" La police orwellienne de Sydney : Nous serons la “source de la vérité”
" Les habitants de Sydney s’interrogent sur les implications de la centralisation de la vérité et de la censure à la suite de l’initiative du gouvernement visant à contrôler le discours en ligne. "
21 AVRIL 2024
" Offrant une nouvelle perspective sur les retombées d’une récente agression à l’arme blanche à Sydney, des habitants ont exprimé leur colère et leur méfiance à l’égard de la police, qui a insisté sur le fait qu’elle devait être la seule à détenir la vérité dans cet incident. Ces sentiments découlent d’une conférence de presse donnée jeudi dernier par Karen Webb, commissaire de police de la Nouvelle-Galles du Sud.
Mme Webb, qui communiquait des informations sur un jeune homme de 16 ans accusé de terrorisme à la suite de l’agression à l’arme blanche de l’évêque Mar Mari Emmanuel de l’église Christ The Good Shepherd, a affirmé que la police était la seule source fiable d’informations. Elle a mis en garde contre la “désinformation”, mais a décidé de ne pas préciser ce à quoi elle faisait allusion.
"…Police will be the source of truth and not social media and misinformation." pic.twitter.com/zA4Y2NKp6r
— Reclaim The Net (@ReclaimTheNetHQ) April 19, 2024
“Je tiens également à souligner que des informations erronées sont diffusées sur les médias sociaux et que les gens ne devraient pas partager ces informations”, a déclaré Mme Webb. “La source d’information doit être la police et les autorités chargées de l’application de la loi. Et si les gens ont des inquiétudes, ils doivent consulter nos sites web, nos réseaux sociaux et toute autre information émanant directement des forces de l’ordre. Si nous disposons d’informations crédibles sur un risque ou une menace pour la communauté, nous le ferons savoir et nous partagerons ces informations avec la communauté. Mais soyez assurés que la police sera la source de la vérité et non les médias sociaux et la désinformation.”
" Australie : le chef des renseignements réclame un accès aux messages chiffrés "
24 avril 2024
" Sydney, Australie - Le chef des services de renseignements australiens Mike Burgess a appelé mercredi les géants technologiques à plus de coopération, leur demandant d'accepter de donner un accès limité aux messages chiffrés, un tabou de longue date.
"Sans leur aide dans des circonstances très limitées et strictement contrôlées, le chiffrement échappe à toute responsabilité", a-t-il souligné.
Selon M. Burgess, le chiffrement des messages a compromis la capacité des services de renseignement à déceler les menaces, et les groupes technologiques auraient le devoir de lever le chiffrement lorsqu'on le leur demande.
Des géants des technologies comme Apple, Google et Microsoft ont précédemment argué que cela représenterait une menace pour la cybersécurité et la vie privée des utilisateurs.
"Le chiffrement est clairement une bonne chose, une chose positive pour notre démocratie et notre économie", a déclaré M. Burgess. Mais "il protège également les terroristes et les espions, les saboteurs et des criminels abominables".
"Je demande, j'exhorte les entreprises technologiques à collaborer avec nous pour résoudre ce problème". "Je ne demande pas de nouvelles lois. Je ne demande pas de nouveaux pouvoirs. Je demande aux entreprises technologiques d'en faire plus".
Il a souligné que les services de renseignements australiens enquêtaient actuellement sur un "réseau extrémiste raciste" utilisant des messageries chiffrées.
"Ce réseau partage une propagande ignoble, donne des conseils sur la fabrication d'armes et discute de la manière de provoquer une guerre raciale", a-t-il déclaré.
Le chef de la police fédérale australienne, Reece Kershaw, a désigné notamment Meta, qui a mis en place un système de chiffrement de bout en bout pour le réseau social Facebook et la messagerie Facebook Messenger.
Le chiffrement de bout en bout empêche les forces de l'ordre d'intercepter les messages, seuls l'expéditeur et le destinataire étant en mesure d'en lire le contenu. "
" La directrice de Radio France, Adèle Van Reeth, avoue : Nous censurons les voix discordantes « climatosceptiques » et « antivax » !
La directrice de Radio France, Adèle Van Reeth, a récemment confirmé que les médias publics ne donnaient pas la parole à ceux qui ne partagent pas leur ligne éditoriale, en particulier sur les questions du réchauffement climatique et de la vaccination. Cette déclaration de Madame Raphaël Enthoven relance le débat sur la liberté d'expression et le rôle des médias publics. "
25 avril 2024
" Dans une interview, Adèle Van Reeth a déclaré que Radio France ne donnait pas la parole aux « climatoceptiques », aux « antivax » et aux « fachos ». Selon elle, en tant que service public, Radio France a pour mission « de servir l’intérêt général » et de « promouvoir certaines valeurs ». Elle a également affirmé que Radio France allait plus loin que France Inter en ce qui concerne la cause écologique, en ne donnant pas la parole aux « cerveaux malades » qui propagent des « thèses complotistes ».
Et tranquille @AdeleVanReeth se vante de censurer les « climato-sceptiques »… avec autorité en plus !
« Servir l’intérêt général ».
Ça ose vraiment tout.
Et @Sonia_Devillers en bonne exécutante de rajouter « évidemment » suite aux propos de sa boss.@franceinter le naufrage. pic.twitter.com/CQYNL5Po4Z
— Eric Morillot (@EricMorillot) April 23, 2024
Cette déclaration est une forme de censure et une atteinte à la liberté d’expression et confirme la dérive totalitaire et contre-productive de la part de Radio France. Adèle Van Reeth a répondu à ces critiques en affirmant que Radio France ne « blacklistait » pas des personnes, mais des idées. Elle a également précisé que tous les journalistes et climatologues étaient les bienvenus sur France Inter, à condition qu’ils ne soient pas des « bouffons du PAF ». La frontière entre les idées et les personnes est souvent floue : cette politique de censure est dangereuse pour la démocratie…
Cette polémique relance le débat sur le rôle des médias publics et leur devoir de neutralité. Les médias publics ne doivent-ils pas donner la parole à toutes les opinions, même celles qui sont minoritaires ou contestées, afin de garantir le pluralisme et la liberté d’expression ?
Les opinions d'@AdeleVanReeth n'ont pas été repris, ni questionnés, ni complétés par la journaliste j'ai donc saisi l'@arcom et le @conseildeonto. La jurisprudence Hertel se doit d'être respectée et si elle ne l'est pas avec les fonds publics on a un réel problème de… https://t.co/itaMb0ehMH
" Le PDG de Telegram dénonce les manœuvres du FBI pour contrôler l’application et espionner ses utilisateurs
Dans une interview accordée à Tucker Carlson, Pavel Durov, le PDG de Telegram, a révélé que le FBI avait tenté de contrôler Telegram en le harcelant et en essayant d'embaucher secrètement l'un de ses ingénieurs pour créer des "portes dérobées" permettant aux fonctionnaires d'espionner les utilisateurs. Pavel Durov a déclaré qu'il avait été interrogé à plusieurs reprises par des agents du FBI chaque fois qu'il se rendait aux États-Unis et que le gouvernement américain avait exercé une forte pression sur lui pour qu'il coopère. "
" UE : vers une cybersurveillance de masse ; Bientôt un fonds « émeutes » créé par les assurances ? "
00:00 NTD l’Actu 03/05/2024
00:22 Une drag-queen portera la Flamme Olympique à Paris
00:57 Le mouvement pro-palestinien dans les universités
01:47 Bientôt un fonds « émeutes » créé par les assurances ?
02:16 Troupes françaises en Ukraine : Macron réaffirme sa position
02:59 Santé : des PFAS dans nos pansements
04:01 Autorisation de surveillance massive d'internet en Europe
07:50 La Turquie suspend toute relation commerciale avec Israël
08:19 Taïwan dit avoir détecté 26 avions et cinq navires chinois
08:53 Effondrement d’une route en Chine : plus de 30 morts
09:32 Une estimation du budget militaire de la Chine
11:49 Salomon Koninck : grand peintre du Siècle d’or
" Vivre sans les GAFAM ? Des alternatives possibles "
2024-05-09
" Les GAFAM — ces mastodontes du web — sont régulièrement sous le feu des critiques. Contrôle du marché de l’information et de la publicité en ligne, revente des données personnelles, hégémonie économique, influence de la démocratie via des lobbies surpuissants, les motifs de se méfier de ces géants ne manquent pas. Difficile pourtant de s’en défaire tant ils sont partout dans notre univers numérique. Néanmoins, voici quelques pistes pour les remplacer au quotidien.
Derrière l’acronyme de GAFAM se cachent 5 groupes tentaculaires travaillant sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication : Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft. Ces géants connus de tous et aux croissances folles sont aujourd’hui les leaders en matière de capitalisations boursières au prix de pratiques moralement douteuses. Au cœur des scandales, entre l’intrusion massive dans la vie privée des utilisateurs et la gestion peu scrupuleuse de leurs données personnelles, nous retrouvons également des collusions avec certains gouvernements comme ont pu le démontrer les lanceurs d’alerte de Wikileaks ou Edward Snowden. Une hégémonie quasi totale qui n’est pas signe de bonne santé pour nos démocraties déjà fragilisées. "
" « Vous aurez un QR code » : Les JO de Paris inaugurent la ville-prison de l’Agenda 2030 "
2024-05-15
" Restrictions de circulation, dérogations, QR code, biométrie… Le passeport sanitaire, rebaptisé fort à propos « pass nazitaire » par les complotistes, était bien un test grandeur nature pour la mise en place des « villes 15 minutes » du Great Reset. Je rappelle que Paris, où se dérouleront les Jeux olympiques qui vont donc servir d’alibi aux mondialistes pour imposer la reconnaissance faciale, les QR codes et la mobilité réduite, est membre des C40 Cities qui font « la course vers zéro »…
Olivier Demeulenaere "
" « Vous aurez un QR code » : une dérogation sera nécessaire pour circuler dans Paris lors des JO 2024
Par Ariel Guez
Automobilistes et piétons ne pourront pas circuler librement dans certaines zones de la capitale et en Île-de-France cet été. Sauf s’ils inscrivent sur une plateforme numérique dédiée, annonce Laurent Nunez.
Une attestation comme lors des confinements ? À quelques mois du début des Jeux olympiques de Paris, le préfet de Police dévoile auprès de nos confrères du Parisien les contours du dispositif de sécurité qui sera en vigueur à l’été 2024. Laurent Nunez annonce notamment qu’une dérogation sera nécessaire pour circuler librement dans Paris lors de la compétition.
« Il faudra s’enregistrer en amont sur une plateforme numérique en fournissant un certain nombre de justificatifs, de domicile mais pas que », prévient-il dans les colonnes du quotidien régional.
Toutes les personnes qui souhaitent ou qui doivent s’approcher des nombreux sites olympiques à Paris et en Île-de-France seront concernées : « Vous aurez un QR code à présenter lors des contrôles », dit Laurent Nunez.
« Le principe est l’interdiction à la circulation motorisée »
Concrètement, explique le préfet de Police, si un Parisien habite à proximité de la Seine et souhaite inviter des amis pour suivre depuis sa fenêtre la cérémonie d’ouverture, « il faut les inscrire sur la plateforme ».
Idem si vous souhaitez passer la soirée de la cérémonie d’ouverture dans un restaurant à proximité de la Seine.
« Le principe c’est de laisser ouvert. Mais oui, il faudra justifier du fait qu’on rentre dans le périmètre pour se rendre dans un restaurant et donc, il y aura forcément une inscription sur la plate-forme »."
" Les systèmes d’IA ont déjà appris à mentir aux humains et à les manipuler "
PUBLIÉ 15 MAI 2024
" L’IA est désormais capable de tromper ses utilisateurs humains, même lorsqu’elle est explicitement programmée pour ne pas le faire.
De nombreux exemples ont été rassemblés dans une nouvelle étude mettant en garde contre les dangers de l’IA trompeuse.
Selon une nouvelle étude inquiétante, les systèmes d’IA sont déjà capables de manipuler leurs contrôleurs humains dans diverses situations.
Dans une étude publiée dans la revue Patterns, les chercheurs décrivent des cas documentés de systèmes d’IA utilisant le mensonge et la tromperie, et appellent les gouvernements à élaborer des réglementations pour éviter que le problème ne devienne incontrôlable, avant qu’il ne soit trop tard.
« Les développeurs d’IA ne savent pas exactement ce qui provoque des comportements indésirables de l’IA tels que la tromperie », explique le premier auteur, Peter S. Park, chercheur postdoctoral au MIT.
« Mais d’une manière générale, nous pensons que la tromperie de l’IA est due au fait qu’une stratégie basée sur la tromperie s’est avérée être le meilleur moyen d’obtenir de bons résultats dans la tâche d’entraînement de l’IA en question. La tromperie les aide à atteindre leurs objectifs.
L’un des exemples les plus inquiétants décrits dans l’article concerne l’IA CICERO de Meta, qui a été entraînée à jouer au jeu de conquête mondiale Diplomacy. Bien que l’IA soit censée avoir été entraînée à ne pas « poignarder intentionnellement » ses alliés humains pendant le jeu, c’est exactement ce qu’elle a fait.
« Nous avons découvert que l’IA de Meta avait appris à être un maître de la tromperie », explique Park.
« Alors que Meta a réussi à entraîner son IA à gagner au jeu de la diplomatie – Cicero s’est classé dans les 10 % supérieurs des joueurs humains ayant joué plus d’une partie – Meta n’a pas réussi à entraîner son IA à gagner honnêtement. »
Les systèmes d’IA ont également appris à bluffer efficacement au poker Texas hold ’em contre des joueurs professionnels, à simuler des attaques dans le jeu Starcraft II et à déformer leurs intérêts économiques pour prendre le dessus dans les négociations économiques.
Bien que ces cas de tromperie puissent sembler anodins, les auteurs de l’étude préviennent que, les capacités de l’IA se développant à un rythme effréné, il ne faudra pas attendre longtemps avant que l’IA ne soit capable de conséquences bien plus dommageables si ses capacités ne sont pas contrôlées.
« En tant que société, nous avons besoin d’autant de temps que possible pour nous préparer à la tromperie la plus avancée des futurs produits d’IA et des modèles à code source ouvert », déclare Park.
« À mesure que les capacités de tromperie des systèmes d’IA se perfectionnent, les dangers qu’ils représentent pour la société deviendront de plus en plus graves. »
Les auteurs de l’étude estiment, à tout le moins, que les systèmes d’IA trompeurs doivent être classés et traités comme des systèmes à haut risque, même s’ils ne peuvent pas être interdits."
" Surveillance généralisée : les clés pour résister "
VIDÉO
17 MAI 2024
" «Toutes les dictatures ont agi pour une sorte de bien suprême qu’elles ont défini, pour la sécurité, pour la révolution, pour le bien du peuple, peu importe, mettez-y ce que vous voulez mais à la fin c’est toujours cette promesse d’un bien». "
Citation de fouthese
" Surveillance généralisée : les clés pour résister "
VIDÉO
17 MAI 2024
" «Toutes les dictatures ont agi pour une sorte de bien suprême qu’elles ont défini, pour la sécurité, pour la révolution, pour le bien du peuple, peu importe, mettez-y ce que vous voulez mais à la fin c’est toujours cette promesse d’un bien». "