" Les syndicats de la police italienne tirent la sonnette d’alarme face à l’augmentation du nombre de décès de policiers après la vaccination contre le COVID-19 "
3 février 2024
" Faits saillants—- Déclaration d’Antonio Porto, secrétaire général du Syndicat italien de la police : « Ici, nous avons des jeunes collègues, 29, 34, 40 ans. Mais des gens qui allaient bien. Le mois dernier, du 15 décembre à aujourd’hui, J’ai eu connaissance de sept policiers qui sont morts subitement. L’année dernière, nous en sommes presque à 50. Si ce n’est plus. » Déclaration d’Aldo Di Giacomo, secrétaire général du Syndicat de la police pénitentiaire « Au cours des 13 derniers mois, nous avons eu 41 policiers pénitentiaires qui sont morts subitement. Avec une augmentation de 200% par rapport aux années précédentes . Mais ces données sur ces morts subites nous inquiéter, et pas peu. »
Comme l’explique Antonio Porto, pour entrer dans la police, il faut passer des examens médicaux spécifiques et rigoureux. La présence de morts subites parmi les policiers est donc encore plus alarmante et nécessite des enquêtes. Pour rejoindre la police, vous devez avoir une santé et une constitution physique solides. C’est une condition de base pour entrer dans la police. Ainsi, si quelqu’un rejoint le groupe, cela signifie qu’il est en bonne santé et qu’il ne devrait pas mourir au bout de deux ans. Nous avons notre chère Rafaela De Luca, entrée et décédée après trois ans de service. Alors, qu’est-ce qui a causé ce décès ? "
" Didier Raoult exige un moratoire sur la vaccination Covid et un retour au traitement des patients "
Publié le 02 février 2024
" Au moins une dizaine de molécules ont montré une efficacité sur la maladie et ne coûtent pas grand-chose", répète le Professeur Raoult dans un texte publié sur X (ex-Twitter) ce vendredi 2 février en début d’après-midi, intitulé "De la propagande et de la connaissance", et que nous publions en intégralité ci-dessous.
On pourrait ajouter à ce petit article que les injections n’ont été approuvées que parce qu’il n’y avait, paraît-il, aucune alternative médicamenteuse (condition 4 de l’EUA, Emergency Use Authorization décrite dans l’article "La guerre des vaccins, pourquoi faut-il tuer le soldat hydroxychloroquine ?" publié le 12 août 2020 dans France-Soir).
Le moratoire est donc essentiel, mais il faut aller encore plus loin et chercher les raisons pour lesquelles des patients n’ont pas été pris en charge et traités, conformément aux pratiques de médecine prévues dans les plans pandémie, et pourquoi risquer d’exposer une partie de la population à des risques d’effets secondaires avec une injection enfreignant le principe du consentement libre et éclairé.
De la propagande et de la connaissance
Lorsque les vaccins ont été développés contre le Covid, trois formes en furent proposées :
- Les vaccins traditionnels (aussi rapidement disponibles que les autres) réalisés en Chine avec le virus entier inactivé. Ces vaccins n’ont pas été autorisés en France pour des raisons qui m’échappent. Ce type de vaccin comparable à celui contre la grippe comporte moins de risques inconnus et ne lutte pas contre une seule cible du virus : la Spike. Je redoutais et cela s’est passé, que les mutations du virus et sa spécificité respiratoire ne procurent pas une immunité durable et que le vaccin n’ait pas une durée de protection très longue (j’ai publié le premier cas connu de réinfection par le covid). La maladie étant peu immunisante, le vaccin ne ferait pas mieux.
- Le deuxième vaccin (Astra Zeneca, Johnson et Johnson, et le Russe Sputnik) est basé sur un virus (adénovirus de singe pour Astra Zeneca), transformé en intégrant le gène de la Spike. Il ne s’intègre pas et ne se réplique pas. Je fus le premier en France à signaler une thrombose veineuse cérébrale, phénomène bien décrit, en particulier chez les femmes jeunes et l’Angleterre a arrêté sa prescription chez les moins de 50 ans, suivie par de nombreux pays. Il n’est plus utilisé en France. Il en reste donc des millions de doses périmées.
- Le troisième groupe de vaccins (Pfizer, Moderna) consiste en l’injection d’ARN codant pour la Spike dont les éléments ont été modifiés pour ne pas être éliminés rapidement. Ce vaccin est inclus dans une nanoparticule de lipide pour pouvoir entrer dans les cellules. Ce vaccin, outre les inconvénients communs aux autres, a généré des effets secondaires imprévus : troubles des règles extrêmement fréquents (maintenant reconnus par le CDC*) dont personne ne peut dire s’ils seront associés à des conséquences sur la fertilité, des myocardites et péricardites parfois mortelles chez les sujets jeunes, majoritairement des garçons (maintenant reconnues par le CDC) et des thromboses rares des veines (reconnues par toutes les instances scientifiques).
Aucun de ces vaccins n’avait été évalué pour les formes bénignes ou asymptomatiques et donc pour la prévention de la contagion. Ils ne pouvaient prétendre éradiquer une maladie qui, par ailleurs, circulait chez les animaux. La vaccination n’était alors justifiée que chez ceux qui risquaient des formes graves (sujets de plus 65 ans et sujets fragiles : obèses, immunodéprimés...). "
" Didier Raoult: Le fait de sauver les gens ne les intéresse pas "
VIDÉO
" Extrait du Débriefing du 15 novembre avec Didier Raoult:
« Les gens qui ont reçu de l'hydroxychloroquine, y compris parmi les gens hospitalisés, ont les taux de mortalité les plus bas rapportés. »
« Le fait de sauver les gens ne les intéresse pas et donc ça, c’est un crime contre la morale. C’est immoral »
" Quand la doxa se heurte finalement à la science : fact-checking d’une tribune contre les fausses informations médicales, signée par des personnes qui véhiculent elles-mêmes des fausses informations "
Publié le 03 février 2024
" La désinformation a été mise à l’ordre du jour de Davos comme étant un des points les plus importants. Le 24 novembre 2020, le président Macron dans une allocation aux Mureaux avait déclaré : "Nous devrions nous en remettre au savoir et à la science. Ne jamais céder au complotisme, à l’obscurantisme, au relativisme."
Le 1er janvier 2021 France-Soir lui avait suggéré de soumettre son gouvernement au défi de la vérité afin de valider que toutes les affirmations des ministres étaient soutenues par des éléments factuels. Depuis de nombreux faits avancés se sont révélés totalement faux (origine du virus, efficacité de la vaccination, non-efficacité des traitements précoces) et que la majeure partie des décisions ont été politiques et prises à l’encontre des données scientifiques. Une instrumentalisation qui a été amplifiée par les médias subventionnés en total défaut de la charte de Munich.
Cependant, au fur et à mesure que les faits apparaissent sur les effets secondaires dramatiques de la vaccination anti-Covid, sur les prises de positions mensongères, les médecins qui ont soutenu ces positions essaient de s’accrocher aux branches en faisant de nouvelles inversions accusatoires et en se victimisant. Dans une tribune publiée le 29 janvier 2024 dans L’Express, un média qui s’est illustré par ses informations biaisées et partisanes, des médecins et sociétés savantes se sont montrés précupés par la désinformation et les dérives associées. Cependant, autant tous sont d’accord pour dire que la désinformation est nocive, autant les signataires de cette tribune se sont illustrés par leur constance dans l’erreur et les nombreuses fausses informations où l’argument d’autorité a pris le pas sur les faits, sans aucun contradicteur dans les médias et avec la participation soutenue et sans limites des journalistes propagandistes.
Retour à l’envoyeur : les Pr. Christian Perronne, Dr. Gérard Guillaume, Pr. Martin Zizi, Corinne Reverbel, Xavier Azalbert et toute l’équipe de BonSens.org publient en réponse une tribune. Réponse factuelle et point par point aux inversions accusatoires basées sur des fausses informations et approximations constantes des auteurs de la tribune publiée dans L’Express. Ou quand la Doxa se heurte finalement à la science... "
" Le premier ministre slovaque ordonne une enquête sur la réaction et les vaccins contre le COVID-19 en raison de plus de 21 000 décès excédentaires depuis 2020 "
4 février 2024
" « Le peuple slovaque a simplement besoin de réponses sur la vaccination, sur ce qu’elle était réellement. Pourquoi divers vaccins expérimentaux ont-ils été administrés sans aucun test ? », demande le Premier ministre Robert Fico.
Dans un discours prononcé devant le Parlement européen cette semaine, le Premier ministre slovaque Robert Fico a annoncé que la Slovaquie allait lancer une enquête sur le « cirque du COVID » lié au déploiement du vaccin et aux mesures de riposte à la pandémie.
« Nous ne connaîtrons jamais la vérité sur le rôle joué par les sociétés pharmaceutiques et sur les organisateurs du cirque du COVID-19 », a déclaré Fico. « C’est pourquoi, Mesdames et Messieurs, le gouvernement de la République slovaque a décidé d’inclure une promesse de résolution de ce problème dans les annonces officielles. » "
" RUPTURE : Les données du VAERS montrent clairement que les vaccins COVID sont un désastre absolu pour les femmes enceintesBREAKING: VAERS data clearly shows that the COVID vaccines are an unmitigated disaster for pregnant women
Le CDC a déclaré que les vaccins COVID étaient parfaitement sûrs pour les femmes enceintes. Ils ont menti et continuent de mentir au peuple américain. Voici la preuve et vous pouvez la vérifier vous-même.The CDC said the COVID vaccines were perfectly safe for pregnant women. They lied and they continue to lie to the American people. Here's the proof and you can verify it yourself. "
" Hydroxychloroquine : de la fraude à la censure "
" Ce 29 janvier 2024, une tribune d’un “collectif de médecins et de chercheurs” intitulée “Reseaux sociaux, médias : mettons fin à la propagation impunie de fausses informations médicales” a été publiée dans l’express. La tribune se plaint des désinformations médicales, tout particulièrement au sujet des vaccins anti-Covid. Ils ont dans le viseur ceux qui osent prétendre que les vaccins sont inefficaces ou dangereux. Ils fustigent la “désinformation médicale relayée par des opportunistes, qui ont le plus souvent quelque chose à vendre”. En parlant de cela, il est intéressant d’aller chercher le nom des signataires de la tribune sur le site “transparence santé” qui recense les déclarations des professionnels de santé concernant les rémunérations et avantages qu’ils reçoivent des laboratoires pharmaceutiques. On y retrouve Jérôme Barrière avec 9 000€, Manuel Rodrigues avec 27 000€ ou Matthieu Molimard avec 11 000€, pour n’en citer que quelques-uns.
Le collectif affirme “ la primauté de l’éclairage de la démonstration scientifique”. Là encore on rappelle les propos de Jérôme Marty sur RMC, signataire de la tribune : “on a des milliers d’années de recul sur ce vaccin en fait, quand on additionne, en quelque le temps de chaque personne qui a été vaccinée”.
Ainsi en ce qui concerne l&rsquoportunisme ou les affirmations qui n’ont rien à voir avec la science, le collectif signataire ferait mieux de balayer devant sa porte. D’ailleurs, s’il faut des sanctions à ce type de comportement, proposons-leur de commencer par eux-même.
Il convient toutefois de rappeler que la science c’est le débat et la perpétuelle remise en question. Selon Claude Bernard dans l’“Introduction à l'étude de la médecine expérimentale” : « Le savant complet est celui qui embrasse à la fois la théorie et la pratique expérimentale. 1o Il constate un fait ; 2o à propos de ce fait, une idée naît dans son esprit ; 3o en vue de cette idée, il raisonne, institue une expérience, en imagine et en réalise les conditions matérielles ; 4o de cette expérience résultent de nouveaux phénomènes qu'il faut observer, et ainsi de suite. ». La science est vivante. Il est parfaitement stupide de sanctionner des paroles jugées fausses aujourd’hui selon les théories les plus communément admises, mais qui pourraient être jugées vraies demain. Cela dit, il faudrait quand même une totale révolution des mathématiques pour donner raison à Jérôme Marty…
La fraude scientifique existe cependant. Elle n’a rien à voir avec les escarmouches sur les réseaux sociaux, mais fonde le socle de l'escroquerie médicale moderne. Cette fraude est précisément dénoncée dans des médias et réseaux sociaux que les protecteurs de Big pharma veulent museler. Pour mémoire, le 22 mai 2020, The Lancet a publié un article à charge contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine HCQ) en concluant à une toxicité folle de ce produit. Cette étude a d’ailleurs permis d’interdire ce médicament pour l’indication du Covid-19. Même pour un néhyte, il était impossible de croire une seconde au sérieux de l’étude, ce résultat étant impossible du fait du recul qu’on a sur l’usage de ce médicament (l’un des plus administrés au monde), compte tenu de la prétendue surmortalité qu’il tentait de prouver chez les patients. En quelques jours, de nombreux scientifiques se sont levés contre cette étude et il s’est avéré que même les données avaient été forgées de toutes pièces. Cet épisode est désormais connu sous le nom “Lancetgate”. Je n’ai jamais appris dans toute ma scolarité à me méfier des études publiées « revues par les pairs ». Découvrir à la fois que la triche est possible, mais qu’en plus, tout le monde est au courant de ces pratiques (le fait qu’il est impossible de distinguer une avancée scientifique d’une œuvre de propagande semble être un secret de polichinelle) est simplement révoltant. En outre, la découverte de l’arnaque de ce papier du Lancet ne semble pas avoir déclenché un questionnement majeur sur les publications dites “scientifiques”. Dans mon livre Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels, je détaille deux études publiées par les prestigieuses revues Science et Nature, frauduleuses, construites à l’envers et toujours en ligne. Presque chacune de mes lectures s’accompagne d’un moment de consternation suivi d’un fou rire. La dernière étude publiée par Elsevier sur l’hydroxychloroquine et promue par Matthieu Molimard, signataire de la tribune, ne fait pas exception. Toutefois, elle bat probablement un record en niveau de ridicule atteint."
" Les décès au cours de la « première vague » de la pseudo-pandémie ont été causés par l’iatrocide. "
5 février 2024
" Les décès au cours de la « première vague » de la pseudo-pandémie ont été causés par l’iatrocide. par Simon Lee, responsable scientifique, Anew UK
Iatrocide – L’acte de tuer un patient par un traitement médical ; iatro- + -cide, du grec iatros (guérisseur) + latin -cide (tuer).
Il n’y a pas eu de pandémie
Incroyablement, malgré les preuves accablantes du contraire, de nombreuses personnes croient encore que le monde a récemment connu une pandémie mortelle de coronavirus qui a tué des millions de personnes. Il existe un nombre considérable de preuves selon lesquelles il n’a agi en réalité pas d’une véritable pandémie mais d’une opération psychologique pseudo-pandémique.
L’ensemble du récit de la pandémie de covid repose sur deux piliers principaux : qu’un nouveau virus pathogène a été réellement identifié et qu’un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) pourrait identifier avec précision le virus présumé. Si l’un ou l’autre de ces piliers n’est pas correct, tout le récit du Covid s’effondre. Aucun des deux n’est correct.
Aucun virus n’a jamais été correctement isolé, identifié et caractérisé selon la méthode scientifique et le test PCR s’est révélé de manière exhaustive comme un générateur inutile de résultats non spécifiques et faussement positifs, par un groupe de scientifiques indépendants, très peu de temps après les détails de les RAP ont été rendus publics en 2020.
Les données épidémiologiques nous indiquent également qu’il n’y a pas eu de pandémie.
Le 11 mars 2020, la « pandémie » de coronavirus a été déclarée, ce qui a initialement provoqué des augmentations soudaines de la mortalité toutes causes confondues, mais uniquement dans des endroits spécifiques du monde occidental et elles étaient synchrones. Cette synchronicité est incompatible avec la notion de maladie respiratoire virale contagieuse qui se propage. Les grappes de mortalité synchronisées au printemps 2020 (comme à New York, Madrid, Londres, Stockholm et dans le nord de l’Italie) ne se sont pas propagées au-delà de ces points chauds. "
" Protocole Raoult et hydroxychloroquine : Analyse critique de Jules Seyes sur la gestion de la pandémie
Jules Seyes plonge dans la polémique autour de l'hydroxychloroquine (HCQ) et de la gestion de la pandémie de COVID-19. La polémique, initiée par une étude suggérant que l'HCQ aurait causé 17 000 décès, met en lumière les débats entourant le Professeur Raoult et son protocole de traitement. Jules Seyes souligne les anomalies et les décisions controversées depuis le début de la pandémie, remettant en question la gestion des autorités de santé et la communication officielle. "
04/02/24
" La récente étude lancée par une certain nombres d’auteur l’affirme : L’HCQ aurait tué 17000 personnes. Scandale sanitaire sans nom puisque les autorités de santé n’ont toujours pas fait appréhender le professeur Raoult coupable de tous ces morts.
En face, les opposants affirment que l’étude est frauduleuse : "
" Dans une interview qui a refait surface, on voit le Dr Fauci dire ceci à propos des mandats : “Lorsque vous rendez les choses difficiles pour les gens… ils perdent leurs conneries idéologiques et se font vacciner”
4 février 2024
" Rappelez-vous quand ils ont essayé de nous priver de nos libertés en rendant le vaccin quasiment obligatoire. Les restaurants, les universités et même les lieux de travail exigeaient le vaccin pour l’entrée, et beaucoup d’entre nous ont cédé à cause des inconvénients.
Un enregistrement d’Anthony Fauci, qui vient de refaire surface, jette un peu de lumière sur les raisons pour lesquelles on nous a tant poussés à nous faire vacciner.