" Scandale en Espagne : c’est confirmé! le vaccin Covid a provoqué 9 300 cas d’effets secondaires au Pays-Basque en 2021 et 2022 "
19 mars 2024
" Plus de trois ans après l’arrivée de la pandémie à Coronavirus, l’heure est au bilan. Si dans certains pays, la question des effets secondaires est esquivée par la presse en raison de sa sensibilité, ce n’est point le cas de l’Espagne où ce sujet est ouvertement abordé par la presse locale.
Ainsi, d’après le média basque Deia.eus, 9 300 cas d’effets secondaires ont été enregistrés dans la région d’Euskadi, située au nord d’Espagne entre 2021 et 2022. D’après la même source, ces données ont été obtenues après que deux députés du Parti Populaire et du parti Ciudadanos en ont fait la demande auprès du ministère basque de la Santé.
« Les professionnels de santé et les citoyens ont signalé entre 2021 et 2022 à l’Unité Pharmacovigilance du Service Basque de Santé 11 442 cas suspects de réactions allergiques, la plupart (9 583 cas) en 2021 avec une incidence supérieure chez les femmes (8 472) », rapporte le média basque.
Et d’ajouter : « en tout, 9 294 cas sont liés au vaccin contre le Covid, 8 782 cas enregistrés en 2021 et 512 cas en 2022 et la majorité de ces cas (7 099) ont touché les femmes ». "
" Un rapport critique les « erreurs catastrophiques » commises lors des confinements et met en garde contre une répétition de l’expérience "
19 MARS 2024
" Il y a quatre ans, en mars 2020, les autorités sanitaires ont déclaré que le COVID-19 était une pandémie et l’Amérique a commencé à fermer les écoles, les petites entreprises, à restreindre les rassemblements et les voyages, ainsi que d’autres mesures de confinement pour « ralentir la propagation » du virus.
L’UNICEF a dévoilé sa « salle de classe pandémique », un modèle composé de 168 bureaux vides, chaque siège représentant un million d’enfants vivant dans des pays où les écoles ont été presque entièrement fermées pendant les confinements liés à la pandémie de COVID, au siège de l’ONU à New York, le 2 mars 2021. (Chris Farber/UNICEF via Getty Images)
Pour marquer ce sombre anniversaire, un groupe d’experts médicaux et politiques a publié un rapport intitulé « COVID Lessons Learned », qui évalue la réponse du gouvernement à la pandémie. Selon le rapport, cette réponse a comporté quelques succès notables, ainsi qu’une litanie d’échecs qui ont fait payer un lourd tribut à la population.
Pendant la pandémie, de nombreux gouvernements à travers le monde ont agi de concert pour appliquer des politiques autoritaires en réponse à la maladie, en enfermant les populations, en fermant les écoles et les entreprises, en bouclant les frontières, en interdisant les rassemblements et en imposant divers masques et vaccins. Ce qui était initialement imposé comme des obligations à court terme et des pouvoirs d’urgence accordés aux présidents, ministres, gouverneurs et responsables de la santé s’est rapidement transformé en une expansion à plus long terme du pouvoir officiel.
Même si l’objectif initial des confinements temporaires était de « ralentir la propagation », c’est-àire de permettre aux hôpitaux de fonctionner sans être submergés, il s’est rapidement transformé en une volonté d’arrêter les cas de COVID à tout prix« , a déclaré le Dr Scott Atlas, médecin, ancien membre du groupe de travail de la Maison Blanche sur les coronavirus et l’un des auteurs du rapport, lors d’une conférence de presse tenue le 15 mars.
Publié par le Comité pour la libération de la prospérité (CTUP), le rapport a été coécrit par Steve Hanke, professeur d’économie et directeur de l’Institut Johns Hopkins d’économie appliquée, Casey Mulligan, ancien économiste en chef du Conseil des conseillers économiques de la Maison Blanche, et Philip Kerpen, président du CTUP.
Selon le rapport, l’une des premières erreurs a été l’autorité sans précédent que les fonctionnaires se sont arrogée pour imposer des obligations en matière de santé aux Américains.
« L&rsquotroi de pouvoirs extraordinaires aux agences de santé publique a été une erreur majeure », a déclaré M. Hanke à The Epoch Times. « Il a en effet accordé à ces agences un permis de tromper le public.
Les auteurs affirment que les mesures autoritaires ont été largement inefficaces dans la lutte contre le virus et qu’elles se sont souvent révélées très préjudiciables à la santé publique. "
" Sasha Latypova - Rapport Explosif COMPLET - VFR Doublage Joe Massot - Originel Religiare "
VIDÉO
" Sasha Latypova exprime le détail de son rapport complet sur le complexe militaro-industriel et Big Pharma, nous donnant une perspective irréfutable de la félonie qui sévit aujourd'hui sur Terre, incarnée par les entreprises de Biotechnologie, des services de renseignement US et d'ailleurs, mais rappelle aussi que rien ne se serait passé sans que Trump ne donne lui-même les pleins pouvoirs à ce cartel criminel, faisant de lui la plus grande et la plus macabre supercherie de l'histoire puisque les très nombreuses victimes des injections n'on pu l'être qu'avec son initiative WARP SPEED, n'en déplaise à ses soutiens parmi les "résistants".
Voici une citation d'un livre écrit en l'an 2000 (avant les attentats WTC) qui résumait, en un simple paragraphe, l'état actuel du monde:
<< Étant incapables de lire les Écritures, vous les contestez. Et en me regardant d’en haut, vous ricanez. Mais où situez-vous la sagesse depuis vos tours : au sein de vos chaudrons nucléaires à partir desquels vous produisez les armes effroyables de la fin et les déchets contaminés ? Ou bien dans les eaux souillées par vos produits ? Serait-elle dans vos laboratoires où vous cultivez d’abominables maladies avec les militaires pour exercer votre domination sur les populations ? Se cacherait-elle parmi vos victimes qui meurent chaque jour et que l’on ramasse le long des routes et autour des villes ? La voyez-vous dans vos industries qui détruisent les sites, l’air, l’eau, les animaux en grand nombre, les semences et le climat ? Habiterait-elle parmi ces peuples qui, voulant vous suivre, sont appauvris et ébranlés sur leurs bases, et désormais semblables à des squelettes sur pieds ? Est-ce la sagesse ou votre immense vanité qui vous fait croire que vous êtes au-dessus du Créateur, et que vous pouvez à votre guise changer sa création par des manipulations de gènes, de cellules et d’embryons ? Insensés ! Vous ne pensez qu’à faire des chimères et des machines de mort ! Vous ne professez que la catastrophe et le néant, parce que vous n’êtes que les enseignants du mensonge et les fournisseurs de visions démoniaques desquelles sortent la violence, l’insensibilité et les moyens de l’extermination. >>
" Cette putain d'ARNm et sa Spike mortifère continuent de me détruire ! Trop de fatigue, trop de faiblesse. Je n'arrive plus à travailler sur mes livres, à me lever le matin. L'encéphalomyélite myalgique post #vaccin gagne du terrain. Et pourtant je me bats pour exister encore !… "
" Enfin un film qui décrypte comment on a empêché d’ utiliser l’hydroxychloroquine pour le #COVID19. "
22 mars 2024
" C'est nous les gentils !
Enfin un film qui décrypte comment on a empêché d' utiliser l'hydroxychloroquine pour le #COVID19.
Enquête americaine fouillée en anglais mais sous titrée en francais.
Impressionnant !
Merci @DarkiFranky !
Thank you @BrokenTruthTV !… pic.twitter.com/xH2ecHmiDl
— Didier Raoult (@raoult_didier) March 19, 2024
Epidemic of Fraud, doublage en français.
Le film primé Epidemic of Fraud explore les étranges attaques médiatiques, médicales et politiques partisanes lancées contre une classe d’anciens médicaments, racontées par le point de vue d’un ancien journaliste de CNN et vétéran de l’industrie hollywoodienne. Pourquoi ceux qui ont permis que le désastre des opiacés se déroule sans contrôle étaient-ils si désireux de discréditer un médicament plus sûr que l’eau tonique ? Le réalisateur John Davidson vous emmène dans une machine à remonter le temps audiovisuel jusqu’en 2020 pour révéler les connaissances interdites que nos responsables médicaux, universitaires et politiques cherchent désespérément à vous cacher.
" Epidemic of Fraud – réaction du Pr Raoult « un film à voir sans faute – ils ont été aussi stupides chez nous que chez vous !» "
23 mars 2024
2 VIDÉO S dont une traduite
" Debriefing spécial sous forme d’échange avec le Professeur Didier Raoult et John Davidson le réalisateur du film documentaire « Epidemic of Fraud » que l’on peut voir sur www.epidemicoffraud.com. Un film de deux heures qui retrace l’histoire de l’hydroxychloroquine, de son utilisation, de ses usages depuis de nombreuses années.
Le Professeur Raoult a vu le film et il paraissait intéressant de faire un débriefing pour avoir son avis sur cette nouvelle production et aussi ajouter quelques précisions si besoin est. Pour le professeur Raoult, ce film est à voir par tous, car il documente de manière très claire ce qu’il s’est réellement passée.
Une des questions évidentes est pourquoi donc le gouvernement français n’a pas autorisé ce traitement malgré les études de l’IHU et l’expérience avec cette molécule qui ne présente pas de profil de toxicité depuis des décennies.
Pour le Prof. Raoult, « nous avons perdu beaucoup de crédibilité médicale auprès des pays africains en essayant de dire que l’hydroxychloroquine était toxique ». Il évoque aussi l’étude sur les données des 30 423 patients soignés par l’IHU intégré au CHU de Marseille.
Sollicité par le réalisateur du film, Xavier Azalbert présente les résultats de l’étude Lounnas et al auquel il a participé en tant qu’économétricien. Ils concluent à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19. Alors que la première étude concluait à la supériorité sans appel de la bithérapie en diminuant de 58% le passage en soins intensifs et décès. Cette seconde étude est probablement la plus importante, car elle arrive à relier la vaccination avec les traitements précoces et les auteurs concluent que « la vaccination antérieure (à la maladie) a un effet aggravant sur la maladie dans nombreux cas, soulevant ainsi la question de la pertinence et de la légitimité de la vaccination de masse ». Cette étude est unique puisqu’elle allie la pluridisciplinarité scientifique qui devient critique pour l’analyse des données médicales. Dans le cas présent, la cohorte de l’IHU est la seule qui permette, après traitement statistique, de mesurer les interactions entre la maladie, la vaccination et les traitements précoces.
En sus, Xavier présente les estimations sur le nombre de vies qui auraient pu être sauvées avec la systématisation des traitements précoces : 90 000 pour la France et plus de 4 millions pour le monde. Une estimation basse.
Débriefing en anglais, une version sous-titrée et doublée en français est à venir prochainement. "
" Avec Etienne Chouard et Corinne Lalo, face au danger du nouveau traité de pandémie de l’OMS, les citoyens s’organisent "
Publié le 22 mars 2024
VIDÉO
" Dimanche 10 mars, rencontre avec Corinne Lalo et Etienne Chouard, à l’o ccasion d’une conférence-débat dans la commune de Massy (Essonne). Une journée pour évoquer le traité de l’Organisation mondiale de la Santé qui prévoit de nouvelles dispositions pour les prochaines crises pandémiques. A la fin de la conférence, et à l’initiative de Martin Loizillon, par petit groupes, les participants ont échangé sur les divers sujets de société liés au projet politique de l’OMS. "
" Corinne Lalo aux rencontres citoyennes internationales de Vierzon "
VIDÉO
" Nous avons échangé quelques mots avec Corinne Lalo aux rencontres citoyennes internationales autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins.
Dans son livre "le grand désordre hormonal", elle indiquait déjà que les effets indésirables étaient tout à fait prévisibles, ils étaient dans les dossiers des essais cliniques que la justice a forcé les fabricants à publier, alors qu'ils voulaient attendre 75 ans pour les rendre publics.
Elle revient sur son reportage sur le H1N1 (voir vidéo recheck de fevrier 2023).
Les nano particules, qui sont normalement interdites, pénètrent dans les cellules ce qui rend plus compliquée la détoxication. Il n'y a jamais eu d'essai car on connaissait leur toxicité.
"les nano particules vont provoquer des cancers, les labos feront des vaccins ou médicaments pour soigner ces cancers...c'est le sketch des guignols".
Les adjuvants sont des molécules chimiques qui n'existent pas dans la nature. "comment des autorités peuvent mettre en danger la population?"
Il faut empêcher les états de déléguer leur souveraineté à l'OMS "
Peter Daszak est un virologiste britannique qui préside EHA, Eco Health Alliance (une ONG basée à New York City) et collabore avec le WIV (Wuhan Institut of Virology) depuis 2004 : il a publié 18 articles avec Shi Zhengli qu’il a rencontrée en 2006 [25]. D’après Science, le NIH a financé à hauteur de 3,7 millions de dollars EHA pendant 5 ans entre 2014 et 2019 (une partie de la somme a été envoyée au WIV et ce contrat a été renouvelé en 2019 jusqu’en 2026).
En avril 2013, EHA soumet une demande de financement aux NIH qui est acceptée, le projet commence en juin 2014 et doit se terminer en mai 2019, les expériences doivent se dérouler au WIV (sous la supervision de Shi Zhengli qui sera salariée de EHA) .
Ce projet consiste à créer un virus chimère artificiel à partir de virus de chauve-souris et de prédire sa capacité à infecter l’homme ; la génétique inverse sera employée. La protéine Spike des virus proches du SARS de 2003 est modifiée au niveau de sa liaison au récepteur ACE2 de différentes espèces animales et pour d’autres récepteurs. Des cellules humaines en culture et différents animaux seront infectés par les virus obtenus.
Ralph Baric donne sa caution scientifique au projet Entre 2014 et 2017 Shi et Baric vont construire des virus chimères de plus en plus proches du SARS- CoV-2. Ils ont uni leurs connaissances concernant d’une part la liaison de la spike (la clé) au récepteur ACE2 (la serrure) (Shi) et d’autre part les sites de type furine (le bras qui ouvre la porte) (Baric) PMID: 26063432.
Ces expériences confirment le rôle crucial de l’adaptation à l’ACE2 humain et de la présence de site de clivage par des protéases humaines (dont le site furine) pour l’infectivité et la pathogénicité des coronavirus. ] Shi et Baric publient ensuite dans le prestigieux Nature Medicine . Il s’agit de la création d’un virus chimérique par génétique inverse : une protéine spike d’un virus possédant naturellement la capacité de se lier à l’ACE2 humain est caractérisée chez un virus de chauve-souris trouvé en Chine, et insérée dans un « squelette » de virus adapté aux souris. "
" Traité Pandémies de l'OMS : UN COUP D’ÉTAT MONDIAL ? "
" La Dr. Meryl Nass, spécialiste des armes biologiques et lanceuse d'alerte à la pointe du combat* contre le "Traité sur les #pandemie " de l' #oms , nous donne toutes les clés, enjeux et deadlines :
- pour comprendre pourquoi ce Traité est une menace politique mondiale imminente
- pour partager autour de soi et alerter le plus grand nombre.
Interview en anglais sous-titrée français par KAro pour BAM! "
Le principe de la vaccination repose sur la croyance dans le caractère nocif et contagieux des bactéries et des virus, alors que le corps héberge en permanence des dizaines de milliers de bactéries et un million de milliards de virus (ou plus exactement d’« eomes »). Plusieurs des articles suivants tendent à démontrer que la théorie des germes et sa fille, la théorie virale, sont fallacieuses.
Les entreprises pharmaceutiques gagnent des milliards avec les vaccins et pseudo vaccins.
Un autre paradigme médical se dessine, basé sur la nature électromagnétique et vibratoire du corps autant que biochimique et sur l’idée fondamentale que la maladie découle en premier lieu de déséquilibres (par excès et/ou déficiences) dans un ou plusieurs plans de la vie humaine (physique, chimique, vital, affectif, émotionnel, mental, psychique… et même spirituel). "
" COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU COLLECTIF VÉRITÉ COVID 19 "
26 mars 2024
" Nouvelles révélations américaines sur l’origine du covid-19
Emmanuel Macron pouvait-il l’ignorer ?
A la suite des révélations du Major Joe MURPHY, membre du Marine Program Liaison de l’Office of Naval Research sur les origines du covid-19 de nouvelles questions se posent sur l’implication d’Emmanuel Macron, son gouvernement, son « conseil scientifique » et l’INSERM :
E. MACRON, a-t -il menti sur la véritable origine du covid-19 pour créer la peur dans la population, faire adopter ses lois liberticides et instaurer un contrôle social ?
E. MACRON, a-t -il agit en concertation avec Anthony FAUCI, directeur du NIAID américain (National Institute of Allergy and Infectious Diseases), notamment en dissimulant que les masques et les injections d’ARNm étaient inefficaces et que seuls les traitements précoces à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine fonctionnaient ?
Document au format pdf de 224 pages ci-dessous : "
" Ceux qui ont été « vaccinés et boostés » peuvent avoir une « empreinte immunitaire » qui ignore les nouveaux vaccins "
PUBLIÉ 25 MARS 2024
" Une étude de l’Université de Washington (UW) a révélé que les personnes ayant reçu au moins trois doses de la version originale du vaccin à ARNm contre le COVID-19 ont subi une forte empreinte immunitaire.
Par conséquent, lorsqu’ils ont été vaccinés avec les dernières injections d’ARNm anti COVID-19 XBB.1.5, les receveurs n’ont produit que peu ou pas d’anticorps spécifiques au variant XBB.1.5.
On parle d’empreinte immunitaire lorsque des infections ou des vaccinations antérieures laissent une mémoire immunitaire si forte que l’organisme continue à produire des cellules immunitaires et des anticorps ciblant l’expérience immunitaire antérieure, même lorsqu’il est exposé à un nouveau variant ou à un nouveau vaccin.
Le Dr Stanley Perlman, immunologiste et microbiologiste à l’université de l’Iowa, a déclaré à Epoch Times : « L’empreinte immunitaire pourrait poser un problème si la personne n’était pas en mesure d’organiser une réponse immunitaire utile contre une nouveau variant ». Il n’a pas participé à l’étude.
Bien que cela n’ait pas été le cas dans cette étude, la plupart des anticorps produits après la vaccination ciblaient le variant initial du COVID-19 et non le XBB.1.5.
Des résultats surprenants
« L’empreinte n’est pas un concept nouveau, mais la situation que nous examinons semble tout à fait unique », a déclaré dans un communiqué de presse David Veesler, titulaire d’un doctorat en biologie structurale, professeur et président du département de biochimie de l’université de Washington et chercheur à l’Institut médical Howard Hughes.
L’empreinte immunitaire est un phénomène bien connu qui peut se produire avec d’autres infections et virus.
Les nouvelles infections grippales, distinctes des variants précédents, peuvent surmonter l’empreinte des vaccinations et des infections grippales.
Cependant, dans l’étude de l’UW, l’empreinte immunitaire a persisté même chez les personnes infectées par les nouveaux variants omicron.
« C’est complètement différent de ce que nous savons du virus de la grippe », a déclaré M. Veesler.
« L’empreinte immunitaire persiste après de multiples expositions aux pics Omicron par la vaccination et l’infection, y compris après la vaccination de rappel XBB.1.5, ce qui devra être pris en compte pour guider les vaccinations futures », écrivent les auteurs.
Plus de 20 personnes ayant reçu au moins trois vaccins à ARNm du variant de Wuhan ont participé à l’étude. La plupart d’entre elles avaient été infectées par le COVID-19 avant et après l’apparition de l’omicron.
En plus des vaccins à ARNm originaux, la plupart des participants ont reçu le rappel bivalent ou le rappel XBB.1.5. Au moment de l’étude, tous les participants avaient reçu entre quatre et sept injections.
Les auteurs ont constaté que la plupart des anticorps produits après l’inoculation de l’ARNm XBB.1.5 étaient les plus aptes à neutraliser le variant initial du COVID-19 de Wuhan.
Les anticorps avaient la deuxième plus grande puissance de neutralisation contre le variant omicron BA.2.86. Les anticorps étaient les troisièmes plus puissants contre le XBB.1.5 chez les personnes ayant reçu le vaccin XBB.1.5.
Ces anticorps présentaient une réactivité croisée, c’est-àire qu’ils pouvaient également se lier à d’autres variants, y compris les variants XBB.1.5.
Cependant, il n’y avait que peu ou pas d’anticorps spécifiques au XBB.1.5.
Certaines personnes ont produit de nouvelles cellules immunitaires qui reconnaissaient uniquement le XBB.1.5. Toutefois, sur les 12 participants évalués, seuls cinq avaient des cellules immunitaires qui reconnaissaient le XBB.1.5 mais pas le variant de Wuhan.
« La plupart des anticorps rappelés par les vaccins de rappel actualisés ont une réaction croisée et contribuent à bloquer les nouveaux variants, ce qui est une bonne chose. Mais pourrions-nous faire encore mieux ? La réponse est très probablement oui », a déclaré M. Vessler.
2 raisons possibles
« Il existe deux hypothèses principales concernant ce que nous observons », a déclaré M. Veesler dans le communiqué de presse, « et je ne sais pas encore laquelle des deux options l’explique ».
L’une des hypothèses est que les habitants de Seattle, d’où proviennent la plupart des échantillons, ont été exposés au virus si souvent – principalement par la vaccination, mais aussi par l’infection – qu’ils ont développé des anticorps et des cellules de mémoire immunitaire préférables au virus d’origine.
« Les habitants de Seattle, dont je fais partie, se sont tellement conformés à la loi », a déclaré M. Veesler. « Nous avons été exposés à de très nombreuses reprises au cours des quatre dernières années par le biais de la vaccination et nous avons généralement contracté au moins une infection. Et il est très inhabituel d’avoir autant d’expositions en si peu de temps – jusqu’à sept doses de vaccin dans la cohorte que nous avons analysée. »
Une autre raison est que le vaccin à ARNm crée un effet d’imprégnation immunitaire plus robuste que les vaccins précédemment connus. Les auteurs citent une autre étude selon laquelle l’inoculation de virus morts du COVID-19 a réduit l’effet d’imprégnation immunitaire chez l’homme.
« Les vaccins inactivés induisent une réponse immunitaire plus faible, de sorte qu’il y a moins de possibilités que la réponse soit biaisée [en faveur d’un variant] », a déclaré le Dr Perlman.
« Il se peut que les vaccins à ARNm aient été si efficaces et aient suscité des réponses immunitaires si fortes que l’empreinte soit plus forte que ce que nous avons l’habitude de voir avec les vaccins contre d’autres virus tels que le virus de la grippe », a déclaré M. Veesler. "