
Le CEA, et plus particulièrement l’Ifru (Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’univers), vient aujourd’hui plus que compléter le dispositif. Car son équipe, menée par Sébastien Procureur, chargé de mission scientifique, a mis au point spécialement pour ScanPyramids des télescopes à muons d’un tout nouveau type, adaptés de détecteurs utilisés dans des expériences de physique des hautes énergies : les Micromégas.
Inventés et perfectionnés dans les laboratoires de Saclay, ils sont à base de gaz, plus précisément d’argon : en traversant les capteurs, les muons ionisent le gaz et génèrent des paires électron-ion qui permettent de suivre leur trajectoire (lire encadré technique ci-dessous).
"L’un des objectifs de ScanPyramids est d’offrir un terrain d’expérimentation et d’évolution à des technologies innovantes qui, pour certaines, sortent tout juste des laboratoires de recherche, explique Mehdi Tayoubi, co-directeur de la mission ScanPyramids. Nous sommes très excités à l’idée d'accueillir l'équipe de Sébastien Procureur : il m'a avoué avoir rêvé, enfant, de fabriquer des lunettes pour voir à travers les pyramides alors qu’il lisait une bande dessinée".
Trois détecteurs sont en cours d’assemblage et de test dans les laboratoires de l’Ifru. Tous devraient découvrir les sables du désert égyptien avant la fin du mois d’avril 2016. Le premier embarquera à destination du Caire la semaine prochaine.
Les membres de l’équipe l’ont baptisé Alvarez… Du nom de Luis Walter Alvarez, prix Nobel de physique américain, spécialiste des rayons cosmiques qui, dans les années 60 entreprit … de percer les mystères de Khéphren grâce aux muons ! Finalement physique fondamentale et pyramides étaient faits pour se retrouver !
LA TECHNIQUE DU TELESCOPE. 4 détecteurs Micromegas remplis d’un gaz à base d’argon sont assemblés en ligne sur une structure qui fera office de télescope. Les muons arrivent sur le premier. Ils ionisent l’argon, générant des paires électron-ion, qui sont captés par l’électronique de l’appareil via des micro-pistes en cuivre. Les muons poursuivent leur course à travers les trois détecteurs suivants.
A l’autre bout du télescope, un nano-PC enregistre les données brutes accumulées, à partir desquelles il calcule la position d’impact des muons sur les plaques. Ce préalcul permet d’alléger considérablement la quantité des données générées par le télescope, et de les transmettre par une simple clé 3G au laboratoire de Saclay où elles seront ensuite analysées afin de reconstituer la trajectoire des particules.
Grâce à des bouteilles d’argon, les détecteurs peuvent être rechargés, ce qui est parfois nécessaire, car le dispositif n'est pas complétement étanche. L’ensemble consomme très peu (30 W, l'équivalent d'une ampoule électrique !) et fonctionne grâce à une batterie du type de celles qui équipent les camions.
un traqueur de muons développé par le CEA va scruter les pyramides égyptiennes
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fantassin38 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"ieds-des-pyramides-egyptiennes.html#xtor=EPR-2-[SEADerMin]-20160415" target="_blank">http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/20160415.OBS8629/le-cea-auieds-des-pyramides-egyptiennes.html#xtor=EPR-2-[SEADerMin]-20160415
Le CEA au pied des pyramides égyptiennes
Par Aline Kiner
Le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives rejoint la campagne ScanPyramids dans son projet d'exploration des pyramides égyptiennes.
EXPLORATION. Le fleuron de la physique fondamentale français au pied des pyramides ! Qui l’aurait imaginé ? Cette rencontre improbable vient pourtant d’être officialisée :
ScanPyramids a annoncé ce vendredi 15 avril 2016 que le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives) la rejoignait dans son projet d’exploration des grands monuments funéraires de l’Egypte ancienne.
Depuis le 25 octobre 2015, ScanPyramids, une mission lancée par la faculté des ingénieurs de l’université du Caire et l’institut HIP (Heritage Innovation Preservation) sous l’autorité du ministère des Antiquités égyptien, mobilise des techniques high-tech non invasives afin de révéler, dans Kheops et Khéphren à Gizeh, la pyramide rhomboïdale et la pyramide rouge à Dahchour, des structures méconnues.
A côté de la thermographie infrarouge et de la reconstruction en 3D, l’équipe a ouvert un autre champ de vision, particulièrement fascinant : il s’agit d’utiliser des particules cosmiques, les muons qui tombent en permanence sur la terre et sont capables de franchir des roches de grande épaisseur, pour radiographier les monuments en profondeur.
C’est ainsi que durant quarante jours entre janvier et février 2016 , l’équipe du professeur Kunihiro Morishima, de l’Université de Nagoya (Japon) a placé quarante capteurs à muons à base d’émulsions chimiques dans la chambre basse de la pyramide rhomboïdale. Les résultats sont en fin d’analyse et montrent d’ores et déjà que la technique fonctionne bien pour des monuments aussi massifs que les pyramides.
Les détecteurs doivent être installés dans les sables du désert égyptien avant la fin du mois
Le CEA, et plus particulièrement l’Ifru (Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’univers), vient aujourd’hui plus que compléter le dispositif. Car son équipe, menée par Sébastien Procureur, chargé de mission scientifique, a mis au point spécialement pour ScanPyramids des télescopes à muons d’un tout nouveau type, adaptés de détecteurs utilisés dans des expériences de physique des hautes énergies : les Micromégas.
Inventés et perfectionnés dans les laboratoires de Saclay, ils sont à base de gaz, plus précisément d’argon : en traversant les capteurs, les muons ionisent le gaz et génèrent des paires électron-ion qui permettent de suivre leur trajectoire (lire encadré technique ci-dessous).
"L’un des objectifs de ScanPyramids est d’offrir un terrain d’expérimentation et d’évolution à des technologies innovantes qui, pour certaines, sortent tout juste des laboratoires de recherche, explique Mehdi Tayoubi, co-directeur de la mission ScanPyramids. Nous sommes très excités à l’idée d'accueillir l'équipe de Sébastien Procureur : il m'a avoué avoir rêvé, enfant, de fabriquer des lunettes pour voir à travers les pyramides alors qu’il lisait une bande dessinée".
Trois détecteurs sont en cours d’assemblage et de test dans les laboratoires de l’Ifru. Tous devraient découvrir les sables du désert égyptien avant la fin du mois d’avril 2016. Le premier embarquera à destination du Caire la semaine prochaine.
Les membres de l’équipe l’ont baptisé Alvarez… Du nom de Luis Walter Alvarez, prix Nobel de physique américain, spécialiste des rayons cosmiques qui, dans les années 60 entreprit … de percer les mystères de Khéphren grâce aux muons ! Finalement physique fondamentale et pyramides étaient faits pour se retrouver !
LA TECHNIQUE DU TELESCOPE. 4 détecteurs Micromegas remplis d’un gaz à base d’argon sont assemblés en ligne sur une structure qui fera office de télescope. Les muons arrivent sur le premier. Ils ionisent l’argon, générant des paires électron-ion, qui sont captés par l’électronique de l’appareil via des micro-pistes en cuivre. Les muons poursuivent leur course à travers les trois détecteurs suivants.
A l’autre bout du télescope, un nano-PC enregistre les données brutes accumulées, à partir desquelles il calcule la position d’impact des muons sur les plaques. Ce préalcul permet d’alléger considérablement la quantité des données générées par le télescope, et de les transmettre par une simple clé 3G au laboratoire de Saclay où elles seront ensuite analysées afin de reconstituer la trajectoire des particules.
Grâce à des bouteilles d’argon, les détecteurs peuvent être rechargés, ce qui est parfois nécessaire, car le dispositif n'est pas complétement étanche. L’ensemble consomme très peu (30 W, l'équivalent d'une ampoule électrique !) et fonctionne grâce à une batterie du type de celles qui équipent les camions.
un traqueur de muons développé par le CEA va scruter les pyramides égyptiennes
lol
je vois que tu es très bien renseignée !*
mais ce sont plusieurs méthodes qui seront employées pour découvrir un maximum de choses sur les pyramides et faire taire certaines rumeurs ou hoaxs !
il est dommage que cela n'avance pas très vite!
lol
et les résultats de toutes ces méthodes sont assez longs à analyser !
lol
donc à bientôt
et encore merci de suivre ce dossier !!
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http://www.maxisciences.com/archeologie/une-mysterieuse-sphere-geante-decouverte-en-bosnie-divise-les-scientifiques_art37682.html
Une mystérieuse sphère géante découverte en nie divise les scientifiques
Une sphère rocheuse d'un rayon compris entre 1,2 et 1,5 mètre suscite la controverse dans le monde de l'archéologie. Découverte dans une forêt de nie, elle serait selon un spécialiste, la preuve de l'existence d'une civilisation perdue il y a 1.500 ans. Une théorie qui ne manque pas de faire réagir.
Le scénario semble tout droit sorti d'un film d'Indiana Jones mais il pourrait être réel selon Semir Osmanagich.
En explorant une forêt près de la ville de Zavidovici en nie, cet archéologue est tombé sur une étrange structure : une sphère rocheuse massive enterrée dans le sol.
Au cours des semaines suivantes, il a peu à peu libéré la structure révélant un rayon compris entre 1,2 et 1,5 mètre.
Bien qu'une partie de la sphère reste encore enterrée, Semir Osmanagich a pu mener des observations préliminaires suggérant une composition particulièrement riche en fer et un âge d'au moins 1.500 ans.
Elle ont également permis d'estimer sa masse à près de 30 tonnes.
Plus que les dimensions de la sphère rocheuse, c'est son origine qui suscite aujourd'hui la controverse.
D'après l'archéologue, elle aurait été fabriquée par l'homme, ce qui pourrait faire d'elle la plus grosse sphère rocheuse d'origine humaine jamais découverte en Europe.
Mais Semir Osmanagich va encore plus loin. Une sphère fabriquée par l'homme ?
L'homme parfois surnommé "l'Indiana Jones bosnien" affirme que cette sphère pourrait prouver l'existence d'une ancienne civilisation avancée ayant vécu il y a plus de 1.500 ans dans cette région.
Une civilisation dont les archéologues n'auraient trouvé aucune trace écrite.
Cette théorie s'inspire notamment de l'exemple des sphères mégalithiques découvertes au Costa Rica.
On a trouvé plus de 300 de ces structures avec des dimensions variables en Amérique centrale.
On pense aujourd'hui qu'elles ont été sculptées par la culture préolombienne des Diquis entre 500 et 1500 ans après JC.
Ainsi, d'après Semir Osmanagich, auteur d'un article sur le site Piramidasunca.ba, la sphère découverte en nie pourrait avoir une origine similaire et ne serait pas unique.
Des dizaines voire des centaines auraient été produites. Mais nombre d'entre elles auraient été déplacées ou détruites par des habitants dans les années 1970 pensant qu'elles pourraient cacher de l'or, selon une légende locale.
Huit aurait été trouvées en nie. Si cette théorie s'avérait vraie, la nouvelle sphère serait plus vieille et plus massive que celles découvertes au Costa Rica.
Une théorie vivement contestée Cette théorie est cependant loin de convaincre tous les spécialistes.
Malgré les arguments de Semir Osmanagich, l'origine humaine de la sphère est vivement remise en question.
Pour certains, elle serait simplement l’œuvre de la nature.
Interrogée par le Daily Mail, Mandy Edwards de la School of Earth, Atmospheric and Environmental Sciences de l'Université de Manchester, a souligné que la sphère pourrait être le résultat d'un processus de concrétion.
Autrement dit, du matériau minéral naturel qui aurait précipité dans les cavités laissées dans les sédiments et se serait assemblé, formant une structure sphérique.
L'érosion aurait ensuite pu parfaire la forme de la sphère, comme c'est le cas des Moeaki Boulders, d'imposantes boules que l'on trouve sur une plage de Nouvelle-Zélande.
Plusieurs spécialistes jugent cette théorie plus crédible que celle de Semir Osmanagich.
Néanmoins, ce n'est pas la première fois que l'Indiana Jones bosnien est au cœur d'une controverse.
L'homme a déjà fait les gros titres en 2005 lorsqu'il a affirmé qu'un ensemble de collines situé dans la vallée Visoko en nie abritait en réalité des pyramides vieilles de 12.500 ans et dotées d'un réseau de tunnels souterrains.
Une théorie jugée "absurde" par de nombreux archéologues mais qui a tout de même mené au lancement de fouilles.
Publié par Émeline Ferard, le 20 avril 2016
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nie B O S N I E
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ieds-des-pyramides.php" target="_blank">http://www.lefigaro.fr/culture/2016/02/02/03004-20160202ARTFIG00030-egypte-un-bateau-antique-decouvert-auieds-des-pyramides.php
( et très belle photo)
Egypte : un bateau antique découvert aux pieds des pyramides
es restes relativement bien conservés d'un navire vieux de 4500 ans ont été trouvés au sud du Caire. Une «découverte remarquable» pour l'équipe d'archéologues.
Un trésor inestimable.
Les restes relativement bien conservés d'un bateau de 18 mètres vieux de quelque 4500 ans ont été découverts dans la nécropole des pyramides d'Abousir au sud du Caire, a annoncé ce lundi 1er février l'équipe d'archéologues tchèques à l'origine de cette «découverte remarquable».
Cette embarcation, enterrée sur un lit de pierres à proximité d'un mastaba (sépulture abritant traditionnellement des notables importants dans l'Égypte antique), devait «appartenir au propriétaire de la tombe, une personnalité au rang extraordinairement élevé», a commenté dans un communiqué du ministère égyptien des Antiquités le Tchèque Miroslav Barta, qui dirige la mission.
La sépulture «n'étant pas située immédiatement à côté d'une pyramide royale, le propriétaire du mastaba n'était probablement pas un membre de la famille royale», a poursuivi le texte, évoquant toutefois une «découverte remarquable(...) qui va contribuer à comprendre» les techniques de construction des bateaux dans l'Égypte antique et «leur place dans les rites funéraires».
2550 avant Jésus-Christ
«Car là où il y a un bateau, il pourrait bien y en avoir beaucoup d'autres», s'est enthousiasmé M. Barta, de l'Institut Tchèque d'Egyptologie, qui a prédit de nouvelles excavations dans la zone.
«Même si le bateau est situé à près de 12 mètres du mastaba (...), son orientation, sa taille et les poteries trouvées à l'intérieur montrent qu'il y a un lien évident entre cette tombe et l'embarcation, les deux datant de la toute fin de la IIIe ou du début de la IVe dynastie, soit 2550 avant Jésus-Christ», a précisé le communiqué du ministère.
«Les planches de bois étaient attachées les unes aux autres par des chevilles en bois qui sont toujours visibles dans leur position initiale», a expliqué le ministère des Antiquités.
«De manière extraordinaire, le sable du désert qui le recouvrait a préservé les matières végétales dont étaient recouverts les joints» et «certaines des cordes qui maintenaient la structure du bateau sont toujours en place», a-t-il précisé.
Quelques jours après la découverte d'une «Pompei britannique», dans l'est de l'Angleterre, cette nouvelle révélation archéologique remet encore une fois en question notre savoir de l'histoire dans l'Égypte antique.
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fantassin38 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"http://www.maxisciences.com/archeologie/une-mysterieuse-sphere-geante-decouverte-en-bosnie-divise-les-scientifiques_art37682.html
Une mystérieuse sphère géante découverte en nie divise les scientifiques
Une sphère rocheuse d'un rayon compris entre 1,2 et 1,5 mètre suscite la controverse dans le monde de l'archéologie. Découverte dans une forêt de nie, elle serait selon un spécialiste, la preuve de l'existence d'une civilisation perdue il y a 1.500 ans. Une théorie qui ne manque pas de faire réagir.
Le scénario semble tout droit sorti d'un film d'Indiana Jones mais il pourrait être réel selon Semir Osmanagich.
En explorant une forêt près de la ville de Zavidovici en nie, cet archéologue est tombé sur une étrange structure : une sphère rocheuse massive enterrée dans le sol.
Au cours des semaines suivantes, il a peu à peu libéré la structure révélant un rayon compris entre 1,2 et 1,5 mètre.
Bien qu'une partie de la sphère reste encore enterrée, Semir Osmanagich a pu mener des observations préliminaires suggérant une composition particulièrement riche en fer et un âge d'au moins 1.500 ans.
Elle ont également permis d'estimer sa masse à près de 30 tonnes.
Plus que les dimensions de la sphère rocheuse, c'est son origine qui suscite aujourd'hui la controverse.
D'après l'archéologue, elle aurait été fabriquée par l'homme, ce qui pourrait faire d'elle la plus grosse sphère rocheuse d'origine humaine jamais découverte en Europe.
Mais Semir Osmanagich va encore plus loin. Une sphère fabriquée par l'homme ?
L'homme parfois surnommé "l'Indiana Jones bosnien" affirme que cette sphère pourrait prouver l'existence d'une ancienne civilisation avancée ayant vécu il y a plus de 1.500 ans dans cette région.
Une civilisation dont les archéologues n'auraient trouvé aucune trace écrite.
Cette théorie s'inspire notamment de l'exemple des sphères mégalithiques découvertes au Costa Rica.
On a trouvé plus de 300 de ces structures avec des dimensions variables en Amérique centrale.
On pense aujourd'hui qu'elles ont été sculptées par la culture préolombienne des Diquis entre 500 et 1500 ans après JC.
Ainsi, d'après Semir Osmanagich, auteur d'un article sur le site Piramidasunca.ba, la sphère découverte en nie pourrait avoir une origine similaire et ne serait pas unique.
Des dizaines voire des centaines auraient été produites. Mais nombre d'entre elles auraient été déplacées ou détruites par des habitants dans les années 1970 pensant qu'elles pourraient cacher de l'or, selon une légende locale.
Huit aurait été trouvées en nie. Si cette théorie s'avérait vraie, la nouvelle sphère serait plus vieille et plus massive que celles découvertes au Costa Rica.
Une théorie vivement contestée Cette théorie est cependant loin de convaincre tous les spécialistes.
Malgré les arguments de Semir Osmanagich, l'origine humaine de la sphère est vivement remise en question.
Pour certains, elle serait simplement l’œuvre de la nature.
Interrogée par le Daily Mail, Mandy Edwards de la School of Earth, Atmospheric and Environmental Sciences de l'Université de Manchester, a souligné que la sphère pourrait être le résultat d'un processus de concrétion.
Autrement dit, du matériau minéral naturel qui aurait précipité dans les cavités laissées dans les sédiments et se serait assemblé, formant une structure sphérique.
L'érosion aurait ensuite pu parfaire la forme de la sphère, comme c'est le cas des Moeaki Boulders, d'imposantes boules que l'on trouve sur une plage de Nouvelle-Zélande.
Plusieurs spécialistes jugent cette théorie plus crédible que celle de Semir Osmanagich.
Néanmoins, ce n'est pas la première fois que l'Indiana Jones bosnien est au cœur d'une controverse.
L'homme a déjà fait les gros titres en 2005 lorsqu'il a affirmé qu'un ensemble de collines situé dans la vallée Visoko en nie abritait en réalité des pyramides vieilles de 12.500 ans et dotées d'un réseau de tunnels souterrains.
Une théorie jugée "absurde" par de nombreux archéologues mais qui a tout de même mené au lancement de fouilles.
Publié par Émeline Ferard, le 20 avril 2016
hello
difficile de se faire une vraie opinion sur ces découvertes !
surtout avec le nombre de soi-disantes preuves de ceci ou cela !!
il est certain que des découvertes de ce type resteront un mystère encore pour de nombreuses années !
la nature? elle a déjà feit tellement de belles choses !
les hommes ? aussi ..
alors ?????
pas facile de dire !!
je suis trop cartésien pour élucubrer !!
lollll
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fantassin38 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "sibelius"ieds-des-pyramides.php" target="_blank">http://www.lefigaro.fr/culture/2016/02/02/03004-20160202ARTFIG00030-egypte-un-bateau-antique-decouvert-auieds-des-pyramides.php
( et très belle photo)
Egypte : un bateau antique découvert aux pieds des pyramides
es restes relativement bien conservés d'un navire vieux de 4500 ans ont été trouvés au sud du Caire. Une «découverte remarquable» pour l'équipe d'archéologues.
Un trésor inestimable.
Les restes relativement bien conservés d'un bateau de 18 mètres vieux de quelque 4500 ans ont été découverts dans la nécropole des pyramides d'Abousir au sud du Caire, a annoncé ce lundi 1er février l'équipe d'archéologues tchèques à l'origine de cette «découverte remarquable».
Cette embarcation, enterrée sur un lit de pierres à proximité d'un mastaba (sépulture abritant traditionnellement des notables importants dans l'Égypte antique), devait «appartenir au propriétaire de la tombe, une personnalité au rang extraordinairement élevé», a commenté dans un communiqué du ministère égyptien des Antiquités le Tchèque Miroslav Barta, qui dirige la mission.
La sépulture «n'étant pas située immédiatement à côté d'une pyramide royale, le propriétaire du mastaba n'était probablement pas un membre de la famille royale», a poursuivi le texte, évoquant toutefois une «découverte remarquable(...) qui va contribuer à comprendre» les techniques de construction des bateaux dans l'Égypte antique et «leur place dans les rites funéraires».
2550 avant Jésus-Christ
«Car là où il y a un bateau, il pourrait bien y en avoir beaucoup d'autres», s'est enthousiasmé M. Barta, de l'Institut Tchèque d'Egyptologie, qui a prédit de nouvelles excavations dans la zone.
«Même si le bateau est situé à près de 12 mètres du mastaba (...), son orientation, sa taille et les poteries trouvées à l'intérieur montrent qu'il y a un lien évident entre cette tombe et l'embarcation, les deux datant de la toute fin de la IIIe ou du début de la IVe dynastie, soit 2550 avant Jésus-Christ», a précisé le communiqué du ministère.
«Les planches de bois étaient attachées les unes aux autres par des chevilles en bois qui sont toujours visibles dans leur position initiale», a expliqué le ministère des Antiquités.
«De manière extraordinaire, le sable du désert qui le recouvrait a préservé les matières végétales dont étaient recouverts les joints» et «certaines des cordes qui maintenaient la structure du bateau sont toujours en place», a-t-il précisé.
Quelques jours après la découverte d'une «Pompei britannique», dans l'est de l'Angleterre, cette nouvelle révélation archéologique remet encore une fois en question notre savoir de l'histoire dans l'Égypte antique.
sniff ton lien est inactif
dommage !!
mais j'espère que l'on continuera à faire des découvertes de ce type afin de mieux comprendre cette civilisation tres en avance !!
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ieds-des-pyramides.php" target="_blank">http://www.lefigaro.fr/culture/2016/02/02/03004-20160202ARTFIG00030-egypte-un-bateau-antique-decouvert-auieds-des-pyramides.php
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Égypte : un bateau antique découvert aux pieds des pyramides
voici le titre ...
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