" Gilbert Deray devant une loge maçonnique :
"on vit un instant tout à fait Historique [...] le nombre de mort on s'en fout, on les aura oublié demain matin si ce n'est pas déjà fait"
Et il continue mais faut l'écouter pour le croire "
Références en français:
= Adieu à la Virologie (Edition Experte) 2022 v1 -- Dr. Mark Bailey
https://odysee.com/@ObjetsPerdus:2/Adieu-%C3%A0-la-Virologie-(Edition-Experte)-2022v1_Dr.-Mark-Bailey:a
= 2022-07-14 - Règlement du Débat sur le Virus - Dr Mark Bailey et Al.
https://odysee.com/@ObjetsPerdus:2/2022-07-14reglement-du-debat-sur-le-virus(v1-2023)_fr-fr:e
Références en anglais:
= “Gain of Function Gaslighting”, Dr Sam Bailey, 30 Jun 2021
https://drsambailey.com/resources/videos/covid-19/gain-of-function-gaslighting/
= “A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence”, Nature Medicine, 9 Nov 2012
https://www.nature.com/articles/nm.3985
Relecture de traduction, mise en video sous-titrage & narration, édition & publication: 12 heures.
= Source:
https://odysee.com/@drsambaileyWhy-ALL-%E2%80%9Cviruses%E2%80%9D-originate-in-laboratories:b
" LE COVID N'EST PAS UN VIRUS MAIS UNE BACTERIE
La stupéfiante découverte des médecins italiens
Passant outre l'étrange interdiction d'autopsier les morts attribués au nouveau coronavirus, décision étrange dans le cas d'une maladie émergente, les médecins italiens ont découverts la véritable origine du covid, et ont changé leur protocole de soins! A lire absolument: l'interview du Dr Palma dans le quotidien de Parme, publiée en avril.
Le Dr Gianpaolo Palma
Covid 19, un espoir italien - Le Quotidien de Naples - samedi 18 avril 2020
Une découverte attribuée faussement au professeur Sandro Giannini est finalement celle d’un autre éminent italien, directeur de la santé du Centre des maladies cardiovasculaires de Parme et ancien spécialiste à l’Université de Parme, le Dr Giampaolo Palma.
Cette video met en parallèle la présentation de l'article ci-dessous et les propos du Dr Kyle-Sidell, urgentiste à New-York, dans les débuts de l'épidémie...
nouslepeuple.c4.fr
Dossiers et documents/Urgent/ 3eme page
Voici une mise à jour de ses propos relayés dans le Quotidien de Naples
"Chers amis,
Je ne veux pas vous paraître excessif, mais je pense qu’aujourd’hui, enfin, la cause de la létalité du Covid-19 est peut-être presque certaine.
Mes vingt ans d’expérience en échocardiographie et en cardiologie interventionnelle - échographie doppler vasculaire, en tant que directeur du Centre de thrombose-coagulation, avec des procédures sur plus de 200 000 patients cardiopathes et non cardiopathes, me font confirmer ce que certains collègues avaient commencé à spéculer jusqu’à il y a quelques jours sans être certains.
Aujourd’hui, nous disposons des premières données issues des découvertes anatomo-pathologiques de tissus pulmonaires prélevés sur les premiers patients décédés.
Les patients vont en réanimation pour une thrombo-embolie veineuse généralisée, en particulier une thrombo-embolie pulmonaire TEP. "
" Covid-19 : et maintenant, la censure des avocats ! Débriefing avec Me Gloriane Blais "
Publié le 24 novembre 2023
VIDÉO
" Nous recevons Gloriane Blais, avocate durant 23 ans au Québec dans les domaines du droit à la santé et de la corruption. Elle est aujourd’hui radiée du Barreau québecois pour avoir pris la défense de ses clients pendant la crise sanitaire. Le 8 février 2022, nous écrivions dans nos colonnes que "Me Blais avait récupéré en appel le dossier judiciaire d’un père de famille qui exprimait ses inquiétudes quant au fait que ses enfants doivent se faire vacciner. La justice a tôt fait de refuser la procédure d'appel au corps défendant, et l'administration va même jusqu'à remettre en question le titre d'avocat de Me Blais". Sa situation n’est pas sans rappeler ce qui se passe en France pour les médecins qui ont soigné pendant le Covid et ont été suspendus par le Conseil de l’ordre des médecins pour charlatanisme.
« Si un avocat ne peut plus plaider la perspective de son client pour le bien de la société, qu’il ait raison ou non, c’est un déni d’une société libre et démocratique »
Elle paye au prix fort ses positions et vient dénoncer cette censure qui touche les avocats défendant les droits des individus. Si Me Blais n’a pas de soutiens officiels, nombre de ses confrères la soutiennent en privé et partagent leur crainte d'être radié du barreau s'ils s'exprimaient.
Glorian Blais nous explique sa stratégie et comment elle continue son combat malgré sa radiation du barreau. "
" Un appel de Vincent Lindon : « Comment ce pays si riche… » "
" Le comédien a confié à Mediapart une longue réflexion, lue face caméra chez lui, sur ce que la pandémie révèle du pays qui est le nôtre, la France, sixième puissance mondiale empêtrée dans le dénuement (sanitaire), puis le mensonge (gouvernemental) et désormais la colère (citoyenne). Un texte puissamment politique, avec un objectif : ne pas en rester là. "
" Bronchiolite : Pfizer développe un "vaccin maternel" en dissimulant les risques pour le bébé "
Publié le 23 novembre 2023
" Développé entre 2019 et 2023 afin de lutter contre la bronchiolite des nouveaux-nés, Pfizer a obtenu les autorisations de mise sur le marché pour son vaccin "Abrysvo". Une enquête de Blast, menée conjointement avec le British Medical Journal (BMJ), montre que le géant pharmaceutique a (encore ?) dissimulé les risques de son produit.
Le nouveau gagne-pain des laboratoires aura été de faire croire aux mamans que la bronchiolite est une catastrophe, alors que c'est une maladie respiratoire souvent bénigne pour les bébés français. Il s'agirait donc de se faire vacciner pour protéger son nouveau-né.
Je l'aime, je le protège
C'est là que le produit "Abrysvo" de Pfizer entre en jeu. La phase 2 de l’essai clinique a débuté en août 2019, la phase 3 en juin 2020. Comme le rapporte Blast, l’essai portait sur 14 763 personnes réparties dans plus de 400 centres de 18 pays. 45 % des volontaires sont Américaines, et c'est compréhensible, puisqu'il y avait 1 000 dollars à la clé.
Trois ans plus tard, en juin 2023, la Food and Drug Administration (FDA) autorise la vente du vaccin via une procédure accélérée, en conseillant aux femmes enceintes d'attendre au moins la 32e semaine de grossesse. Sur ses talons, l'EMA (Agence européenne des médicaments) décide quant à elle que la 24ᵉ semaine suffira. Le vaccin devrait être disponible en France dès l'hiver 2024.
Pas de bénéfices et beaucoup de risques
Le hic, c'est que le Dr Peter Selley a fouillé les essais cliniques de Pfizer et dévoilé la fraude. Non seulement le vaccin est moins performant que son fabricant peut l'assurer, mais il double les risques de prématurité. Or les naissances prématurées présentent de nombreux risques pour la santé des nourrissons, tels que le développement de virus... respiratoires. Aussi, les cas de jaunisses explosent chez les prématurés. "Toutes les données montrent que la mortalité des personnes nées prématurément reste plus élevée que la moyenne, tout au long de leur vie.", explique le chercheur.
Ces résultats, le laboratoire les a dissimulés en s'arrangeant avec la présentation des chiffres. Tout comme il a dénaturé les bénéfices sur la mortalité : "Le fabricant revendique un risque de VRS diminué de 82 % pour le bébé, précise Peter Selley, mais c’est un risque relatif. Si l’on calcule le risque absolu, on tourne autour de – 0,5 %."
Tout ceci est d'autant plus scandaleux qu'en février 2022, le laboratoire britannique GSK a été contraint d'arrêter ses essais cliniques pour un vaccin très similaire, justement parce qu'il présentait des risques... similaires. Déjà, on parlait de "naissances prématurées plus nombreuses dans le groupe recevant le vaccin, groupe où l’on relevait aussi un doublement des décès néonataux."
" France : 900 intellectuels exigent que le Parlement rende publics ses débats sur les effets secondaires du vaccin "
25 NOVEMBRE 2023
" En Allemagne, un procès a récemment été ouvert concernant les effets secondaires du vaccin Pfizer. En Espagne, les autorités basques ont confirmé que 9 300 cas d’effets secondaires ont été enregistrés entre 2021 et 2022. Mais, en France, il ne s’est encore rien passé.
Pourquoi ce silence? Pourquoi le sujet reste-t-il tabou dans ce pays?
Lecourrier-du-soir.com tient à rappeler qu’une tribune de 900 intellectuels (scientifiques, médecins, avocats, chercheurs) exigeaient du parlement français qu’il rende public un débat sur les effets secondaires du vaccin.
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire la tribune dans sa version intégrale
Excellente lecture
“Le 24 mai dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques tenait une audition publique de clôture de ses travaux ‘sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance’. Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19.
Déjà, en n’auditionnant publiquement que trois ‘voix critiques’ contre onze thuriféraires des vaccins, l’Office indiquait un certain parti pris dans l’organisation même de ses travaux, au cours desquels 9 personnes sur les 49 auditionnées proposaient une analyse différente du discours qui inonde les médias depuis le début de la vaccination de masse ( ‘la vaccination est sans danger, elle protège les personnes vaccinées et protège aussi les autres, c’est sûr à 95%, etc’).
Mais surtout, alors même que son règlement l’autorisait à les rendre publics, l’Office a choisi de conduire ses travaux sous forme d’auditions privées, un format très contestable s’agissant d’une question majeure touchant à la santé de tous les Français. Ainsi, les auditions qui se sont déroulées de mars à mai 2022 ne seront jamais rendues publiques. Pourquoi ? Certaines auditions gêneraient-elles ? Le public ne serait-il pas en mesure de les entendre ? De les comprendre ? Aucune explication n’est fournie par l’Office.
Trois personnes dont les auditions ont été ainsi rendues quasi secrètes (Mme Christine Cotton, biostatisticienne, Mme Emmanuelle Darles et M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs des universités de Poitiers et Marseille) ont pourtant demandé à pouvoir faire part de leurs travaux pendant l’audition publique du 24 mai dernier. Peine perdue. Bien qu’elles se soient rendues devant le Sénat, le jour même de l’audition, elles ont trouvé portes closes. La sommation interpellative qu’elles ont fait délivrer au président de l’Office, M. Cédric Villani, fera toutefois date et il ne sera plus possible aux membres de l’Office de prétendre ‘qu’ils ne savaient pas’.
Pourtant, ce que ces personnes avaient à dire est essentiel pour l’information impartiale du public, sans laquelle on ne saurait parler de ‘consentement libre et éclairé’ à la vaccination. Leurs travaux révèlent en effet des éléments particulièrement alarmants.
Ils montrent d’abord d’importants problèmes méthodologiques dans les essais cliniques ayant conduit à l’Autorisation d’Urgence dès décembre 2020. Ainsi, les manquements et les biais de l’essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer rendent ses conclusions peu fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, faussant l’évaluation du rapport bénéfice/risque.
Ils notent ensuite une opacité des données publiques sur les vaccins qui ne sont ouvertes ni au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française. En particulier, la méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ne permet pas l’obtention de données complètes. Il convient, en outre, de garder à l’esprit que seuls entre 1% et 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.
Enfin, des chiffres de mortalité alarmants ressortent des bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) qui font état, à ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin. En outre, ces bases de données font état de 1 788% d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d’augmentation d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus, plus de 60% de ces effets indésirables graves survenant le jour même de la vaccination.
C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de la santé et professionnels du droit demandons solennellement à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques de rendre publiques l’ensemble des auditions effectuées pendant les travaux de l’Office sur ‘les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance’, par vidéo et par retranscription écrite. C’est à la fois un droit et un devoir en démocratie que de mettre à disposition des citoyens et de leurs élus la totalité de l’information disponible, et non simplement la partie qui arrange le gouvernement.”
" Le Texas poursuit Pfizer pour escroquerie à Medicaid pour son médicament inefficace "
25 novembre 2023
" Le fabricant de médicaments aurait manipulé les résultats des tests pour cacher l’inefficacité de son médicament.
Le procureur général du Texas, Ken Paxton, poursuit Pfizer et l’un de ses fournisseurs dans une affaire dévoilée cette semaine, alléguant qu’ils ont fraudé Medicaid en manipulant des tests de contrôle de la qualité pour dissimuler des déficiences dans un médicament prescrit aux enfants souffrant de troubles déficitaires de l’attention.
La plainte déposée dans le comté de Harrison allègue que Pfizer et Tris Pharma ont trafiqué les tests de contrôle de qualité du médicament Quillivant XR entre 2012 et 2018 pour cacher que le médicament ne se dissolvait pas comme promis, et Pfizer a ensuite persuadé le programme Medicaid du Texas d’ajouter le Quillivant à sa liste de médicaments préférés.
“À aucun moment, les défendeurs n’ont averti les prestataires ou les décideurs du programme Medicaid du Texas que le Quillivant avait des problèmes de fabrication connus affectant son efficacité, privant ainsi le programme Medicaid des informations cruciales sur lesquelles il s’appuie”, indique la plainte.
“En conséquence, des milliers d’enfants texans ont reçu une substance dangereuse”, ajoute le document.
Le fabricant de médicaments aurait manipulé les résultats des tests pour cacher l’inefficacité de son médicament.
Le procureur général du Texas, Ken Paxton, poursuit Pfizer et l’un de ses fournisseurs dans une affaire dévoilée cette semaine, alléguant qu’ils ont fraudé Medicaid en manipulant des tests de contrôle de la qualité pour dissimuler des déficiences dans un médicament prescrit aux enfants souffrant de troubles déficitaires de l’attention.
La plainte déposée dans le comté de Harrison allègue que Pfizer et Tris Pharma ont trafiqué les tests de contrôle de qualité du médicament Quillivant XR entre 2012 et 2018 pour cacher que le médicament ne se dissolvait pas comme promis, et Pfizer a ensuite persuadé le programme Medicaid du Texas d’ajouter le Quillivant à sa liste de médicaments préférés.
“À aucun moment, les défendeurs n’ont averti les prestataires ou les décideurs du programme Medicaid du Texas que le Quillivant avait des problèmes de fabrication connus affectant son efficacité, privant ainsi le programme Medicaid des informations cruciales sur lesquelles il s’appuie”, indique la plainte.
“En conséquence, des milliers d’enfants texans ont reçu une substance dangereuse”, ajoute le document.
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Montant libre
L’action en justice ne précise pas le montant des dommages-intérêts demandés par l’État.
M. Paxton a déclaré que son bureau avait reçu de nombreux rapports de parents affirmant que le médicament n’était pas efficace sur leurs enfants.
“Je suis horrifié par la malhonnêteté que nous avons découverte au cours de cette enquête”, a déclaré le procureur général.
“Pfizer et Tris ont intentionnellement dissimulé et omis de divulguer les problèmes liés au Quillivant afin de recevoir des prestations financées par le contribuable dans le cadre du programme Medicaid du Texas, fraudant ainsi l’État et mettant les enfants en danger.
Pfizer a déclaré dans un communiqué avoir examiné les allégations de la plainte à “de multiples occasions” et “n’avoir constaté aucun impact sur la sécurité du produit.” Il a ajouté qu’il estimait que l’affaire n’était pas fondée et qu’il demanderait à la classer sans suite.
Un porte-parole de Tris a déclaré dans un email :
“Nous démentons catégoriquement et avons l’intention de défendre rigoureusement ces allégations devant la justice.”
Tris a fabriqué Quillivant pour Pfizer jusqu’en 2018, date à laquelle elle a racheté le produit à Pfizer.
" Les soldats licenciés pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19 poursuivent le gouvernement américain en justice pour des milliards de dollars en salaires perdus "
Publié 26 novembre 2023
" Les anciens militaires réclament des arriérés de salaire, des dommages et intérêts et d’autres compensations.
Nicholas Bassen, un sergent de l’armée qui a été réformé en 2022 parce qu’il n’avait pas été vacciné, demande une indemnisation d’au moins 120 000 dollars.
Les poursuites, déposées ces derniers mois, soutiennent que lorsque le Congrès a contraint le Département de la défense des États-Unis (DoD) à annuler son obligation de vaccination contre le COVID-19, les législateurs ont soigneusement choisi leur formulation.
« Le Congrès a expressément choisi le terme « annuler », plutôt que des termes plus habituels tels que « abroger », « modifier » ou « clarifier », pour indiquer au Département de la défense et aux tribunaux que l’annulation devait être appliquée rétroactivement », indique l’un d’entre eux.
Pour étayer leur argumentation, les avocats ont cité le mémorandum du 10 janvier du secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, dans lequel le général à la retraite a annulé l’obligation et ordonné aux chefs militaires de supprimer les actions négatives liées au refus de vaccins des dossiers des membres encore en service.
Austin a également déclaré que les anciens membres pouvaient déposer des pétitions pour demander des corrections à leur dossier.
« Le secrétaire Austin a reconnu la directive du Congrès d’appliquer l’annulation rétroactivement en s’engageant, entre autres, à corriger tous les documents administratifs et toutes les actions personnelles négatives résultant du non-respect de l’obligation désormais annulée et des ordres émis en vertu de celui-ci », peut-on lire dans l’une des actions en justice.
« Nous pensons qu’il existe un précédent assez solide en notre faveur, car lorsque le Congrès a abrogé ‘Don’t Ask, Don’t Tell’, il a utilisé le mot ‘abroger’. Lorsqu’il a fait cela, il a utilisé le mot ‘rescind' », a déclaré Dale Saran, l’un des avocats représentant les anciens membres, dans un courriel adressé à The Epoch Times.
« Tout le monde devrait être rétabli », a ajouté M. Saran. « Ils devraient retrouver la position qu’ils occupaient auparavant.
M. Saran estime que, si les procès aboutissent, des milliards de dollars seront versés aux anciens membres.
Il a fait remarquer que le Congrès avait déjà affecté cet argent à la rémunération et à d’autres compensations avant que l’armée ne licencie plus de 8 000 personnes pour avoir refusé de se faire vacciner.
Des dizaines de milliers de membres de la Garde nationale se sont vus refuser leur salaire parce qu’ils n’étaient pas en règle avec la loi.
Les trois recours collectifs ont été déposés devant la Cour fédérale des réclamations des États-Unis (U.S. Court of Federal Claims).
Les anciens membres intéressés par ces actions peuvent se rendre sur le site militarybackpay.com. "
" Pfizer poursuit la Pologne pour avoir renoncé au vaccin contre le COVID-19, invoquant un méga-marché douteux de l’UE "
Publié 26 novembre 2023
" En avril 2021, le monde a appris que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait négocié le plus gros contrat jamais conclu pour 1,1 milliard de doses de vaccins contre le COVID-19 par le biais de textos échangés avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla.
t alors que ces textes ont été perdus « d’une manière ou d’une autre« , Pfizer poursuit maintenant la Pologne – qui, en vertu de l’accord de l’UE conclu entre von der Leyen et Bourla, obligeait le gouvernement polonais à acheter 60 millions de doses de plus qu’il ne l’a fait.
« Pfizer et BioNTech cherchent à obliger la Pologne à respecter ses engagements pour les commandes de vaccins contre le COVID-19 passées par le gouvernement polonais, dans le cadre de leur contrat d’approvisionnement de l’Union européenne signé en mai 2021 », a déclaré un porte-parole de Pfizer à Politico, ajoutant que BioNTech se joignait à l’action en justice.
Selon le journal polonais Gazeta Prawa, Pfizer a porté l’affaire civile devant un tribunal bruxellois parce que les doses ont été achetées dans le cadre de contrats de marchés publics conjoints de l’UE, établis en vertu du droit belge. –Politico
La Pologne, sous la direction du ministre de la santé de l’époque, Adam Niedzielski, et du parti populiste PiS, a pris une mesure audacieuse en avril 2022 en interrompant les livraisons de vaccins, invoquant la force majeure. Cette décision, influencée par des facteurs financiers et épidémiologiques, a fait écho dans toute l’Europe centrale et orientale, entraînant une vague de contestation de l’accord conclu entre la Commission et Pfizer.
Les efforts de renégociation de l’accord, suscités par le tollé collectif de plusieurs pays de l’UE, n’ont que partiellement apaisé le mécontentement. Les demandes de transparence et d’un accord plus équitable se sont intensifiées, conduisant la Commission à réviser l’accord. Cependant, le refus de la Pologne de signer l’accord révisé a mis en évidence les fissures croissantes entre les États membres de l’UE et les tactiques de négociation de la Commission. "
" Essai randomisé : le masque augmente le risque de Covid de 33 à 40%
Essai randomisé
"le masque augmente le risque de Covid "Nous avons constaté que l'incidence de COVID-19 était 33 % plus élevé chez ceux qui portaient un masque souvent ou parfois, et 40 % plus élevé chez les personnes portant un masque masques presque toujours ou toujours"