" Une fuite de documents montre que l’UE souhaite une surveillance à grande échelle des messages et des photos, ainsi qu’une vérification de l’âge en ligne "
Publié 16 septembre 2023
" Un document du Conseil de l’Union européenne ayant fait l’objet d’une fuite montre que le bras législatif de l’Union souhaite mettre en place une surveillance généralisée de tous les messages privés et introduire une vérification obligatoire de l’âge, à partir du 28 septembre.
Cela signifie que la présidence espagnole a l’intention de transformer rapidement en loi la proposition de législation contestée, parfois qualifiée de « contrôle des conversations » par ses détracteurs. Dès jeudi, les ambassadeurs des pays membres devraient se réunir pour dégager la majorité nécessaire à l’adoption du projet.
L’eurodéputé allemand Patrick Breyer, qui est l’un des plus fervents détracteurs du projet de loi et qui est également chargé de le négocier au sein du Parlement, a réagi à la nouvelle en avertissant que la proposition ne constituait qu’un « écran de fumée » lorsqu’elle abordait la question du chiffrement de bout en bout.
Selon Breyer, qui est avocat et représente le Parti Pirate, un grand nombre de plateformes de messagerie, de WhatsApp à Signal, devraient procéder à un balayage côté client, ce qui, selon lui, reviendrait à transformer les téléphones des utilisateurs en « scanners sujets aux erreurs ».
Malgré les « belles paroles » sur le chiffrement, Breyer estime que la future loi pourrait sonner le glas du chiffrement sécurisé et donc des communications privées, en plus de ce qu’il appelle « le blocage inefficace des réseaux et la censure des moteurs de recherche ».
Si l’on considère que l’une des dispositions du projet de loi concerne l’analyse du stockage en nuage à la recherche de contenus abusifs – dont la lutte plus efficace est le principal objectif déclaré de l’UE derrière la proposition – la conséquence serait une surveillance de masse des photos privées, Breyer en est persuadé.
Ce que la législation n’inclut pas, et qui, selon lui, serait la bonne façon d’aborder le problème, c’est de faire en sorte que les forces de l’ordre fassent mieux leur travail en signalant ces contenus, ainsi que d’établir des normes applicables dans toute l’UE qui traiteraient de la prévention, de l’aide et du conseil aux victimes, ainsi que « d’enquêtes criminelles efficaces ».
Quant à la vérification de l’âge, qui deviendrait obligatoire pour les services de communication, cet eurodéputé y voit un autre moyen d’éliminer les communications anonymes.
« Il s’agit d’une attaque de Big Brother contre nos téléphones portables, nos messages privés et nos photos à l’aide d’algorithmes sujets à des erreurs ».
« Le contrôle du chat est comme le bureau de poste qui ouvre et scanne toutes les lettres – inefficace et illégal. Même les photos de nu les plus intimes et les conversations sexuelles peuvent soudainement se retrouver entre les mains du personnel de l’entreprise ou de la police », a déclaré l’eurodéputée dans un communiqué de presse, avant de conclure : « Nous dépendons tous de la sécurité et de la confidentialité des communications privées : Les personnes dans le besoin, les victimes d’abus, les enfants, l’économie et les autorités publiques ».
" Dans la lignée du règlement européen de censure #DSA, la loi #SREN des macronistes, qui arrive mardi à l’Assemblée nationale, est une pure dinguerie liberticide !
- reprise sur le modèle de la loi Avia de la censure policière en 24h
- fin de l’anonymat sur internet via l’identité numérique
- décision de fermer des sites par l’administration et non plus la justice
- interdiction des VPN
- « permis cyber »
- lanceurs d’alerte : travail quasi impossible
N’oublions pas que pendant les émeutes, Macron avait tout de suite attaqué…les réseaux sociaux !
Il faut absolument faire savoir avant que ça n’arrive à l’Assemblée ! "
" Les députés Renaissance retirent un amendement controversé visant à interdire l’usage des VPN sur les réseaux sociaux "
Publié le 18 septembre 2023
" INTERNET - Adopté en juillet par le Sénat, le projet de loi visant à sécuriser et réguler l'espace numérique (SREN) sera examiné du mardi 19 au vendredi 22 septembre à l’Assemblée nationale. Le texte, qui vise entre autres à lutter contre "l’exposition des mineurs aux contenus pornographiques", fait actuellement l’objet de plus de 800 amendements déposés par les députés. Une de ces propositions suscite depuis samedi une vive polémique, poussant même son auteur, le député Mounir Belhamiti du parti Renaissance, à la retirer. L’élu de la 1ere circonscription de la Loire-Atlantique proposait "d’interdire à tout utilisateur d’un réseau social de publier, commenter ou interagir en utilisant un réseau privé virtuel" (VPN (1)).
Que prévoit le projet de loi SREN ? Adopté à l’unanimité en juillet par le Sénat, le texte entend "sécuriser Internet" et adapter le droit français aux nouveaux règlements européens, particulièrement le Digital Markets Act (DMA) et le Digital Services Act (DSA). De nombreuses mesures y sont proposées, comme le renforcement de la lutte contre l’accès des mineurs aux sites pornographiques, la création de "filtres anti-arnaques", la lutte contre les "deepfakes" et même le "bannissement” des réseaux sociaux".
Les VPN en ligne de mire
La régulation du cloud ou encore la protection contre la désinformation de médias étrangers figurent également parmi les dispositions du projet de loi. Autant de mesures qui font l’objet d’un total de plus de 820 amendements de la part des députés, qui devront examiner le texte en commission à l’Assemblée à partir de mardi 19 septembre. "
" Le Royaume-Uni adopte de nouvelles mesures radicales de surveillance et de censure dans le cadre du projet de loi sur la sécurité en ligne "
Publié 21 septembre 2023
" Le Royaume-Uni a adopté sa loi controversée sur la censure en ligne, connue sous le nom de « Online Safety Bill » (projet de loi sur la sécurité en ligne). Ce projet de loi, qui constitue l’une des plus vastes attaques contre la vie privée et la liberté d’expression dans une démocratie occidentale, entrera en vigueur.
Ce projet de loi vise à protéger les internautes, en particulier les jeunes, contre les frondes des contenus malveillants en ligne. Mais le projet de loi ne se contente pas d’obliger les plateformes à supprimer les contenus illégaux.
Il demande aux géants des médias sociaux d’agir en tant que gardiens, en protégeant les utilisateurs contre les messages malveillants, la cyberintimidation et les contenus explicites.
Sous le couvert du sécuritarisme et de la protection de la vie privée et de la liberté d’expression, nous ne pouvons pas nous empêcher de mettre en évidence les sous-entendus de censure de ce projet de loi, qui risque de sacrifier la liberté d’expression et la protection de la vie privée sur l’autel de la sécurité numérique.
Michelle Donelan, secrétaire d’État à la technologie, a exprimé son soutien au projet de loi, le qualifiant de « grand pas en avant dans notre mission de faire du Royaume-Uni l’endroit le plus sûr du monde pour être en ligne ». En vertu de la loi proposée, les entreprises de médias sociaux seront contraintes d’agir rapidement, non seulement pour supprimer les contenus violents, mais aussi pour en empêcher l’émergence.
Le glaive de la mise en œuvre sera brandi par l’Ofcom, l’autorité de régulation des communications, et la loi prévoit des sanctions sévères pour les contrevenants, y compris des amendes colossales et même l’incarcération.
Le projet de loi ajoute de nouvelles infractions pénales à sa liste, comme le cyber-flashing et la distribution de contenus explicites manipulés, ou deepfake pornography. "
" L’ancienne première ministre néo-zélandaise Ardern exhorte les Nations unies à « réprimer la liberté d’expression en tant qu’arme de guerre » "
Publié 21 septembre 2023
" Jacinda Ardern n’est peut-être plus première ministre de Nouvelle-Zélande, mais elle était de retour aux Nations unies pour poursuivre son appel à la censure internationale.
Jacinda Ardern est aujourd’hui l’une des principales figures de la lutte contre la liberté d’expression dans le monde et continue de bénéficier du soutien des milieux politiques et universitaires.
Dans sa dernière attaque contre la liberté d’expression, Ardern a déclaré que la liberté d’expression était une arme de guerre virtuelle.
Elle exige que le monde se joigne à elle pour combattre la liberté d’expression dans le cadre de sa propre guerre contre la « mésinformation » et la « désinformation ».
Bien entendu, son point de vue a été adopté avec enthousiasme non seulement par les pays autoritaires, mais aussi par le gouvernement et l’élite universitaire. "
" Doter 80% des Français d’une identité numérique, obliger les navigateurs à bloquer des sites... Le projet de loi SREN adopté par commission spéciale de l’Assemblée "
" Après trois jours de discussions, la commission parlementaire spéciale a adopté jeudi 21 septembre 2023 le projet de loi visant à "sécuriser et réguler l’espace numérique" (SREN). Plusieurs amendements, dont ceux relatifs aux pouvoirs de l’Arcom, ont été approuvés. Des articles controversés et considérés comme attentatoires à la liberté individuelle comme le bannissement des réseaux sociaux ou l’obligation des navigateurs Internet à censurer des sites web ont également été adoptés par la commission. Le texte sera examiné par les députés de l’Assemblée en séance publique à partir du 4 octobre.
Adopté à l’unanimité le 5 juillet par le Sénat, le projet de loi SREN entend "sécuriser Internet" et adapter le droit français aux nouveaux règlements européens, particulièrement le Digital Markets Act (DMA) et le Digital Services Act (DSA). De nombreuses mesures y sont proposées, comme le renforcement de la lutte contre l’accès des mineurs aux sites pornographiques, la création de "filtres anti-arnaques", le "bannissement" des réseaux sociaux et la dotation d’une identité numérique de 80% des Français à l’horizon 2027.
Le texte a fait l’objet de 952 amendements mais "seulement" 208 ont été adoptés. Plus de 110 propositions ont été retirées, dont celle du député Mounir Belhamiti du parti Renaissance, qui a suscité la polémique en proposant "d’interdire à tout utilisateur d’un réseau social de publier, commenter ou interagir en utilisant un réseau privé virtuel" (VPN).
Obliger les FAI et les navigateurs à bloquer des sites
Mais les articles adoptés par la commission spéciale ne sont pas moins controversés. L’une des nouvelles mesures permet à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) de censurer immédiatement un site frauduleux, sans recourir à la justice. Un article de loi potentiellement liberticide que des collectifs ont déjà dénoncé.
La même Autorité est aussi dotée de nouveaux pouvoirs pour "lutter contre la désinformation", comme la possibilité de mettre en demeure puis de bloquer, en sollicitant les fournisseurs d’accès à Internet (FAI), des médias électroniques, dont le pays est visé par des sanctions de l’Union Européenne (article 4, alinéa 2).
Si le projet de loi SREN est adopté, les FAI ne seront pas les seuls à être sollicités pour censurer des sites web. Les navigateurs web comme Chrome ou Mozilla pourraient être contraints de bloquer l’accès à un site web, en application de l’article 6. Il s’agit essentiellement des sites frauduleux, qui seront mis en demeure de cesser leurs opérations et dont "l’adresse électronique sera notifiée aux fournisseurs de navigateurs internet".
Le texte a suscité la réaction de la Fondation Mozilla, derrière le navigateur Firefox, qui a regretté une "tentative périlleuse de lutter contre la fraude en ligne" tout en lançant une pétition contre cette disposition. "Malgré sa motivation légitime, cette mesure qui vise à bloquer des sites web directement dans le navigateur serait un désastre pour un Internet libre et serait disproportionnée par rapport aux objectifs du projet de loi, à savoir la lutte contre la fraude", lit-on dans un article de la fondation.
Pire encore, poursuit Mozilla, cette mesure "fournira également aux gouvernements autoritaires un moyen de minimiser l’efficacité des outils qui peuvent être utilisés pour contourner la censure".
" L’ONU exhorte les gouvernements et les plateformes à mettre en œuvre ses lignes directrices pour la censure de la « mésinformation » et de la « haine » "
Publié 2 octobre 2023
" La semaine dernière, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a pris la parole lors d’une réunion de haut niveau à New York pour détailler les idées relatives à la préparation de la « prochaine pandémie ».
Dans ses remarques – bien qu’il ait eu le bon sens d’aborder d’abord les questions liées aux maladies réelles – Antonio Guterres exhorte également de manière proéminente les gouvernements et les plateformes en ligne à mettre en œuvre des lignes directrices conçues pour censurer les contenus désignés comme « mésinformation, désinformation » et, « haine ».
Il souhaite que les pays du monde entier s’engagent à mettre en œuvre ce que l’ONU appelle son accord sur les pandémies d’ici mai 2024, date à laquelle l’Assemblée mondiale de la santé (l’instance dirigeante de l’Organisation mondiale de la santé, OMS) doit se réunir.
Guterres a demandé aux gouvernements d’affecter davantage d’argent des contribuables à l’OMS, afin que ces contributions puissent couvrir la moitié du budget de l’agence, et de soutenir « le cycle d’investissement proposé ».
Le chef de l’ONU a ensuite présenté les plans de l’organisation « pour la prochaine pandémie » et les a divisés en trois domaines d’importance majeure.
Le développement durable est le premier, la mésinformation le deuxième, et ce qu’il appelle « répondre aux chocs mondiaux complexes » – qui s’est en fait avéré être très probablement l’aspect le plus dommageable des années du covid – n’a été mentionné qu’en dernier lieu.
En ce qui concerne la « mésinformation », Guterres s’est plaint que c’était la raison pour laquelle les gens étaient sceptiques à l’égard des vaccins (qu’il mentionne, quelque peu inconsciemment, comme ayant été développés « en un temps record » – ce qui est une note positive).
Conformément au langage alarmiste et dramatique bien établi que l’on entend de la part de nombreux gouvernements et groupes mondiaux et mondialistes officiels et officieux, Guterres avertit que « les contre-vérités et les mensonges purs et simples » ont fait le tour du monde plus rapidement que le coronavirus lui-même.
Le terme « haine » apparaît ensuite, apparemment de nulle part, dans cette partie du discours du secrétaire général, alors qu’il propose que les pays acceptent le « cadre pour une réponse internationale à la désinformation et à la haine » de l’ONU.
Les recommandations de ce cadre figurent dans le document d’orientation de l’organisation sur l’intégrité de l’information sur les plateformes numériques.
L’objectif de ce document est d' »alimenter » un futur Code de conduite de l’ONU pour l’intégrité de l’information sur les plateformes numériques – et Guterres remarque de manière quelque peu étrange que l’ONU « espère » que les gouvernements et les plateformes le mettront en œuvre volontairement.
Mais il ne s’étend pas sur ce que pourrait être l’alternative à la mise en œuvre volontaire.
« Nous développons le Code avant le Sommet du Futur de l’année prochaine, et j’invite tous les pays à s’engager dans ces efforts importants », c’est tout ce que Guterres avait à ajouter à ce sujet. "
" Covid19 / Complot sur le puçage et la surveillance globale des populations.
Il se peut que le confinement ait du bon et libère enfin les gens de leurs ressentis profonds. Jacques Attali-Attila, éminence grise et bien sombre du pouvoir depuis quarante ans, nous ayant de ce fait entraîné de plus en plus bas dans le reniement de notre identité profonde et de nos valeurs, prônant la mise à mort des plus de 65 ans et ayant annoncé qu’il nous fallait le chaos par une pandémie pour imposer le Nouvel Ordre Mondial satanique, est désormais perçu par le plus grand nombre pour ce qu’il est : le metteur en scène de nos malheurs.
Une pétition vient de voir le jour pour qu’on ne nous impose plus ce reptile sur les ondes, à la télévision dans les médias.
C’est ici, alors soyez très nombreux à signer et à faire circuler sur tous vos réseaux tant que c’est possible.
" Liberté d’expression menacée : Vers une identification obligatoire sur les réseaux sociaux en France "
3 octobre 2023
" Un amendement controversé au projet de loi de sécurisation de l’espace numérique, proposé par le groupe Renaissance, vise à imposer une certification d’identité à tous les internautes français actifs sur les réseaux sociaux d’ici 2027.
L’amendement sur la certification d’identité, à l’initiative de la députée Marie Guévenoux, suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression en ligne.
Dans les couloirs de l’Assemblée nationale, un amendement au sein du projet de loi de sécurisation de l’espace numérique provoque actuellement des vagues de critiques. Porté par le groupe Renaissance, cet amendement propose rien de moins que d’imposer une certification d’identité à tous les internautes français actifs sur les réseaux sociaux d’ici à 2027. Si cette idée a été momentanément écartée en commission, elle refait surface avec force à l’approche du débat prévu pour le 4 octobre.
L’initiatrice de cette proposition, la députée Marie Guévenoux, préconise que cette certification soit réalisée « par un tiers de confiance », qu’il s’agisse d’une entité publique telle que France Connect ou d’une entité privée.
« À titre expérimental et pour une durée de trois ans, France Identité, identité numérique régalienne développée par le ministère de l’Intérieur, permet l’accès à une plateforme unique, mise en place par l’État, agrégeant l’accès à l’ensemble des services publics nationaux et locaux, incluant les organismes de sécurité sociale et les organismes en charge des droits et des prestations sociales des citoyens. Cette plateforme permet aux citoyens utilisateurs d’effectuer l’ensemble de leurs démarches administratives et sociales. » "
" Y'a les grosses lessiveuses, et puis y'a aussi toutes les petites mains qui oeuvrent dans leur ombre.
Mais comme ça fait bucolique-authentique, fait main au lavoir du village, nul ne se défie du petit (p)artisan du lavage de cerveau. "
" Russie : Poutine a approuvé le “passeport numérique” "
Publié le 19 septembre 2023
" Le président Vladimir Poutine a approuvé le “passeport numérique”. Le décret signé par Poutine définit les cas et les procédures d’utilisation d’une identification numérique au lieu d’une identification papier. Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.
Rappelons qu’en février 2023, le Président a soutenu et appelé à accélérer la mise en place d’une carte d’identité numérique au lieu d’un passeport traditionnel.
Il sera possible de présenter une telle attestation depuis un smartphone.
Cependant, les Russes ne sont pas très favorables à cette innovation. Selon une enquête du portail SuperJob, seuls 27 % des Russes souhaiteraient avoir un passeport numérique, tandis que 58 % y sont opposés. Il n’y a presque aucune différence entre les hommes et les femmes, mais les différences d’âge sont perceptibles. Si parmi les moins de 35 ans, 37 % sont d’accord avec un passeport numérique (44 % y sont opposés), alors les plus de 45 ans ne sont que 22 % d’accord et 64 % y sont opposés.
" ÉTAPE DE VERROUILLAGE, ou ÉTAPE DE CONFINEMENT est une expression utilisée dans le document produit en 2010 par l'Institut Rockefeller, et qui planifie... euh... prédit la plandémie actuelle. "
" ARCHIVE
La puce électronique dans la main ou dans le cerveau, nous avons été traités de fous et de « complotistes » quand nous l’avons évoquée il y a plus de 10 ans. Aujourd’hui, cette idée est présentée dans les mainstream comme une possibilité tout à fait réaliste, un outil logique qui complète la panoplie du parfait petit humanoïde du XXIe siècle…
Retour en arrière : lors de l’Info en QuestionS #34 du 4 fevrier 2021, j’ai voulu présenter différentes publications tout à fait officielles sur ce projet cher aux mondialistes : la puce électronique ou puce RFID (Radio Fréquence Identification) tant vantée par Jacques Attali, par Bill Gates et par Klaus Schwab depuis plus de 15 ans.
Pour compléter le tableau, les implants dans le cerveau sont, au moment où j’écris ces lignes, en cours de test par la société d’Elon Musk, Neuralink.
À l’info en QuestionS, on n’était pas complotistes, on avait juste des yeux pour voir et un cerveau pour réfléchir.
" La Russie a besoin d'un système de contrôle social des citoyens "
" L'émergence d'une classification sociale des citoyens en Russie permettra à l'État de les séparer selon leur mode de vie et de récompenser ceux qui travaillent et accomplissent leur devoir civique. Stanislav Naumov, vice-président du comité de politique économique de la Douma d'État, en a parlé à NEWS.ru.
«Nous observons le comportement de nos amis, collègues, voisins et les évaluons involontairement. L'un est un ivrogne, un renégat, une personne négligée, et l'autre est un travailleur acharné, un père de famille, un spécialiste ou un entrepreneur à succès. <...> L'État encouragera ceux qui mènent une vie saine, travaillent, fondent une famille et remplissent leur devoir civique. Bien entendu, ceux qui ne le font pas ne doivent être punis d'aucune façon, tous leurs droits sont conservés, mais ils ne recevront pas de bonus. En même temps, rien ne vous empêche de passer d’un groupe à l’autre », a déclaré Naumov.
Selon lui, ce système ne doit pas être politisé, car il vise à stimuler des qualités qui « permettent à l’État de dépenser moins ».
La veille, le quotidien Afisha rapportait que l'Université sociale d'État de Russie (RGSU) avait développé et avait déjà commencé à tester le système de notation sociale « Nous ». Les premiers utilisateurs de la version test du programme étaient des étudiants universitaires.
Lors de son inscription, chaque participant répond à une enquête au cours de laquelle il répond à des questions sur l'éducation, la présence d'enfants, les sources de revenus, les avantages sociaux, les antécédents de crédit, le casier judiciaire, la présence de comptes sur les réseaux sociaux, la connaissance des langues, etc.
Plus tôt, la Douma d'État a expliqué pourquoi 2024 constituerait un tournant pour la Russie. "