" Rand Paul dépose une plainte pénale contre le « menteur invétéré » Fauci "
Publié 1 août 2023
" Le sénateur Rand Paul a déposé une plainte pénale auprès du Département de la Justice, affirmant qu’Anthony Fauci a menti sous serment au sujet de la recherche sur le gain de fonction à Wuhan, financée par les NIH de Fauci.
Paul a transmis des copies d’échanges de courriels datant de 2020, dans lesquels Fauci confirme qu’il savait que « des scientifiques de l’université de Wuhan sont connus pour avoir travaillé sur des expériences de gains de fonctions ». "
" Coronavirus : le Sénégal vante les effets de la chloroquine, chiffres à l'appui "
Publié le 02/05/20
" Les autorités sénégalaises ont dit ce dimanche leur intention de continuer à prescrire l'hydroxychloroquine aux malades du Covid-19 après une analyse préliminaire montrant une réduction de la durée d'hospitalisation, alors que le pays fait face à une augmentation constante de cas.
Elles ont aussi, devant cette hausse continue, annoncé leur décision de ne plus hospitaliser systématiquement les malades qui présenteraient pas ou peu de symptômes, mais de les isoler dans des sites ouverts à cet effet, afin de soulager les hôpitaux. Elles ont aussi décidé samedi soir de fermer les marchés de Dakar les samedis et dimanche et de réduire leur fréquence en semaine.
Les autorités sanitaires ont officiellement déclaré 1 115 cas de contamination et neuf décès au cours des deux mois depuis la confirmation de l'apparition du virus le 2 mars, selon un nouveau bilan communiqué dimanche. "Le constat majeur est que l'épidémie ne faiblit pas", a dit à la presse le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr.
Il a assuré que la pandémie restait sous contrôle. Mais il a souligné qu'en un mois le nombre de cas avait "plus que quintuplé" et que la transmission se produisait de plus en plus par une voie plus inquiétante et dite communautaire, c'est-àire sans lien établi entre les nouveaux cas et ceux déjà décelés.
Face à la pandémie, le Sénégal a tôt fait le choix de suivre l'exemple du professeur français Didier Raoult et de généraliser la prescription, en milieu hospitalier, de l'hydroxychloroquine, antipaludique disponible sur le marché, au coeur d'une querelle internationale d'experts quant à son efficacité et son inocuité. Le professeur Moussa Seydi, l'infectiologue qui coordonne la prise en charge des contaminés au Sénégal, a présenté les résultats d'une analyse "préliminaire" montrant que, sur 181 patients, la durée médiane d'hospitalisation était de 13 jours pour les malades n'ayant reçu aucun traitement, 11 pour ceux ayant reçu de l'hydroxychloroquine seule, 9 pour ceux ayant reçu de l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine (antibiotique), et même 8 pour ceux ayant consulté tôt et démarré le traitement dans les 24 heures.
Selon cette analyse portant cette fois sur 362 sujets, des effets secondaires, non précisés, ont été observés chez 12 personnes, a-t-il dit. Le traitement a été maintenu pour 4 d'entre elles parce que les effets n'étaient pas "gênants", et arrêté pour les 8 autres, mais il n'y a eu "aucun effet secondaire grave" et tous les signes ont régressé à la fin du traitement, a-t-il rapporté.
"Vu ces résultats préliminaires, nous allons continuer notre prise en charge avec l'hydroxychloroquine", a-t-il dit. "
" Un virus et un vaccin... pour le prix de "un" ?!
Ou les étonnantes origines du Sars-CoV-2 et des injections géniques à ARN messager présentées avec insistance comme des vaccins... "
" Je vous présente Marion, française, 29 ans, maman, aimant la natation le ski et les sorties le week-end. Assistante administrative à la CPAM, elle a été contrainte de recevoir 3 injections Pfizer pour garder son travail.
Deux heures après la troisième (fin 2021), son cauchemar commence... Victime d'un malaise avec une tachycardie sévère 188 bpm, hypertension à 20/10 et une saturation à 87, mal de tête atroce avec une vision floue d'un coup. Elle ne tient plus sur ses jambes, gros vertiges avec acouphènes omniprésents...
Son mari appelle les pompiers, les urgences prennent Marion pour une folle en disant qu’elle fait une dépression (le « c’est dans la tête » once again…). Ils lui ont alors perfusé du tramadol, acupan, laroxyl, anxiolytique etc., ce qui a encore aggravé son état.
Les jours passent et les symptômes s’amplifient, d'autres apparaissent notamment des gros soucis digestifs (remontées acides, diarrhées, malabsorption des aliments) très handicapant encore aujourd'hui...
Marion a également développé une maladie auto-immune de la thyroïde (maladie de Basedow).
Elle a en outre d'énormes hématomes sur le corps surtout sur les jambes, des inflammations horribles. Elle ne peut plus se servir de ses bras par moments, ayant l'impression d'avoir des tendinites géantes...
Aujourd'hui 20 mois après le début, Marion souffre chaque jour de céphalées de tension, d’inflammations intenses, de douleurs horribles dans les membres inférieurs, de malaises posts efforts qui surviennent sans prévenir, l'empêchant de conduire et de reprendre le travail, de tachycardie, de problèmes intestinaux et aussi d'énormes angoisses.
Comme elle le dit, sa vie à basculé du jour au lendemain à cause d'un vaccin qui l'a détruite physiquement, moralement. Elle n’a plus de travail ni de vie sociale...
" Les vaccins infantiles liés à l'augmentation de la mortalité toutes causes confondues "
" Une étude révèle que les pays développés qui pratiquent le plus de vaccinations sur les nourrissons ont les taux de mortalité infantile les plus élevés, contredisant les hypothèses selon lesquelles plus de vaccins équivaut à moins de décès. Les données suggèrent que des effets secondaires pourraient augmenter la mortalité toutes causes confondues.
Les pays développés nécessitant le plus de doses de vaccin néonatal ont tendance à avoir les pires taux de mortalité infantile, selon une étude évaluée par des pairs, publiée le 20 juillet dans Cureus Journal of Medical Science.
"Les autorités sanitaires soulignent que les vaccins sauvent des vies", a déclaré l'auteur principal, Neil Miller, à The Defender. "Pourtant, nos données suggèrent que lorsque les pays développés imposent deux doses de vaccin néonatal contre zéro, ou plusieurs contre quelques-uns, pendant la petite enfance, il peut y avoir des conséquences imprévues qui augmentent la mortalité toutes causes confondues."
Miller, directeur de l'Institute of Medical and Scientific Inquiry de Santa Fe, au Nouveau-Mexique, étudie ce sujet depuis le début des années 2000. Dans un article de 2011 avec le même co-auteur - Gary S. Goldman, Ph.D., un informaticien indépendant - ils ont montré que les pays développés pratiquant le plus de vaccinations pour les nourrissons avaient les taux de mortalité infantile les moins favorables.
En 2021, ils ont reproduit ces résultats en utilisant des données mises à jour, et plus tôt cette année, ils ont répondu aux critiques provoquées par leurs découvertes.
Dans leur dernière étude, Miller et Goldman ont élargi la portée de leurs analyses antérieures pour examiner les effets de deux vaccins - l'hépatite B et la tuberculose - tous deux généralement administrés peu après la naissance.
L'étude a calculé l'effet de ces injections sur les taux de mortalité des nouveau-nés (jusqu'à 28 jours après la naissance), des nourrissons (jusqu'à 1 an) et des enfants de moins de 5 ans. Les analyses étaient toutes basées sur des données distinctes de 2019 et 2021.
Les données sur la mortalité et les calendriers de vaccination ont été recueillis auprès de l'UNICEF, de l'Organisation mondiale de la santé et des gouvernements nationaux.
Les nations ont été classées en fonction du nombre de doses de vaccin néonatal (zéro, une ou deux) obligatoires pour les nouveau-nés; afin de déterminer s'il existait des différences statistiquement significatives dans les taux de mortalité pour les trois groupes d'âge.
Après avoir appliqué des analyses statistiques standard aux données, l'étude a montré une forte association entre les vaccinations et les taux de mortalité néonatale, infantile et des moins de 5 ans, pour les deux années étudiées.
"Nos résultats seraient considérés comme des corrélations modérées statistiquement significatives", a déclaré Miller. Les corrélations sont positives, ce qui signifie que plus il y a de doses de vaccin administrées, plus la mortalité est élevée.
« Dans ces circonstances, les autorités sanitaires s'attendent à voir des corrélations négatives, c'est-àire une baisse de la mortalité avec plus de doses de vaccin. Ainsi, toute corrélation positive statistiquement significative est une véritable précupation », a déclaré Miller.
Miller a calculé une différence hautement significative de 1,28 décès pour 1.000 naissances vivantes dans les taux moyens de mortalité infantile entre les pays qui n'administrent aucune dose de vaccin à leurs nouveau-nés et ceux qui doivent être vaccinés à la fois contre l'hépatite B et la tuberculose.
Pour chaque réduction de six doses de vaccin administrées pendant la petite enfance, le taux de mortalité infantile s'est amélioré d'environ un décès pour 1 000 naissances vivantes.
Une caractéristique de la bonne science est la possibilité de tester ses conclusions, une pratique que Miller et Goldman ont suivie ici. Pour valider leurs conclusions, les chercheurs ont appliqué 18 analyses statistiques différentes aux données. C'est comme utiliser plusieurs angles de caméra différents pour confirmer si une balle de tennis a touché la ligne ou était sortie.
Diept des 18 traitements statistiques ont confirmé la conclusion initiale selon laquelle plus il y a de vaccins administrés, plus les taux de mortalité infantile et de la petite enfance sont élevés.
Mortalité néonatale et mortalité toutes causes confondues
Dans la plupart des pays, plus de la moitié de tous les décès de nourrissons (au cours de la première année) surviennent pendant la période néonatale (les 28 premiers jours de la vie), et environ 75 % de ces décès surviennent dans la semaine qui suit la naissance lorsque les vaccins contre l'hépatite et la tuberculose sont administrés. "
" Depuis le 1er janvier 2018, les parents sont contraints de faire administrer non plus 3 mais 11 vaccins à leurs enfants. L’obligation, mais également la crainte d’effets secondaires possibles inquiètent de plus en plus. De son côté, le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, reste totalement fermée au dialogue. Serge Rader, pharmacien spécialiste des vaccins, pousse un cri de colère pour qu’un véritable débat scientifique puisse avoir lieu, sans la mainmise des laboratoires pharmaceutiques. "
" En février, Michèle Rivasi, députée européenne et spécialiste des questions de santé environnementale au Parlement européen, avait obtenu le droit de projeter un film sur les vaccins au Parlement européen de Bruxelles, suivi d’un débat, en présence notamment du Pr Luc Montagnier (Prix Nobel de médecine), du Dr Antonietta Gatti (chercheuse), du Pr Stefano Montanari (qui a analysé, avec le Dr Gatti, la présence de nanoparticules de métaux lourds dans les vaccins)…
Elle avait également invité le Dr Andrew Wakefield, chirurgien britannique qui avait émis l’hypothèse, en 1998, d’une possible relation entre vaccination effectuée avec le vaccin combiné ROR (contre la rougeole, les oreillons et la rubéole) et l’autisme. Il est également le réalisateur du film Vaxxed (1), qui devait être projeté et qui dénonce une fraude scientifique visant à dissimuler les dangers du vaccin ROR orchestrée par le CDC (centre américain de contrôle et de prévention des maladies).
Quelques semaines avant la date réservée, un « bruit » a circulé annonçant que la projection était censurée et annulée. C’est alors que les rumeurs les plus folles, menaces de mort, attentat à la bombe, ont couru.
Le but de cette projection n’était pas d’entrer dans un débat politique mais, selon Michèle Rivasi, « uniquement de discuter de questions importantes comme les conflits d’intérêts et la sécurité vaccinale ». Alors, bien qu’abandonnée par beaucoup, Mme Rivasi a décidé de louer à Bruxelles une salle privée, où la projection et le débat ont eu lieu avec le Dr Wakefield. Tout s’est passé sereinement, chacun ayant pu dire ce qu’il avait à dire et faire part de ses connaissances et découvertes. Le Pr Montagnier en a profité pour faire une extrapolation à partir des données américaines officielles : pour le moment, 1 enfant sur 45 est autiste aux Etats-Unis mais, en suivant la courbe actuelle, en 2032 on devrait en compter 1 sur 2 ! Les chiffres en France ne sont pas connus mais on peut estimer à présent le nombre à 1 enfant sur 68.
La projection de Vaxxed était prévue également en France mais la maire de Paris, Mme Anne Hidalgo, l’a également censurée. Les organisateurs ont malgré tout, comme à Bruxelles, ainsi qu’à Londres, loué un espace afin que les manœuvres vaccinales soient portées à la connaissance du public.
Mais, déjà lors de sa sortie aux Etats-Unis en avril 2016, ce film, que l’acteur Robert De Niro devait présenter au festival du film Tribeca, à New York, a été immédiatement censuré. On peut se poser légitimement la question : pourquoi un film relatant un scandale planétaire ne peut pas voir le jour ? Etant donné l’augmentation grandissante de l’autisme dans le monde entier, ce film devient une nécessité : pour preuve, il commence à être projeté dans des pays comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande où, contrairement à l’Europe, il a été bien accueilli. "
" Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ? "
3 août 2023
" Les écouvillons des tests PCR, seraient-ils conçus pour implanter l’Hydrogel DARPA dans votre corps ???
À prendre avec prudence, mais aussi avec attention : des nouvelles très inquiétantes de la Slovaquie, où le personnel de l’hôpital de Bratislava a mené une enquête sur les tests PCR. Ils ont conclu que les tests de coton-tige, qui sont insérés par le nez jusqu’au cerveau, sont conçus pour implanter le DARPA Hydrogel dans votre corps.
Au vu de toutes les références évoquées sur les recherches de la DARPA* (militaires US) il y a en tous cas lieu d’être inquiet sur ce que ces fous aux moyens financiers énormes ont comme projets !
L’analyse a été réalisée au cours des mois de novembre 2020 à mars 2021 sur des écouvillons de test en sets : SD Biosensor, Abbott et Nadal, dans un laboratoire hospitalier sans nom à Bratislava, en Slovaquie, pour des raisons de sécurité. Voici le lien vers l’étude complète et approfondie au format PDF. Même un profane comme moi peut le comprendre.
Et quiconque possède au moins un microscope scolaire standard et un microscope de test peut vérifier les informations concernant les écouvillons de test publiés ici. Toutes les informations sur les bâtonnets de test, l’hydrogel DARPA et le lithium sont accessibles au public dans les travaux scientifiques et commerciaux. Voir les liens au bas du document PDF et au bas de cet article. "
" On veut vous vacciner ? Montrez cette vidéo à celui qui vous demande cela. Ensuite demandez à votre médecin une prise de sang pour détecter les D-dimères dans le sang. Leur présence est normale, mais à taux faible, et leur dosage permet en cas d'augmentation importante, de détecter la présence d'un caillot de sang ou thrombus. Avant le vaccin, puis après chaque dose. Et écoutez bien ce que ces médecins ont constaté, et les conséquences ! "
" Révélation explosive : Pfizer exercerait une forte pression pour faire taire les lanceurs d’alerte qui révèlent ses fraudes "
3 août 2023
" D’après une révélation faite par le journaliste d’investigation américain Lee Fang, Pfizer s’active d’arrache-pied pour faire tomber la loi dite « False Claim Act » qui permet au gouvernement américain de sanctionner très sévèrement les entreprises impliquées dans des affaires de corruption. Les lanceurs d’alerte qui les dénoncent sont, quant à eux, récompensés
Pfizer et les géants pharmaceutiques agissent-ils dans l’ombre pour museler tout lanceur d’alerte qui détiendrait des informations gênantes sur leurs pratiques malsaines? Difficile de répondre à cette question. Mais, d’après une révélation faite en novembre dernier par un très grand journaliste américain, c’est bien le cas.
En effet, en novembre 2021, le journaliste Lee Fang, connu aux Etats-Unis pour avoir déjà fait trembler des hommes politiques de premier plan, a révélé, dans un article publié sur le site The Intercept, que le tout-puissant laboratoire Pfizer exerce une forte pression pour museler les lanceurs d’alerte.
D’après les informations obtenues par le journaliste, Pfizer et d’autres géants pharmaceutiques mènent, en catimini, une guerre sans merci contre une loi dite « False Claim Act » qui a vu le jour lors de la Guerre Civile américaine et qui est destinée à récompenser les lanceurs d’alerte qui révèlent des affaires de fraude et de corruption contre des grosses boîtes. La loi a déjà rapporté au gouvernement américain 67 milliards de dollars, d’après le journaliste.
Mais, selon Lee Fang, cette loi provoque des maux de tête à Pfizer qui, en 2009, a dû payer 2,3 milliards de dollars d’amende pour fraude. Exaspéré, le laboratoire américain a donc décider de tout faire pour flinguer cette loi qui, si elle n’est pas abrogée, pourrait lui coûter très cher, notamment en cette période de pandémie.
Et il est fort probable qu’il y arrive. Car, d’après la source, depuis quelques années, Pfizer a recruté de redoutables hommes politiques et des puissants cabinets d’avocat dans l’unique but d’affaiblir considérablement la loi. D’après les informations obtenues par Lee Fang, il n’y a pas que Pfizer pour s&rsquoposer à cette loi. Il y a aussi d’autres géants pharmaceutiques tels que AstraZeneca, Merck, Genentech et Amagen.
Ces 5 laboratoires ont un point commun : ils ont tous été lourdement condamnés par la loi « False Claim Act » pour fraude.
Pour lire la révélation dans sa version intégrale, cliquez ici : The Intercept "