" Les vaccins n'ont jamais contribué à l'éradication des maladies
La plus grande FRAUDE de l’histoire de la médecine est le mythe de l’éradication des maladies infectieuses grâce aux vaccins ???????? qui auraient sauvé et continuent de sauver des millions de vies dans le monde. "
" La FDA perd sa guerre contre l'ivermectine, elle devra supprimer tous ses posts et directives incitant à arrêter la prescription d’ivermectine pour prévenir et traiter le COVID-19 "
26 mars 2024
" Dr Pierre Kory, Président et Chief Medical Officer de FLCCC revient dans ce debriefing sur l’accord transactionnel obtenu avec la FDA (Federal Drug Administration) au sujet de la prescription d’ivermectine dans le cadre de la prévention et du traitement de la covid.
C’est par un communiqué de presse que FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance) a annoncé qu’un règlement avait été conclu entre la Food and Drug Administration (FDA) et les plaignants dans une affaire révolutionnaire déposée devant un tribunal fédéral pour décider si la FDA a violé son autorité en tant qu’agence fédérale de santé en disant au public d’arrêter de prendre de l’ivermectine, un médicament sûr, bien étudié et éprouvé pour la prévention et le traitement du COVID-19.
Dans le règlement, la FDA a accepté de supprimer les publications sur le site Web et les médias sociaux qui font des déclarations sur l’utilisation de l’ivermectine pour le COVID-19. Sa publication la plus connue étant celle expliquant que "vous n'êtes pas un cheval, vous n'êtes pas une vache, soyez sérieux, arrêtez"
« Nous sommes extrêmement satisfaits du résultat de l’accord, car il s’agit d’une victoire pour tous les médecins et tous les patients des États-Unis », a déclaré Paul E. Marik, M.D., FCCM, FCCP, plaignant dans l’affaire, directeur scientifique de la FLCCC Alliance (FLCCC) et ancien chef de la médecine pulmonaire et des soins intensifs à l’Eastern Virginia Medical School.
" Les personnes ayant reçu le vaccin de Moderna courent un plus grand risque de développer une maladie chronique : Étude "
27 MARS 2024
" Selon des chercheurs danois, les personnes qui ont reçu le vaccin contre le COVID-19 de Moderna ont un risque plus élevé de développer de l’urticaire chronique.
L’examen par l’Agence danoise des médicaments de données provenant du Danemark et de l’Union européenne a validé un signal de sécurité concernant l’urticaire chronique et le vaccin Moderna, a déclaré l’agence le 20 mars.
Sur les 360 cas signalés en Europe à la suite de l’administration du vaccin Moderna ou Pfizer-BioNTech, 58 ont été considérés comme probablement causés par la vaccination et 228 comme possiblement causés par la vaccination, a déclaré Martin Zahle Larsen, de l’Agence danoise des médicaments, dans un communiqué.
La plupart des cas ont été signalés par des patients, des médecins ou des sociétés pharmaceutiques.
L’étude a montré qu’au Danemark, on s’attendait, sur la base des taux de base d’urticaire chronique, à ce que 175 personnes ayant reçu l’injection de Pfizer souffrent d’urticaire chronique après la vaccination et que 18 personnes ayant reçu l’injection de Moderna soient confrontées à ce problème.
Alors que les 105 cas signalés après la vaccination par Pfizer ont été inférieurs au nombre attendu, les 55 cas signalés après la vaccination par Moderna ont été bien supérieurs au nombre attendu.
Le risque de développer une urticaire chronique a été calculé comme étant trois fois plus élevé chez les personnes ayant reçu Moderna que dans la population générale. Les chercheurs ont également stratifié le risque en fonction du sexe et de l’âge et ont constaté que le risque était le plus élevé – 5,2 fois plus élevé que le taux de base – chez les jeunes hommes.
La plupart des cas d’urticaire chronique sont survenus entre 7 et 13 jours après la vaccination.
Les résultats de l’étude constituent la validation d’un signal de sécurité, c’est-àire un signe qu’un ou plusieurs vaccins provoquent un problème de santé spécifique, ont déclaré les autorités danoises dans un document décrivant les résultats.
M. Larsen a toutefois déclaré aux médias danois que des études supplémentaires étaient nécessaires pour confirmer un lien et que les scientifiques pensaient que les cas étaient dus à l’impact du vaccin sur le système immunitaire. "
" L'initiative suisse de reconstruction analytique exige : il faut enquêter sur la période Covid !
Les immenses dégâts causés par les mesures lors du Covid, notamment par les injections d'ARNm, apparaissent de plus en plus clairement. L'initiative populaire suisse « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 » veut faire toute la lumière sur les événements de l'époque du Covid en créant une "commission d'enquête extraparlementaire".
VIDÉO
14 03 2024
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Quelques mois après l'introduction des vaccins Covid, la base de données du CDC, l'agence américaine de contrôle des maladies, était déjà pleine de décès dus à la vaccination. Julian Assange est en prison pour avoir révélé des crimes de guerre, mais les criminels de guerre courent toujours.
Et c'est pourquoi nous demandons maintenant une enquête indépendante sur la période du Covid. C'est pour cette raison que nous avons lancé l'Initiative populaire fédérale « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 (initiative de reconstruction analytique) ». La question est de savoir ce que veut l'Initiative populaire fédérale « Reconstruction analytique des dessous de la pandémie de COVID-19 ». Ce que nous voulons, c'est d'une part une commission d'enquête indépendante, c'est-àire qui ne soit pas composée de personnes ayant déjà participé d'une manière ou d'une autre à des mesures ou ayant été fonctionnaires ou autres. Ensuite, nous voulons un tribunal spécial et nous voulons une amnistie pour les personnes qui ont été injustement condamnées. Et nous voulons aussi que les fabricants de vaccins assument les dommages causés par les vaccins. "
" Une épidémie de tromboses et de cancers parmi les jeunes, les vaccinés malades doivent savoir s’ils ont toujours la Spike vaccinale dans leur organisme "
Publié le 28 mars 2024
" Conséquence de l’injection (et du SV 40 cancerigène), d’un covid long, des deux. IL FAUT SAVOIR pourquoi se multiplient tromboses et cancers. La spike vaccinale a été retouvée 8 mois aoprès l’injection chez des personnes classées covid long sans avoir eu la covid
Mensonge flagrant selon lequel la spike vaccinale a disparue rapidement après le vaccin (ARNm ET J&J, AZ !). SPike a été trouvée 8 mois après le vaccin chez des personnes présentant des symptômes de type Long Covid. Il semble tout à fait irresponsable de lancer actuellement davantage de vaccins à ARNm alors que les problèmes de santé potentiels liés à la SPique de longue durée ne sont pas résolus.
Cette équipe américaine a peut-être trouvé un test pour détecter les dommages à long terme causés par les vaccins
Persistance de la protéine spike S1 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours chez les personnes vaccinées post-COV19 contre le SRAS-CoV-2 présentant des séquales post-aiguës de symptômes de type COV19 (PASC)
Des rapports précupants ont fait état de personnes présentant de nouvelles complications persistantes (plus de 30 jours) à la suite des vaccins approuvés contre le SRAS-CoV-2 (BNT162b2 (Pfizer), ARNm-1273 (Moderna), Janssen (Johnson et Johnson) et ChAdOx1 nCoV- 19 (AstraZeneca)).
Nous avons cherché à déterminer les anomalies immunologiques chez ces patients et à déterminer si l’étiologie potentielle était similaire aux séquelles post-aiguës du COVID (PASC) ou au COVID long.
Nous avons étudié 50 personnes qui ont reçu l’un des vaccins COVID-19 approuvés et qui ont présenté de nouveaux symptômes de type PASC, ainsi que 45 personnes post-vaccination sans symptômes comme témoins. "
" Des documents secrets révèlent que l’agence de santé publique allemande avait prévenu que les mesures de confinement causaient plus de mal que de bien"
28 MARS 2024
" À la suite d’une longue bataille juridique, l’agence de santé publique allemande, l’Institut Robert Koch (RKI), a publié les protocoles confidentiels qui montrent que le RKI était conscient que « les confinements causent plus de mal que de bien » et que les preuves pour « rendre les masques obligatoires étaient insuffisantes. »
Le RKI a exprimé ses inquiétudes en 2020 quant au fait que la fermeture de la société allemande pourrait entraîner une augmentation de la mortalité infantile et d’autres conséquences négatives. Les experts du RKI se sont également opposés à la mise en place de masques FFP2, estimant qu’il n’y avait pas suffisamment de données pour soutenir une telle mesure.
« Une communication active serait judicieuse pour expliquer clairement pourquoi le RKI ne recommande pas cette mesure », note le procès-verbal concernant la mise en œuvre des réglementations relatives aux masques FFP2. L’agence indique même dans le procès-verbal qu’elle informerait le public qu’elle ne soutient pas la réglementation sur les masques FFP2, mais elle ne l’a jamais fait malgré les manifestations massives contre les masques obligatoires et d’autres mesures sévères.
Les 2 500 pages de documents contiennent également un passage notant que les experts ont averti que les confinements pourraient « faire plus de mal que de bien », les experts citant les confinements en Afrique et les résultats négatifs qui y ont été observés.
Les documents ont révélé que les hommes politiques allemands ont dramatisé la situation, contrairement aux avis des experts. Ils ont vraisemblablement agi de la sorte pour mettre en œuvre des mesures coercitives et restreindre les droits fondamentaux. Des voix s’élèvent aujourd’hui pour réclamer la publication du reste des documents, car plus d’un millier de passages sont encore expurgés, ce qui représente un tiers du texte total des notes de réunion de la « cellule de crise » prises entre février 2020 et avril 2021. "
" Vaccins Covid: chez Pfizer on émettait secrètement des doutes dès 2021
Un lanceur d'alerte muni d'une caméra cachée révèle les inquiétudes de scientifiques du groupe pharma au sujet de la technologie ARNm. "
19 mars 2024
" Un ancien journaliste de Project Veritas, organisation devenue célèbre pour ses nombreuses révélations obtenues en caméra cachée, vient de publier des enregistrements inédits de scientifiques de Pfizer discutant leurs inquiétudes au sujet des vaccins Covid.
Infiltré comme employé chez Pfizer, c’est à la fin 2021 que ce journaliste, Justin Leslie, a réalisé ces enregistrements; or ils n’ont été publiés ni par Project Veritas, ni par James O’Keefe, le directeur de Project Veritas à l’époque (qui a depuis fondé une nouvelle organisation de lanceurs d’alertes).
Ces enregistrements viennent seulement d’être publiés par Liam Cosgrove et via le journaliste lui-même. Et ils créent déjà la sensation.
Des vaccins expérimentaux et “sournois”
Dans un premier extrait daté du 6 octobre 2021, la scientifique de Pfizer Kanwall Gill, lorsque M. Leslie lui pose en caméra cachée la question de savoir s’il est éthique et prudent d’administrer une deuxième dose du vaccin ARNm, dit la chose suivante:
Nous sommes dans une période étrange. Nous ne savions même pas, lorsque nous avons commencé, je dis aux gens, nous n’avions aucune idée de ce à quoi ça allait ressembler. Les vaccins ARNm existent depuis 50 ans, mais ne sont jamais arrivés aux essais cliniques. Parce que les vaccins ARNm sont connus pour avoir des effets secondaires. Moderna y travaille depuis 10 ans; ce n’est pas une nouvelle chose. Mais la raison pour laquelle on n’est jamais arrivé aux essais cliniques, c’est à cause de tous ces effets secondaires. Pfizer et Moderna ont utilisé l’urgence et la pandémie pour, en quelque sorte, le faire passer maintenant.
Puis le journaliste lui demande: “donc on ne pouvait pas obtenir l’autorisation de la FDA [ndlr: administration américaine des aliments et médicaments] jusqu’à ce qu’on ait cette urgence, n’est-ce-pas? On devait essayer quelque chose de nouveau?”.
Mme Gill hoche alors la tête, et M. Leslie d’ajouter: “Pourquoi n’avons-nous pas essayé une formulation de vaccin qui a été efficace par le passé, comme ce qu’on fait avec des œufs pour les vaccins contre la grippe?”.
Mme Gill répond alors:
Oui, donc, dans ce cas on ne l’a pas fait car on avait déjà une collaboration avec BioNTech sur la grippe, avant même que le Covid arrive. Donc l’ARNm … ce qui s’est passé, l’histoire derrière le démarrage c’est parce que le type de BioNTech, Ugur Sahin, le PDG de BioNTech, a téléphoné à Kathrin Jansen [ndlr: ex-responsable de la recherche et du développement des vaccins chez Pfizer], et lui a dit qu’il avait cette technologie, et qu’il n’avait pas les ressources pour la développer en grand. Donc Kathrin lui dit “et bien, nous avions une collaboration en place pour la grippe”. Donc, nous voulions essayer. Il y a un nouveau truc ARNm … personne ne savait rien dessus. Nous n’avions jamais fait cela. Tout était neuf depuis l’année dernière. Tout à été fait à la volée. Pandémie, juste déploie-le, déploie-le, déploie-le. "
" CoViNet : l’OMS avance peu à peu sur ses projets de gouvernance sanitaire mondiale "
" Si l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait déclaré la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale liée à la Covid-19 le 5 mai 2023, elle a récemment lancé CoViNet, un nouveau réseau dédié à la surveillance et à l’évaluation des coronavirus, y compris le SRAS-CoV-2, le MERS-CoV et d’autres nouveaux coronavirus potentiellement dangereux. Selon l’OMS, cette initiative vise à renforcer la coordination mondiale pour détecter, surveiller et évaluer précocement ces agents pathogènes. Tout est dit, peu à peu, l’OMS continue à négocier le futur traité sur les pandémies qui lui permettra d’élargir au plus vite ses prérogatives à « l’échelle mondiale » avec « une seule santé », une ébauche de traité sur les pandémies, et la réforme du Règlement sanitaire international (RSI). Le traité pose la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie.
L’OMS (Organisation mondiale de la santé) poursuit son agenda sous l’influence de ses financeurs. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé, mercredi, un nouveau réseau pour les coronavirus, CoViNet, afin de faciliter et de coordonner l’expertise et les capacités mondiales pour la détection. Le réseau comprend actuellement 36 laboratoires de 21 pays des six Régions de l’OMS. Alors que la situation sanitaire s’est améliorée en raison de l’immunité accrue de la population. Comme à son habitude, l’OMS continue à réinsuffler la peur du covid dans la population.
CoViNet, un réseau mondial pour détecter les coronavirus
L’OMS vient de lancer CoViNet, un réseau mondial de lutte contre les coronavirus CoViNet. Ce nouveau réseau s’appuie sur le réseau de laboratoires de référence COVID-19 de l’OMS, initialement créé pour se concentrer sur le SRAS-CoV-2. Toutefois, il élargira son champ d’action pour inclure d’autres coronavirus, reconnaissant ainsi l’importance de la surveillance globale de ces agents pathogènes. Selon l’OMS, le réseau comprend actuellement 36 laboratoires de 21 pays des six Régions de l’OMS "
" La médecine corrompue par l’argent : l’interview de Christian Perronne par Stéphan Bureau
Quel bilan faire de la pandémie, quatre ans plus tard ? Le Dr Christian Perronne est au nombre de ceux qui conservent un goût très amer de cet épisode et, plus encore, estime que les autorités, en France et ailleurs, ont menti aux citoyens. Sa parole, respectée et sollicitée pendant de nombreuses années dans les grands médias, est aujourd’hui disqualifiée. « Du jour au lendemain, j’ai basculé dans la trappe des charlatans. » "
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cupants ont fait état de personnes présentant de nouvelles complications persistantes (plus de 30 jours) à la suite des vaccins approuvés contre le SRAS-CoV-2 (BNT162b2 (Pfizer), ARNm-1273 (Moderna), Janssen (Johnson et Johnson) et ChAdOx1 nCoV- 19 (AstraZeneca)).