" Interview de Michèle Rivasi au Parlement Européen. "
" Commission Spéciale COVIDPass Sanitaire Européen Elections Françaises Interpellation de la commissaire européenne à la transparence sur la demande d'un groupe de réécrire les contrats, y compris les clauses sur la responsabilité en cas d'effets secondaires.
Interview du 21 juin 2022 "
" Tedros et Schwab insistent lourdement sur la prochaine pandémie "imminente"...
Ca veut dire qu'elle est prête dans les labos et qu'ils vont bientôt la lâcher dans la nature.
En France Macron a prévu tout l'arsenal juridique pour nous enfermer et nous faire taire.
On va rire... "
Le 9 Août Christine Cotton relaye sur son canal Telegram la photo envoyée par une certaine Corinne qui lui a fait le plaisir de faire la promo de son livre ci-dessus. "
" Le dossier Tedros – Le chef de l'OMS va-t-il devenir l'homme le plus puissant ... "
VIDÉO
12.08.2023
" La crise du Covid pourrait-elle se répéter, sous une forme encore plus grave, avec toutes les restrictions de liberté qu'elle implique ?
Kla.tv s'intéresse aujourd'hui à l'homme dont les pouvoirs vont être énormément étendus et qui pourra alors très facilement déclarer de nouvelles pandémies dans le monde entier.
Il s'agit de Tedros Adhanom Ghebreyesus, l'actuel secrétaire général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Il est le premier Africain à occuper ce poste et aussi le premier chef de l'OMS à ne pas être médecin.
En 2020, il a fait son entrée dans la liste des 100 personnalités les plus influentes du magazine d'information américain Time. Comment en est-on arrivé à cette ascension fulgurante de Tedros, né en 1965 à Asmara, dans l'actuelle Érythrée, et qui a été élu directeur général de l'OMS en mai 2017 ? Le dossier Tedros en cinq parties qui est présenté ci-après met en lumière des faits bouleversants qui sont restés jusqu'à présent largement dans l'ombre pour le grand public :
Dossier 1: L’ascension à la tête de l’OMS
Tedros a étudié à l'université d'Asmara et a obtenu une Licence de sciences en biologie en 1986. Il a ensuite rejoint le ministère éthiopien de la Santé en tant qu'expert junior en santé publique. En 1992, il a obtenu un Master de Science en immunologie des maladies infectieuses à l'Université de Londres.
Selon Wikipedia, Tedros a rejoint le Front communiste de libération du peuple tigréen (TPLF) dès 1991, lorsque ce dernier et d'autres organisations de libération éthiopiennes ont renversé le dictateur Mengistu Haïlé Mariam à l'issue d'un conflit armé de longue durée. Le TPLF a ensuite régné jusqu'en 2018. En tant que membre du TPLF, Tedros a gravi les échelons et a été nommé à des postes de haut niveau :
2001 : Directeur du bureau régional de la santé du Tigré
2003 : Vice-ministre éthiopien de la Santé
2005 - 2012 : Ministre de la Santé d'Éthiopie
2012 - 2016 : Ministre des Affaires étrangères d'Éthiopie
2017 : Élection au poste de secrétaire général de l'OMS
Ce qui est particulièrement intéressant, c'est que le TPLF est une organisation violente avec un agenda communiste. Depuis 1976, le TPLF figure dans Global Terrorism Database en tant qu'organisation terroriste, car il a souvent été impliqué dans des enlèvements et des prises d'otages. Le TPLF a commis les plus graves violations des droits de l'homme au cours de ses presque 30 années de gouvernement.
En tant que membre haut placé du bureau politique et ministre de longue date du TPLF, Tedros doit être tenu pour co-responsable de ces crimes !
Même après son élection au poste de directeur général de l'OMS en 2017, ses anciens liens avec le TPLF, un parti violent, semblent toujours fonctionner à merveille. Le 19 novembre 2020, le chef d'état-major éthiopien Birhanu Jula Gelalcha a publiquement accusé Tedros de soutenir le groupe terroriste en tentant de se procurer des armes pour le TPLF.
CONCLUSION : le groupe terroriste violent TPLF est devenu un marchepied pour Tedros ! Cela jette une ombre épaisse sur son ascension !
Dossier 2 : Les plus graves crimes contre les droits de l’homme !
Les extraits suivants des rapports annuels officiels des organisations de défense des droits de l'homme Amnesty International et Human Rights Watch (HRW) de 2005 à 2016 relatent des atrocités inimaginables commises par le gouvernement éthiopien sous Tedros :
2006 : Arrestation de 76 politiciens et journalistes de l'opposition. Nombreuses tortures et détentions - même d'écoliers - par les autorités gouvernementales.
2007 : Les troupes gouvernementales brûlent des villages entiers, procèdent à des exécutions publiques, violent des femmes et des jeunes filles, arrêtent arbitrairement des suspects, les torturent et les tuent également dans de nombreux cas. Des milliers de personnes sont contraintes de fuir leurs maisons. Les mutilations génitales féminines sont très répandues.
2008: Les troupes gouvernementales procèdent à des arrestations massives, des tortures, des viols, des exécutions extrajudiciaires et attaquent une mosquée, tuant 21 personnes, dont sept ont été égorgées.
2009 : La situation des droits de l'homme se dégrade encore ! De nouvelles lois sur la société civile sont « les plus restrictives de toutes les lois comparables dans le monde », selon Human Rights Watch.
2010 : Les journaux sont fermés, les rédacteurs, apeurés, fuient ! Le parti au pouvoir remporte les élections législatives avec 99,6 % des voix. Mais peut-on encore parler d'élections libres ?
2011 : Une délégation d'Amnesty International est expulsée d'Éthiopie !
2012 : Même après la mort du dirigeant Meles, qui a dirigé le régime éthiopien de 1995 à 2012 et qui a également nommé Tedros comme ministre, la situation des droits humains en Éthiopie ne s'est pas du tout améliorée.
2013 : Le rapport Africa constate qu'après la mort de Meles, Tedros est monté en puissance et est devenu l'un des trois hommes politiques les plus influents du TPLF.
2014 : Le gouvernement surveille régulièrement les appels téléphoniques. Sous prétexte d'améliorer les services de base, jusqu'à 1,5 million de villageois doivent être déplacés de force dans les campagnes.
2015 : Amnesty signale des méthodes de torture extrêmement graves, telles que des brûlures et des chocs électriques, dans des postes de police locaux et des prisons régionales.
2016 : Human Rights Watch rapporte que les forces de sécurité éthiopiennes ont tué plus de 500 manifestants majoritairement pacifiques dans les régions d'Oromia et d'Amhara.
L'actuel Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, qui a reçu le prix Nobel de la paix en 2019, a confirmé les rapports de Human Rights Watch et d'Amnesty devant le Parlement éthiopien après le transfert pacifique du pouvoir en 2018. Il a qualifié les actions de son gouvernement précédent de terrorisme.
Selon un rapport du portail d'information britannique "The Exposé", le TPLF, au pouvoir de 1991 à 2018, était l'un des "régimes les plus corrompus, brutaux et génocidaires qui se sont implantés sur cette planète au cours des 30 dernières années". En tant que membre dirigeant de ce régime, Tedros en était le complice !
Focus online rapporte que l'économiste américain David Steinmann, qui a été proposé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte contre Tedros devant la Cour pénale internationale de La Haye fin 2020. Il l'a accusé de génocide en Éthiopie parce que Tedros était l'un des trois principaux décideurs en matière de "nettoyage ethnique". Tedros était donc responsable d'innombrables détentions, tortures et assassinats d'Amharas, de Konsos, d'Oromos et de tribus somaliennes.
En résumé, le portail d'information britannique « The Exposé » constate, à propos de la période de gouvernement de Tedros en Éthiopie : "
" Scandale sanitaire en France : 6 millions de personnes empoisonnées par les fluoroquinolones saisissent la justice "
16 août 2023
" Depuis qu’il a été révélé en mars dernier, le scandale concernant l’empoisonnement de 6 millions de Français par les fluoroquinolones semble totalement étouffé par les médias qui n’en parlent plus d’ailleurs.
Mais alors, pourquoi ce silence?
La question se pose car les victimes ont droit à une réponse
Lecourrier-du-soir.com vous explique tout
Excellente lecture
Un nouveau scandale en France? La question se pose et les réponses ne devront pas tarder à apparaître. En effet, alors que la pandémie à Coronavirus ne fait plus l’actu depuis plusieurs mois, c’est un nouveau scandale sanitaire qui risque de voir le jour dans ce pays, comme vient de le révéler, le 13 mars dernier, le média France Info.
En effet, d’après ce média, en France, en quatre ans, six millions de personnes ont été empoisonnées par les fluoroquinolones, antibiotiques puissants. Le média tient cette information d’une association de patients victimes de ces antibiotiques. France Info nous en dit plus.
« Les fluoroquinolones sont une classe d’antibiotiques qui peuvent être utilisés lors d’infections bactériennes graves. Ils sont commercialisés sous de multiples appellations comme Oflocet, Ciflox ou Tavanic. Mais ils peuvent être à l’origine d’effets indésirables, irréversibles voire mortels », explique la source.
Et d’ajouter : « selon une association de patients, six millions de prescriptions en infraction avec les recommandations médicales ont été faites depuis quatre ans, un chiffre obtenu à partir de données de prescriptions de l’OCDE pour ces médicaments en France. Des patients dont la santé a été gravement dégradée demandent à la justice d’ouvrir une enquête pénale sur la responsabilité des médecins et des autorités de santé. Une plainte a été déposée auprès du pôle de santé publique de Paris et du parquet de Versailles, et une dizaine d’autres devraient l’être cette semaine ».
En France, les victimes, réunies autour d’une association, commencent à se mobiliser pour dénoncer un scandale dont on parle très peu d’ailleurs. Ainsi, joint par France Info, Philippe Coville, qui souffre de graves neuropathies, demande « que les justices de tous les pays d’Europe se saisissent du sujet pour faire la lumière sur ce qu’il s’est passé et pour que des responsabilités soient établies ».
L’affaire commence à attirer l’attention des médias de masse.
Tous les matins à 7h26 @mdups
se glisse “Dans la peau de l’info” ????️
Ce matin, Marie Dupin révèle que des patients français victimes d’un antibiotique saisissent la justice. Ils dénoncent un scandale sanitaire lié aux fluoroquinolones. pic.twitter.com/XLYFFkppOs
" Coup de théâtre : la Pologne se révolte contre Pfizer et refuse de payer les doses de vaccins annulées "
31 août 2023
" Dans une lettre confidentielle adressée à Pfizer et lue par Politico, la Pologne s’attaque violemment à la proposition du laboratoire américain qui a décidé de faire payer moitié prix à l’Union Européenne chaque dose de vaccins non achetée
La Pologne déclenche la révolte et refuse (pour le moment) de payer moitié prix chaque dose de vaccins non annulée. Comme l’on pouvait s’y attendre, la récente proposition de Pfizer de faire payer à l’UE moitié prix chaque dose de vaccin non achetée est loin de faire l’unanimité, notamment pour la Pologne qui se plaint depuis plusieurs mois de s’être retrouvée avec un surplus de doses de vaccins dont elle n’a plus besoin.
Et pour faire part de sa grosse colère, Varsovie déchire la proposition de Pfizer dans une lettre confidentielle lue par Politico. En effet, à en croire cette source, Adam Niedzielski, ministre polonais de la Santé, a adressé cette lettre au vitriol au laboratoire américain dans laquelle il lui rappelle sa « responsabilité sociale » avant de lui demander de trouver un accord plus favorable afin de réduire le nombre de doses qu’il envoie à l’UE.
Une information confirmée par le média polonais, TheFirstNews.com, lequel nous a fait découvrir une partie du contenu de ladite lettre. « Malgré la situation épidémique stable dans les pays de l’Union Européenne, Pfizer prévoit encore de livrer des millions de doses de vaccins à l’Europe. Ceci est tout simple absurde d’un point de vue sanitaire étant donné que beaucoup de ces doses seront détruites en raison d’une durée de conservation et de demande très limitées », s’emporte le ministère polonais de la Santé.
Dans la lettre, l’Etat polonais critique vertement la proposition formulée par Pfizer qui consiste à réduire le nombre de doses tout en faisant payer à l’UE chaque dose non achetée. « La proposition actuelle de Pfizer inclut la réduction de doses mais le laboratoire exige toujours le paiement à moitié prix des doses non achetées et qui n’ont pas été produites », dénonce-t-il. Et d’ajouter : « bien que l’esprit de solidarité soit évident dans de telles circonstances, le coût financier est immense ».
Pour rappel, ce 30 avril, le média Financial Times a dévoilé la proposition de Pfizer qui accepte de réduire les doses de vaccins livrées aux Etats européens tout en leur faisant payer moitié prix chaque dose non achetée. C’est du moins ce qu’avait révélé l’agence de presse, Reuters.
En effet, d’après cette source qui cite le Financial Times, Pfizer est revenu à la charge, proposant à l’UE de payer moitié prix chaque dose de vaccin annulée, soit 10 dollars la dose pour environ 70 millions de doses annulées, ce qui devrait avoisiner les 700 millions de dollars.
Une proposition qui ne pouvait que déclencher l’ire des Etats d’Europe de l’Est qui ont été les premiers à dénoncer un deal injuste et coûteux. D’ailleurs, en 2021, comme l’avait révélé le média Politico.eu, un groupe de 10 pays d’Europe de l’Est avaient adressé une lettre à la Commission Européenne se plaignant d’un approvisionnement excessif de vaccins contre le Covid. En colère, ces pays exigeaient de l’EU une renégociation des contrats avec les labos.
Dans la lettre dont une partie a été consultée par Politico.eu, les 10 pays en question se plaignaient de s’être retrouvés avec une grande quantité de vaccins sous la main et ne comprennent pas que les négociations entre l’UE et les laboratoires pharmaceutiques (à ce sujet) n’aient pas porté leurs fruits. Ils se sont également plaints que les vaccins leur soient livrés peu avant leur date d’expiration.
D’après les informations obtenues par Politico, la lettre a été adressée à Stella Kyriakides, commissaire européen à la santé et à la politique des consommateurs. A en croire la source, l’initiative est menée par la Pologne et a été soutenue par 9 autres pays de l’Est que sont : la Bulgarie, la Croatie, l’Estonie, la Hongrie, La Lettonie, la Lituanie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie. "
" Coup de théâtre en France : la pétition pour la dissolution de l’Ordre des Médecins dépasse les 173 000 signatures "
17 octobre 2023
" En pleine crise sanitaire et au moment où l’Etat français prévenait sa population d’une éventuelle 8ème vague, une pétition contre l’Ordre des médecins avait connu un succès sans précédent, car ayant été signée par plus de 173 000 personnes. Un an plus tard, Lecourrier-du-soir.com a constaté que plus de 20 000 autres personnes ont signé la même pétition, preuve que l’Ordre des Médecins est loin de faire l’unanimité
Publiée sur Leslignesbougent.org, la pétition dénonce « un organisme dépassé »
Ci-dessous le contenu intégralement de cette pétition
« Autrefois fondée pour les meilleurs desseins, L’Ordre des Médecins est devenu aujourd’hui un organisme dépassé.
Entre la compétence des médecins qui n’est jamais réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, des détournements de fonds et l’impunité des médecins en cas de plainte (y compris pour abus sexuels), comment pouvons-nous encore faire confiance à cette institution ?
Oui la liste est longue, comme vous pourrez le constater par vous-même un peu plus bas !!
Et c’est sans parler du musellement des médecins qui osent hausser la voix pour émettre de nouvelles idées.
Le Conseil national de l’Ordre des Médecins est un organisme archaïque qui cumule aujourd’hui les affaires louches, le tout dans un esprit obscurantiste et malsain
Nous ne sommes plus en sécurité tant que l’Ordre des Médecins existera et détiendra autant de pouvoirs. Je fais donc un appel général au bon sens de tous les citoyens pour demander à ce que cet organisme soit aboli et remplacé par un nouveau plus sain, plus moderne et plus ouvert d’esprit.
L’Ordre des Médecins : à l’origine, c’était quoi ?
L’Ordre des Médecins est né le 7 octobre 1940, sous le régime de Vichy, prenant la forme d’un organisme de droit privé chargé d’une mission de service public :
veiller au respect de l’éthique médicale,
accompagner les médecins en matière de déontologie, de justice et dans leurs démarches administratives,
se poser comme garant de la relation médecin-patient,
et comme conseiller des pouvoirs publics et des organismes français de santé publique.
Bien que créé dans un contexte sombre, les missions confiées à cet organisme semblent a priori utiles, voire indispensables. En tout cas en théorie.
Mais dans les faits, le Conseil de l’Ordre ne remplit plus sa mission ! "
" "Nous assistons à la montée d'une sorte de IVè Reich contemporain"
" Interview de Jean-Dominique Michel sur l'évolution de nos sociétés depuis le COVID et sur la visée intentionnelle de la caste mondialisée dans ce contexte. "
" Attention ! Je ne vais pas vous parler ici d'un fonctionnaire de la Poste ni de l'ex-Twitter. Il ne s’agit pas plus de discourir sur l'élément à découvrir d'une équation mathématique à une seule inconnue, ce fameux "X" qui a filé des migraines terribles à l'école, à bien des cancres.
Non. Ce que je vais évoquer ici est beaucoup plus grave. Tellement grave même, que j'ai préféré commencer cet édito, non pas bille en tête, en vous parlant directement du facteur X, mais par un petit trait d'humour.
Car, hélas, si le facteur X se matérialise, nous n'aurons plus beaucoup l'occasion de rire.
Je m'explique.
Le facteur X, c'est, officiellement, un virus inconnu, attaché à une pandémie qui, du coup, porte son nom. Une pandémie X à propos de laquelle les gentils organisateurs du Forum de Davos 2024, nous ont à peu près dit :
"Une nouvelle pandémie est inévitable. Elle arrive. C'est pour cette année. Un virus totalement inconnu contre lequel Big Pharma aura un vaccin. Un vaccin sûr, évidemment, 100% garanti sans effets secondaires."
Garanti par qui ? Ça ils ne l'ont pas dit. Mais bon, on sait pouvoir leur faire confiance.
Pardi ! Si Pfizer, Moderna ou AstraZeneca avaient été condamnés, ne serait-ce qu'une seule fois, pour empoisonnement, on pourrait avoir un doute. Craindre le pire. Mais là, non, évidemment...
Alors, maintenant, écoutons la suite sans craindre que ces bons samaritains altruistes qui nous veulent uniquement du bien, se mettent soudainement à nous mentir.
De ce nouveau virus “inconnu”, nos "Davossiens" ne connaissent à peu près rien. Si, si ! Vrai de vrai ! “Et ce serait donc par le plus grand des hasards” s'il était aussi “cultivé”, ce virus “inconnu”, en Chine, dans un laboratoire. À Wuhan, par exemple...
Ah mince ! Bis repetita ?
Parce qu’ils en sont certains, les GO de Davos : la pandémie X fera vingt fois plus de morts que la pandémie de Covid. Et là, ce n'est pas drôle. Ce n'est plus drôle du tout. "