" Coup de théâtre en France : en 2022, Macron a livré 640 millions d’euros d’armements militaires à l’Ukraine "
27 juillet 2023
" Le coût de la guerre en Ukraine aura été extrêmement lourd pour les pays membres de l’Union Européenne. Et la France ne déroge pas à la règle. En effet, après un an et demi de guerre entre Kiev et Moscou, Paris fait le bilan de son aide militaire accordée à l’armée ukrainienne. Et la facture est déjà très salée, comme le rapporte le média La Tribune.
A en croire cette source très fiable, en 2022 (année où la guerre a été déclenchée par Vladimir Poutine), la France a livré à l’Ukraine 640,5 millions d’euros de matériels militaires. Le média français dit tenir sa source d’un rapport du parlement sur les exportations d’armement de 2022 de la France.
« La France a livré à l’Ukraine pour 640,5 millions d’euros d’armements en 2022, selon le rapport du ministère des Armées au Parlement sur les exportations d’armement de 2022 de la France, dont La Tribune a obtenu une copie. Cette évaluation, a précisé le rapport, a été établie en tenant compte des méthodes utilisées dans le cadre de la Facilité européenne de Paix (FEP) de l’Union européenne (UE) », renseigne le média français.
Cette information risque de déclencher une vive polémique en France où la grogne populaire a été très virulente contre Emmanuel Macron que beaucoup d’o pposants accusent d’avoir plongé le pays dans un marasme économique sans précédent. Cette colère sociale a été exacerbée par une inflation qui a miné les ménages et qui n’a pas encore pris fin. "
" Voilà ce que le Berlinois découvre ce matin dans son journal...
Un énorme mensonge à la Une ! Et non la chaleur tue 10 fois moins que le froid ! Comment osent-ils ?
Et ensuite quand ce même Berlinois, sort de chez lui, c'est avec un pull et un parapluie !
Voilà où en sont les médias mensongers !!!! "
" NON, MACRON NE « RÉINDUSTRIALISE » PAS LA FRANCE (C'EST MÊME LE CONTRAIRE !) "
0:00 Introduction : Un héros incompris ?
4:45 Rappels économiques essentiels
10:38 Macron, champion de l'industrie ?
15:03 Des efforts qui portent leurs fruits ?
18:53 Un premier mensonge : « l'attractivité » de la France
26:29 Créations d'usines : un chiffre dépourvu de sens
27:44 Emplois industriels : un bilan mitigé...
31:40 ...qui masque d'étonnantes disparités
36:21 L'arnaque ultime : 3 emplois créés sur 4 sont des contrats d'alternance !
40:52 Les vrais chiffres de l'industrie : une chute qui continue
48:07 Gaspillage ou détournement d'argent public ?
54:40 Les raisons de la désindustrialisation
1:05:15 Une vraie politique de réindustrialisation est-elle possible (spoiler : oui)
1:12:32 La France et ses ennemis
1:18:39 Conclusion : Reprendre le contrôle de la production ou mourir
" Les services secrets américains manipulent Wikipédia depuis plus d’une décennie : Cofondateur de Wiki "
Publié 4 août 2023
" Le cofondateur de Wikipédia a révélé une bombe concernant les soupçons de longue date d’ingérence et de manipulation des services de renseignement américains sur l’encyclopédie en ligne collaborative la plus connue au monde. Le cofondateur du site, Larry Sanger, s’est entretenu avec le journaliste Glenn Greenwald dans le cadre de son podcast « System Update » et a décrit les efforts connus des services de renseignement américains en matière de « guerre de l’information », qui ont, dans une certaine mesure, fait de Wikipédia un outil de « contrôle » de l’État profond gaucho-libéral de Washington.
Certains observateurs qui ont longtemps surveillé et soigneusement documenté l’implication du gouvernement américain dans les principales plateformes de médias sociaux, ainsi que dans Wikipédia elle-même, ont déclaré : « La CIA dirige Wikipédia, quelle surprise ! Lors de l’émission de Greenwald, Sanger a affirmé : « Nous avons des preuves que, dès 2008, des ordinateurs de la CIA et du FBI ont été utilisés pour éditer Wikipédia », avant de poser la question suivante : « Pensez-vous qu’ils ont arrêté de le faire à cette époque ? » "
" Scandale Covid en France : Macron et Véran avaient menti sur le chiffre de 99% de vaccinés dans les Ehpad "
9 août 2023
" Une information à ne jamais oublier!
En pleine pandémie, Emmanuel Macron et son ministre de la Santé, Olivier Véran, avaient été pris en flagrant délit de mensonge après avoir estimé à 99% le nombre de personnes vaccinées dans les Ehpad. Ce chiffre est faux et a été démenti par Santé Publique France
Macron qui mène une guerre sans merci contre les Fakes News a-t-il diffusé une Fausse Information par inadvertance? Telle est la question qui se pose et la réponse semble être : « oui ». En effet, le 30 avril 2021, le président de la République s’est réjoui, dans un twitte, que 99% des résidents des EHPAD aient été vaccinés.
Olivier Véran: « Nous avons vacciné quasiment 100% des résidents de maisons de retraite médicalisées » pic.twitter.com/PPWdezH1LC
— BFMTV (@BFMTV) April 16, 2021
Mais, en réalité, ce chiffre est totalement faux. Car, Santé Publique France qui l’avait fourni reconnaît que les données ont été « surestimées ». « On suspecte fortement que les données étaient surestimées, ce qui nous a conduit à suspendre cette publication », a expliqué Sophie Vaux, épidémiologiste à Santé publique France, lors du point presse hebdomadaire de l’agence.
BFMTV qui relaie l’information explique : « la raison de ce ‘problème de qualité des donnée’: dans la base Vaccin Covid, où sont entrées les données de toutes les personnes vaccinées en France, les résidents des Ehpad ‘ne sont pas identifiés en tant que tels ». Santé publique France incluait donc toutes les personnes de plus de 65 ans vaccinées dans ces établissements (y compris les non-résidents) dans le calcul de la couverture vaccinale des résidents d’Ehpad ».
Santé Publique France promet de revoir ces estimations afin de fournir des chiffres plus proches de la réalité. Pendant ce temps, on peut parler d’une erreur fatale pour Emmanuel Macron et son ministre de la Santé qui ont ainsi relayé ce chiffre sans avoir vérifié sa véracité. Une faille qui pourrait être exploitée par l&rsquoposition pour accabler un gouvernement déjà très affaibli par la crise. "
" Atroce témoignage du docteur Charbonier : comment Macron a ordonné de tuer vieux et fragiles "
29 avril 2020
" ATTENTION
Certains mettront en doute ce témoignage parce que le docteur Charbonier aurait été condamné avec sursis à une radiation de 3 mois de l’Ordre des Médecins pour “dérive sectaire”. Le malheureux croit en une vie après la mort, il organiserait ou aurait organisé des séances de spiritisme (Hugo le faisait aussi, soit dit en passant, Hugo a dialogué avec Eschyle, avec Homère, avec Shakespeare….ce n’est pas pour autant qu’il était fou ni infréquentable).
L’on m’a conseillé de retirer cette video en disant qu’au vu de la réputation du bonhomme elle pourrait nuire à RR. Je la maintiens contre vent et marées, parce que ce que croient ou ne croient pas les gens les regarde et n’a aucune incidence sur leur analyse des choses et leurs compétences de médecin.
Le 19 mars, le gouvernement a ordonné qu’on n’admette plus en réanimation vieux et fragiles…
Cette interview du docteur Charbonnier, anesthésiste-réanimateur à Toulouse, fait froid dans le dos. On en parlait, on s’en doutait, on l’a déjà écrit mais entendre le témoignage sur le terrain de ce médecin ça donne un coup au moral. Mais, surtout, cela interpelle sur la collusion medias, médecins, politiques de tous bords quant à leur silence sur cette abomination. Qui ne dit rien consent… Nixon est tombé pour infiniment moins que cela… Bill Clinton a failli être démis de ses fonctions pour infiniment moins que cela et nous, en France, au pays de 1789, on laisserait faire, on laisserait impunis de tels crimes ? Bien sûr, de nombreuses plaintes ont été déposées contre le gouvernement, ce qui, paraît-il, rend Macron fou furieux, mais ce silence complice quotidien face à cette horreur est sidérant, scandaleux, impardonnable.
Il faut ajouter que, pour nombre de journaleux indignes, il ne s’agit même pas de silence complice, il s’agit d’aide active à l’assassinat puisque nombre de medias ont lancé le plan “fake news” pour aider le gouvernement. "
" Éthique. Notre ADN peut être récupéré partout où nous passons, les experts s’inquiètent
Les recherches sur l’ADN environnemental – ce matériel génétique que tout être vivant laisse derrière lui – ont permis des progrès dans le suivi de la vie sauvage, par exemple. Mais les scientifiques glanent au passage quantités d’informations sur les humains, ce qui soulève des questions éthiques. “The New York Times” pose les termes du débat qui doit avoir lieu. "
Publié le 23 août 2023
" Au départ, David Duffy, généticien spécialiste de la faune sauvage à l’université de Floride, voulait juste trouver un meilleur moyen de suivre dans le temps les pathologies des tortues de mer. Et partout où il cherchait, il tombait sur de l’ADN humain.
Ces dix dernières années, les chercheurs spécialisés dans la vie animale ont affiné les techniques de récupération d’ADN environnemental (ADNe), autrement dit les traces de matériel génétique que tout être vivant laisse derrière lui. Outil puissant et bon marché apprécié des écologues, l’ADN environnemental est omniprésent : il flotte dans l’air, traîne dans l’eau, la neige, le miel et même sur votre tasse de thé.
Il a permis de détecter la présence d’espèces envahissantes avant qu’elles ne prennent le dessus, de suivre l’évolution de populations d’animaux sauvages vulnérables ou mystérieuses, et même de redécouvrir des espèces que l’on croyait disparues. La technologie de l’ADNe est également utilisée dans les systèmes de surveillance des eaux usées pour contrôler le virus responsable du Covid et d’autres agents pathogènes.
Mais les scientifiques qui y ont recours récupèrent incidemment des grandes quantités d’ADN humain. Pour eux, c’est un élément polluant, une collecte accidentelle, qui brouille leurs données. Mais que se passerait-il si certains s’avisaient de collecter exprès de l’ADNe humain ?
Menaces sur la vie privée et les libertés civiles
Selon Erin Murphy, professeure à la faculté de droit de l’université de New York et spécialiste de l’utilisation des nouvelles technologies dans la justice pénale, les nouvelles techniques de collecte d’ADN sont “du pain bénit” pour les forces de l’ordre. La police se hâte bien souvent d’adopter des outils qui n’ont pas fait leurs preuves, comme l’exploitation de l’ADN, pour créer des portraits-robots de suspects fondés sur les probabilités.
Cela peut poser des problèmes en termes de protection de la vie privée et des libertés civiles, d’autant plus que, grâce aux progrès technologiques, on est capable de recueillir davantage d’informations à partir d’échantillons d’ADN environnemental de plus en plus petits. David Duffy et ses collègues ont utilisé une technologie à la portée de tous et de toutes les bourses pour voir quelles informations ils pouvaient tirer de l’ADN humain récupéré dans différents environnements, comme les cours d’eau et l’air intérieur.
On apprend dans le compte rendu de leurs recherches, publié le 15 mai dans la revue Nature Ecology & Evolution, qu’ils ont ainsi réussi à récupérer des informations médicales et généalogiques à partir d’infimes fragments d’ADN humain présents dans l’environnement.
Les éthiciens de la médecine légale et les spécialistes du droit estiment que les conclusions de l’équipe de Floride rendent d’autant plus urgente l’instauration d’une réglementation complète protégeant la vie privée dans le domaine génétique. Pour les chercheurs, ces résultats mettent également en évidence une distorsion des règles relatives à ces techniques aux États-Unis, où il est plus facile pour des forces de l’ordre d’appliquer une nouvelle technologie balbutiante que pour des chercheurs d’obtenir l’autorisation de mener des études visant simplement à la valider. "
" Hausse de la franchise médicale : à la croisée des chemins "
Publié le 30 août 2023
" L'exécutif doit présenter fin septembre le projet de loi de finances pour 2024. Toujours en quête d’économies pour l'élaboration de son prochain budget, le gouvernement a annoncé envisager une hausse de la franchise médicale. C’est, avec les arrêts maladie et les soins dentaires, la troisième piste d’économie sur les dépenses de santé identifiée par . Quel est le but de cette mesure et quel sera son impact sur les assurés sociaux ?
Qu’est-ce que la franchise médicale ?
Créée en 2008 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, la franchise médicale vise à établir une participation du patient lorsqu’il se voit prodiguer des soins ou dispenser des médicaments par un pharmacien.
Cette franchise est de 50 centimes d'euros par boîte de médicament et acte paramédical et 2 euros par transport sanitaire. Le montant total qu’un assuré peut être amené à débourser est cependant plafonné à 50 euros par an et par assuré.
Dans sa proposition, le gouvernement propose de doubler les montants de ces franchises. Ce relèvement pourrait aussi concerner la "participation forfaitaire" qui s’applique chez le médecin, qui passerait de 1 à 2 euros. Le gouvernement envisage aussi d’étendre la franchise aux dispositifs médicaux comme les pansements ou béquilles, jusqu’alors exemptés. Un doublement des plafonds annuels est également à l’étude.
Quel effet sur la consommation de soins ?
Cette mesure permettrait de responsabiliser d’avantage les assurés sociaux. Cependant, selon la présidente du syndicat de médecin MG France, s’attaquer aux franchises "est totalement inégalitaire" et revient à "faire payer les plus modestes, les plus malades". Si certains sont exonérés, "tous ceux qui sont à peine au-dessus des seuils", déjà frappés par l’inflation, risquent de "renoncer aux soins". Précisons tout de même que les mineurs, les femmes enceintes, les bénéficiaires de la complémentaire sociale solidaire et de l'Aide Médicale d’État en sont déjà exonérés. "
" Ivan Illich – Extrait de conférence « La médecine finit par étouffer la santé » "
29 août 2023
" Ivan Illich était un critique féroce de l’industrialisation qui asservit l’humain et un penseur qui appelait à une « société conviviale ». Il a joué un rôle majeur dans l’élaboration de la pensée écologiste durant les années 70 et a écrit plusieurs ouvrages importants, tels que “Libérer l’avenir”, “Une société sans école”, “Énergie et équité”, “La Convivialité”, “Némésis médicale” et "Le Chômage créateur".
" Les Nations unies publient la version finale d’une déclaration visant à lutter contre la « mésinformation » et soutiennent le traité de l’OMS sur les pandémies "
Publié 3 septembre 2023 ·
" L’Organisation des Nations Unies (ONU) n’est pas une adepte de la liberté d’expression et l’un de ses projets visant à « lutter » contre la « mésinformation, la désinformation, le discours de haine et la stigmatisation » est sur le point d’être finalisé.
Cette organisation intergouvernementale non élue, qui exerce une influence considérable sur ses 193 États membres, a récemment publié le projet final de déclaration politique de la réunion de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations unies sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie.
Le projet final contient plusieurs accords de chefs d’État et de gouvernement visant à réprimer les discours légitimes. En outre, ces chefs d’État et de gouvernement se sont engagés à soutenir deux instruments qui donneront à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) des Nations unies des pouvoirs accrus pour cibler la « mésinformation » et développer ses réseaux de surveillance.
Ces instruments, le traité international sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (2005), sont en cours d’élaboration depuis 2021 et, malgré d’importants obstacles, devraient être achevés d’ici mai 2024.
Le projet final de cette déclaration politique est en cours d’élaboration pour la réunion de haut niveau des Nations unies sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie, qui aura lieu le 20 septembre 2023 à New York. La déclaration politique décrite dans ce projet sera finalisée lors de cette réunion.
Bien que les déclarations politiques des Nations unies ne soient généralement pas juridiquement contraignantes, elles exercent une influence juridique importante. Selon les Nations unies, les déclarations « représentent le développement dynamique des normes juridiques internationales et reflètent l’engagement des États à aller dans certaines directions, en respectant certains principes ».
Les mesures proposées pour réprimer les discours sont décrites dans plusieurs sections du projet final de cette déclaration politique.
Dans la section OP35, les chefs d’État et de gouvernement conviennent de « prendre des mesures pour contrer et traiter les impacts négatifs de la mésinformation, de la désinformation, des discours de haine et de la stigmatisation liés à la santé, en particulier sur les plateformes de médias sociaux » et de contrer « l’hésitation vaccinale dans le contexte de la prévention, de la préparation et de la réponse aux pandémies. » En outre, la section OP42 comprend un accord pour lutter contre la « mésinformation ».
Les États membres de l’ONU soutiennent le traité sur la pandémie dans la section OP15 et acceptent d’encourager l’organe intergouvernemental de négociation (le groupe responsable de la rédaction et de la négociation du traité sur la pandémie) à conclure ses négociations sur la « convention, l’accord ou tout autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie » (le nom complet du traité de l’OMS sur la pandémie).
Non seulement les États membres de l’ONU soutiennent explicitement le traité sur la pandémie et font pression pour qu’il soit finalisé, mais ils encouragent également l’Organe intergouvernemental de négociation (OIN) à donner la priorité au « besoin d’équité ». L’équité est présentée par ses partisans comme quelque chose qui encourage la justice, mais les critiques ont mis en garde contre le fait que les politiques d’équité peuvent conduire à des préjugés et à l’injection d’une « idéologie radicale ».
Le soutien aux amendements du Règlement sanitaire international (RSI) est contenu dans la section OP16 du projet final. Cette section encourage le groupe de travail qui se concentre sur ces amendements à poursuivre ses travaux en respectant la date de finalisation prévue, à savoir mai 2024.
Cette déclaration politique est l’une des nombreuses façons dont les Nations unies resserrent leur emprise sur la parole. Rien que cette année, elle a commencé à créer une « armée numérique » pour lutter contre la « désinformation mortelle », encouragé les gens à se dénoncer les uns les autres pour « discours de haine » et prétendu que la censure de la « désinformation » et des « discours haineux » protégerait la « liberté d’expression ».
Les Nations unies ont également consulté plusieurs gouvernements et blocs sur leur travail de censure. Elle a notamment participé à de multiples « sessions de désinformation » avec une agence de censure du gouvernement britannique et a tenu des discussions avec l’Union européenne sur la manière de traiter la « désinformation » sur les plateformes numériques.