" ARN messager et Cancers : le poids des mots, le choc des photos "
" Le poids des mots, le choc des photos. Ce slogan de Paris Match des années 80, inventé par Jean Cau, a marqué les esprits. 40 ans plus tard il est toujours aussi pertinent. Ainsi sur les réseaux, on constate qu’un message avec photo obtient 53% de likes, et 104% de commentaire en plus de la moyenne.
Une fois n’est pas coutume, j’ai envie de ne vous présenter qu’une photo à la place d’un texte. Cette photo est une photo postée sur X par Hèlène Banoun. Il faut quand même que je vous explique pourquoi cette photo. Pas pour choquer, elle peut heurter les âmes sensibles, mais parce qu’elle illustre parfaitement un problème nié par la doxa, celui des turbo-cancers. Cette photo est la démonstration parfaite, indiscutable, de ces turbo-cancers induits pas par une vaccination, car on n’avait jamais vu cela avant, mais par l’ARN messager. "
" Covid, super-variant, vaccination, retour du masque... : "Ils continuent leur campagne de peur". Entretien avec le Pr Christian Perronne "
VIDÉO
Publié le 22 septembre 2023
" Le Covid est de retour. C'est en tout cas ce qu'une récente campagne médiatique affirme. Le 1er septembre dernier, France-Info évoque lors de son édition matinale un "super variant" nommé Pirola. Plusieurs journaux reprennent l'expression, comme Le Point ou L'Indépendant. La veille, une dépêche AFP décrit un "nouveau variant du Covid-19, BA.2.86, surveillé attentivement par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS)". Selon la présidente du Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (COVARS), Brigitte Autran, ce variant issu de la famille Omicron inquiète du fait d'un "plus grand nombre de mutations" qui le rendent "susceptible d'évoluer de façon plus importante et de se répandre plus facilement". Mais s'agit-il pour autant d'un "super variant", sous-entendu capable d'être plus redoutable que les autres ? Vraisemblablement pas. "Nous ne nous attendons pas à voir des niveaux comparables de maladies graves et de décès par rapport (...) aux variants Alpha ou Delta", analyse le généticien François Balloux, de l'University College de Londres. Un constat qui est partagé par le professeur Christian Perronne, qui dénonce dans cet Entretien Essentiel un nouvel épisode irrationnel de peur, imposé à la population. "
" Faut-il encore croire aux viru$, à la contagion et aux pand€mi€s ? "
2023-09-23
" Quand on y réfléchit bien, la dérive totalitaire que nous subissons depuis quelques années est presque entièrement fondée sur la triple croyance que :
les viru$ existent et qu’on peut les manipuler pour les rendre plus virulents ;
les viru$ sont la cause des maladies et qu’ils se transmettent par un mécanisme de contagion ;
les pandémies représentent une menace infiniment mortelle pour l’immense majorité des êtres humains vivant sur terre…
De cette triple croyance découle la légitimation de toutes les mesures les plus folles et les plus liberticides, au nom de la protection des populations, leur faisant croire qu’elles ne peuvent en aucun cas compter sur leur immunité naturelle et qu’aucun autre remède n’existe en dehors des vaccins salvateurs…
Dans ce nouveau numéro de la série « On fait quoi maintenant », Jérémie Mercier et Jean-Jacques Crèvecœur ont invité Stefano Scoglio, docteur en philosophie, naturopathe, microbiologiste et médecin homéathe, pour répondre à cette question fondamentale : « Faut-il encore croire aux viru$, à la contagion et aux pand€mi€s ? ». Cette émission est un must pour toute personne qui veut comprendre la racine des maux que nous subissons depuis trop longtemps dans nos sociétés dites développées et civilisées.
Pour prolonger la réflexion, trois lectures vous sont recommandées :
– Virus Mania (éditions Marco Pietteur — Collection Résurgences), dont Stefano Scoglio est un des quatre co-auteurs ;
– Des tortues jusqu’en bas. Vak$in$, science et mythe (même éditeur)
– Pour en finir avec Pasteur (même éditeur), du docteur Éric Ancelet "
" Coup de théâtre en France : 1 200 chercheurs et médecins comparent la vaccination à « une nouvelle religion » "
26 septembre 2023
" Dans une tribune publiée ce 12 décembre 2021 par le site Quartier Général, 1 200 chercheurs et médecins se sont vertement attaqués à la vaccination qu’ils qualifient d’ailleurs (et ironiquement!) de « nouvelle religion en ident »
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’intégralité de la tribune intégrale
« La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.
Les ressorts éculés de la propagande de masse
Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.
Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.
Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.
En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors« s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».
Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.
La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande
La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.
Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge
Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021
Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)
Le premier est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.
Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».
Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020
Source : réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN
Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.
Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l&rsquocurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple ici, ici, ici, ici et là). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?
Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral. » "
" Pour le Gardasil le gouvernement réitère les mensonges de la propagande covid. "
25 septembre 2023
" Par le Docteur Gérard Delépine
Durant la crise covid le gouvernement et les médias ont systématiquement trompé la population en surestimant le danger, en prétendant que les vaccins étaient efficaces, qu’ils pourraient éradiquer la maladie, qu’ils étaient sans danger et qu’en se vaccinant on se protégerait et on protégerait les autres. Depuis l’évolution de l’épidémie a permis à chacun de mesurer l’énormité de ces mensonges.
Depuis que le président a annoncé une grande campagne de vaccination scolaire au Gardasil les ministres, les médias et les agences sanitaires développent une propagande en utilisant les mêmes désinformations pour faire vendre le Gardasil. Les faits avérés suivants démentent leur argumentation marchande.
Non la contamination par les HPV ne constitue pas une maladie.
Il existe près de deux cents souches de HPV et, au cours de sa vie, près de 90% de la population est ou sera contaminée. Mais cette contamination ne constitue pas une maladie car elle ne donne presque jamais de troubles (parfois quelques verrues indolores) et disparait sans traitement en assurant une immunité solide contre la souche concernée. De nouvelles infections avec une souche différente sont possible et favorisée par l’activité sexuelle mais toujours sans signes cliniques. Il s’agit typiquement d’une infection saprophyte (= qui ne rend pas malade et protège contre des germes plus agressifs) comme le staphylocoque blanc sur la peau, les entérocoques dans les intestins et de bacile de Döderlein dans le vagin.
Comme les vaccins covid, le Gardasil, ne peut pas éradiquer les virus HPV
Pour le covid les autorités et les médias avaient prétendu que l’efficacité des vaccins permettraient d’éradiquer le virus ; chacun a pu constater la futilité de cette promesse et les autorités sanitaires ont, depuis, toutes reconnu qu’il fallait « vivre avec le virus ».
Pour convaincre la population de se faire injecter le Gardasil le gouvernement, les médias et même l’INCA 1 proclament à nouveau, contre toute vraisemblance, que l’éradication des HPV serait possible grâce aux vaccins. Mais, comme Il existe près de 200 souches de HPV, que les vaccins ne protègent de l’infection au mieux que 9 d’entre elles, qu’il existe des réservoirs animaliers du virus (entre autres les lapins, les dauphins, les chevaux ou les vaches) et que les virus peuvent muter (comme nous le rappellent constamment la grippe et le covid), la promesse d’éradication des HPV est totalement fallacieuse.
Cette promesse hyper optimiste d’éradication du virus constitue une publicité mensongère pour le vaccin.
Comme jadis le vaccin anti hépatite B, le Gardasil, ne peut pas éradiquer les « cancers avec HPV ».
L’exemple des vaccins anti-hépatite B doit être rappelé. Lorsqu’il était présenté comme prévention de l’hépatite B (qui ne s’attrape que par le sang ou lors de rapports sexuels) il ne faisait pas recette. Les fabricants l’ont alors proposé comme en « prévention des cancers du foie » et ont ainsi réussi à le généraliser avant même son obligation aux jeunes enfants. Mais depuis cette vaccination l’incidence des cancers du foie a été multiplié par 2 à 4 dans les pays occidentaux et a triplé en France. L’exemple du premier vaccin anticancer utilisé en France montre que les beaux espoirs peuvent parfois se transformer en cauchemars.
Les prédictions des défenseurs du vaccin n’ont absolument pas tenu compte de l’évolution des taux de cancer mais seulement de ceux des infections aux HPV des vaccins et des anomalies cytologiques bénignes. Mais infection et anomalies cytologiques bénignes ne sont pas des cancers et n’en constituent pas des témoins fiables de leur probabilité de survenue dans les années à venir (les anomalies de bas degré dites CN1 ne précèdent un cancer que dans 1% des cas, les CN2 que dans 5 % des cas et les CN3 dans 12 % des cas et ce au terme d’une évolution de plusieurs dizaines d’années durant lesquels le passage au cancer invasif peut être prévenu par le dépistage par frottis classique). La disparition spontanée de ces anomalies bénignes constitue la règle générale.
Toutes les « études » prédisant la disparition du cancer du col reposent uniquement sur l’évolution des infections à HPV, et s’appuient la croyance que l’immunité vaccinale durera toute la vie et l’hypothèse que le cancer ne peut pas apparaître sans les virus HPV visés par les vaccins. D’après les courbes de diminution observée des souches HPV qu’ils surveillent (seulement celles des vaccins), ils prétendent prédire la date d’éradication (impossible) du virus et, en ajoutant 10 à 20 ans, celle de la disparition espérée du cancer. A l’incertitude d’une prédiction sur la disparition du virus (qui peut muter ou se faire remplacer par l’une des 190 autres souches de HPV) ils ajoutent celle d’un lien de causalité exclusif non démontré entre HPV des vaccins et cancer. Mais l’évolution observée après vaccination dément jusqu’ici totalement leurs rêves comme nous le verrons plus loin.
Les cancers prétendument du HPV n’en sont pas mais seulement des cancers avec HPV.
La contamination HPV n’effraie, à juste titre, personne. Pour vendre le Gardasil les fabricants du Gardasil et leurs complices brandissent le spectre du cancer et prétendent que certains d’entre eux en seraient la conséquence directe utilisant même le terme de « cancers du HPV ». Or La très grande majorité des cancers ne sont pas dus à une cause unique mais sont multifactoriels. Les cancers prétendument « du HPV » n’échappent pas à cette règle.
Cancer du col de l’utérus.
Avant la mise sur le marché du Gardasil tous les articles recherchant les origines du cancer du col de l’utérus mettaient en évidence de très nombreux facteurs statistiquement liés à sa survenue dont : la précocité des rapports sexuels, leur grande fréquence, le nombre élevé de partenaires, les infections vaginales à bactéries, chlamydias et virus dont l’herpès et les HPV, le tabagisme, le Sida, la prise de traitements immuno- suppresseurs chez les porteurs de greffe, la prise prolongée de contraceptifs, le nombre d’enfants supérieur à 4…Depuis la mise sur le marché du Gardasil les articles sur le sujet parlent plus de ces facteurs étiologiques et ne font que répéter le crédo de big pharma « les HPV sont les seuls responsables » sans en apporter de preuve scientifique réelle.
" Cela fait plus de deux ans qu’avec de nombreux chercheurs, et notamment Laurent Toubiana, nous demandons la diffusion des données de décès français selon le statut vaccinal. La raison est simple : si la vaccination anti-Covid-19 est sûre et efficace contre une maladie mortelle, alors on doit facilement montrer que les vaccinés meurent moins (toutes causes confondues) que les non-vaccinés. Si on découvre que les vaccinés et les non-vaccinés meurent tout autant les uns que les autres, cela prouvera que la vaccination n’a aucun impact significatif sur le plan sanitaire. Si on découvre que les vaccinés meurent davantage que les non-vaccinés, on en déduira que nous avons un sérieux problème de santé publique. En France, les autorités ne sont pas prêtes à prendre le risque de la vérité.
L’Angleterre diffuse de son côté ces données. Une analyse confrontant la part des non-vaccinés dans la population anglaise à la part des non-vaccinés dans les décès anglais finit de détruire le narratif. Toutes les données sont évidemment publiques et en ligne, ce qui permet à tous de tout revérifier.
Lien vers l'étude anglaise : https://thenobodywhoknowseverybody.su...
Lien vers mon Google Sheet pour tout vérfier : https://docs.google.com/spreadsheets/... "
" Des scientifiques s’alarment de leur découverte sur les vaccins ARNm "
Publié le 26 septembre 2023
" Précupations alarmantes chez les scientifiques à propos des vaccins à ARNm contre la Covid-19 de Pfizer et Moderna. Kevin McKernan généticien de renommée internationale, a accidentellement découvert en étudiant certains échantillons que ces vaccins contenaient des fragments d'ADN plasmidique.
Une contamination qui se révèle très largement au-delà des normes établies par les agences de réglementation dont que l'Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA), de 18 à 70 fois supérieure à la limite légale selon Spectator.
De plus, à la vue de ces recherches, McKernan a notamment été alarmé de constater la présence d'un promoteur de l’expression du gène SV40 (Simian Virus 40). Ce promoteur est généralement utilisé pour introduire de l'ADN dans le noyau des cellules, le plus souvent dans le cadre de thérapies géniques. Les agences réglementaires affirmaient pourtant que cela était de l’ordre de l’impossible avec ce type de vaccins.
Le Dr. Phillip Buckhaults, Spécialiste en génomique du cancer, comme d’autres experts, expriment leurs craintes quant à l'impact potentiel de cette contamination d'ADN sur le génome des personnes vaccinées. Ils partagent une forte inquiétude que cette contamination entraine des maladies auto-immunes, voire des cancers, aux conséquences potentielles sur des générations. Le Dr Buckhaults a déclaré lors d'une audience au Sénat de Caroline du Sud
"Il existe un risque très réel que les fragments d'ADN contaminants s'intègrent au génome d'une personne et deviennent un "élément permanent de la cellule."
Ces craintes ont engendré des appels de chercheurs en faveur de recherches urgentes pour déterminer si la contamination d'ADN persiste dans les cellules des personnes vaccinées et si le génome humain a été modifié de manière définitive par les vaccins à ARNm. "
- Présentation d’Alexandra Henrion-Caude
- 2020-2022 : Quelques enseignements
- Bilan de la vaccination
- Inquiétudes liées aux vaccins
- Les traitements
- La censure du débat scientifique
- Communisme digital
- Conclusions
" 600 000 Américains meurent chaque année à cause des injections de COVID, selon le meilleur analyste des assurances
Josh Stirling, ancien analyste principal de Bernstein, tire une conclusion choquante des données de santé du gouvernement britannique. "
" Le nombre de footballeurs de la FIFA décédés subitement au cours de l’année qui a suivi le déploiement du vaccin contre la COVID était 300 % plus élevé que la moyenne des 12 années précédentes. "