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VAPOREPORTAGE

Marché conclu ! Heurtey Petrochem vend ses fours comme des petits pains
Par Ludovic Dupin - Publié le 06 juin 2013 | L'Usine Nouvelle n° 3334
Etats-Unis, Russie, Inde, Entreprises

C’est le "coup du chapeau" pour l’ingénieriste français Heurtey Petrochem.

En quelques jours, le spécialiste de la pétrochimie, du gaz, de l’hydrogène et du raffinage a engrangé trois très beaux contrats.

Le dernier en date est destiné à la Russie pour le compte du producteur d’engrais JSC Acron.

83 millions
C’est le montant, en euros, des trois derniers contrats remportés en Russie, en Inde et aux États-Unis.

Le français doit livrer un four de vaporéformage (procédé de production d’hydrogène) sur une unité d’ammoniaque à Veliky Novgorod au nord-ouest de Moscou.

Le montant de la transaction s’élève à 31 millions d’euros.

Quelques jours auparavant, un contrat de même valeur était signé en Inde pour fournir six fours à la raffinerie de Reliance Industries, située dans l’État du Gujarat (ouest).

Auparavant, c’est aux États-Unis que Heurtey Petrochem remportait un contrat de 21 millions d’euros auprès du groupe chimique Celanese Limited.

Encore une fois, le groupe fournira un four pour une usine de méthanol en construction à Clear Lake (Texas). Depuis le début de l’année, le français a déjà remporté pour 168 millions d’euros de contrats.

De quoi garnir son carnet de commandes, qui affichait déjà la rondelette somme de 452 millions d’euros à la fin de 2012.

Pour 2013, l’ingénieriste vise un chiffre d’affaires de 360 à 390 millions d’euros…

Un résultat qui devrait être atteint sans difficulté à ce rythme. Heurtey Petrochem compte désormais 940 salariés répartis dans dix pays.

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 08:25

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Holcim France va fermer son four de Dannes

Par Geneviève Hermann (Nord-Pas-de-Calais) - Publié le 30 janvier 2013, à 14h42
Matériaux, BTP - Construction, Nord-Pas-de-Calais, Holcim, Social
Ciment
© Holcim

Confronté à une surcapacité de production de ciment en Europe de l’Ouest, le cimentier annonce l’arrêt de ce four fonctionnant par voie humide. Seuls 15 des 84 salariés resteraient sur le site pour la production de liants routiers.

Invoquant une baisse de 20% de la demande de ciment depuis 2008, la direction d’Holcim France a annoncé l’arrêt de la production de clinker, en septembre 2013, sur le site de Dannes (Pas-de-Calais) où le cimentier exploite un four de conception ancienne fonctionnant par voie humide.

Seulement 15 des 84 salariés resteraient pour produire du liant hydraulique routier avec un malaxeur mis en place récemment.

Pour les autres, priorité serait donnée aux reclassements internes, entre autres sur le site de Lumbres implanté à proximité et où Holcim produit du clinker par voie sèche.

Les détails du PSE (Plan de Sauvegarde pour l’emploi) seront présentés aux représentants du personnel le 5 février.

"La direction nous a annoncé un excédent de 650 000 tonnes de clinkers en Europe de l’Ouest. Notre four en produit 300 000 tonnes.

Reste donc à trouver 350 000 tonnes de plus à supprimer", précise Tony Pruvost, délégué syndical CFDT d’Holcim à Dannes.

D’autres fours d’Holcim pourraient-il être concernés par cet excédant ?

En plus de celle de Dannes, le groupe suisse compte quatre autres cimenteries en France, à Lumbres (Pas-de-Calais), Altkirch (Haut-Rhin), Héming (Moselle) et Rochefort-sur-Nenon (Jura).

Holcim France emploie plus de 1 800 salariés. En 2011, Holcim France a réalisé un chiffre d’affaires de 433 millions d’euros.

Geneviève Hermann

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 08:29

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Mousse d’aluminium de grande porosité

Publié le 03 avril 2014, à 15h00 | L'Usine Nouvelle n° 3371
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Constituée de cellules de 10 mm superposées à pores ouverts, cette mousse d’aluminium est efficace en matière d’échange thermique et d’absorption d’impact.

Sa grande porosité (80 à 90%) et son importante surface relative atteignant jusqu’à 500 m2/m3 facilitent la circulation des fluides et la récupération thermique.

FABRICANT : Goodfellow

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 08:38

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Le four d'incinération de l'usine Centraco redémarre à Marcoule
Par ANNE DEVAILLY - Publié le 05 juillet 2012, à 15h21
Traitement des déchets et recyclage, Services à l'industrie, Languedoc-Roussillon

Centrale nucléaire de Marcoule
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L'incident nucléaire de Marcoule classé niveau 1

A Marcoule, dans le Gard rhodanien, l’usine du groupe Socodei annonce dans un communiqué "le redémarrage de son four d’incinération de déchets faiblement radioactifs".

Le 12 septembre 2011, une explosion d’un four dédié à la fonderie des déchets métalliques faisait un mort et quatre blessés dans l’usine Centraco du groupe Socodei à Marcoule (Gard).

La direction de l’entreprise avait alors décidé d’arrêter, par précaution, un four d’incinération de déchets faiblement radioactifs.

Centraco précise que "l’Autorité de surêté nucléaire (ASN), à la suite d’une inspection réalisée sur le site de Socodei-Centraco jeudi 28 juin 2012", lui a donné l’autorisation de redémarrer l’activité de ce four d’incinération.

L’enquête judiciaire a commencé le 7 juin pour comprendre l’explosion qui avait touché le four de fusion qui, lui, reste à l’arrêt.

Patrick Faure, directeur général de Socodei depuis le 1er mai, estime que l’entreprise devrait être en mesure de rattraper le retard lié aux neuf mois de fermeture du four d’incinération dans les deux ans qui viennent.

"En année normale, nous incinérons 4 000 tonnes de déchets faiblement radioactifs. Nous devrions en incinérer 2 700 d’ici la fin de l’année."

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 08:40

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Centre : Des briques neuves avec de vieux fours

Par STÉPHANE FRACHET - Publié le 18 avril 2013 | L'Usine Nouvelle n° 3327
PME-ETI, Entreprises, Export, France, Inde

La PME IFB a investi dans deux fours pour son usine de Buzançais.

Insulating Fire Bricks (IFB), l’un des derniers fabricants européens de briques réfractaires pour les fours industriels, a trouvé comment investir sans se ruiner.

Depuis 2007, cette PME de 40 salariés (4,8 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2012) est sous le coup d’un plan de continuation jugé par le tribunal de commerce de Châteauroux (Indre).

Un plan décennal provoqué par la gestion lointaine de l’ancien actionnaire, l’anglais Vesuvius.

Pour améliorer son usine de Buzançais (Indre), Didier Pessiot, le PDG, traque les opportunités : "Nous ne sommes pas nombreux dans la filière céramique, tout se sait."

Il a acquis deux fours pour 15 000 euros et un porcelainier s’est débarrassé de brûleurs pour 2 000 euros.

"Je n’aurais pas pu débourser 800 000 euros pour des fours neufs", raconte le PDG, qui réalisera de petites séries.

Proche des 100% d’export, la PME équipe des géants tels que Rio Tinto, Alcan…

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:37

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Le four d'incinération de l'usine Centraco redémarre à Marcoule

Par ANNE DEVAILLY - Publié le 05 juillet 2012

Traitement des déchets et recyclage, Services à l'industrie, Languedoc-Roussillon

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L'incident nucléaire de Marcoule classé niveau 1

A Marcoule, dans le Gard rhodanien, l’usine du groupe Socodei annonce dans un communiqué "le redémarrage de son four d’incinération de déchets faiblement radioactifs".

Le 12 septembre 2011, une explosion d’un four dédié à la fonderie des déchets métalliques faisait un mort et quatre blessés dans l’usine Centraco du groupe Socodei à Marcoule (Gard).

La direction de l’entreprise avait alors décidé d’arrêter, par précaution, un four d’incinération de déchets faiblement radioactifs.

Centraco précise que "l’Autorité de surêté nucléaire (ASN), à la suite d’une inspection réalisée sur le site de Socodei-Centraco jeudi 28 juin 2012", lui a donné l’autorisation de redémarrer l’activité de ce four d’incinération.

L’enquête judiciaire a commencé le 7 juin pour comprendre l’explosion qui avait touché le four de fusion qui, lui, reste à l’arrêt.

Patrick Faure, directeur général de Socodei depuis le 1er mai, estime que l’entreprise devrait être en mesure de rattraper le retard lié aux neuf mois de fermeture du four d’incinération dans les deux ans qui viennent.

"En année normale, nous incinérons 4 000 tonnes de déchets faiblement radioactifs. Nous devrions en incinérer 2 700 d’ici la fin de l’année."

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:39

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Mesures dans les fours sous vide

Publié le 28 février 2013 | L'Usine Nouvelle n° 3320

Destiné à protéger l’enregistreur de données, ce bouclier thermique est adapté aux températures élevées, jusqu’à 1200°C et supporte des cycles de chauffe et de refroidissement répétés.

Grâce à une isolation microporeuse en alumine et un dissipateur thermique à changement de phase, la température ne dépasse pas 70 °C.

FABRICANT : Datapaq

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:40

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ENVIRONNEMENTOrigny couple pyrolyse et cimenteriePrès de Dole, l'usine de Rochefort-sur-Nenon (Jura) des Ciments d'Origny, groupe HolderBank, vient d'investir 45 millions de francs pour associer à son procédé cimentier la pyrolyse des boues de rectification.

Publié le 27 janvier 2000 | L'Usine Nouvelle n° 2718

ENVIRONNEMENT

Origny couple pyrolyse et cimenterie

Près de Dole, l'usine de Rochefort-sur-Nenon (Jura) des Ciments d'Origny, groupe HolderBank, vient d'investir 45 millions de francs pour associer à son procédé cimentier la pyrolyse des boues de rectification.

Les carrières de Rochefort-sur- Nenon, comme d'autres sites d'extraction de roches pour la fabrication du ciment, ne recèlent pas assez de fer.

Une carence que les cimentiers doivent compenser impérativement : le fer agit comme fondant dans la fabrication du clinker.

" Avoir une bonne source d'oxyde de fer permet plus de latitude dans la conduite du procédé ", explique Jean-Pierre Després, directeur de l'usine Ciments d'Origny à Rochefort-sur-Nenon.

La solution généralement envisagée : le recours à des matières premières ferreuses. Mais certains déchets riches en fer pourraient faire l'affaire. D'où l'idée de concilier ce besoin en fer avec la destruction de déchets d'autres activités, en l'occurrence la mécanique, qui ne sait plus que faire de ses boues de rectification, vouées aujourd'hui à la décharge.

Les boues de rectification ne sont pas les seuls DIS - déchets industriels spéciaux - justifiables de destruction dans la filière cimentière : pneus, farines animales, boues de station d'épuration... représentent également des sources d'énergie intéressantes pour le processus cimentier.

L'usine de Rochefort, vitrine du groupe

L'idée, en soi, n'est pas nouvelle, mais elle bute depuis la mi-1997 sur un arrêté ministériel qui interdit l'incorporation de DIS dans le cru (matière avant enfournement dans le four cimentier) s'ils contiennent plus de 0,5 % d'hydrocarbures.

Un seul moyen, pour contourner l'interdiction, la pyrolyse, " qui consomme des déchets et n'en génère pas ", insiste Jean-Pierre Després.

Origny-Obourg a pris le problème à bras le corps.

" Nous avons eu une réflexion approfondie sur les procédés à mettre en oeuvre et sur les sources d'approvisionnement.

De plus, nous avons la volonté de faire de l'usine de Rochefort une vitrine des possibilités ", annonce Jean-Pierre Després.

Ainsi, au second semestre de 1999, l'usine de Rochefort subit de profondes modifications.

En tête du four est installé un brûleur complexe, à plusieurs injecteurs, pour pouvoir introduire dans la flamme principale la poussière de coke et de charbon (environ la moitié de la puissance thermique), les autres déchets (farines, boues, solvants...), mais aussi les fumées du four à pyrolyse, dont la destruction fournira des calories.

Les boues de rectification contiennent de 1 à 60 % de fluides de coupe (hydrocarbures).

Elles sont introduites en haut du four à sole tournante (Nesa) disposé en arrière du brûleur principal du four.

Chauffées à 700 °C, elles ressortent sous forme de limaille, utilisée soit sur place dans le cru au niveau du broyage, soit expédiée dans d'autres usines du groupe.

Les gaz de pyrolyse injectés directement dans le four participent pour quelques pour-cents à l'apport d'énergie.

C'est ce couplage qui constitue une première dans le monde cimentier.

Des entreprises de la région fournissent les boues

Le démarrage effectif a eu lieu début janvier.

L'investissement entre le traitement des boues de rectification et le four à pyrolyse de 20 000 tonnes par an représente 30 millions de francs, auxquels s'ajoutent l'installation du nouveau brûleur et la modification du broyage pour 15 millions de francs.

Les premiers fournisseurs directs de boues de rectification sont des grandes et moyennes entreprises de Franche-Comté.

La mise en place de collectes pour des PMI, avec regroupement sur plate-forme, est envisagée (hors groupe Holderbank). Un doublement de capacité est déjà dans les cartons.

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:47

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De la raffinerie à la mine urbaine ?

Par GENEVIÈVE HERMANN - Publié le 08 juillet 2013
L'Usine Nouvelle n° 3338
Total, Nord-Pas-de-Calais, France

Une usine d’affinage destinée à extraire les métaux précieux présents dans les déchets électroniques pourrait être érigée en lieu et place de la raffinerie des Flandres qu’exploitait Total à Dunkerque (Nord).

Développé en partenariat avec le groupe pétrolier dans le cadre du plan de réindustrialisation du site, ce projet de Terra Nova est porté par Christian Thomas et Michel Trabuc, deux anciens de Metaleurop, dont le site de Noyelles-Godault a fermé en 2002 (830 licenciements).

Le premier était responsable de l’activité plomb du groupe et le second celui de la communication.

Terra Nova produit déjà à Isbergues (Pas-de-Calais) des concentrés de métaux précieux à partir de cartes électroniques hors d’usage et les envoie à des fondeurs.

Disposer de son propre four d’affinage lui permettrait de ne plus partager la valeur ajoutée de son procédé.

À proximité, des déchets plastiques seraient transformés par pyrolyse en huile lourde destinée aux raffineries de Total.

Cette mine urbaine pourrait créer, dès son lancement, plus de 150 emplois.

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:50

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Prix innovation 2005 : Denis Busardo, alchimiste de l'aluminium

Publié le 20 novembre 2013

Ingénieur ISMRA, Denis Busardo était, en 2005, cofondateur de la société Quertech Ingénierie.

Il a alors reçu le prix innovation pour avoir inventé un procédé de protection de l'aluminium.

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:48

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Les Ingénieurs de l'Année ont dix ans
DOSSIER
Prix début prometteur 2006 : Silham El Kasmi, xylophile

Prix projet industriel 2012 : Patricia Boulanger, exploratrice branchée

Prix début prometteur 2007 : Stéphanie Pitre-Champagnat, vidéaste sur ordonnance

Prix développement durable 2006 : Pierre Dalet, maître des colles

Prix spécial du Jury 2012 : Muriel Saccoccio, exploratrice de la planète rouge

Prix développement durable 2009 : Corinne Verdier, princesse de la petite reine

Prix pour la science 2007 : Jean-François Pinton, Nicolas Mordant et François Daviaud, grands magnétiseurs

Prix pour la science 2012 : François Lureau, accoucheur de lasers géants

Prix du Jury 2010 : Jean-Vincent Hong, dompteur de microdrones

Prix innovation 2006 : Frédéric Vialle, sculpteur de caoutchouc

Prix début prometteur 2009 : Katarzyna Chuda, créatrice d'air pur

Prix spécial 2005 : Jesus Morales et Robert Lafontan, chevaliers de la démesure

Prix spécial 2010 : David Vissière, navigateur sans GPS

Prix développement durable 2007 : Jean-Louis Laruelle et Patrick Laperdrix, génies de la gomme

Prix développement durable 2011 : Alain Lunati, généticien des carburants

Prix projet industriel 2007 : Georges Palais et François Lacôte, fangio du rail

Prix développement durable 2012 : Olivier Ceberio, surfeur du dessalement

Prix début prometteur 2010 : Marjorie Cavarroc, dompteuse de platine

Prix pour son oeuvre 2005 : Jean-Frédéric Clerc, aventurier de la techno

Prix entrepreneur 2008 : Caroline Lemarchand et Dominique Costantini, gestionnaires de soins

Prix élève ingénieur 2012 : Pierrick Buret, électronicien de haut vol

Prix innovation 2007 : Raoul Parienti, apôtre des écritures

Prix projet industriel 2010 : Laurent Rouxel-Duval, capitaine de l'habilité

Prix pour son oeuvre 2006 : Pierre Tournois, architecte de l'acoustique

Prix entrepreneur 2012 : René Chelle, aventurier des biotechnologies

Prix développement durable 2008 : Hervé Majastre, dompteur de courants

Prix innovation 2011 : Edmond Abergel, Gutenberg 2.0

Prix projet industriel 2005 : Jean-Marie Hurtiger, pionnier de la voiture low cost

Prix innovation 2012 : Nicolas Barthel, alchimiste des terres rares

Prix projet industriel 2006 : Patrice Gaillard, fan de carbone

Prix développement durable 2004 : Guillaume Engel et Vincent Basso, maestros du démarrage

Prix pour sa carrière 2011 : Thierry Pilenko, roi du pétrole

Prix développement durable 2007 : Marc Vergnet, inventeur dans le vent

Prix début prometteur 2012 : Cyril Clopet, inventeur en roue libre

Prix pour sa carrière 2010 : Jacques Lewiner, chercheur businessman

Prix innovation 2005 : Denis Busardo, alchimiste de l'aluminium

Prix pour sa carrière 2009 : Daniel Ferbeck, homme de réseaux

Prix innovation 2008 : Yoël Rabinovitch, artiste de la transparence

Prix développement durable 2006 : Christine Deneuvillers, as de la route verte

Prix pour son oeuvre 2004 : Michel Virlogeux, bâtisseur XXL

Prix ingénieur de l'année 2012 : Didier Leroy, prophète du Made in France

Prix pour la science 2006 : Guy Guyot, monsieur univers

Prix entrepreneur 2007 : Sylvain Yon, l'ingénieur médecin

Prix projet industriel 2008 : Bruno Guimbal, poids lourd de l'allègement

Prix jeune ingéniéur 2009 : Dorian Colas, maître des vents

Prix entrepreneur 2006 : Thierry Rouquet et Daniel Fages, orfèvres de la sécurité

Prix développement durable 2010 : Florence Hallouin, mère nature

Prix début prometteur 2008 : Ludovic Brèthes et Vincent Lemonde, visionnaires en 3D

Prix du projet industriel 2004 : Eric Romon et Laurent Malberti, capitaines de flottes connectées

Prix pour sa carrière 2007 : Emmanuel Desurvire, père du haut-débit

Prix pour la science 2008 : Jean-Luc Gach, révélateur d'étoiles

Prix pour sa carrière 2008 : Bruno Revellin-Falcoz, développeur d'avions en rafale

Prix jeune ingénieur 2011 : Martial Buisson, mécanicien au sommet

Prix du projet industriel 2009 : Jean-François Bérard, élément moteur

Prix pour la science 2008 : Gérard Beauvin, chasseur d'ondes

Prix de l'innovation 2009 : Pascal Montès, amortisseur de chocs

Prix pour la science 2004 : Jean-Marie Mackowski, génie des matériaux

Prix pour la science 2011 : Sébastien Heymann, cartographe des données

Prix entrepreneur 2009 : Christian Val, as de la miniaturisation

Prix début prometteur 2004 : Gabriel Festoc, explorateur de l'ADN

Prix pour la science 2008 : Isabelle Petitbon, horlogère de précision

Prix pour la science 2010 : Philippe Lebrun, agitateur de particules

Prix du projet industriel 2011 : Louis Bon, accoucheur de plate-formes

Prix pour la science 2005 : Spencer Shorte, Bernard Chalmond, révélateurs de cellules

Prix jeune ingénieur 2010 : François Breton, chasseur de cellules rares

Prix développement durable 2005 : Xavier Hubert, monsieur Vélib

Prix entrepreneur 2011 : Eric Carreel, créateur en série

Prix entrepreneur 2005 : François Bourdoncle, explorateur des données

Prix innovation 2010 : Lionel Rousseau, joaillier de la rétine

Prix début prometteur 2005 : Benjamin Talon, accélérateur de confort

Prix début prometteur 2011 : Jean-Baptiste Tuery, chef d'escadrille

Prix entrepreneur 2004 : André Choulika, chirurgien du génome

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Rio Tinto Saint-Jean-de-Maurienne : Aluminium des Alpes avance l'argument du "made in France"

Par Elodie Vallerey - Publié le 22 mai 2013
Aluminium, Métallurgie et transformation non-ferreux, Rhône-Alpes, Rio Tinto alcan

Aluminium
© Pascal Guittet - L'Usine Nouvelle

Le site de Rio Tinto à Saint-Jean-de-Maurienne serait repris par l’allemand Trimet

Montebourg loue l'alliance franco-allemande pour faire pression sur Rio Tinto Alcan

L'allemand Trimet en négociations pour reprendre les sites français de Rio Tinto

Le consortium français Aluminium des Alpes dénonce le choix du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg d'avoir retenu un repreneur étranger pour la reprise du site de production d'aluminium Rio Tinto Alcan de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie.

Arnaud Montebourg affichait un grand sourire, le 21 mai, en rencontrant Hannelore Kraft, ministre-présidente de la Rhenanie-du-nord-Westphalie, pour évoquer la reprise par le groupe allemand Trimet de l'usine Rio Tinto de Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie).

Les négociations pour la reprise du site savoyard par l'Allemand pourraient aboutir dans trois ou quatre semaines, apprenait-on hier.

Mais ce choix ne fait pas que des heureux.

Comme le rapporte l'AFP, le consortium français Aluminium des Alpes, un des candidats à la reprise des sites industriels de Saint-Jean-de Maurienne et de Castelsarrasin, se plaint de cette "préférence" allemande.

"LE GOUVERNEMENT FAVORISE UN REPRENEUR ÉTRANGER"

Dans un communiqué publié le 22 mai, le consortium déplore que "le gouvernement élimine un repreneur français et favorise un repreneur étranger".

"On passe d'une multinationale anglo-australienne à une multinationale allemande, dont les centres de décisions et les profits restent basés à l'étranger", accuse Aluminium des Alpes, qui dénonce un "choix brutal" à l'avantage de Trimet.

Le consortium éconduit dénonce, même, une offre de Trimet jugée "risquée et onéreuse pour l'argent du contribuable" ainsi que les "sources de financement" du groupe allemand.

Pour étayer sa propre de reprise, Aluminium des Alpes n'hésite pas à brandir l'étendard du "Made in France" cher à Arnaud Montebourg.

Selon le communiqué, son offre comprend ainsi une relocalisation en France de tous les centres de décisions, pour "maintenir et à améliorer un pôle d'excellence dans l'industrie française", une garantie du maintien de tous les emplois des sites, et un investissement de 90 millions d'euros à court terme dans la remise à niveau des installations et dans des nouvelles machines, ou encore la relance de la ligne de production F sur le site de Saint-Jean-de-Maurienne.

Une offre, selon le consortium, "suffisamment crédible pour obtenir le soutien d'investisseurs privés avertis et des pouvoirs publics représentés par le Fonds stratégique d'investissement".

Dans ses négociations avec le gouvernement français, le groupe Trimet, lui, s'est engagé à maintenir les emplois des deux sites, rapporte l'AFP, soit 510 emplois concernés au total.

Modifié il y a 8 ans, le jeudi 14 janvier 2016 à 10:53

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Constellium triple la mise à Issoire

Par Geneviève Colonna d'Istria (Auvergne) -Publié le 8 avril 2014
Métallurgie - Sidérurgie, Auvergne, Investissements industriels

Constellium - Issoire
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Constellium inaugure une fonderie unique au monde

Quelques mois seulement après l'inauguration officielle de sa nouvelle fonderie Airware, à Issoire (Puy-de-Dôme), le spécialiste de la transformation de l'aluminium annonce la construction de deux nouveaux fours, de même type.

Le groupe Constellium (ex-Péchiney) a annoncé le 8 avril une excellente nouvelle pour tout le bassin industriel d'Issoire (Puy-de-Dôme).

Deux nouvelles fonderies de technologie exclusive Airware seront construites à Issoire dans les années à venir sur le site historique du spécialiste mondial de la transformation d'aluminium.

Ces deux nouvelles fonderies se feront dans le cadre d'un programme d'investissement initial de 52 millions d'euros auquel va s'ajouter une enveloppe supplémentaire de 43 millions d'euros dédiée à la deuxième fonderie, a précisé le groupe dans un communiqué.

"Cet investissement nous permettra de répondre à une demande plus importante que prévue dans le cadre de l'exécution de nos contrats.

A l'avenir nous avons l'intention de continuer à développer notre plateforme industrielle", a déclaré Jean-Christophe Figueroa, président de la division Aerospace & Transportation de Constellium.

DES COMMANDES QUI DONNENT DES AILES À ISSOIRE

Constellium a mis au point la technologie Airware, permettant de réduire de 25 % le poids des pièces fabriquées, afin de répondre à la demande croissante du marché aéronautique.

Ces deux fonderies supplémentaires permettront à Constellium de quasiment tripler sa production d'alliages Airware, technologie retenue pour les grands programmes aéronautiques.

Constellium a déjà reçu des commandes pour les Airbus A350, le Cseries de Bombardier, le lanceur Falcon 9 de SpaceX.


Il a signé deux contrats portant sur 2 milliards de dollars et 800 millions d'euros l'an dernier avec ces différents clients.

De quoi donner des ailes au site d'Issoire, considéré comme le plus grand laminoir du monde, qui produit déjà 85 000 tonnes de pièces par an.

1 400 personnes travaillent sur le site auvergnat.

Geneviève Colonna d'Istria

Modifié il y a 8 ans, le samedi 16 janvier 2016 à 00:36

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Des billes dans l’aluminium

Publié le 20 juin 2013 | L'Usine Nouvelle n° 3336 Métallurgie - Sidérurgie, France

Des billes de céramique de quelques millimètres de diamètre (alumine, carbone…) sont placées dans le moule de fonderie : il n’y a plus qu’à verser l’aluminium liquide.

Le métal s’infiltre totalement entre les billes et le résultat, après refroidissement, est un composite aluminium –céramique, utilisable pour le blindage, la protection thermique ou anti-intrusion.

Le procédé a été mis au point au Centre technique des industries de fonderie.

Modifié il y a 8 ans, le samedi 16 janvier 2016 à 00:37

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Finaxo Environnement améliore la pyrolyse

Par A Rouen, Claire Garnier - Publié le 12 juin 2008 | L'Usine Nouvelle n° 3105

C'est au sein du pôle de compétitivité Industries et Agro-Ressources (Picardie et Champagne-Ardenne) que Finaxo Environnement a développé en 2006 la technologie de pyro-gazéification Pyrobio Energy + dans le cadre d'essais pilotes avec le sucrier Tereos et le Centre de valorisation des glucides d'Amiens.

Destiné à transformer en source d'énergie les coproduits organiques (comme les vinasses de betteraves issues du bioéthanol), le procédé consiste en une décomposition thermique de la matière organique dans une enceinte privée d'oxygène.

Le process de pyrolyse est amélioré grâce à un transfert ultrarapide de la chaleur au moyen de billes d'acier surchauffées (600 à 900 °C).

Le système produit un gaz de pyrolyse, qui peut être brûlé dans un moteur, du coke et des résidus minéraux solides pouvant être utilisés en agriculture.

Jusqu'ici surtout présente dans les équipements de traitement de l'eau, Finaxo, une PME qui réalise 5 millions d'euros de chiffre d'affaires avec 30 salariés, est en voie de passer à la phase industrielle.

Avec Immobilière Frey, promoteur du Clos Duchesne, le nouveau centre commercial de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne), elle va mettre en place une unité de valorisation énergétique qui fait appel à Pyrobio pour climatiser et chauffer une partie du centre, à partir de ses déchets de bois et cartons.

La production énergétique est évaluée à environ 800 000 kWh/an, l'équivalent de 72 tonnes de fuel.

Pascal Colignon, le président de la PME basée à Fismes (Marne) et coté au Marché libre, enregistre une « demande énorme de la part des collectivités » pour le traitement des boues de stations d'épuration et des déchets verts.

Alors que l'épandage des boues commence à être limité et que leur séchage est énergivore, les collectivités cherchent des procédés qui permettraient de les valoriser sur le plan énergétique.

Le secteur des biocarburants de deuxième génération regarde de près aussi le procédé ainsi que les coopératives soucieuses de valoriser les déchets animaux.

Finaxo vient d'annoncer un partenariat stratégique avec le canadien Recyclage Granutech Inc. pour commercialiser son procédé en Amérique du Nord.

A voir sur www.finaxo.fr

Modifié il y a 8 ans, le samedi 16 janvier 2016 à 00:39


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