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La SFGG réagit au décret du 28 mars : « Non, prescrire du Rivotril® ne revient pas à euthanasier les patients âgés » (Communiqué de presse)
Rédigé par La SFGG "
Publié le samedi 4 avril 2020
" La Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG), aux côtés des autres spécialités (en raison du nombre important de cas graves chez les personnes âgées infectées) réagit, par l’intermédiaire de son président, Olivier Guérin, Professeur de Gériatrie au CHU de Nice, au décret du 28 mars.
« Non, il ne s’agit absolument pas d'un cautionnement de l’euthanasie ! » s’émeut Olivier Guérin. « L’usage du Rivotril n’est pas facilité, il faut toujours respecter le même protocole pour sa prescription, y compris lorsqu’il est appliqué comme sédatif pour des patients en soin palliatif. C’est seulement son accès qui est facilité car auparavant il ne pouvait être fourni que par les pharmacies hospitalières. Le décret applique la même chose pour le paracétamol intraveineux. »
« Dans cette crise majeure et angoissante que nous vivons, nous ne pouvons laisser véhiculer de tels messages qui laisseraient entendre que nous euthanasions nos aînés. Nous gériatres, sommes au front depuis le premier jour de cette épidémie. Nous déployons chaque jour des efforts considérables pour sauver nos patients âgés avec les moyens et les ressources que nous avons à notre disposition. Il serait faux, mensonger et attentatoire de dire que ce décret légaliserait l’euthanasie auprès des patients âgés atteints du COVID-19 ».
La situation est extrêmement tendue et douloureuse pour les patients âgés en Ehpad, à domicile ou à l’hôpital qui sont infectés par le COVID-19 du fait de leur fragilité :
« Pouvoir évaluer, prescrire, surveiller et réévaluer nos patients tant en institution qu’en ville permettra de soulager efficacement le patient ». Bien sûr, cette prescription est et sera encadrée par des référents gériatriques dans chaque territoire pour aider et accompagner les médecins généralistes dans leur décision. « Il est bien entendu hors de question de faire de la sédation sur des patients qui nécessiteraient une hospitalisation, ou en dehors d’une évaluation clinique rigoureuse avec une décision autant que possible partagée ». « Administrer du Rivotril à un patient ne veut pas dire arrêter les soins. Il s’agit, au contraire, lorsque la situation se dégrade et dans certaines circonstances d’un accompagnement pour soulager sa souffrance en le plaçant dans une sédation lorsque la détresse respiratoire devient insupportable, mais il ne s’agit certainement pas, encore une fois d’un médicament destiné à pratiquer une euthanasie. L’asphyxie en fin de vie est inacceptable ».
Les gériatres hospitaliers, au travers des dispositifs de hotlines installées sur les territoires, sont au service des médecins coordonnateurs d’EHPAD et des médecins traitants en EHPAD et en Ville, afin de les aider au mieux dans cette prise de décision partagée.
" Tous les vaccins recombinants et leurs adjuvants – et pas seulement les vaccins contre la COVID-19 – sont désormais impliqués dans un scandale de contamination de l’ADN
" L'Allemagne touchée pour la première fois par le Mpox, alors qu'un premier cas en Europe aurait été détecté en Suède le 15 août dernier.
L'Institut national de santé publique allemand (RKI) a confirmé, ce 22 octobre, la détection d'un premier cas d'infection au nouveau variant du virus Mpox dans le pays.
«Le 18 octobre 2024, une infection à Mpox due à la nouvelle "clade 1b", acquise à l'étranger, a été détectée en Allemagne», affirme RKI dans un communiqué.
Toutefois, l'autorité sanitaire estime que le risque pour la santé publique en Allemagne était «faible», et qu’elle ne prévoyait pas pour le moment de risque accru lié au virus dans le pays.
L'institut assure surveiller de près la situation et adapter, le cas échéant, son évaluation et ses recommandations en fonction des données disponibles.
Par ailleurs, RKI a expliqué que la présence de Mpox en Allemagne était jusqu'à présent principalement liée à l’ancienne souche «clade IIb», dont les premiers cas avaient été identifiés dans le pays en mai 2022.
À ce jour, environ 3 800 cas d'infection de cette ancienne souche ont été signalés par RKI, dont la majorité (environ 3 700 cas) entre le début de l'été et l'automne 2022. Aucun décès n'a été enregistré en Allemagne jusqu'à présent.
" Vaccin Novavax contre la COVID-19 : ce qu’il faut savoir "
28 septembre 2022
" Le Groupe consultatif technique pour les autorisations d’utilisation d’urgence (TAG-EUL) a émis une autorisation d’utilisation d’urgence pour les vaccins Covovax (NVX-CoV2373) et Nuvaxovid (NVX-CoV2373) contre la COVID-19 les 17 et 20 décembre 2021, respectivement.
Le vaccin de Novavax sera produit dans deux structures différentes. En Europe, le vaccin sera fabriqué sous le nom commercial « Nuvaxovid » et a été approuvé par l’Agence européenne des médicaments ; en Inde, le vaccin sera fabriqué par le Serum Institute of India sous le nom commercial « Covovax » et a été approuvé par le Drugs Controller General of India, l’organisme national indien de réglementation.
Le Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS (SAGE) sur la vaccination a publié des recommandations provisoires sur l’utilisation du vaccin de Novavax (NVX-CoV2373). On trouvera dans le présent article un résumé de ces recommandations provisoires.
Aux fins du présent article, le vaccin sera appelé Novavax (NVX-CoV2373).
Les documents d’information sont également disponibles ici (en anglais).
" En automne 2021, d’étranges cas de cancer se sont multipliés
En automne 2021, j’ai remarqué un changement dans l’apparition du cancer du sein dans mon travail de routine à l’hôpital. Je voyais plus souvent que d’habitude des tumeurs chez des patientes plus jeunes, souvent âgées de 30 à 50 ans, et je voyais plus de tumeurs à croissance rapide et donc des tumeurs plus grosses. Il y avait le plus souvent non pas une, mais plusieurs tumeurs simultanées dans un sein. Le cancer du sein semblait également se développer plus souvent dans les deux seins en même temps. J’ai également remarqué qu’il y avait apparemment plus de récidives chez les patientes qui avaient guéri du cancer du sein auparavant. Il s’agissait alors d’une croissance tumorale très rapide avec une dissémination tout aussi rapide de la tumeur dans tout le corps, ce que j’ai constaté à plusieurs reprises quelques mois après la vaccination anti-covid à ARNm (désormais « Corona », pour raccourcir).
Comme je voyais un lien entre ces tumeurs « d’un genre nouveau » et la vaccination contre la Covid-19 (appelée par la suite, pour simplifier, vaccination Corona), j’ai signalé de nombreux cas à l’agence suédoise des médicaments. En outre, j’ai essayé de trouver des collègues germanophones lors de la deuxième conférence de pathologie à Berlin afin d’infirmer ou de confirmer mon hypothèse de ce que j’ai appelé le « turbo-cancer » après la vaccination Corona. Je voulais lancer une étude à grande échelle. Mon objectif était d’arrêter toutes les vaccinations Corona avant que cette question ne soit résolue. Malheureusement, il ne s’est trouvé qu’un seul collègue pathologiste autrichien intéressé pour répondre à mon appel. À deux et surtout en plus de l’activité clinique quotidienne, un tel travail n’était pas gérable. "
" Alexandra Henrion-Caude, repentie sorcière ou opposition contrôlée ? "
Publié le samedi 1 avril 2023
" Sympathique coup de projecteur de l’abruti de l’espace intersidéral Thomas Pesquet à l’endroit de madame Alexandra Henrion-Caude. Lui doit-elle pour la raison qu’il est un Young Leader de la French-American Foundation, à l’instar de Pierre Kosciusko-Morizet, lui-même proche collaborateur du mari de madame, Alexis Caude ?
Tiens, je suis bloqué par cette personne, que je ne suivais pas, qui ne me suivait pas, avec qui je n’ai absolument jamais interagi d’une quelconque manière ni sur Twitter ni ailleurs, et dont j’ignorais l’existence jusqu’à hier. Pourquoi ce blocage préventif, à votre avis ? "
" Vaccination par ARNm : rôle des réponses des cellules T régulatrices "
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" ÉTUDE DE DERNIÈRE HEURE – Résultats auto-immuns et nélasiques après la vaccination par ARNm : le rôle des réponses des cellules T régulatrices
Lorsqu’un antigène stimule le système immunitaire, des sous-populations spécifiques T régulatrices (Treg) et T effectrices (Teff) se développent à partir de cellules T naïves. Un déséquilibre entre les cellules Treg et Teff peut conduire soit au cancer, soit à l’auto-immunité. Les cellules Treg sont bénéfiques dans la mesure où elles protègent de l’auto-immunité. Cependant, ils suppriment la réponse immunitaire aux tumeurs. Dans cette revue, nous analysons les réponses Treg après la vaccination par l’ARNm du SRAS-CoV-2 et trouvons des pathologies distinctes.
L’injection d’ARNm modifié peut conduire à une réponse immunitaire retardée mais très active, entraînant une suractivation de l’inflammasome. Le « vaccin » à ARNm induit une très forte réponse en anticorps IgG, tout en supprimant l’activation des lymphocytes T CD8+.
Les eomes distribuent la protéine de pointe synthétique recombinante et l’ARNm qui la code dans tout l’organisme.
Chez les patients cancéreux, la progression de la maladie dépend du point de départ du patient atteint de cancer au moment de l’injection et du type de traitement anticancéreux en cours.
La migration des cellules dendritiques et des cellules Treg circulantes vers le thymus, alors qu’elles transportent la protéine Spike, endommage les cellules épithéliales thymiques médullaires. et accélère l’involution thymique, cause directe de l’inflammation et de l’immunosénescence.
En résumé, les réponses des Treg aux injections d’ARNm et à l’expression ultérieure de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 codée par l’ARNm peuvent perturber les capacités immunitaires, entraînant un développement accéléré de maladies auto-immunes et de cancer.
Les processus discutés ici sont cohérents avec les résultats épidémiologiques et les rapports de cas.
• Une pléthore d’incidences de maladies auto-immunes sont survenues après le déploiement des injections d’ARNm contre la COVID-19.
• Des cas de cancer agressif sont survenus dans le corps des receveurs aux sites où l’ARNm a été injecté et à des sites métastatiques éloignés. "
" Turbo-cancers, maladies auto-immunes et pathologies neurologiques survenant après la vaccination ARNm anti-Covid "
29 octobre 2024
" Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d’en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d’une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C’est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre… l’hiver. Jusqu’à quand la cécité, voire la corruption la plus échevelée ? Bonne lecture.
AIMSIB
Résumé : Le fait que les vaccins ARNm anti-covid provoquent des «turbo-cancers» a été présenté par les médias mainstream comme une «fake news» (par exemple ici France Culture en octobre 2023). C’est pourtant une réalité empirique. La docteure Ute Krüger est spécialiste en pathologie avec 25 ans d’expérience professionnelle. Elle a travaillé comme médecin-chef dans le service de pathologie clinique de plusieurs hôpitaux suédois. Depuis que ces injections ont été rendue obligatoires et administrées en masse, elle a observé une augmentation des cancers très agressifs («turbo-cancers»), des maladies auto-immunes et des maladies neurologiques. Elle présente ici le résultat de ses observations cliniques et de son enquête. "