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Citation de "morganna"Lucrèce Borgia
Fille naturelle du cardinal Rodrigo Borgia (futur pape Alexandre VI) , Lucrèce est la sœur de César Borgia. Elle est demeurée célèbre pour sa beauté autant que pour ses mœurs prétendument dissolues.
Elle vit d'abord auprès de sa mère avec ses frères et ses nombreux beau ères. En effet, sa mère, bien que favorite officielle du cardinal Borgia, s'est mariée quatre fois.
Son dernier mari, Carlo Canale, est un humaniste qui enseigne aux enfants de sa femme le grec ancien et le latin. À l'adolescence, la jeune fille emménage dans le palais de son père avec sa nouvelle maîtresse, Giulia Farnèse (mariée à Orsino Orsini). C'est elle qui tient lieu de nouvelle mère à Lucrèce.
Elle se mariera 3 fois avec Giovanni Sforza, Alphonse d'Aragon et Alphonse de Ferrare.
Le 1er accusé d'impuissance, est le 1er à faire répandre les rumeurs d'inceste concernant Lucrèce, ses frères et son père.
Le second sera assassiné par César Borgia
Le 3 eme et denier mariage sera très discuté, les Borgia étant en disgrâce et Lucrèce dépravée. Il aura raison des derniers deniers du Pape.
À Ferrare, elle devient protectrice des arts. L' Arioste et Pietro Bembo la célèbrent. Son rôle politique est assez limité, surtout depuis la chute du clan Borgia lors de la mort du pape en 1503. Néanmoins, elle a été gouverneur de Spolète du vivant de son père.
Elle meurt à 39 ans d'une septicémie consécutive à la naissance d'une fille, qui ne survit pas non plus.
merci morga ...exelente participation
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Citation de "damiel33"Citation de "morganna"Lucrèce Borgia
Fille naturelle du cardinal Rodrigo Borgia (futur pape Alexandre VI) , Lucrèce est la sœur de César Borgia. Elle est demeurée célèbre pour sa beauté autant que pour ses mœurs prétendument dissolues.
Elle vit d'abord auprès de sa mère avec ses frères et ses nombreux beauères. En effet, sa mère, bien que favorite officielle du cardinal Borgia, s'est mariée quatre fois.
Son dernier mari, Carlo Canale, est un humaniste qui enseigne aux enfants de sa femme le grec ancien et le latin. À l'adolescence, la jeune fille emménage dans le palais de son père avec sa nouvelle maîtresse, Giulia Farnèse (mariée à Orsino Orsini). C'est elle qui tient lieu de nouvelle mère à Lucrèce.
Elle se mariera 3 fois avec Giovanni Sforza, Alphonse d'Aragon et Alphonse de Ferrare.
Le 1er accusé d'impuissance, est le 1er à faire répandre les rumeurs d'inceste concernant Lucrèce, ses frères et son père.
Le second sera assassiné par César Borgia
Le 3 eme et denier mariage sera très discuté, les Borgia étant en disgrâce et Lucrèce dépravée. Il aura raison des derniers deniers du Pape.
À Ferrare, elle devient protectrice des arts. L' Arioste et Pietro Bembo la célèbrent. Son rôle politique est assez limité, surtout depuis la chute du clan Borgia lors de la mort du pape en 1503. Néanmoins, elle a été gouverneur de Spolète du vivant de son père.
Elle meurt à 39 ans d'une septicémie consécutive à la naissance d'une fille, qui ne survit pas non plus.
merci morga ...exelente participation
je fais de mon mieux 
j'aime bien ce post . Bonjour bisous
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Citation de "morganna"Citation de "damiel33"Citation de "morganna"Lucrèce Borgia
Fille naturelle du cardinal Rodrigo Borgia (futur pape Alexandre VI) , Lucrèce est la sœur de César Borgia. Elle est demeurée célèbre pour sa beauté autant que pour ses mœurs prétendument dissolues.
Elle vit d'abord auprès de sa mère avec ses frères et ses nombreux beauères. En effet, sa mère, bien que favorite officielle du cardinal Borgia, s'est mariée quatre fois.
Son dernier mari, Carlo Canale, est un humaniste qui enseigne aux enfants de sa femme le grec ancien et le latin. À l'adolescence, la jeune fille emménage dans le palais de son père avec sa nouvelle maîtresse, Giulia Farnèse (mariée à Orsino Orsini). C'est elle qui tient lieu de nouvelle mère à Lucrèce.
Elle se mariera 3 fois avec Giovanni Sforza, Alphonse d'Aragon et Alphonse de Ferrare.
Le 1er accusé d'impuissance, est le 1er à faire répandre les rumeurs d'inceste concernant Lucrèce, ses frères et son père.
Le second sera assassiné par César Borgia
Le 3 eme et denier mariage sera très discuté, les Borgia étant en disgrâce et Lucrèce dépravée. Il aura raison des derniers deniers du Pape.
À Ferrare, elle devient protectrice des arts. L' Arioste et Pietro Bembo la célèbrent. Son rôle politique est assez limité, surtout depuis la chute du clan Borgia lors de la mort du pape en 1503. Néanmoins, elle a été gouverneur de Spolète du vivant de son père.
Elle meurt à 39 ans d'une septicémie consécutive à la naissance d'une fille, qui ne survit pas non plus.
merci morga ...exelente participation
je fais de mon mieux
j'aime bien ce post . Bonjour bisous
je te bisoutes aussi merci morga mais comme je dois me sauver je te souhaite une exelente journée a toi et aux passant(es)
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une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
Modifié il y a 8 ans, le lundi 25 juillet 2016 à 12:26
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
Morganna se rêve en Mata-Hari, Morganna rêve sa vie.
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
Morganna se rêve en Mata-Hari, Morganna rêve sa vie.
Pourquoi une sorcière se rêverait elle aussi petite qu'une espionne ?
Il faudrait réfléchir avant de poser des propres désirs de reconnaissance aux autres.
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arsinoe (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
Morganna se rêve en Mata-Hari, Morganna rêve sa vie.
Pourquoi une sorcière se rêverait elle aussi petite qu'une espionne ?
Il faudrait réfléchir avant de poser des propres désirs de reconnaissance aux autres.
La mastodonte ailée n'est pas contente.
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Pearl Buck
Née Pearl Sydenstricker, née à Hillsboro (en) (Virginie- identale) le 26 juin 1892, et décédée le 6 mars 1973 à Danby (Vermont), est une femme de lettres américaine.
Alors qu'elle n'a que 3 mois, ses parents, missionnaires presbytériens, partent en Chine près de Chinkiang, puis à Shanghaï, où elle va apprendre le mandarin avant l'anglais.
Elle fait ses études universitaires à Macon en Virginie, puis retourne en Chine où elle épouse John Buck, un ingénieur agronome américain , avec qui elle part à Suzhou, en Chine de l'est.
Elle s'établit ensuite à Nanjing jusqu'à 1927, puis au Japon et revient en 1933 aux États-Unis, où elle divorce en 1935.
Elle se remaria par la suite avec Richard Walsh, rédacteur en chef des éditeurs John Day à New York
En 1930 paraît son premier roman inspiré par la Chine qui ouvre un grand cycle romanesque : Vent d'Est, Vent d'Ouest.
Certains de ses romans ont été écrits sous le pseudonyme de John Sedges
En Chine, où la popularité de l'auteur ne s'est jamais démentie, elle est considérée, sans ironie, comme un vrai auteur chinois.
Pearl Buck reçoit le Prix Nobel de littérature en 1938 pour « ses descriptions riches et épiques de la vie des paysans en Chine et pour ses chefs-d'œuvre biographiques ».
Elle a créé en Pennsylvanie une fondation pour l'adoption des enfants abandonnés et y a consacré temps et argent.
Pearl Buck meurt d'un cancer du poumon à 80 ans, le 6 mars 1973.
Un cratère de Vénus porte son nom.
Modifié il y a 8 ans, le lundi 25 juillet 2016 à 15:21
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
Morganna se rêve en Mata-Hari, Morganna rêve sa vie.
Pourquoi une sorcière se rêverait elle aussi petite qu'une espionne ?
Il faudrait réfléchir avant de poser des propres désirs de reconnaissance aux autres.
La mastodonte ailée n'est pas contente.
Tu aimerais
Rêve pas.
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Citation de "morganna"une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
waowwwwwww!!!!!!!!!!!!! trés belle histoire ...ça fait pas longtemps j'ai vu un film de guerre sur arte je crois ... ça ressemble a cette jolie histoire merci pour ce partage morga bravo
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Citation de "sibelius"Pearl Buck
Née Pearl Sydenstricker, née à Hillsboro (en) (Virginie-identale) le 26 juin 1892, et décédée le 6 mars 1973 à Danby (Vermont), est une femme de lettres américaine.
Alors qu'elle n'a que 3 mois, ses parents, missionnaires presbytériens, partent en Chine près de Chinkiang, puis à Shanghaï, où elle va apprendre le mandarin avant l'anglais.
Elle fait ses études universitaires à Macon en Virginie, puis retourne en Chine où elle épouse John Buck, un ingénieur agronome américain , avec qui elle part à Suzhou, en Chine de l'est.
Elle s'établit ensuite à Nanjing jusqu'à 1927, puis au Japon et revient en 1933 aux États-Unis, où elle divorce en 1935.
Elle se remaria par la suite avec Richard Walsh, rédacteur en chef des éditeurs John Day à New York
En 1930 paraît son premier roman inspiré par la Chine qui ouvre un grand cycle romanesque : Vent d'Est, Vent d'Ouest.
Certains de ses romans ont été écrits sous le pseudonyme de John Sedges
En Chine, où la popularité de l'auteur ne s'est jamais démentie, elle est considérée, sans ironie, comme un vrai auteur chinois.
Pearl Buck reçoit le Prix Nobel de littérature en 1938 pour « ses descriptions riches et épiques de la vie des paysans en Chine et pour ses chefs-d'œuvre biographiques ».
Elle a créé en Pennsylvanie une fondation pour l'adoption des enfants abandonnés et y a consacré temps et argent.
Pearl Buck meurt d'un cancer du poumon à 80 ans, le 6 mars 1973.
Un cratère de Vénus porte son nom.
quelle grandeur !!! il parait que les femmes du 19eme et du 20eme sciecle sont les meilleures de ttes les époques..
merci beaucoup ma chére Sib pour ce partage
Modifié il y a 8 ans, le lundi 25 juillet 2016 à 18:06
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Citation de "arsinoe"Citation de "morganna"une bonne journée également..
Mata Hari
Espionne néérlandaise née sous le nom de Margaret Zelle.
À 18 ans, elle se marie avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle part vivre aux Indes néerlandaises
De retour en Europe, elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique.
Elle fait, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère.
Au printemps 1905, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant l’œil du jour.
Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses.
Elle est une courtisane qui se pré occupe peu de la nationalité de ses conquêtes. Personnalité flamboyante, elle s'invente ainsi un personnage et une histoire.
C'est le 2 septembre 1916 qu'elle rencontre le capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français
Il lui propose de se mettre au service du pays en échange d'une belle somme d'argent jamais versée.
En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle peut franchir librement les frontières.
Pour éviter les combats, elle rejoint les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne.
Affichant une image d'agent double, elle est néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnait son appartenance aux services secrets français.
Mata Hari apporte en fait trés peu d'informations que ce soit aux allemands ou aux francais.
On peut penser qu'elle travaille surtout pour l'Entente car aprés ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprend vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France.
Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans la France traumatisée par la guerre.
Le procès ne dure qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle y est qualifiée d'aventurière.
Condamnée à mort, elle est fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait et a lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
Morganna se rêve en Mata-Hari, Morganna rêve sa vie.
si c'est juste pour deranger les gens il vaut mieux quitter en beauté merci
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maracoudjette (clôturé)
il y a 8 ans
Clé âtre était une GRAND DAME ......................... MATA HARI une espionne ..........
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Zénobie
Septimia Bathzabbai, plus connue sous la forme hellénisée Zénobie, était l’épouse d ’ O d énat.
Après l'assassinat de celui-ci et de son fils Hairan vers 267, Zénobie fit transférer à son fils Wahballat les titres de son père, notamment celui de « roi des rois ».
Devant l'incapacité des empereurs à défendre la Syrie, elle parvint à réunir sous son autorité les provinces de Syrie, d'Arabie et d'Égypte, et commença la conquête des provinces d'Asie mineure.
Estimant sans doute que son pouvoir valait bien celui d'autres empereurs (tous auto-proclamés), elle proclama Wahballat empereur de Rome et prit elle-même le titre d'Augusta comme « père » de l'empereur.
Mais Aurélien, empereur depuis l'automne 270, entreprit à la fin de 271 de combattre ces rivaux. Après des victoires près d'Antioche puis près d'Émèse, il s'empara de Palmyre (« Tadmor » en araméen).
Elle étendit son autorité en Asie Mineure jusqu'à Ancyre à la mort de Claude, et visait à s'emparer du reste de celle-ci, jusqu'en Bithynie.
Cependant les difficultés naquirent avec l’arrivée au pouvoir d'un nouvel empereur, le puissant et énergique Aurélien, doté d’une plus forte personnalité que ses prédécesseurs.
Capturée par Aurélien, Zénobie fut envoyée à Rome pour figurer au triomphe, après quoi on perd sa trace.
Le nom grec « Zénobie » signifie « Vie de Zeus »
Zénobie fit de Palmyre un foyer culturel brillant du Proche-Orient, attirant les premiers chrétiens, des artistes, des rhéteurs et philosophes, dont le platonicien Longin d’Émèse. Callinicos, philosophe nabatéen natif de Pétra et rhéteur à Athènes la compare à Cl é o p âtre
Elle apparaît dans différents opéras : Zenobia (1694) de Tomaso Albinoni, Zenobia in Palmira (1789) de Pasquale Anfossi, Zenobia in Palmira (1790) de Giovanni Paisiello, Aureliano in Palmira (1813) de Gioachino Rossini
Modifié il y a 8 ans, le lundi 25 juillet 2016 à 22:07
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Alexandra David-Néel
Alexandra David-Née, née le 24 octobre 1868 à Saint-Mandé, (Val de Marne), morte à près de 101 ans le 8 septembre 1969, est une orientaliste, tibétologue, chanteuse d'opéra, journaliste, écrivaine et exploratrice, franc-maçonne et bouddhiste de nationalités française et belge.
Elle fut, en 1924, la première femme d'origine européenne à séjourner à Lhassa au Tibet, exploit dont les journaux se firent l'écho un an plus tard1 et qui contribua fortement à sa renommée, en plus de ses qualités personnelles et de son érudition.
Durant toute son enfance et son adolescence elle côtoie Élisée Reclus. Celui-ci l'amène à s'intéresser aux idées anarchistes de l'époque (Max Stirner, Michel Bakounine, etc.) et aux féministes qui lui inspirèrent la publication de « Pour la vie » en 1898. Elle devient d'ailleurs une libre collaboratrice de La Fronde, journal féministe créé par Marguerite Durand et géré coopérativement par des femmes, participant également à diverses réunions du Conseil national des femmes françaises ou italiennes. Mais elle rejette en revanche certaines des positions prônées lors de ces réunions (par exemple le droit de vote), préférant la lutte pour l'émancipation économique.
Alexandra s'éloigna d'ailleurs de ces « oiseaux aimables, au précieux plumage », en référence à ces féministes venant pour la plupart de la haute société, et oubliant la lutte économique à laquelle la plupart des femmes sont astreintes.
Alexandra David-Néel arrive au Sikkim en 1912. Elle se lie d'amitié avec Sidkéong Tulku Namgyal, le fils aîné du souverain (chogyal) de ce royaume (qui deviendra un État de l'Inde), et se rend dans de nombreux monastères bouddhistes pour parfaire sa connaissance du bouddhisme.
Elle fit des voyage au Japon, en Corée, en Chine, en Mongolie, au Tibet
Elle s'éteint le 8 septembre 1969, à presque 101 ans.
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