RTL est légèrement en retard pour son récit
Les deux femmes policières ont d'abord été suivies par cet homme en permission sortant de prison
Il es a d'abord lacérées à coups de couteau dans le dos, avant de s'emparer de leurs armes, et de les tuer
Puis il est effectivement allé à l'école, mais avant il a abattu de sang froid et sans raison, le jeune homme assis dans une voiture côté passager, 22 ans.
Il a pris en otage une femme travaillant dans l'école où il est allé se réfugier
Quand les policiers sont arrivés il leur a tiré dessus en blessant plusieurs aux jambes
Donc les policiers l'ont abattu.
Version de la police Belge
Et pour info il était bien radicalisé
Bah! Vous inquietez donc pas! L'autre ,il a bien dit qu'il faut s'habituer au terrorisme!....( pendant que lui et ses sbires sont bien au secs dans leur bunker)
Donc: tout va bien
Une proposition de loi contre les rodé sauvage devrait être déposée jeudi 7 juin pour renforcer les sanctions contre cette pratique dangereuse.
Quelque 15 000 rodé sauvages sont dénombrés chaque année. Sans compter ceux qui n'ont pas été signalés. Ils constituent un danger pour les jeunes et sont un enfer pour les riverains. Une Marseillaise a pris la tête d'un collectif qui se bat contre les nuisances sonores. Préfecture de police, ministère de l'Intérieur, elle a multiplié les courriers avec ses voisins. La police reconnait ne pas avoir les moyens de lutter.
2 ans de prison et 30 000 euros d'amende s'il est commis en réunion, avec confiscation immédiate du véhicule.
Attentats du Bataclan. Les militaires ont reçu l’ordre de ne pas intervenir, les victimes portent plainte :
Les victimes et familles de victimes s’interrogent : 8 soldats de l&rsquoération Sentinelle, munis d’armes de guerre et présents devant le Bataclan le soir du 13 novembre, ne sont pas intervenus et ont refusé de prêter leurs armes aux policiers. Une plainte a été déposée pour « non-assistance à personne en péril » en l’absence d’intervention des militaires lors des attentats perpétrés au Bataclan.
Deux ans et demi après les faits, les responsabilités et la vérité entourant les attentats du 13 novembre n’ont pas encore fini d’être élucidées. C’est ce qu’estiment 17 victimes et familles de victimes regroupées en collectif qui a déposé plainte contre X pour « non-assistance à personne en péril », révèle ce vendredi Le Parisien, reprenant l’argumentaire des trois avocats, Jean Sannier, Océane Bimbeau et Samia Maktouf. En cause, un ordre, donné alors que des centaines de victimes sont retenues par les terroristes à l’intérieur de la salle de concert parisienne, obligeant les militaires à ne pas intervenir et à attendre.
« On leur a interdit une intervention physique, c'est-àire de rentrer [dans le Bataclan], mais aussi le prêt de matériel médical de premiers secours à des policiers », ajoute Samia Maktouf, estimant qu'« on n'aurait peut-être pas empêché la mort de 90 personnes mais au moins évité des hémorragies qui ont donné la mort ». Les avocats pointent la responsabilité du gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Le Ray, qui lors de son audition avait déclaré qu'il « est impensable de mettre des soldats en danger dans l'espoir hypothétique de sauver d'autres personnes ».
« Sa réponse a été aussi froide et violente qu'inacceptable », déplorent les avocats dans leur communiqué. « C'est inaudible, et moralement criminel », a ajouté Océane Bimbeau: « On sait que ce sont dans les dix premières minutes qu'il y a eu le plus grand nombre de victimes ».
Le soir du 13 novembre 2015, alors que trois jihadistes prennent en otage les spectateurs au Bataclan, huit militaires du 1er régiment de chasseurs de Thierville (Meuse) de l'opération Sentinelle s'étaient retrouvés parmi les premières forces de sécurité sur place, armés de Famas. Ils n’ont pas pu intervenir et soutenir les hommes de la brigade anticriminalité (BAC) du Val-de-Marne. Lorsque ces policiers, ainsi qu’un commissaire de police accompagné de son chauffeur, sont entrés dans la salle et ont constaté l’armement lourd des terroristes et l’ampleur du drame, ils ont demandé aux militaires, n’intervenant pas, de leur prêter leurs armes de guerre. Ce que les militaires ont refusé, conformément à leur règlement. Les policiers, sous-équipés, ont alors essuyé le feu des armes de tir automatiques des terroristes.
Des parlementaires « sidérés »
Interrogée par franceinfo, l’une des avocates des victimes et familles plaignantes a expliqué que « le temps n’atténue pas le questionnement qui taraude mes clients. Pourquoi a-t-on empêché 8 militaires présents devant le Bataclan sur ordre d’intervenir pour tenter de neutraliser les terroristes ? Ce ne sont pas les personnes, les responsables, les ministres qui comptent. Ce qui est important, c’est qu’on a tué 90 personnes alors que les soldats étaient armés, formés, censés protéger, censés sécuriser, ne sont pas intervenus. »
Cette question a déjà été posée, notamment par des parlementaires. En 2016, alors qu’une commission d’enquête parlementaire est fondée pour étudier ces attentats, Georges Fenech, député Les Républicain et ancien magistrat, s’interroge déjà sur la non-intervention des militaires. Selon ce dernier, « clairement, un ordre a été donné aux soldats Sentinelle de ne pas engager le feu alors qu’ils avaient en ligne de mire des terroristes ». « À la question : Qui a donné l’ordre aux soldats de ne pas intervenir ? On n’a jamais su, regrette Georges Fenech. Avec les autres parlementaires, on était sidérés ».
Gérard Chemla, avocat pénaliste à Reims et représentant de quatre-vingt victimes et ayant droit du Bataclan avait lui aussi, en 2016, fait une demande d’acte pour « qu’ils enquêtent sur la non-autorisation aux militaires de donner leur arme ». « Je ne suis pas saisi de ces questions », avait balayé le juge à l’époque, rapporte Le Parisien. Malgré un recours devant la Cour d’appel, la question restera sans réponse.
Pour Sébastien Gomet, frère d’une victime et l’un des plaignants, Pour lui, « il n’y aurait pas eu ce lourd bilan de 90 morts au Bataclan si les soldats Sentinelle avaient pu intervenir. Je voudrais que l’État français responsable de l’ampleur du drame le reconnaisse ».
L'association de victimes Life for Paris, qui n'a pas pris part « pour l'instant » à la plainte, la question de la non-intervention des militaires est « tout à fait légitime », a déclaré à l'AFP son président Arthur Desnouveaux. Malgré les demandes répétées des victimes, le sujet n'a pas été inclus dans « l'enquête principale », déplore-t-il. « C'est regrettable qu'il faille porter plainte pour que ces faits soient examinés sérieusement ».
Un petit garçon de cinq ans est mort vendredi dans un accident d'ascenseur dans un centre commercial du Val d'Oise. Il se serait retrouvé coincé après un "décrochage" de la machine. Une cellule psychologique a été mise en place immédiatement après le drame et le centre commercial a été évacué.
09 juin 11:40 - La rédaction LCI
Le drame s'est déroulé vendredi peu avant 19h. Un enfant de cinq ans est décédé dans le centre commercial Côté Seine à Argenteuil (Val d'Oise) où il se trouvait avec sa famille.Selon les premiers éléments de l'enquête, le petit garçon a emprunté l'ascenseur qui relie le rez-de-chaussée au premier étage et s'est retrouvé coincé après un "décrochage" de la machine, a indiqué la préfecture.
"Cannabis : le premier Coffee Shop a ouvert ses portes à Paris...." ( source : Le Parisien)
La première boutique de Paris a ouvert cette semaine dans le XIe arrondissement. Une dizaine de magasins existe aujourd’hui en France. Et ce n’est pas fini.
« On a fait un super démarrage. Le pic, cela a été samedi, on a eu près de 500 personnes qui faisaient la queue devant la boutique. Du coup, on vient d’engager deux vigiles ». Joaquim Lousquy, patron du Cofyshop, jubile ! Depuis mardi, sa boutique de la rue Amelot, dans le XI arrondissement, est la première à Paris à vendre du cannabis au CBD, comprenez du cannabis « light », quasiment dépourvue de THC, cette molécule responsable de l’effet psychotrope de cette plante. « Chez nous, c’est un peu Amsterdam à Paris mais vous ne trouverez que des produits avec moins de 0,2 % de THC, comme l’exige la loi » jure-t-il.
Qui s’est précipité dans son échoppe ? « des jeunes, comme des très vieux de 90 ans, des ouvriers, des CSP +, on a même eu des policiers qui sont repartis avec leur sachet » explique le jeune chef d’entreprise ravi de faire partie de ces pionniers à avoir flairé le filon. Car des boutiques comme la sienne, il en fleurit un peu partout et sous différentes enseignes en France, exploitant un flou juridique.
À Lille, Epinal, Puteaux, Vesoul…
C’est en octobre dernier à Besançon, entre une école et un conservatoire, que la première boutique de ce type a vu le jour sous le nom discret de « Bestown Shop ». Depuis, une dizaine d’autres ont éclos, à Lille, Epinal, Puteaux, Vesoul. Dans quelques jours, ce sera au tour de Nancy et Metz de s’initier à l’achat légal de cannabis.
Point commun de tous ces commerces : tous proposent des gammes de produits contenant du Cannabidiol (CBD), l’autre grande molécule du cannabis, celle décrites par la littérature scientifique comme ayant des qualités antalgiques et relaxantes : huile à mettre sous la langue, en spray, fleurs à infuser, bonbons, crèmes, herbes, il y en a pour tous les goûts. « Contrairement au tétrahydrocannabinol, connu sous le nom de THC, le CBD ne produit pas d’effet psychoactif, en clair, il ne fait pas planer. Les propriétés du CBD sont davantage tranquillisantes » explique l’addictologue Laurent Karila.
« En Suisse, c’est déjà le cas et cela ne fait pas débat comme chez nous »
Et pas de doute, c’est bien cet effet apaisant qui séduit la clientèle. A tort ou à raison ? « Tout ce que je peux dire, poursuit le psychiatre de Paul Brousse (AP-HP), c’est que certains de mes patients dépendants à la cocaïne et au cannabis prennent des produits à base de CBD et que cela les aide à réduire leur consommation, en plus du traitement qu’ils prennent » constate le spécialiste, pas vraiment surpris par le démarrage sur les chapeaux de roues de ces magasins « légaux » de cannabis.
« Cela devait finir par arriver chez nous. En Suisse, c’est déjà le cas et cela ne fait pas débat comme chez nous » remarque-t-il. De fait, ce qui se passe chez nos voisins laisse songeur par rapport à la rigidité française. Là-bas, le cannabis n’y est considéré comme un stupéfiant qu’au-delà d’un taux de 1 % de THC, les médicaments à base de cannabis y sont désormais pris en charge par l’assurance maladie, et la vente de produits à base de CBD y est devenue courante.
« Il faut redéfinir d’urgence notre cadre légal des différents usages du cannabis »
Elle y est aussi dûment réglementée : les produits à base de CBD y sont classés comme des « substituts du tabac » et ils sont en tant que tels taxés comme eux à 25 % ! En France, rien de tel. Le terme même de « cannabis thérapeutique » fait frémir. Et à ce jour, un seul médicament cannabinoïde bénéficie d’une autorisation de mise sur le marché : le Sativex, recommandé contre la spasticité et la sclérose en plaques.
« Il faut redéfinir d’urgence notre cadre légal des différents usages du cannabis, distinguer ce qui dangereux et ce qui ne l’est pas, et encadrer chaque usage strictement, tonne le président de la Fédération française d’addictologie, Amine Benyamina, très réservé face à cette vague de coffee-shop. Les marchands du temple s’engouffrent dans la brèche, remarque-t-il. Ils vendent des produits incontrôlables et qui n’ont aucune réelle traçabilité, tout ceci c’est du pur business ! ».
« Les policiers ne peuvent pas faire la différence »
Si Joaquim Lousquy assure lui que tous ces produits sont « sourcés », il admet bien volontiers l’impossibilité de contrôle : « notre herbe a effectivement la même odeur et le même aspect que celle avec de la THC. Les policiers ne peuvent pas faire la différence » s’amuse le jeune homme qui n’est pas dupe de l’usage que ses clients en font.
« J’imagine que beaucoup vont la fumer ou la prendre en tisane, mais c’est leur affaire. Nous, en tout cas, on respecte la loi : on s’interdit d’affirmer que notre herbe a des vertus thérapeutiques et sur tous nos pots, il y a écrit « ne pas fumer ». En attendant, il savoure son succès : il vient de franchiser son idée avec 150 autres commerçants.
Le cannabidiol est-il légal ?
Drogue ou pas ? En France, le statut juridique du CBD (cannabidiol), produit issu du chanvre, reste flou. En novembre, le ministère de la Santé a indiqué que sa présence dans des produits de consommation « apparaissait comme légale », tant que le taux de THC - responsable des effets psychotropes - ne dépassait pas les 0,2 %.
Autres limites posées par le code de la santé, (spécifiquement à propos de l’usage du chanvre) : il est interdit de le promouvoir pour un usage médical, de le présenter comme un produit positif ou même de faire état de données scientifiques sur ces bénéfiques médicaux.
En fait, le CBD n’a pas de législation propre. Car au niveau international, on ne sait toujours pas comment le classer. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) refuse de recommander le CBD pour l’usage médical… Tout comme elle refuse d’affirmer que ce n’est pas une drogue.
Elle a invité d’ailleurs « les législateurs nationaux » à déterminer eux-mêmes la légalité - ou non - de la substance. Tout en insistant sur la nécessité « de mener d’autres études pour obtenir plus de preuves sur ses effets ». Car le CBD crée-t-il une dépendance ? C’est tout le débat.
Oui, de quoi relancer l'épineux débat sur la dépénalisation du cannabis...affaire à suivre...
Citation de aspenic
"Cannabis : le premier Coffee Shop a ouvert ses portes à Paris...." ( source : Le Parisien)
La première boutique de Paris a ouvert cette semaine dans le XIe arrondissement. Une dizaine de magasins existe aujourd’hui en France. Et ce n’est pas fini.
« On a fait un super démarrage. Le pic, cela a été samedi, on a eu près de 500 personnes qui faisaient la queue devant la boutique. Du coup, on vient d’engager deux vigiles ». Joaquim Lousquy, patron du Cofyshop, jubile ! Depuis mardi, sa boutique de la rue Amelot, dans le XI arrondissement, est la première à Paris à vendre du cannabis au CBD, comprenez du cannabis « light », quasiment dépourvue de THC, cette molécule responsable de l’effet psychotrope de cette plante. « Chez nous, c’est un peu Amsterdam à Paris mais vous ne trouverez que des produits avec moins de 0,2 % de THC, comme l’exige la loi » jure-t-il.
Qui s’est précipité dans son échoppe ? « des jeunes, comme des très vieux de 90 ans, des ouvriers, des CSP +, on a même eu des policiers qui sont repartis avec leur sachet » explique le jeune chef d’entreprise ravi de faire partie de ces pionniers à avoir flairé le filon. Car des boutiques comme la sienne, il en fleurit un peu partout et sous différentes enseignes en France, exploitant un flou juridique.
À Lille, Epinal, Puteaux, Vesoul…
C’est en octobre dernier à Besançon, entre une école et un conservatoire, que la première boutique de ce type a vu le jour sous le nom discret de « Bestown Shop ». Depuis, une dizaine d’autres ont éclos, à Lille, Epinal, Puteaux, Vesoul. Dans quelques jours, ce sera au tour de Nancy et Metz de s’initier à l’achat légal de cannabis.
Point commun de tous ces commerces : tous proposent des gammes de produits contenant du Cannabidiol (CBD), l’autre grande molécule du cannabis, celle décrites par la littérature scientifique comme ayant des qualités antalgiques et relaxantes : huile à mettre sous la langue, en spray, fleurs à infuser, bonbons, crèmes, herbes, il y en a pour tous les goûts. « Contrairement au tétrahydrocannabinol, connu sous le nom de THC, le CBD ne produit pas d’effet psychoactif, en clair, il ne fait pas planer. Les propriétés du CBD sont davantage tranquillisantes » explique l’addictologue Laurent Karila.
« En Suisse, c’est déjà le cas et cela ne fait pas débat comme chez nous »
Et pas de doute, c’est bien cet effet apaisant qui séduit la clientèle. A tort ou à raison ? « Tout ce que je peux dire, poursuit le psychiatre de Paul Brousse (AP-HP), c’est que certains de mes patients dépendants à la cocaïne et au cannabis prennent des produits à base de CBD et que cela les aide à réduire leur consommation, en plus du traitement qu’ils prennent » constate le spécialiste, pas vraiment surpris par le démarrage sur les chapeaux de roues de ces magasins « légaux » de cannabis.
« Cela devait finir par arriver chez nous. En Suisse, c’est déjà le cas et cela ne fait pas débat comme chez nous » remarque-t-il. De fait, ce qui se passe chez nos voisins laisse songeur par rapport à la rigidité française. Là-bas, le cannabis n’y est considéré comme un stupéfiant qu’au-delà d’un taux de 1 % de THC, les médicaments à base de cannabis y sont désormais pris en charge par l’assurance maladie, et la vente de produits à base de CBD y est devenue courante.
« Il faut redéfinir d’urgence notre cadre légal des différents usages du cannabis »
Elle y est aussi dûment réglementée : les produits à base de CBD y sont classés comme des « substituts du tabac » et ils sont en tant que tels taxés comme eux à 25 % ! En France, rien de tel. Le terme même de « cannabis thérapeutique » fait frémir. Et à ce jour, un seul médicament cannabinoïde bénéficie d’une autorisation de mise sur le marché : le Sativex, recommandé contre la spasticité et la sclérose en plaques.
« Il faut redéfinir d’urgence notre cadre légal des différents usages du cannabis, distinguer ce qui dangereux et ce qui ne l’est pas, et encadrer chaque usage strictement, tonne le président de la Fédération française d’addictologie, Amine Benyamina, très réservé face à cette vague de coffee-shop. Les marchands du temple s’engouffrent dans la brèche, remarque-t-il. Ils vendent des produits incontrôlables et qui n’ont aucune réelle traçabilité, tout ceci c’est du pur business ! ».
« Les policiers ne peuvent pas faire la différence »
Si Joaquim Lousquy assure lui que tous ces produits sont « sourcés », il admet bien volontiers l’impossibilité de contrôle : « notre herbe a effectivement la même odeur et le même aspect que celle avec de la THC. Les policiers ne peuvent pas faire la différence » s’amuse le jeune homme qui n’est pas dupe de l’usage que ses clients en font.
« J’imagine que beaucoup vont la fumer ou la prendre en tisane, mais c’est leur affaire. Nous, en tout cas, on respecte la loi : on s’interdit d’affirmer que notre herbe a des vertus thérapeutiques et sur tous nos pots, il y a écrit « ne pas fumer ». En attendant, il savoure son succès : il vient de franchiser son idée avec 150 autres commerçants.
Le cannabidiol est-il légal ?
Drogue ou pas ? En France, le statut juridique du CBD (cannabidiol), produit issu du chanvre, reste flou. En novembre, le ministère de la Santé a indiqué que sa présence dans des produits de consommation « apparaissait comme légale », tant que le taux de THC - responsable des effets psychotropes - ne dépassait pas les 0,2 %.
Autres limites posées par le code de la santé, (spécifiquement à propos de l’usage du chanvre) : il est interdit de le promouvoir pour un usage médical, de le présenter comme un produit positif ou même de faire état de données scientifiques sur ces bénéfiques médicaux.
En fait, le CBD n’a pas de législation propre. Car au niveau international, on ne sait toujours pas comment le classer. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) refuse de recommander le CBD pour l’usage médical… Tout comme elle refuse d’affirmer que ce n’est pas une drogue.
Elle a invité d’ailleurs « les législateurs nationaux » à déterminer eux-mêmes la légalité - ou non - de la substance. Tout en insistant sur la nécessité « de mener d’autres études pour obtenir plus de preuves sur ses effets ». Car le CBD crée-t-il une dépendance ? C’est tout le débat.
Oui, de quoi relancer l'épineux débat sur la dépénalisation du cannabis...affaire à suivre...
en plus c'est dans la rue où j'allais à l'école en primaire!
trop fort!
je savais qu'il y en avait un qui s'était ouvert dans l'est mais j'ignorais que c'était le cas à paris.
du coup, j'pige plus rien!
macron veut verbaliser les fumeurs mais il autorise l'ouverture d'un coffee shop?
oui, et pas que un, plusieurs apparemment...Et s'il autorise l'ouverture dudit coffee shop, c'est bien que ses gérants se sont engouffré dans le vide juridique concernant la légalité de l'autre principe actif du cannabis : le cannabidiol... De plus, le taux de THC ne dépassant pas les 0.2%, seuil légal autorisé en France..Ils peuvent donc vendre leur produit..sans risque d'être inquiétés..
Citation de aspenic
oui, et pas que un, plusieurs apparemment...Et s'il autorise l'ouverture dudit coffee shop, c'est bien que ses gérants se sont engouffré dans le vide juridique concernant la légalité de l'autre principe actif du cannabis : le cannabidiol... De plus, le taux de THC ne dépassant pas les 0.2%, seuil légal autorisé en France..Ils peuvent donc vendre leur produit..sans risque d'être inquiétés..
putain...
ça sent encore la vaste magouille de plante OGM...
Environ 80 jeunes étaient sortis pour en découdre dans la nuit de mardi à mercredi 6/6.
Un homme, retrouvé grièvement blessé de plusieurs coups de couteau, a succombé à ses blessures.
Dalil, 23 ans, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi à l’hôpital parisien Georges Pompidou. Mardi soir, ce jeune d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) avait été poignardé de trois coups de couteau dans le dos. L’un des coups lui a perforé le poumon.
Dalil était originaire du secteur Balagny, non loin de la cité de l’Europe. Mardi soir, dès 21 heures, cette cité était en pleine ébullition. Près de 80 jeunes des 3 000 et du quartier de L’Europe s’y trouvaient pour en découdre. Ils s’étaient donné rendez-vous via l’application Snapchat.
Avisées dès le début des hostilités, les forces de l’ordre ont vu débouler des dizaines de jeunes armés de barre de fer et de battes de base-ball. Mais les opérations ont été rendues plus délicates car les rues étaient plongées dans le noir. Avant l’affrontement, certains avaient pris soin de saboter l’éclairage public.
« Ils couraient dans tous les sens », rapporte Séverine Maroun, encore sous le choc. La 1ère adjointe, était sur place pour épauler Les Femmes Capables, un collectif de mères de famille qui interviennent régulièrement pour calmer les tensions. « Elles ont fait un gros travail. Elles attrapaient les plus jeunes et les faisaient rentrer à la maison », raconte l’élue.
Dans une interview accordée à BFMTV, la femme qui a porté plainte contre l'ancien avocat et député Gilbert Collard, revient sur les détails de l'agression sexuelle qu'elle a subie en 2006. Visage caché, voix déformée, l'accusatrice explique les faits de façon parfois assez crue. L'avocat basé à Marseille aurait, selon le témoignage, agressé deux fois la plaignante.
Les faits se seraient passés dans le bureau de Gilbert Collard, après 18 heures. "J'ai contourné son bureau, il a poussé son fauteuil, il avait son sexe dehors, il m'a attrapée, il m'a mise à genoux et il m'a forcé à faire une fellation. J'ai dit non, mais il me tenait la tête, je n'ai pas pu faire autrement", raconte "Lætitia". La plaignante serait retournée voir l'avocat une nouvelle fois quelque temps plus tard. Nouvelle agression : "il était derrière la porte, il l'a claquée derrière moi, il m'a attrapée, il m'a couchée sur le bureau, il a soulevé ma robe, ouvert sa braguette et pénétrer de force". L'accusatrice dit vivre avec ces deux agressions depuis onze ans. Elle déclare avoir des "envies de suicide".
De son côté, Gilbert Collard dément formellement les faits. Sur Facebook, le député du Rassemblement national (ex-Front National) écrit : "J'apprends par BFM, qu'une personne dont j'ignore le nom, vient de porter plainte contre moi pour "un viol" que j'aurais commis en 2006 dans mon bureau, où travaillaient 10 avocats, 6 secrétaires et mon épouse ! J'en reste, si j'ose dire, sur le cul ! Cela manquait à ma notoriété !"