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La Malaisie interrompt la production de bauxite pour éviter la pollution aux boues rouges Par Myrtille Delamarche - Publié le 06 janvier 2016, Aluminium, Malaisie En raison du risque de contamination de l’eau par les boues rouges, le gouvernement de Malaisie a interdit pour une durée de trois mois l’exploitation de la bauxite, minerai dont on tire l'alumine, composant de base de l’aluminium. Les autorités de Malaisie ont décrété un embargo de trois mois sur l’extraction de bauxite, minerai indispensable à la production d’aluminium. Des pluies torrentielles qui lessivent les sols des mines ont provoqué des inquiétudes environnementales, en raison du ruissellement de boues rouges, rejets des opérations minières, qui charrient des métaux lourds vers les rivières environnantes. La pêche est également menacée sur la côte ouest de la Malaisie. MÉTAUX LOURDS Ces boues rouges, également mises en cause en France dans la région de Gardanne où opère Alteo, contiennent de l’arsenic, du mercure, et des métaux lourds comme le strontium et le cesium. En Malaisie, les habitants de la région de Kuantan se sont plaints d’inflammations cutanées qu’ils attribuent à ces rejets. La Malaisie était devenue un exportateur de bauxite important pour la Chine, assurant près de la moitié des approvisionnements du premier producteur d’aluminium mondial, depuis l’embargo indonésien sur l’exportation de minerai brut, dans le but d’encourager la transformation locale. Kuala Lumpur a fourni plus de 20 millions de tonnes de bauxite à l’industrie aluminière chinoise en 2015, contre moins de 4 millions de tonnes en 2014. Selon Ivan Szpakowski, analyste matières premières spécialisé sur l’Asie chez Citi, la Chine pourrait devoir se tourner vers des fournisseurs bien plus onéreux, comme l’Australie et l’Inde. Le pays dispose néanmoins de réserves importantes et un embargo de courte durée ne devrait pas vraiment affecter sa compétitivité. Myrtille Delamarche
Modifié il y a 8 ans, le mercredi 13 janvier 2016 à 12:04
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Maïs ensilage Le terme de maïs ensilage désigne le maïs, dont la plante entière est appelée maïs fourrage1, quand il est destiné à être stocké sous forme d'ensilage. On peut distinguer le maïs ensilage du maïs grain. Le maïs ensilage est cultivé pour l'alimentation du bétail. L'utilisation du maïs ensilage en tant que plante fourragère s'est développée dans les années 1960. La technique de l'ensilage Le maïs ensilage est récolté à l'aide d'une ensileuse. Puis l'ensilage est stocké en tas bâchés (milieu anaérobie). La récolte du maïs ensilage est plus précoce que celle du maïs grain. Pour récolter le maïs ensilage, la plante doit encore être verte et les grains ne sont pas encore mûrs. L’ensilage est une méthode de conservation en anaérobie et humide. L’acidité et l’anaérobiose du milieu de conservation bloquent le développement de la flore microbienne responsable de la dégradation de la matière organique exposée à l’air libre. L'ensilage est distribué à l'aide d'une désileuse. Sa valeur alimentaire : Sa teneur en protéines est assez faible et il est pauvre en lysine et en méthionine. Il faut donc donner en plus de cet aliment, un complément azoté. Le maïs ensilage a une bonne valeur énergétique. II peut apporter à la vache jusqu'à 80 % de l'énergie. 1,5 kg de maïs, avec un bon complément azoté(soja,colza), suffit pour produire environ 1.5 kg de lait. Variétés de maïs ensilage Le choix de la variété est très important pour la production d'un maïs ensilage : Abondance Turini Etendard Spéciosa - - - - - - - - - - - Les téintes sont des espèces de graminées appartenant au genre Zea (genre qui comprend seulement le maïs et les téintes), originaires du Mexique et souvent considérées comme les ancêtres du maïs cultivé. - - - - - - - - - - - - Elles sont très importantes pour l'amélioration du maïs cultivé par leurs résistances aux maladies et prédateurs, leur richesse nutritionnelle (mexicana), leur tolérance aux sols secs (mexicana, diploperennis, perennis), aux sols inondés (nicaraguensis), l'adaptation à des sols acides, salés, pauvres...
Modifié il y a 8 ans, le samedi 16 janvier 2016 à 00:40
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http://www.gnis-pedagogie.org/sorgho-debouches.html Le sorgho et ses débouchés Des utilisations diverses Récolté en grain ou plante entière, le sorgho présente de nombreux débouchés, depuis l’alimentation animale ou humaine jusqu’à la biomasse énergétique. Remarque : En France, les deux principaux débouchés pour le sorgho sont la fabrication d’aliments du bétail (30% à 50% de la collecte) et l’exportation. Les types de sorgho diffèrent en fonction des utilisations. Le sorgho grain Le sorgho grain est de taille réduite. Sa physiologie permet une accumulation des réserves glucidiques et protéiques dans le grain. Il est utilisé pour l’alimentation humaine, dans la fabrication de semoules et de farines. Ces farines sont utilisées par l’industrie agro-alimentaire pour la confection de biscuits pour le goûter. Les farines de sorgho conviennent notamment aux personnes intolérantes au gluten. Pour les populations d’Asie et d’Afrique, le sorgho constitue avec le mil, une source vivrière essentielle d’énergie, de protéines, de vitamines et de minéraux. Il se consomme en grain comme le riz en le faisant bouillir dans l’eau. D’autre part, du fait de sa richesse en glucides, la graine de sorgho est utilisée en industrie agro-alimentaire pour fabriquer du sucre, mais aussi différents alcools. C’est le cas en Chine avec le maotai, considéré comme le meilleur alcool du pays. Le sorgho grain est également destiné à l’alimentation animale en particulier au Mexique, aux États-Unis, en Argentine… Grâce à ses qualités nutritives, le sorgho grain est en effet intéressant pour les monogastriques et plus particulièrement les porcins. Ce débouché est important en France et en Espagne. Les sorghos français présentent en effet une composition chimique similaire à celle du maïs, avec toutefois un taux de protéines légèrement supérieur. Ils se caractérisent d’autre part, par une faible présence de tanins, ce qui permet une bonne utilisation de l’énergie et des protéines par les animaux monogastriques. Enfin les grains peuvent être employés pour la production d’éthanol (débouchés divers : alcool, carburant, solvant..). Le sorgho grain ensilage Le sorgho grain ensilage comprend des variétés de grande taille, pour une utilisation de la plante entière sous forme d’ensilage pour l’alimentation animale, ou pour la production d’énergie par méthanisation. Le sorgho fourrager Ces types sont cultivés en tant que fourrages soit en tant que tel (Sudan grass), soit sous forme d’hybrides avec des sorghos grains. Ils sont consommés par les animaux, en fauche, en pâturage ou en ensilage. Le sorgho sucrier Le sorgho sucrier se caractérise par l’accumulation de réserves glucidiques et protéiques dans ses tiges. Il s’agit d’un sorgho de grande taille avec présence de jus dans la tige. Ses grains sont de petites tailles. Ce type de sorgho est souvent utilisé comme plante fourragère, il peut servir à la fabrication d’éthanol. Le sous-produit obtenu, la bagasse, peut fournir une pâte à papier de qualité. Le sorgho fibre Le sorgho fibre est un sorgho de grande taille. Sa richesse en fibres le destine à l’utilisation de sa biomasse par méthanisation et aux biomatériaux. La moelle des tiges fournit des films souples (type film plastique) ou des matériaux de construction. La tige et la panicule sont utilisées pour la fabrication de pâte à papier.
Modifié il y a 8 ans, le samedi 16 janvier 2016 à 12:09
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http://www.gnis-pedagogie.org/lien-site-internet-gnis-semence.html Les autres sites du Gnis Les sites officiels et institutionnels Semences biologiques : le site officiel des variétés disponibles en semences issues de l'agriculture biologique Ce site permet : • aux professionnels de l'agriculture biologique, de trouver plus facilement les semences biologiques des variétés des espèces qu'ils cherchent, • aux fournisseurs de semences, de proposer aux agriculteurs les variétés qu'ils commercialisent et de tenir à jour instantanément les disponibilités, • aux agriculteurs, qui ne trouvent pas les variétés adaptées à leur besoins, de faire rapidement une demande de dérogation auprès de leur organisme certificateur, • aux organismes certificateurs, de suivre régulièrement les demandes de dérogations de leurs adhérents. Web : www.semences-biologiques.org Asfis : pour préparer l'avenir des hommes des semences Ce site présente les prestations proposées par l'Asfis, la société de conseil, formation et expertise de la filière semences. Ces prestations s'étendent sur bon nombre de domaines d'activité : recherche et sélection, agronomie, production de semence (au champ et à l'usine), contrôle qualité au laboratoire, vente, marketing, communication, management, etc... Vous retrouverez les offres détaillées, ainsi qu'un planning affiché en temps réel, vous permettant de gérer en ligne vos inscriptions Web : www.asfis.org Fonds de soutien à l'obtention végétale (FSOV) Page accueil site FSOV Ce site s'adresse aux agriculteurs et aux prescripteurs du monde agricole désireux de suivre l'actualité du FSOV et d'accéder de façon simple et permanente aux résultats obtenus ainsi qu'aux programmes en cours sur les différents thèmes. Ce site a aussi pour vocation de s'adresser aux collecteurs de blé tendre et à la communauté scientifique qui y trouvera tous les documents nécessaires pour répondre aux appels à proposition, et participer aux colloques scientifiques. Web : www.fsov.org/ OGM : comprendre les OGM pour préparer l'avenir Page d'accueil du site OGM Ce site fait le point des connaissances sur les plantes transgéniques en France et dans le monde et met à disposition des rapports d'études, des textes règlementaires et des prises de position de personnalités. Espace d'information et d'échanges, il est réalisé par IBV (Initiatives Biotechnologies Végétales) fédérant l'interprofession semencière et les professionnels de la protection des cultures. Web : www.ogm.org Les sites pédagogiques Semencemag.fr : le magazine des semences pour tous Découvrir, s'informer, réagir, ce site a pour but d'éclairer tous les débats d'actualité qui concernent les semences. Il aborde des sujets de tous les jours sur l'alimentation, la santé, le jardin, le cadre de vie, mais aussi les grands enjeux de l'agriculture, l'environnement, notre planète. Le site présente des fiches éducatives permettant aux enseignants des collèges et lycées une exploitation pédagogique des différents articles. Web : www.semencemag.fr Jardinons à l'école : pour se lancer dans des activités de jardinage avec les enfants Ce site s'adresse aux enseignants des écoles maternelles et primaires qui souhaitent mettre en place ou développer des activités de jardinage pour les enfants. Plein d'idées et de conseils sur les possibilités de culture à l'école, avec ou sans terrain, il contient de nombreux liens vers des sites d'écoles, de jardins à visiter, de ressources éducatives... , et un forum où les enseignants peuvent poser leurs questions et échanger leurs expériences. Web : http://www.jardinons-alecole.org/ Les sites thématiques et par espèce Betterave fourragère : le site de référence sur la betterave fourragère Accueil du site La betterave fourragè Ce site permet à tous les agriculteurs, distributeurs et techniciens de trouver facilement les informations nécessaires pour réussir la culture de la betterave fourragère et l'utiliser au mieux pour l'alimentation des animaux. Plusieurs rubriques y détaillent les avantages et les limites de ce fourrage, les techniques à mettre en œuvre en ce qui concerne le semis, le choix des variétés, le désherbage, la récolte, la conservation, la distribution des betteraves fourragères et la place que ce fourrage peut prendre dans les rations pour différents types d'animaux. Les listes des fournisseurs et un espace permettant de poser des questions font de cet outil le véritable site de référence de la betterave fourragère. Web : www.betterave-fourragere.org Prairies : le site consacré aux plantes fourragères Destiné aux éleveurs, ce site riche en contenu met à la disposition de tous, l'information sur les principales espèces fourragères, sur les techniques d'implantation des prairies et sur leur diagnostic. Un module d'aide à la recherche des espèces les mieux adaptées aux conditions de sol et d'utilisation a également été développé. Web : www.prairies-gnis.org Herb'actifs : la revue en ligne pour les professionnels de l'élevage Ce site propose des articles techniques et des conseils pratiques pour valoriser au mieux la qualité de l'herbe et le potentiel des prairies. Il comprend de nombreux reportages et témoignages d'éleveurs et de chercheurs. Certains dossiers thématiques sur les protéines ou les légumineuses permettent d'approfondir certains sujets. Web : www.herbe-actifs.org Herbe Book : pour tout savoir sur les variétés fourragères Le site est une base de données sur les caractéristiques des variétés de plantes fourragères. Il présente, pour chaque variétés inscrite au catalogue français depuis 2000 et chaque témoin CTPS en vigueur, la synthèse des notes calculées par le GEVES. Ces informations sont diffusées conjointement par l'AFPF, ARVALIS - Institut du végétal, le GEVES et le GNIS. Web : www.herbe-book.org Le lin côté nature Accueil du site Le lin côté natur Ce site présente des informations sur la culture, la transformation et les débouchés du lin, avec un glossaire bien développé. Il s'adresse plus particulièrement aux familles, aux animateurs et aux enseignants. Ils trouveront sur le site des jeux, des propositions d'activités pédagogiques pour les enfants avec Linette sur la découverte du lin, et pourront également partager les expériences réalisées. Ce site est réalisé conjointement par le GNIS et le Centre Interprofessionnel de la Production Agricole du Lin (CIPALIN). Web : www.lelin-cotenature.fr Semences certifiées de céréales Accueil du site semences céréales certifiées Ce site s'adresse aux agriculteurs et aux prescripteurs du monde agricole désireux de suivre l'actualité et de s'informer sur les enjeux de la filière semences de céréales. Il offre la possibilité aux internautes de poster des commentaires sur chacun des articles mis en ligne. Web : www.semences-cereales-certifiees.fr Plant français de pomme de terre Le site donne tous les éléments sur la filière française du plant de pommes de terre, le contrôle et la certification. Il présente également les fiches descriptives des variétés françaises, ainsi que les fiches de description des principales maladies et ravageurs. Ce site est réalisé conjointement par la FNPPPT et le Gnis. Web : www.plantdepommedeterre.org Le plant certifié d'ail Ce site est entièrement consacré aux plants certifiés d'ail. Il présente la filière de création des variétés et de production des plants et montre son importance économique. Une rubrique détaille le contrôle et la certification des plants. Les différentes variétés sont décrites à travers des fiches descriptives très complètes et illustrées. Enfin, les jardiniers sont directement concernés, avec une rubrique comprenant de nombreux conseils de plantation et de culture, ainsi que les consommateurs avec la présentation de recettes et la façon de conserver l'ail chez soi. Ce site est réalisé conjointement par Prosemail et le Gnis. Web : www.plant-certifie-ail.org Le plant certifié d'échalote Ce site est entièrement consacré aux plants certifiés d'échalote. Il présente la filière depuis l'inscription des variétés jusqu'à leur commercialisation et permet d'accéder à des fiches descriptives très complètes des variétés avec leurs caractéristiques. Des rubriques s'adressent plus particulièrement aux jardiniers avec des conseils de plantation et de culture et aux consommateurs avec des recettes. Ce site est réalisé conjointement par Prosemail et le Gnis. Web : www.plant-certifie-echalote.org Les plants de légumes au service de votre potager Ce site de référence pour tous les jardiniers amateurs comprend 4 rubriques : - Le potager, avec des conseils pour la création et l'entretien, - Les plants, avec 18 fiches pour les différentes espèces avec des conseils pour le choix et l'entretien du jardin, - Alimentation et santé, avec des informations sur les bienfaits des légumes pour l'alimentation et la santé par le jardinage, - Les producteurs, avec la liste de tous les producteurs de légumes de France, leur localisation et le descriptif de leur entreprise. Ce site est réalisé conjointement par la FNPHP et le Gnis. Web : www.plantsdelegumes.org Pelouses : le site de la pelouse et des gazons Un site qui dévoile tous les trucs et astuces pour choisir et obtenir le plus beau des gazons. Implanter une nouvelle pelouse, rénover son gazon ou l'entrenir : 3 bonnes raisons pour consulter ce site. Il est aussi l'occasion de découvrir les graminées pour gazon et connaître leurs caractéristiques et leurs utilisations. Web : www.pelouses-net.com Choix du gazon : votre base de données en ligne de variété pour gazon Accueil su site Choix du gazon Ce site permet de visualiser la qualité des différents composants d’un mélange de semences et donne des informations sur la disponibilité et les représentants commerciaux des variétés. Cet outil accessible par tous permet de comparer les variétés entre elles, de les sélectionner ou de les trier sur un ou plusieurs critères et cela de façon très intuitive. Pour les variétés les plus récentes inscrites depuis 2011, il intègre des index pour l’utilisation sport et pour l’utilisation agrément pour les différentes zones climatiques européennes où les variétés ont été testées. Le site livre ainsi des informations complémentaires uniques sur le comportement des variétés. Ces informations sont accessibles à partir des fiches détaillées et sont présentées sur une carte d’Europe. Web : www.choixdugazon.org Une version anglaise du site a également été développée www.turfgrass-list.org
Modifié il y a 8 ans, le vendredi 15 janvier 2016 à 14:02
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La PAC est au bout du rouleau (1) 14 Décembre 2015 Du 1er au 2 décembre a eu lieu la conférence sur les perspectives agricoles de l’UE d’ici à 2025. L&rsquocasion d’aborder les enjeux autour de la PAC, les perspectives de production des principaux produits agricoles européens, les enjeux liés à la sécurité alimentaire, aux défis environnementaux et climatiques, les tensions au niveau de la chaîne d’approvisionnement alimentaire, ou encore des accords de libre-échange et ce en présence du secrétaire d’Etat américain à l’agriculture, Tom Vilsack. L&rsquocasion également de faire le bilan des actions menées par Phil Hogan, après plus d’un an de mandat, et de jauger les progrès réalisés de même que les failles des actions entreprises. Autant dire que cette conférence, la dernière de cette ampleur avant la fin de l’année, consacre les positions de la Commission et sa vision de l’agriculture européenne pour les années à venir. Le discours inaugural de Phil Hogan ne se démarque que très peu de celui de l’année précédente avec toujours en ligne de mire la volonté d’une PAC tournée vers l’emploi, la croissance, l’investissement et la compétitivité, suivant en cela ce qu’il avait exprimé lors de son audition en octobre 2014. Ainsi parmi les objectifs de Phil Hogan figurent toujours : La poursuite de la simplification et du verdissement de la PAC en 2016. Le commerce international, comme « troisième pilier » de la PAC ainsi qu’il le présente. A ce titre, la Commission œuvre à la promotion des exportations des produits agricoles hors de l’UE ainsi que des accords de libre-échange. Tom Vilsack et Phil Hogan ont ainsi pu aborder les dispositions du partenariat transatlantique (TTIP) concernant le volet agricole. Si le Commissaire européen demeure persuadé que l’aboutissement des négociations aura lieu en 2016, Tom Vilsack a pour sa part reconnu que le volet agricole du TTIP représente des « défis très sérieux » et des décisions difficiles à prendre. A écouter Phil Hogan, la PAC de la dernière réforme est ce couteau suisse dont parle Barack Obama pour qualifier le Farm Bill. Or, contrairement à la loi-cadre américaine, la PAC de Phil Hogan repose sur une vision biaisée et déconnectée des réalités agricoles européennes. Pour preuve : A aucun moment lors de son discours d’ouverture le Commissaire ne cite la crise agricole qui a largement fragilisé l’élevage européen. Pour la Commission européenne les perspectives pour les principales filières européennes sont par ailleurs globalement bonnes, bien qu’elle reconnaisse que les prix du lait ne devraient pas remonter avant 2020. A l’inverse des grandes puissances agricoles, l’UE continue de miser sur les aides directes découplées qui représentent la plus grande part du budget de la PAC. La Commission européenne explique ce choix par « la transition du régime de soutien au produit, vers celui de soutien au producteur ». Cette évolution traduit surtout l’orientation libérale de la Commission européenne vers toujours plus de découplage et le moins d’intervention possible. Les filets de sécurité aujourd’hui proposés par Bruxelles s’avèrent par ailleurs insuffisants en termes de régulation quand bien même ils intègrent la notion de volatilité des marchés. Enfin, si la Commission européenne estime que les exportations à bas prix seront le moteur essentiel du secteur agricole dans les dix prochaines années, elle fait passer au second plan l’objectif de garantie de revenus rémunérateurs aux agriculteurs au profit de la seule compétitivité. La PAC ne joue donc plus son rôle de régulateur et ce depuis longtemps. Il faut la réformer sans attendre 2020 et profiter de la révision du cadre financier pluriannuel européen en 2017 pour lui redonner un nouveau cap stratégique. ( 1 Expression de Philippe Mangin, président de Coop de France )
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http://pulse.edf.com/fr/que-faire-des-pneus-usages?gclid=Cj0KEQiAiNi0BRDaobaq3dKJhrwBEiQAyVThzUyOa1ls6fEs6H5Uci4X1a2oDS7VGJuwPwi9k9asS2oaAu768P8HAQ QUE FAIRE DES PNEUS USAGÉS ? Lourds, ayant du mal à brûler, les pneus font partie des objets les plus difficiles à recycler. Pourtant, il existe des solutions pour leur donner une seconde vie. Des semelles de seconde main En 2004, l’Éthiopienne Bethlehem Tilahun Alemu lance soleRebels, une entreprise de fabrication de chaussures à partir de pneus usagés. La chaussure est composée d’une semelle en pneu recyclé et de coton filé et tissé, élaborée exclusivement par des artisans locaux. En 2013, « The Guardian » a classé Bethlehem Tilahun Alemu parmi les 25 femmes les plus influentes d’Afrique. Des murs antibruit Le long des autoroutes, on trouve des murs antibruit pour protéger les riverains des nuisances sonores. Certains de ces écrans sont faits en béton et peuvent avoir des propriétés absorbantes grâce à l’ajout de matériaux, dont des morceaux de pneus recyclés. Des pelouses synthétiques et des aires de jeux pour enfants Une fois les pneus broyés en granules, le caoutchouc est utilisé pour fabriquer des pelouses artificielles couvrant les stades. Ces gazons n’ont pas besoin d’être tondus ou arrosés et ne gèlent pas en hiver, permettant aux sportifs de jouer toute l’année. La première pelouse synthétique est apparue dans les années 1940 aux États-Unis, mais le procédé s’est généralisé depuis une trentaine d’années seulement. C’est aussi avec des pneus usagés que l’on fabrique les sols amortissant des aires de jeux pour enfants et des pistes d’athlétisme. Des outils agricoles Les pneus usagés sont récupérés par les agriculteurs qui les disposent sur les bâches d’ensilage, sous lesquelles ils font fermenter les plantes dont se nourrissent les animaux de la ferme. Cette pratique agricole est autorisée par la loi depuis 2002. Réduire la vibration des trains Les pneus sont passés à la broyeuse pour devenir de la poudrette de caoutchouc, un matériau qui, mélangé à d’autres composants chimiques, peut être transformé en supports industriels, comme ceux qui sont disposés sous les voies ferrées, afin de réduire les vibrations et le bruit. Des roues de caddie ou de brouette On peut faire fondre les pneus usagés et les remouler pour les transformer en petites roues pour les caddies, les brouettes ou les conteneurs. L’entreprise Roll-Gom en fabrique depuis 1985 : elle les collecte auprès de la société Aliapur, spécialisée dans la valorisation des pneus usagés, les broie entièrement pour les faire fondre et y ajouter du soufre. Cette manipulation chimique permet d’obtenir une matière élastique : de la gomme, facile à mouler ensuite en forme de roue.
Modifié il y a 8 ans, le mercredi 13 janvier 2016 à 22:47
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TERRES INOVIA CETIOM l’institut technique des producteurs d’oléagineux, de protéagineux, de chanvre et de leurs filières. Communiqué de presse "Création d'OLEAD SAS" 13 janvier 2016 L’ITERG s’associe à Terres Inovia et SOFIPROTEOL dans la SAS CREOL pour créer OLEAD SAS.
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Je la remets ici, car c'est vraiment important !
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malaguena (clôturé)
il y a 8 ans
En attendant, Renault à cause de cette histoire de pollution a trafiqué les résultats de ses pots d'échappement Et nous voilà une fois de plus après cette découverte, en chute libre de vente de voiture Comme si on avait besoin de ça
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Citation de "malaguena"En attendant, Renault à cause de cette histoire de pollution a trafiqué les résultats de ses pots d'échappement Et nous voilà une fois de plus après cette découverte, en chute libre de vente de voiture Comme si on avait besoin de ça En effet ! !
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Bon . .il faut que je fasse un peu de tri et de ménage dans tout cela ... Avant de l'utiliser.
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https://www.isf-france.org/Sc%C3%A9nario-Afterres-2050-pour-une-utilisation-durable-des-terres-agricoles-fran%C3%A7aises Scénario Afterres 2050 : pour une utilisation durable des terres agricoles françaises Le scénario Afterres 2050 est l'aboutissement de 3 ans de réflexion du bureau d'études associatif Solagro, autour de la question "Disposerons nous des surfaces nécessaires pour nourrir la France à l'horizon 2050 ?". Après avoir contribué au scénario NégaWatt sur les enjeux énergétiques, Solagro souhaite analyser sur la base de données "physiques et chiffrées", s'il est possible de nourrir les 72 millions d'habitants français et le bétail, de fournir de l'énergie et des matériaux tout en préservant la fertilité des sols, la qualité des eaux, la biodiversité. Afterre 2050 est un scénario prospectif basé sur la demande alimentaire de la population française en 2050. Compatible avec le scénario prospectif énergétique NégaWatt 2011, il ajuste les besoins alimentaires et énergétiques aux capacités physiques et fonctionnelles de nos agrosystèmes français, dans un espace sous contrainte. De nombreux défis à relever Le scénario tente de répondre aux différents enjeux agricoles, alimentaires et environnementaux pris en compte dans les mesures et engagements du gouvernement français. Les principaux défis sont les suivants : Rééquilibrage des échanges internationaux, diminution des impacts et relocalisation de certaines productions ; Recherche d'un meilleur équilibre nutritionnel, lutte contre la malbouffe et la surconsommation ; Limitation des pertes de terres agricoles et préservation des espaces naturels. Depuis, une dizaine d'années, le phénomène d'artificialisation des terres agricoles est grandissant. Il est du en grande partie à l'augmentation et au déplacement de la population des campagnes vers les villes ou des centres vers les périphéries. De plus, l'augmentation du niveau de vie, favorise l'achat du modèle "Maison individuelle avec jardin" qui prend plus de place que l'habitat collectif, et l’augmentation du nombre d'habitations secondaires ; Restauration des écosystèmes et préservation de la biodiversité ; Prise en compte des risques d'effondrement des ressources halieutiques ; Réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'agriculture par un facteur 2. En 2050, l’augmentation de 2°C de la température aura un fort impact hydrique qui se répercutera sur les rendements agricoles ; Production d'énergie renouvelable, stockage du carbone ; Aménagement du territoire, partage de l'espace entre fonctions et usages ; Redévelopper un tissu économique et social rural Face à ces contraintes et enjeux, Solagro a voulu vérifier la capacité des secteurs agricole et forestier français à nourrir la population en 2050. L'objectif de la démarche est de se donner les moyens d'évoluer vers une agriculture viable et désirable en construisant un modèle agricole et alimentaire durable, crédible, compréhensible et quantifié pour la France. De plus, le scénario veut ouvrir un débat transversal sur les territoires, en milieu agricole, auprès des citoyens sur ces orientations pour ensuite interpeller les instances politiques et permettre la mise en place effective des résultats obtenus. Des résultats à mettre en débat Le scénario interroge et croise les besoins avec une offre, non pas limitée mais placée sous fortes contraintes, notamment environnementales, climatiques, et spatiales. Le principe de sobriété et d'efficacité sont appliqués sur toutes les étapes de la chaîne alimentaire. Evolution de l'assiette alimentaire française : plus végétarienne L'assiette Afterre 2050 se veut plus saine, équilibrée et plus goûteuse. Elle contient moins de viande (réduction de 50%), moins de lait et moins de sucre pour plus de céréales, de fruits et légumes, de légumineuses, etc. D'un point de vue nutritionnel, l'inversion du rapport protéine animale/ protéine végétale n’induit pas de problème de santé, au contraire. Les risques de maladies cardio-vasculaires sont minimisés. La réduction de la consommation de sucre réduit les probabilités de diabète et l'obésité. Ce changement de régime alimentaire conditionne les modèles de production et donc d'utilisation des terres. Évolution des agrosystèmes : vers l'agroécologie et moins d'élevage En 2050, l'agriculture conventionnelle optimise la production de biomasse dans le temps et l'espace. Le principale mode de production agricole relève de la production intégrée dont les rotations sont plus longues et intègrent plus de légumineuses, plantes fixatrices d'azote. Le travail du sol est simplifié (moins de labour, couvert permanent) pour optimiser sa fertilité. Les haies, les arbres et les zones humides sont réintroduits sur les parcelles. Le traitement des nuisibles minimise l'utilisation d'intrants chimiques en mettant en avant les propriétés biologiques des plantes ou des animaux présents dans l'agrosystème (lutte biologique). La biodiversité est maintenue. La consommation d'engrais et de pesticides est divisée par 4 par rapport à aujourd'hui. L'agroforesterie comme les associations culturales, c'est-àire la récolte sur une même parcelle, à la même saison de plusieurs cultures, sont généralisées. Dans un soucis de bien-être animal et pour répondre au changement de l'assiette alimentaire en 2050, le scénario prévoir une forte réduction des cheptels (division par 2), tant pour les bovins et caprins que pour les porcs et les volailles. Le cheptel ovin (mouton) est inchangé car il valorise actuellement des espaces spécifiques, inexploitables par ailleurs. L'élevage bovin reste proche des pratiques françaises actuelles avec une grande importance des pâtures. La production de lait répondant à une demande moins importante est divisée par 2 tout comme le cheptel viande. Solagro, prône la réintroduction de races mixes (lait et viande) pour répondre aux nouveaux besoins. La moitié de la production porcine et avicole est labellisée. L’intensification de ces élevages est divisée par 3. Evolution des échanges internationaux : centrés sur le bassin méditerranéen D'après Solagro, la France importe l'équivalent de 8,4 millions d'hectares (bois, soja, fruits et légumes, café, cacao, tabac, viande, etc.) et exporte environ 7 millions d'hectares (céréales, viandes et produits laitiers, sucre, vin et alcool), soit une dépendance de 1,4 millions d'hectares. Dans le scénario, les exportations de denrées alimentaires destinées à l'alimentation humaines (viandes et céréales) sont confinées à l'espace européen, élargi vers l'espace méditerranéen, Moyen orient compris, en prenant en compte la densité de la population et le potentiel agricole des cet espace. Solagro fait le choix de diminuer les échanges avec l'Afrique de l'Ouest dans les rendements agricoles devraient augmenter. Une partie de l'alimentation animale provient actuellement du continent américain (soja, maïs). En 2050, les importations de soja et des tourteaux dérivés en provenance des Amériques sont totalement supprimées. Les exportations de céréales à destination de l'élevage sont également fortement réduites mais maintenues pour conserver la vocation de la France à nourrir un monde dont l'alimentation carnée est de plus en plus importante. Évolution de l'usage des terres : alimentaire et énergétique L'application du scénario Afterres 2050 modifie l'usage d'une partie des 55 millions d'hectares de la France métropolitaine. Une première série de contraintes (augmentation de la population, artificialisation, réductions des importations, et des rendements) tend à augmenter la pression sur les terres fertiles (prairies permanentes et terres arables). En contrepartie, la modification des régimes alimentaires et la réduction des exportations réduisent cette pression foncière. Une fois les besoins alimentaires globaux (humains et animaux) et en exportation satisfaits, Solagro estime que 5 à 8 millions d'hectares (un tiers de terres arables, deux tiers de prairies permanentes) peuvent être réaffectés. Le changement d'utilisation des terres arables est plus simple que pour les prairies permanentes dont une autre valorisation de l'herbe ou boisement devra être pensée. La biomasse produite sur ces terres peut servir alors à la production d'énergie, de matériaux de construction ou encore de source de carbone pour l'industrie chimique. L'option choisie par Solagro est de convertir environ 1,5 millions d'hectares de prairies en production d'herbe pour la méthanisation, et 1,5 millions de terres cultivables en production de céréales et oléagineux pour produire à la fois du carburant, et des tourteaux et protéines destinées à l'alimentation animale. Néanmoins, ce mode d'utilisation des terres ne pourra se faire que lorsque le régime alimentaire français aura évolué pour le permettre. Perspectives Afterre 2050 entre dans une phase de déclinaison régionale afin de réfléchir à la relocalisation, spécialisation et échanges de certaines productions sur le territoire français. Quatre régions sont intéressées : Centre, Île-de-France, Picardie, et Rhône Alpes. Les conseils régionaux souhaitent faire bouger leurs territoires et disposer d'innovations. Des comités de pilotages pluri-acteurs se sont constitués. Leur travail se basera sur des réussites : AMAP, circuits-courts, parc du Lubéron, etc. dans un premier temps, les hypothèses nationales seront appliquées telles quelles sur les données régionales. Des modulations seront ensuite apportées en fonction des caractéristiques agricoles des régions (productions endémiques, adaptabilité, etc.). Ces résultats s'ils sont mis en œuvre, auront de lourdes conséquences sur le secteur agricole et la société. L'enjeu est également d'étudier les impacts sociaux du scénario.. Pour aller plus loin : http://www.solagro.org[/b] Ingénieurs sans frontières - 146 rue de Crimée 75019 Paris
Modifié il y a 8 ans, le samedi 16 janvier 2016 à 12:12
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http://www.lepoint.fr/insolite/promises-a-l-abattoir-2-400-poules-obtiennent-une-retraite-en-plein-air-18-01-2016-2011077_48.php Des associations de défense des animaux ont récupéré lundi 2.400 poules pondeuses d'un élevage de Meurthe-et-Moselle promises à l'abattoir pour leur offrir une retraite en plein air. "Après 15 mois, les poules pondeuses en batterie, qui n'ont connu ni l'herbe ni la lumière, ont pour tout remerciement un départ vers l'abattoir", a dénoncé auprès de l'AFP Stéphane Lamart, président d'une des associations impliquées dans ce "sauvetage". "Trois associations ont décidé de racheter ces poules et de leur offrir une retraite méritée dans des fermes pédagogiques et chez des particuliers", a ajouté le responsable associatif qui milite pour la fin des élevages en batterie et de meilleures conditions de vie pour les animaux. Les 2.400 poules lorraines ont été rachetées 2 euros à l'éleveur, plus que le prix d'achat par un abattoir, a-t-il précisé. Environ 800 de ces gallinacées iront en Allemagne, 400 sont recueillies par l'association locale Elyri's Place et les 1.200 autres par l'association Stéphane Lamart. "Les particuliers qui les recueillent s'engagent à en prendre soin en signant un contrat d'adoption", a expliqué le président de cette association, en précisant qu'une poule consomme quelque 150 kg de déchets par an. Ces dernières années, certaines collectivités, comme la communauté d'agglomération du Pays de l'Or, à côté de Montpellier, ont décidé de subventionner l'achat de poules par des particuliers pour réduire la production de déchets organiques des foyers.
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Echinochloa stagnina Le pied-de-coq du Niger ou borgou (Echinochloa stagnina), appelé aussi bourgou, roseau sucré, roseau à miel du Niger, est une espèce d'Echinochloa largement répandue dans les régions tropicales d'Afrique et d'Asie, qui a le statut de plante envahissante dans de nombreuses îles du Pacifique. C'était autrefois l'une des principales graminées cultivées dans le delta du Niger. Elle était cultivée par les Peuls, qui en consommaient les graines, et s'en servaient également pour préparer des boissons alcooliques ou non-alcooliques. C'est une plante qui résiste bien aux inondations, et qui a été replantée en Afrique, où elle contribue à la lutte contre l'érosion et fournit du foin pour les animaux. Utilisation Plante alimentaire traditionnelle de l'Afrique, cette céréale peu connue a un potentiel pour améliorer la nutrition des populations et améliorer la sécurité alimentaire, promouvoir le développement rural et soutenir un aménagement durable du territoire.
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