Citation de fouthese
" Les tyrans australiens promettent d’INONDER le pays de personnes vaccinées transmettant le virus… La guerre biologique mondiale vise à SUPPRIMER l’humanité avant le « grand événement » à venir.
Publié le 28 octobre 2021
" AUSTRALIE : Jeannette Young, responsable de la santé dans le Queensland, promet maintenant d’inonder le pays de super-disséminateurs vaccinés porteurs du covid, affirmant dans une vidéo :
“Chaque habitant du Queensland va être exposé au virus covid-19 et sera infecté”.
Elle ajoute :
“Nous allons introduire le virus chez les personnes vaccinées…”, puis explique spécifiquement qu’elle vise les personnes non vaccinées avec cette attaque de guerre biologique en expliquant : “Mais si vous êtes vaccinés, ce n’est pas un problème.”
Cet impensable aveu d’une activité criminelle coordonnée par le gouvernement du Queensland n’est que le dernier assaut contre l’humanité mené par des fonctionnaires australiens qui sont tellement corrompus et maléfiques, qu’on dirait presque qu’ils concourent pour un prix de Satan lui-même.
Regardez ce commentaire stupéfiant dans la vidéo suivante. Le texte d’appel a été ajouté à la vidéo par quelqu’un d’autre et ne figurait pas dans la vidéo originale : "
Citation de fouthese
Alors.........,c'est pour quand l'arrestation de Didier !
Au gré des jours tu claironnes des infos et tes avis sur la question,c'est dire toute la pertinence de ce que tu postes !
Bref tu cherches l'Arlésienne sans jamais pouvoir la montrer véritablement.Tu es comme les " copains " qui s’époumonent sur les plateaux TV,mais au final ce ne sont que de banales gesticulations.
Allez,on te donne r-d-v pour les prochaines !
Toute la pertinence ? Je ne postes que du factuel ! CQFD
Le processus est en marche ! Mais je connais ta célérité à te con finer dans le déni même les preuves sous le nez ! C'est à ça qu'on reconnait un mauvais loser !
« Conduite par l’IHU de Marseille d’essais non autorisés sur des patients : la justice saisie » Par Florence Rosier et Gilles Rof(Marseille, correspondant)
Publié hier à 11h06, mis à jour hier à 11h31
« Les enquêtes menées par l’ANSM et les hôpitaux de Marseille confirment, à la suite des révélations de « L’Express » et de « Mediapart », les dérives de l’IHU, toujours dirigé par Didier Raoult.
Depuis des années, l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille prend des libertés à l’égard des règles qui encadrent les recherches menées sur des humains. Une dérive « pas admissible », a réagi publiquement l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), mercredi 27 o ctobre, en annonçant avoir saisi la justice et diligenté une inspection au sein de l’IHU. L’établissement chargé des décisions de police sanitaire, il est vrai, était sous pression.
Cinq jours plus tôt, Mediapart révélait une nouvelle transgression de cette institution marseillaise, dirigée par le très contesté Didier Raoult. Le microbiologiste s’était fait connaître en défendant l’intérêt de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, sans jamais avoir pu le prouver.
L’IHU, expliquait Mediapart, a conduit un essai sauvage pour évaluer un cocktail de quatre antibiotiques chez des patients atteints de tuberculose multirésistante – chez ces patients, le bacille de la tuberculose ne répond plus aux traitements standards de cette maladie. Or, parmi les quatre antibiotiques utilisés par l’IHU, deux ne figurent pas dans la longue liste des traitements recommandés par l’OMS pour traiter ces tuberculoses. Administrer ces traitements sans encadrement constitue donc « une possible perte de chance pour les patients, l’efficacité de ce régime thérapeutique n’étant pas connue », estime le professeur Nicolas Véziris, responsable de l’antenne du Centre national de références sur les mycobactéries à l’hôpital Saint-Antoine (AP-HP), à Paris.
Une perte de chance, mais aussi un risque : si bon nombre d’antituberculeux sont connus pour leur toxicité potentielle, l’une des deux molécules prescrites par l’IHU s’est avérée particulièrement toxique pour le rein chez au moins trois patients.
La révélation de cette dernière infraction a été la goutte d’eau de trop. Elle s’ajoute, en effet, à la divulgation par L’Express, le 20 juillet, d’une série de manquements aux règles légales et éthiques encadrant les essais cliniques. L’IHU de Marseille a notamment conduit des recherches chez des personnes, y compris des enfants, sans autorisation préalable des deux autorités compétentes, l’ANSM, d’une part, et un comité de protection des personnes, d’autre part. »
Un quoi ? Un RaoultGate ? La question mérite d'être posée !
« (Maj) IHU-Méditerranée : les soupçons d’essais illégaux confirmés par une enquête interne de l’AP-HM » Benjamin Grinda / Marseille /
27/10/2021 | 23h19 « Ce mercredi, les résultats d’une enquête interne diligentée par l’AP-HM pour faire la lumière sur de possibles essais illégaux menés par l’IHU ont confirmé les accusations révélées ces derniers jours par Médiapart.
Les contours d’un « #Raoultgate » semblent se préciser. Selon des informations de La Provence, l’enquête interne menée depuis quelques jours au sein de l’Assistance publique des hôpitaux de Marseille (AP-HM) a établi que des essais illégaux dans le traitement de la tuberculose ont été conduits à l’IHU Méditerranée Infection, dirigé par Didier Raoult.
Les investigations de l’AP-HM avaient été diligentées au lendemain des révélations de Médiapart vendredi qui pointaient des essais menés sans l’autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
L’enquête de Médiapart avait révélé l’emploi d’une quadrithérapie contre la tuberculose non recommandée par l’OMS sur des patients précaires dont certains ont développé de graves conséquences rénales. Des signalements auraient été réalisés auprès de la pharmacovigilance « sans remontée jusqu’à l’AP-HM » dont dépend l’IHU, indiquent les informations de La Provence.Ces informations s’ajoutent aux révélations publiées cet été par L’Express selon lesquelles de nombreuses études menées à l’IHU s’affranchiraient depuis des années des règles encadrant les expériences impliquant des êtres humains. »
Toute la pertinence ? Je ne postes que du factuel ! CQFD
Le processus est en marche ! Mais je connais ta célérité à te con finer dans le déni même les preuves sous le nez ! C'est à ça qu'on reconnait un mauvais loser !
« Conduite par l’IHU de Marseille d’essais non autorisés sur des patients : la justice saisie » Par Florence Rosier et Gilles Rof(Marseille, correspondant)
Publié hier à 11h06, mis à jour hier à 11h31
« Les enquêtes menées par l’ANSM et les hôpitaux de Marseille confirment, à la suite des révélations de « L’Express » et de « Mediapart », les dérives de l’IHU, toujours dirigé par Didier Raoult.
Depuis des années, l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille prend des libertés à l’égard des règles qui encadrent les recherches menées sur des humains. Une dérive « pas admissible », a réagi publiquement l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), mercredi 27 o ctobre, en annonçant avoir saisi la justice et diligenté une inspection au sein de l’IHU. L’établissement chargé des décisions de police sanitaire, il est vrai, était sous pression.
Cinq jours plus tôt, Mediapart révélait une nouvelle transgression de cette institution marseillaise, dirigée par le très contesté Didier Raoult. Le microbiologiste s’était fait connaître en défendant l’intérêt de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, sans jamais avoir pu le prouver.
L’IHU, expliquait Mediapart, a conduit un essai sauvage pour évaluer un cocktail de quatre antibiotiques chez des patients atteints de tuberculose multirésistante – chez ces patients, le bacille de la tuberculose ne répond plus aux traitements standards de cette maladie. Or, parmi les quatre antibiotiques utilisés par l’IHU, deux ne figurent pas dans la longue liste des traitements recommandés par l’OMS pour traiter ces tuberculoses. Administrer ces traitements sans encadrement constitue donc « une possible perte de chance pour les patients, l’efficacité de ce régime thérapeutique n’étant pas connue », estime le professeur Nicolas Véziris, responsable de l’antenne du Centre national de références sur les mycobactéries à l’hôpital Saint-Antoine (AP-HP), à Paris.
Une perte de chance, mais aussi un risque : si bon nombre d’antituberculeux sont connus pour leur toxicité potentielle, l’une des deux molécules prescrites par l’IHU s’est avérée particulièrement toxique pour le rein chez au moins trois patients.
La révélation de cette dernière infraction a été la goutte d’eau de trop. Elle s’ajoute, en effet, à la divulgation par L’Express, le 20 juillet, d’une série de manquements aux règles légales et éthiques encadrant les essais cliniques. L’IHU de Marseille a notamment conduit des recherches chez des personnes, y compris des enfants, sans autorisation préalable des deux autorités compétentes, l’ANSM, d’une part, et un comité de protection des personnes, d’autre part. »
« Essais sauvages de l’IHU : l’Agence de sécurité du médicament saisit la justice » 27 octobre 2021 Par Pascale Pascariello
« D’après nos informations, l’Agence nationale de sécurité du médicament a saisi le procureur de la République, considérant que l’institut a mené des études sans respecter la législation. Quant aux premières conclusions de l’enquête lancée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à la suite de nos révélations sur l’expérimentation sauvage contre la tuberculose, elles confirment nos informations. »
« Essais sauvages de l’IHU : l’Agence de sécurité du médicament saisit la justice » 27 octobre 2021 Par Pascale Pascariello
« D’après nos informations, l’Agence nationale de sécurité du médicament a saisi le procureur de la République, considérant que l’institut a mené des études sans respecter la législation. Quant aux premières conclusions de l’enquête lancée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à la suite de nos révélations sur l’expérimentation sauvage contre la tuberculose, elles confirment nos informations. »
« Les hôpitaux de Marseille réagissent: "Des restrictions avaient été émises par l'@ansm en disant que les traitements qui étaient envisagés pour raccourcir la durée du traitement de la tuberculose étaient des traitements dangereux" »
Citation de valentin14vanvesFabrice FRANK @fabrice_frank
· 2h
« Les hôpitaux de Marseille réagissent: "Des restrictions avaient été émises par l'@ansm en disant que les traitements qui étaient envisagés pour raccourcir la durée du traitement de la tuberculose étaient des traitements dangereux" »
« L'ansm saisit le procureur, l'igas ne "confirme" ni "n'infirme" sa saisit par le ministère.
Et pendant ce temps les cas d'essais suspects continuent de pleuvoir (quid de l'essai avec prélèvements rectaux sur 3800 bébés pointé par @MicrobiomDigest ?) #ihu »
« Essais cliniques à l'IHU de Didier Raoult : pourquoi l'Agence du médicament saisit la justice »
Par Victor Garcia
Publié le 28/10/2021 à 06:00, mis à jour à06:31 « L'Institut marseillais a mené des essais cliniques sur des êtres humains non conformes à la loi, indique l'Agence nationale de sécurité du médicament à L'Express.
La "tempête dans un verre d'eau", comme le tweetait Didier Raoult, prend finalement une mauvaise tournure.
Après plusieurs mois d'enquête, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a constaté que "certaines études que l'IHU Méditerranée a conduites" ne respectent pas la loi qui encadre les essais cliniques menés sur des êtres humains.
Le professeur marseillais a notamment "continué à délivrer" des traitements contre la turberculose sans son autorisation.
Le risque encouru pour l'IHU et Didier Raoult est important, puisque selon le Code de la santé publique, enfreindre la législation en matière d'essais cliniques est [b]passible d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. »
« La #CPIdaCovid a mis en accusation R. Esper pour sa responsabilité dans l'étude frauduleuse pour #preventsenior. Regardez la version longue de la vidéo attestant de la fraude - suite à un tweet de Bolsonaro - et d'au moins un échange avec Didier Raoult.
Prevent Senior. Audition du fichier audio attestant de la fraude Pendant la session de la CPI dédiée au scandale de l'étude de Prevent Senior, le sénateur Humberto Costa a diffusé un fichier audio qui »
Citation de valentin14vanvesBarbara Serrano @Ba_Serrano
· 23h
« La #CPIdaCovid a mis en accusation R. Esper pour sa responsabilité dans l'étude frauduleuse pour #preventsenior. Regardez la version longue de la vidéo attestant de la fraude - suite à un tweet de Bolsonaro - et d'au moins un échange avec Didier Raoult.
Prevent Senior. Audition du fichier audio attestant de la fraude Pendant la session de la CPI dédiée au scandale de l'étude de Prevent Senior, le sénateur Humberto Costa a diffusé un fichier audio qui »
" Questions auxquelles vous devez répondre avant d'approuver les vaccins COVID pour tout groupe d'âge
Pour amorcer la conversation avec ceux qui croient que les vaccins sont sûrs et que la vaccination avec un vaccin non fiable est une stratégie viable.
https://drive.google.com/file/d/1H7n68S "
" "Je réponds à des gens qui ont de la famille qui est estropiée, qui perdent des enfants et les mensonges de l'ARS se poursuivent à la radio, dans le silence des médias et des politiques.
" "Le certificat Covid avait pour seul objectif de faciliter la libre circulation des citoyens au sein de l'Union européenne. Or il est devenu pour de nombreux états membres une forme de discrimination sans fondement scientifique" "