" RÈGLEMENT (UE) 2020/1043 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
du 15 juillet 2020
relatif à la conduite d’essais cliniques avec des médicaments à usage humain contenant des organismes génétiquement modifiés ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou prévenir la maladie à coronavirus (COVID-19), ainsi qu’à la fourniture de ces médicaments
(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE)
LE PARLEMENT EUROPÉEN ET LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE,
vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, et notamment son article 114 et son article 168, paragraphe 4, point c),
vu la proposition de la Commission européenne,
après transmission du projet d’acte législatif aux parlements nationaux,
après consultation du Comité économique et social européen,
après consultation du Comité des régions,
statuant conformément à la procédure législative ordinaire (1),
considérant ce qui suit:
La maladie à coronavirus (COVID-19) est une maladie infectieuse causée par un coronavirus nouvellement découvert. Le 30 janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a qualifié la flambée d’urgence de santé publique de portée internationale. Le 11 mars 2020, l’OMS a qualifié la COVID-19 de pandémie. "
" COVID, revue de la presse scientifique internationale , efficacité des « vaccins », dangerosité, vous avez le droit d’être intelligent et d’aller à la source de l’info "
Publié le 4 septembre 2023
" Les dernières semaines furent exceptionnellement riches en informations scientifiques sur la Covid les injections ARNm, leurs effets secondaires et les traitements .
Nous savons maintenant faire la différence entre la protéine virale et celle qui découle de l’injection d’ARNm (1,2) . La preuve est faite que six mois et même deux ans après la piqure, elle est présente dans l’organisme et se multiplie . Le mystère des covids longs ne serait alors qu’un effet secondaire de plus de la piqure.
Nous avons une confirmation majeure, non soignée la covid peut faciliter l’explosion des infections bactériennes (3)qui sont à l’origine de 50% des décès attribués à la covid. Interdire les antibiotiques fut un crime! De nouvelles études prouvent enfin l’efficacité des modulateurs inflammatoires (HCQ de Raoult) et de l’ivermectine . Souvenez vous surtout de la FDA américaine qui reconnait son erreur d’avoir combattu l’ivermectine…(4)
Dans les pays où l’info est plus libre que chez nous , les statistiques officielles interpellent , c’est le cas en Angleterre (5), la surmortalité explose chez les vaccinés et l’accès aux statut vaccinal des personnes décédées constitue LA preuve, tout comme les autopsies
De très nombreuses études confirment enfin la perturbation du système immunitaire , surtout des plus jeunes et la multiplication des maladies immunes. Le lien avec les injections est malheureusement évident.
1 Il est possible de différencier la protéine spike vaccinale de la virale et de savoir enfin laquelle est responsable des covid longs et des accidents graves de santé "
" Entre 1939 et 1945, environ 300 000 malades et handicapés mentaux ont été assassinés sous couvert d’« euthanasie » dans les territoires allemands. Les opérations baptisées « Aktion T4 » et « Aktion 14f13 » constituent les aspects les plus connus de cette politique. Cet article retrace l’historique de la théorie des « vies indignes d’être vécues », décrit son application radicale et meurtrière du temps du national-socialisme dans le Reich allemand et dans les territoires occupés, distingue les différentes formes de mise en œuvre du programme d’« euthanasie », rappelle qui furent ses acteurs et leurs motifs, et s’efforce de préserver la mémoire des victimes. "
" On n'oubliera jamais, jamais les collabos de services tel que Didier Bourdon, Emmanuel Lechipre, Michel Leclerc (https://t.co/JsDvHsgmLY), Joe Star !!!
Donc #Boycott du film "L'homme parfait" de #DidierBourdon, #BoycottLeclerc
2/n pic.twitter.com/zJsHjGMRcV "
— InDiaVeritas, ▁▂▃▄▅▆▇ 100% (@InDiaVeritas) July 2, 2022 "
" Le CDC et la FDA ont ignoré une enquête de l'armée américaine montrant que les vaccins échouaient dès janvier 2021
De nouveaux documents FOIA obtenus par ICAN montrent que le CDC et la FDA ont ignoré une enquête de l'armée américaine montrant que les vaccins échouaient dès janvier 2021.
Humetrix Cloud Services a été engagé par l'armée américaine pour analyser les données relatives aux… "
" La célèbre mannequin argentine Silvina Luna (43 ans) s'est envolée pour Miami en 2021 pour administrer les vaccins Covid, qui ne sont pas encore disponibles en Argentine. En juin 2023, elle était dans un coma artificiel en soins intensifs et nécessitait une dialyse. morte "
" Covid en Afrique : accusée d’avoir falsifié des chiffres, l’OMS est expulsée de la Guinée-Equatoriale "
6 septembre 2023
" Une information à ne jamais oublier.
En 2020, la seule et unique représentante de l’OMS en Guinée-Equatoriale avait été expulsée de ce pays pour avoir falsifié des données liées au Covid
La Guinée-Equatoriale a expulsé la seule représentante de l’OMS dans ce pays plus de deux semaines après l’expulsion de trois représentants de l’organisation internationale par le gouvernement du Burundi le 13 mai dernier
L’Organisation Mondiale de la Santé passe de sales temps en Afrique depuis le début de la pandémie. En effet, très décriée par les populations africaines qui l’accusent de vouloir vacciner une grande partie de la population du continent en vue de les contrôler, l’organisation est désormais déclarée persona non grata dans deux pays.
Ainsi, après avoir été expulsée du Burundi le 13 mai, elle vient d’être expulsée de la Guinée Equatoriale, nous apprend-t-on. Cette information a été confirmée par l’OMS, elle-même, dans un communiqué de presse publié ce 4 juin dans lequel on pouvait lire : « Le ministère équato-guinéen des Affaires étrangères et de la Coopération a informé le Bureau régional de l’Afrique que sa représentante, Tiphonie Nkurunziza, doit quitter Malabo sans délai. L’OMS juge cette décision regrettable ».
Pour le moment, les dessous de cette affaire restent un mystère. Cependant, à en croire l’Organisation Mondiale de la Santé, l’expulsion de la représentante de l’OMS est due à une affaire de falsification de données sur le nombre de Covid-19. Des falsifications que l’institution internationale nie catégoriquement.
« L’OMS dit n’avoir falsifié aucune donnée »
« Il y a eu une mésentente sur les données que l’OMS est prête à clarifier. L’OMS souhaite souligner que Nkurunziza n’a pas falsifié les données de Covid-19 », s’explique l’organisation dans le même communiqué, ajoutant que l’institution sera toujours prête à aider le pays si elle le nécessite.
Lecourrier-du-soir.com a tenté, par tous les moyens, d’obtenir des informations sur les vraies raisons de cette expulsion. Cependant dans un régime aussi fermé que celui de la Guinée-Equatoriale, c’est mission impossible. Notre rédaction vous fournira davantage d’informations sur cette affaire dès qu’elle en saura plus. "
" Un diluant "dangeureux" présent dans certains vaccins anti-Covid-19 ? Entretien choc avec Patrick Jaulent "
Publié le 05 septembre 2023
" Patrick Jaulent est docteur en électronique, diplômé d'une université américaine, conférencier international et ancien directeur d'une agence de cybersécurité. Auteur de l'ouvrage "Dilutions mortelles en toute impunité ?", publié en autoédition (2023), cet expert en criminalité électronique interroge sur la présence d'un "diluant" catégorisé comme "dangereux" dans les vaccins anti-Covid-19. Une révélation qu'il étaye sur la base de documents issus d'administrations officielles, notamment américaines, dont la FDA (Food and Drug Administration) ou la BARDA (Biomedical Advanced Research and Development Authority). "
VIDÉO
" Cette présence précupante ne doit rien au hasard, selon Jaulent. Son origine s'expliquerait en premier lieu par la dénaturation du processus de contrôle et d'évaluation des risques des produits médicamenteux issus de l'industrie pharmaceutique aux États-Unis.
Selon ce spécialiste en cybercriminalité, une volonté politique se serait mise à l'œuvre pour faire évoluer les lois relatives à la régulation du secteur. Conséquence ? Une déresponsabilisation des laboratoires vis-à-vis de l'utilisation ou l'injection de leurs nouvelles molécules, vaccins ou autres thérapies. Autrement dit, les industriels se retrouveraient à l'abri de poursuites quant aux effets secondaires de leurs produits.
Une nouvelle affaire sanitaire ?
Patrick Jaulent n'est pas un homme de médias. Son but n'est pas d'occuper les devants de la scène publique. Durant la crise du SARS-CoV-2, il choisit d'enquêter avec discrétion sur la gestion sanitaire de la pandémie. Habitué de par son activité passée au traitement de documents techniques internationaux, difficiles d'accès voire confidentiels (il se forme même à la compréhension du mandarin pour ce faire), Patrick Jaulent développe très rapidement une approche qui se détache de la doxa à propos du Covid, des vaccins et de l'origine du coronavirus.
Dès le début de l'année 2021, il évoque le rôle trouble de l'Organisation non gouvernementale (ONG) EcoHealth Alliance, alors dirigée alors par Peter Daszak, vis-à-vis de la pratique en biologie du gain de fonction, en collaboration avec l'Institut de virologie de Wuhan. Il pointe alors du doigt le comportement de certaines administrations de santé américaines et notamment les responsabilités du Dr Anthony Fauci dans le développement de recherches potentiellement dangereuses dans le domaine de la virologie en Chine.
Des révélations à l'époque qui ont anticipé le déclenchement par la suite de plusieurs scandales outre-Atlantique, partiellement relayés par les médias mainstream. Qu'il s'agisse de l'implication de l'ONG EcoHealth, des responsabilités exactes de Peter Daszak ou d'Anthony Fauci dans le récit présenté à l'opinion publique de la crise sanitaire, voire liées à l'origine même du SARS-CoV-2, les thèmes de ses prises de position ont été depuis évoqués au grand jour. Et font toujours débat.
"Pour ses enfants"
Patrick Jaulent, qui dénonçait dans son précédent ouvrage ("Un monde de menteur", 2021, autoédité) un "sacrifice" de la jeunesse, confinée et contrainte à la vaccination au prétendu profit des personnes fragiles et plus âgées, a été exposé à des menaces à cause de ses propos.
Avec courage, il reprend son travail d'enquête particulièrement appliqué et alerte sur un composé chimique présent d'après ses recherches dans les vaccins anti-Covid-19. Un "diluant" qui aurait un lien "contractuel" avec l'OTAN et le Département de la Défense des États-Unis (DoD).
Un troublant produit qui doit d'après lui faire l'objet d'un débat public, ne serait-ce que pour étudier les risques possible de son utilisation sur la santé humaine. Patrick Jaulent, qui n'a aucun conflit d'intérêts avec le monde de la pharmacie ou du médicament, indique mener cette enquête "pour ses enfants".
Ce citoyen, qui n'est "pas contre les vaccins", veut juste être au courant de leur exacte composition, en toute transparence. "