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" Coût des tests PCR : 8,8 MILLIARDS.
Coût de construction d'un hôpital environ 300 millions....
Les tests n'avaient aucune utilité, les gens meurent dans les couloirs des urgences.
On voit quelles sont les priorités de Macron. "
Photo
https://twitter.com/PChaibriant/status/1764611327849287684
4 mars 2024
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05 mars 2024
" Quand l’ivermectine démontre l’escroquerie des études randomisées "
" "La vérité est si obscure en ces temps et le mensonge si établi, qu’à moins d’aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître." - Blaise Pascal
L’ivermectine aura vu deux phases concernant les études et publications pendant cette crise covid. Deux phases, la première relevant de la médecine d’hier, qui a progressé pendant des millénaires grâce à l’observation, et la seconde, médecine de “demain”, ignorant l’observation au profit de la randomisation qui permet de cacher, de manipuler. Les exemples sont nombreux. Je ne suis pas le seul à le dire.
Déjà en 2016, Richard Horton, directeur de la rédaction d’une des plus prestigieuses revues médicales, The Lancet, affirmait qu’« une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse ». … « Dans leur désir de raconter une histoire passionnante, les chercheurs sculptent trop souvent les données pour qu’elles coïncident avec leur théorie préférée du monde ». Il était bien placé pour savoir de quoi il parlait.
Quant au Dr Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, considéré également comme l’une des autres revues médicales les plus prestigieuses du monde, elle déclarait : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »
Dans Libération, on apprend qu’un chercheur en sciences sociales, Brian Nosek, décidait de vérifier la fiabilité de certaines études. Son Projet Reproductibilité a fait travailler plus de 270 chercheurs et il a publié ses résultats en août 2015, dans la revue Science. Une véritable bombe qui a explosé dans la sphère scientifique mondiale : son armée de chercheurs n’est parvenue à reproduire qu’un tiers des études, 64 % des résultats n’ayant jamais pu être reproduits.
Les choses se sont manifestement aggravées depuis sous la pression de l’industrie pharmaceutique, même s’il doit encore exister quelques publications sincères. On ne peut qu’être d’accord avec ces constats supposant que la moitié des études concernant l’ivermectine sont fausses. En effet entre les premières études positives, et les secondes négatives, une des deux catégories donne forcément des résultats erronés. Il ne peut y avoir deux vérités opposées, faisant passer de produit miracle à produit sans effet, voire dangereux.
Les premières publications ? On a vu des soignants honnêtes, sincères, sérieux et non des chercheurs en mal de notoriété, utiliser par hasard ou par curiosité l’ivermectine, pour traiter des vrais malades, souvent à risques. Ainsi le Dr Charlotte Bernigaud a traité contre la gale une EHPAD à Fontainebleau, avec 69 pensionnaires de 90 ans de moyenne dont 98,6 % ayant au moins une comorbidité, avec 0 décès contre 150 décès chez les 3 062 résidents des ehpads du département aux mêmes dates. Ainsi le Dr Pierre Loué, ayant largement utilisé par le passé l’ivermectine dans des campagne OMS contre l’onchocercose, et tombant sur l’article de Caly et Druce en pleine épidémie dans son ehpad, va traiter ses patients. Sans traitement autre connu ou conseillé, il traite ses 10 patients avec quasiment 100 % de réussite (son seul décès était traité trop tard au 18e jour), contre 5 décès chez les 15 autres patients touchés non traités. Ainsi ces services d’urgences de Punta Cana et Bournigal (République Dominicaine) qui, en panne d’hydroxychloroquine, se mettent à l’ivermectine et publient ce que cela a donné sur leurs 3 099 premiers patients : 1 seul décès en traitement précoce, soit 0,04 %. Ainsi ce Dr Hector Carvallo (Argentine) en juin 2020, qui s’essaye à la prophylaxie sur 1 200 soignants au contact des patients covids dans 4 hôpitaux, avec 0 contaminé chez les traités et 58 % contaminés chez ceux qui n’avaient pas voulu. Ainsi ce rapport d’Unitaid/OMS demandé au Dr Andrew Hill après une quarantaine de publications sur le sujet, rapport qui montre une diminution par 5 de la mortalité, résultats qui n’ont pu être enlevés de la page 19 du document OMS sur les traitements du covid, car c’est un fait.
La seconde vague ? Des études « randomisées », toutes télécommandées, non sincères, non honnêtes. Ce ne sont plus des rapports bénévoles de soignants qui traitent le tout-venant, mais des chercheurs biostatisticiens, rémunérés pour sortir les résultats demandés à l’avance.
Exemple, une étude assez récente I-TECH (The Ivermectin Treatment Efficacy in COVID-19 High-Risk Patients), que je n’avais pas vu passer, publiée fin 2022. Étude au top, randomisée, contrôlée, sous le N° NCT04920942. Conclusion de l’étude : "
Documents
La suite de l'article ici:
https://echelledejacob.blogspot.com/2024/03/quand-livermectine-demontre.html
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Citation de fouthese
" Coût des tests PCR : 8,8 MILLIARDS.
Coût de construction d'un hôpital environ 300 millions....
Les tests n'avaient aucune utilité, les gens meurent dans les couloirs des urgences.
On voit quelles sont les priorités de Macron. "
Photo
https://twitter.com/PChaibriant/status/1764611327849287684
4 mars 2024
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05 mars 2024
" Anna, morte 4 heures après son passage aux urgences "
" Souffrant de la poitrine et crachant beaucoup de sang, la jeune femme est finalement renvoyée chez elle alors que les médecins des urgences diagnostiquent une surinfection des bronches.
En décembre dernier, la mort d’une jeune femme de 24 ans a entraîné un dépôt de plainte de sa famille contre le Centre hospitalier de Saint-Denis. Les circonstances de son décès restent à éclaircir.
Un nouveau scandale hospitalier va-t-il être déclenché par cette affaire ? Le 29 décembre dernier, Anna, 24 ans, est admise au Centre hospitalier de Saint-Denis, dans la région parisienne. Souffrant de la poitrine et crachant beaucoup de sang, la jeune femme est finalement renvoyée chez elle alors que les médecins des urgences diagnostiquent une surinfection des bronches.
Quatre heures plus tard, Anna décédera à son domicile, seulement 4 heures et demie après son passage aux urgences. « Elle crachait de plus en plus de sang. Elle avait mal, elle souffrait. Je la dépose chez sa mère, je pars, et à mon retour, elle était partie. Anissa est décédée 4h30 après être sortie de l’hôpital » a déploré sa sœur au micro de RMC.
Après sa mort, l’autopsie d’Anna révèle qu’elle souffrait d’une cardiomyopathie, une pathologie qui aurait pu être diagnostiquée avec des examens complémentaires. Sa famille a depuis déposé plainte contre l’établissement de santé et une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de la mort de la jeune femme. "
https://echelledejacob.blogspot.com/2024/03/anna-morte-4-heures-apres-son-passage.html
Modifié il y a 8 mois, le mercredi 6 mars 2024 à 11:15
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" Dans cet extrait vidéo (sous-titré en français), il est question d'une décision de la Cour Suprême des USA qui place les "vaccinés" ARNm dans une catégorie "Non humain".
Ils ne seraient donc plus éligibles aux lois humaines, considérés par la Haute Cour comme des produits, des transhumains.
Comme le dit cette dame, il est important de ne pas faire d'amalgame et d'aller contre ces conclusions juridiques sordides qui n'ont d'autre but que de diviser.
Après avoir ostraciser les "non vaccinés", c'est au tour des "vaccinés". Ne tombons pas dans ce piège grossier. "
VIDÉO
https://twitter.com/sergiodde/status/1742570172303478901
3 janv. 2024
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ET:
" COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam "
Documents
" Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».
Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.
Via Slay News :
Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.
Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.
La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.
Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.
Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.
Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.
Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.
Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».
Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :
Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…
L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique. "
La suite de l'article ici:
https://nouveau-monde.ca/covid-arnaque-royaume-uni-pas-de-covid-mais-un-meurtre-de-masse-par-le-midazolam/
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" La Cour suprême australienne juge la vaccination obligatoire « illégale » "
7 mars 2024
" La commissaire de police et le directeur général de la santé du Queensland ont ignoré d’autres solutions possibles pour réduire les infections, selon la justice.
Les obligations vaccinales imposées à la police et aux ambulanciers du Queensland en 2021 étaient illégales, a décidé la Cour suprême.
Le juge Glenn Martin a estimé mardi que le mandat de vaccination COVID émis par la commissaire de police du Queensland, Katarina Carroll, en décembre 2021, avait violé la loi sur les droits de l’homme.
Martin a également reproché au directeur général de la santé du Queensland, le Dr John Wakefield, d’avoir imposé un mandat de vaccination tout aussi illégal.
VIDÉO
« Ni la commissaire ni le Dr Wakefield n’ont prêté une attention particulière à l’éventail des solutions possibles. Chacun s’est vu présenter une proposition de vaccination obligatoire avec peu de critiques bien développées sur les moyens alternatifs de réduire la maladie et l’infection », a déclaré Martin dans sa décision.
Les justifications du commissaire et du directeur général pour les obligations de vaccination sur le lieu de travail ont également été « sorties de leur contexte » et « ne sont pas étayées par des preuves », a déclaré Martin.
La décision historique de la Cour pourrait donner lieu à d’autres procès et à des décisions similaires à l’avenir.
Extrait du Brownstone Institute : "
La suite de l'article ici:
https://www.aubedigitale.com/la-cour-supreme-australienne-juge-la-vaccination-obligatoire-illegale/
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" Après avoir reçu plusieurs unités de sang lors d'une transfusion, une femme a développé une péricardite.
26 jours d’hospitalisation avec deux drains péricardiques pour drainer le liquide autour de son cœur.
Problèmes de coagulation … j’attire l’attention des autorités sur la nécessité d’investiguer sur le sujet !!
@ansm
@Sante_Gouv
@Reseau_CRPV "
Document
https://twitter.com/StatChrisCotton/status/1765644725070016682
7 mars 2024
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" Coup de théâtre : en colère, l’Italie déclare la guerre à l’OMS et déchire le Pass Sanitaire Mondial "
7 mars 2024
" L’Italie de Georgia Meloni est-elle devenue la nouvelle bête noire des institutions internationales? La question se pose. En tout cas, après avoir donné du fil à retordre à l’UE pendant plusieurs mois, le gouvernement de Droite dirigé par la dame de fer italienne déclare la guerre à l’OMS qui veut imposer un Pass Sanitaire mondial. Une initiative qui ne trouve pas grâce aux yeux des autorités italiennes.
C’est du moins ce que nous a appris, ce 06 mars, le média italien La Stampa. En effet, d’après cette source, le ministre italien de la Santé, Orazio Schillaci, refuse catégoriquement d’appliquer cette mesure à laquelle plusieurs gouvernements du monde risquent d’être soumis dans un futur proche.
« Suivant l’approbation du décret de loi du 26 février pris lors du Conseil des Ministres, je juge utile de clarifier que le gouvernement n’a aucune intention d’adhérer au soi-disant « Pass vert » de l’OMS », a fait savoir le ministre.
Pour rappel, le Pass Sanitaire mondial est un document dont le but est de partager les données de vaccination au niveau international. Il a vu le jour à la suite d’un accord entre l’Organisation Mondiale de la Santé et l’Union Européenne en juin dernier. Son objectif principal, comme nous l »explique La Stampa, est de promouvoir la digitalisation des données de vaccination, de quoi susciter l’inquiétude de nombreux dirigeants politiques internationaux qui craignent que cela ne finisse par mettre en danger les données de santé privées de millions de citoyens dans le monde.
Covid, Schillaci: “L’Italia non aderirà al Green pass globale dell’Oms”. Cosa è e come funziona https://t.co/8s6TWhMnEJ
— La Stampa (@LaStampa) March 5, 2024 "
https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-colere-litalie-declare-la-guerre-a-loms-et-dechire-le-pass-sanitaire-mondial/
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" L’enfer de Mariama : en fauteuil roulant, convulsions et vomissements à cause du vaccin, les médecins refusent de la soigner
Entre négligence et refus de soin, Mariama, 18 ans, raconte son parcours à Oh!MyMag et dénonce le comportement des médecins qui ont tout fait pour cacher que son état était lié au vaccin et non au Covid-19. "
7 mars 2024
VIDÉO
" Le 10 février 2022, la vie de Mariama bascule. Après avoir reçu sa deuxième dose de vaccin contre le Covid-19, cette jeune femme de 18 ans commence à ressentir des symptômes inquiétants. Des vomissements, des tremblements, des raideurs dans le corps et des chutes inexpliquées. Malgré les appels au Samu et les visites aux urgences, les médecins refusent de prendre au sérieux l’état de santé de Mariama et lui attribuent ses symptômes à de l’angoisse ou à des problèmes psychologiques. "
La suite de l'article ici:
https://lemediaen442.fr/lenfer-de-mariama-en-fauteuil-roulant-convulsions-et-vomissements-a-cause-du-vaccin-les-medecins-refusent-de-la-soigner/
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08 mars 2024
" Vaccination : le gouvernement continue malgré les effets secondaires "
" Face à une prétendue circulation rapide des virus respiratoires, les autorités sanitaires insistent sur l’importance de la vaccination. Conformément à l’avis de la Haute Autorité de santé (HAS) du 8 février 2023, une nouvelle campagne de vaccination contre la Covid-19 va avoir lieu au printemps, c’est-àire entre le 15 avril et le 16 juin 2024. Elle devrait permettre aux personnes éligibles de bénéficier d’une protection adéquate durant la saison d’été. Avec une campagne vaccinale anti-covid poussive qui a déjà débuté le 2 octobre 2023, le public français avait le choix entre les deux vaccins actualisés à ARNm de Pfizer et Moderna, le Nuvaxovid actualisé de Novavax avec leurs effets secondaires potentiels.
Saisie par la Direction générale de la santé, la HAS (Haute Autorité de Santé) a émis une nouvelle recommandation concernant la vaccination. Elle a établi les modalités pour la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui se déroulera entre le 15 avril et le 16 juin 2024. A noter que le marché des vaccins contre le Covid-19 est au ralenti depuis 2022 suite à la baisse du nombre d’hospitalisations et de décès.
Une nouvelle campagne vaccinale au printemps
Le 8 février 2023, la Haute Autorité de santé (HAS) a émis un avis favorable à la proposition de la direction générale de la Santé (DGS) concernant la nécessité de lancer une nouvelle campagne de vaccination anti-covid Covid-19 au printemps, qui se déroulera entre le 15 avril et le 16 juin 2024.
Selon la DGS, la réception d’une nouvelle dose de vaccin Covid permettra aux personnes éligibles de bénéficier d’une protection pendant la saison d’été, surtout durant les Jeux olympiques et paralympiques, et d’être de nouveau éligibles au rappel automnal.
Les détails sur la nouvelle campagne
La campagne de vaccination cible principalement les personnes dont l’immunité diminue rapidement, notamment : Les personnes âgées de 80 ans ou plus.
Les patients immunodéprimés.
Les résidents des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et des unités de soins de longue durée (USLD).
Les personnes à très haut risque en fonction de leur situation médicale, en consultation avec leur équipe soignante.
Les vaccins recommandés pour cette campagne sont ceux dont la formulation a été adaptée au variant Omicron XBB 1.5. Il s’agit notamment des vaccins à ARNm COMIRNATY OMICRON XBB 1.5 pour différentes tranches d’âge, ainsi que du vaccin protéique NUVAXOVID XBB 1.5 pour les personnes ne pouvant ou ne souhaitant pas recevoir un vaccin à ARNm.
Cette nouvelle recommandation émanant du gouvernement préconise le retour de la vaccination. Comme toujours, les autorités sanitaires recommandent une vaccination sans que l’on sache exactement les critères retenus. Pour autant, les effets nocifs de ces injections anti- Covid sont de plus en plus visibles. "
https://echelledejacob.blogspot.com/2024/03/vaccination-le-gouvernement-continue.html
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08 mars 2024
" USA : des médecins accusent le vaccin de déclencher les symptômes du COVID long "
" Le Covid long concerne de plus en plus de personnes. De nombreuses études ont déjà été menées dans le but d’identifier les facteurs qui favorisent cette persistance des symptômes après la guérison. Des médecins en soins intensifs de l’Alliance FLCCC viennent de révéler que la vaccination contre le Covid-19 pourrait causer le même trouble.
Des millions de personnes souffrent de Covid long. C’est une maladie qui se traduit par la persistance des symptômes du Covid-19 pendant des mois, voire même des années. Jusqu’à présent, il est difficile de connaître les causes. En effet, la pandémie de COVID-19 a engendré une nouvelle menace pour la santé : le phénomène de COVID long. Cependant, une question émerge également : le vaccin contre la COVID-19 pourrait-il également être à l’origine de maladies similaires ?
Covid long ou long vax ?
Des médecins en soins intensifs du Front Line Covid-19 Critical Care Alliance (Alliance FLCCC) ont révélé que le vaccin contre le Covid-19 pourrait provoquer le Covid long. L’un d’entre eux a ouvert un cabinet spécialisé dans le traitement des patients atteints de ce trouble.
En deux ans, le centre de soin a reçu plus de 1.000 individus. 70% de ces patients ont déclaré que les symptômes se sont manifestés quelques minutes, quelques heures, quelques jours ou quelques semaines après l’injection d’un vaccin anti-Covid. Les médecins ont alors nommé ce phénomène syndrome de « long vax ».
Dans une enquête menée auprès de 241 patients et publiée par le Dr Harlan Krumholz de la Yale School of Medicine, les symptômes du « long vax » après la vaccination ont été révélés. Ces études mettent en évidence les symptômes post-vaccination tels que l’intolérance à l’exercice, la fatigue excessive, le brouillard cérébral et la neuropathie. Notons que les patients atteints de Covid long ont été exclus de l’enquête, dont le résultat est désormais examiné par les pairs.
Les médecins s’inquiètent également sur l’augmentation en nombre des cas de maladies auto-immunes. Selon eux, il y a de plus en plus de preuves qui associent ce problème aux vaccinations contre le Covid-19. Or, les recherches récentes ont dévoilé que ces maladies auto-immunes favorisent le risque de développer du Covid long. Le risque d’explosion des cas de Covid long et de long vax est donc à craindre.
Les médecins de l’Alliance FLCCC tirent la sonnette d’alarme
Les médecins de l’Alliance FLCCC demandent aux agences gouvernementales de santé de se pencher sur la maladie du Covid long. Ils craignent que les résultats de l’étude Krumholtz et les rapports d’évènements indésirables causés par les vaccins contre le Covid-19 ne fassent l’objet d’une censure institutionnelle. Les experts ont déclaré que la suppression de ces informations pourrait avoir des conséquences désastreuses.
Les médecins de la FLCCC demandent aux agences de santé américaines d’agir. Ils ont besoin d’aide pour étudier ce problème afin d’apporter des traitements adéquats aux victimes. Ces professionnels de la santé ont déclaré qu’ils déplorent le comportement du gouvernement. Ils font surtout référence aux pressions subies par les entreprises de médias sociaux. Selon eux, l’administration Biden les oblige à supprimer toute discussion concernant les traitements alternatifs contre le Covid-19. Elle a pour unique objectif de promouvoir la campagne de vaccination de masse. Pourtant, des millions de gens vulnérables souffrent et se retrouvent sans aucun recours.
Ces médecins de la FLCCC estiment que c’est aux médecins et aux patients de trouver la solution jusqu’à ce que les agences de santé et les dirigeants décident de s’y pencher et d’apporter leur contribution. La démarche menée par le Comité sénatorial HELP reste insuffisante selon eux. Ce dernier n’a pas fait un compte rendu honnête de la situation. "
https://echelledejacob.blogspot.com/2024/03/usa-des-medecins-accusent-le-vaccin-de.html
Le COVID long reste un problème sérieux et mal compris, affectant des millions d’individus même après des mois, voire des années, après l’infection initiale. Cependant, des preuves émergent également concernant un phénomène similaire lié au vaccin COVID, surnommé le “vaccin long”.
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" Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé "
2023-11-22
" Les éditions de l’École Normale Supérieure (ENS) viennent de publier la traduction française d’un livre important de Sergio Sismondo, professeur de philosophie des sciences et des techniques à la Queen’s University de Kingston au Canada, intitulé Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma. Elles ont eu de surcroît la bonne idée de le mettre intégralement en accès libre en ligne. [NDLR Le voici inséré ici :] "
La suite de l'article ici:
https://nouveau-monde.ca/comment-big-pharma-corrompt-la-science-les-medecins-et-les-politiques-publiques-de-sante/
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