Citation de iseult
Bé, je te l'ai dit !
C'est toi qui brodes !
On parlait des personnes qui insultent sur ce forum et tu me balances une chanson sur la guerre.
Non, tu n'es pas allé chercher qui que ce soit mais tu n'as pas repoussé ceux qui insultent !
Non, je ne parlais que de la guerre ici ! Il ne faut pas la comparer avec les "vraies" guerres !
Bon jour Iseult,
tu sais,sur un forum,que faire d'autre qu'employer des mots,des images et des vidé...
Par ailleurs,n'importe quelle guerre dans le passé commença par des mots... Alors - comme tu le dis - les " insultes " en sont des manifestations au même titre que les " arguments " avancés et que s'envoient les protagonistes.
Repousser ceux qui insultent ! Explique-moi comment faire sur un forum !
En ouvrant ce topic je savais fort bien à quoi m'attendre. - Ça n'a pas loupé ! Mais j'observe que mon unique contradicteur n'a pas dans son sillage des supplétifs pour accompagner ses interventions.Et tu pourras me répondre très légitimement que je n'en compte pas des milliers de mon côté.Certes ! Mais alors je te répondrais que la réalité est ailleurs: les contestataires du système ont envahi Internet et toutes les formes de médias existantes;ça pullule de façon spontanée et ça ne va pas s'arrêter.
Moi Valentin me fait l'effet d'être une goutte d'eau perdue dans un océan;il défend un système politique et économique corrompu jusqu'à la moelle et il ne peut pas faire autrement.Mais personne,ici,ne le suit - à moins de créer des fakes - c'est très commun sur les forums tel que celui-ci.Cela fait environ 3 mois que notre joute verbale perdure,pour quel résultat de son côté !
Les actions décisives sont hors forum ! Sur celui-ci on en trouve qu'une vague écume...
Une " guerre " qui ne dit pas son nom a commencé il y a bientôt un an: il y avait longtemps que le pays France n'avait pas connu des représailles aussi sanglantes.L'État actuel s'enlise dans des contradictions insoutenables mais il n'a pas le choix.Alors arrive parfois une situation telle que tout devient incontrôlable - et alors c'est à la grâce de dieu...
Un peu partout sur la planète des peuples contestent leur régime politique.C'est un constat de ma part.
Le quotidien d'un peuple fait qu'au delà d'une certaine limite il peut devenir très agressif.Le drame est que jusqu'à présent les peuples ne surent pas se débarrasser pacifiquement de leurs " dirigeants ".Ce moyen existe.Les G-J s'en approchent et ça se sait en " haut lieu "...
L'actuel gouvernement est placé devant une sorte de quadrature du cercle.De ses prochaines décisions dépend sa survie.S'il reste sourd aux suppliques et aux désespoirs,alors tant pis pour lui... Étant contre la violence,je m’assoirai et je regarderai le match... Nul doute qu'il sera aussi terrible que pitoyable...
Le Vouloir-Vivre implique des choix,toujours.Alors mieux vaut ne pas se tromper.
Quant aux autres " guerres " sur ce forum,ce ne sont qu'enfantillages.La plupart du temps ce ne sont que des provocations stupides émanant de personnes tentant d'exister - d'exister au moins sur un forum ? Enfin c'est ce que je pense... La belle affaire ! - Et j'observe que tu participes à ces gamineries à toujours vouloir démentir les sornettes débitées sur toi. - Lesquelles reprennent de plus belle parce que c'est ça le " jeu ".Et tu tombes dans ce " piège " avec une constance...qui te satisfait ?
Citation de valentin14vanves
Je n’en sais fichtre rien Fouthese mes cliquettes sont toutes les deux en bonne santé, j’ai tout bon pour les deux, donc je ne peux te conseillé ce que je ne connais pas Fouthese !
Je viens de faire une petite recherche rien que pour toi, t’imagine, l’effort ?
Au pire tu pourrais utiliser ça, à l’ancienne, toi qui es allergique à la technologie et aux surcoûts des produits issus de l’ultralibéralisme ! :
Citation de valentin14vanves
Maxime Nicolle menace de quitter la France et lance un ultimatum au gouvernement (VIDEO)
Du 30 janv. 2019, 18:25
" Sur Facebook, Maxime Nicolle confie être prêt à demander «l'asile constitutionnel» dans le cas où le gouvernement n'annoncerait pas d'«avancées concrètes» d'ici 15 jours. Il estime subir une persécution «psychologique, financière et policière».
«Si vous ne faites pas ça, dans deux semaines, je pars de ce pays» : tel est ultimatum qu'a lancé, le 29 janvier, sur son compte Facebook le Gilet jaune Maxime Nicolle. Dans cette vidéo, il réclame au gouvernement des «avancées concrètes, financières, envers le peuple, et pour tous les membres de la population, […] toutes les personnes qui sont dans la merde dans ce pays et qui essaient de s’en sortir».
" Comme ça, à l'étranger, vous n'irez pas me foutre en prison"
"Celui dont le surnom est Fly Rider appelle l'exécutif à agir sous 15 jours. A défaut, il menace de faire une «demande d’asile constitutionnel». Le cas échéant, il devra se battre «à l'extérieur», confie-t-il. «Je peux vous garantir que j’y passerai ma vie […] jusqu'à ce que j’en crève», assure Maxime Nicolle. Il poursuit : «Si vous ne le faites pas, ce sera de votre responsabilité et pas de la nôtre»"
"Expliquant mettre «sa vie de côté pour l'intérêt collectif», Maxime Nicolle affirme actuellement subir une persécution «psychologique, financière et policière». Juxtaposant sa situation et celle de Julian Assange – lanceur d'alerte et fondateur de Wikileaks, qui est réfugié à l’ambassade d'Equateur à Londres depuis juin 2012 mais risque toujours d'être arrêté par les autorités britanniques –, il explique souhaiter se réfugier dans un pays «qui ne pratique pas l'extradition». «Comme ça, à l'étranger, vous n'irez pas me foutre en prison», lance-t-il à l'appui de son propos."
C’est marrant de relire quelques mois après les propos de notre héros national, ce qui est aussi révélateur ce sont les commentaires d’une partie des lecteurs !
Soral avait eu aussi cette intention.
Finalement il est toujours là. - Pourtant...la Corée du nord... Eh ben même pas ! - Pourtant la mise au pas de tout un peuple est dans ses préférences semble-t-il...
Cherchons l'erreur...
Faut s'y retrouver dans le fatras de ses mots...
Les magistrats ont déjà bien entamé le tri !
Citation de valentin14vanves
Les risques internationaux s’accentuent ; la croissance française résistePoint de conjoncture - octobre 2019
Julien Pouget et Frédéric Tallet
« L’environnement économique international se dégrade, sous la conjonction de plusieurs facteurs : tensions protectionnistes, incertitudes autour du Brexit, interrogations sur l’orientation des politiques économiques dans certains pays, etc. Les prévisions de croissance sont donc revues à la baisse pour la plupart des partenaires économiques de la France.
La prévision pour la France est en revanche quasi inchangée par rapport à la Note de conjoncture de juin dernier (croissance prévue de +0,3 % par trimestre d’ici la fin de l’année, et de +1,3 % en moyenne annuelle en 2019). Cette résistance tient surtout à la demande intérieure. En particulier, la consommation certes n’accélère pas, mais progresse tout de même à un rythme régulier, alors que le pouvoir d’achat et l’emploi sont dynamiques. »
« Résumé »
« Le premier semestre 2019 a été marqué par une dégradation assez nette de l’environnement économique international, sous la conjonction de plusieurs facteurs.
Au-delà du fait que certaines grandes économies avancées sont quasiment au plein emploi, ce qui limite leurs possibilités de croissance, les tensions protectionnistes se concrétisent progressivement, faisant fléchir le commerce mondial.
En particulier, la Chine et l’Allemagne ont vu leur activité nettement ralentir, sans qu’il soit possible à ce stade de distinguer précisément ce qui relève de raisons conjoncturelles ou de causes plus structurelles. À l’impact direct de l’escalade des droits de douane s’ajoutent les incertitudes sur l’issue des négociations commerciales. Ces incertitudes se cumulent avec les interrogations sur le Brexit mais aussi sur l’orientation des politiques économiques en Italie, en Espagne, en Allemagne ou aux États-Unis, et peuvent générer de l’attentisme, notamment en matière d’investissement des entreprises.
Dans ce contexte, les politiques monétaires sont à nouveau très accommodantes mais leur marge de manœuvre est réduite. Les politiques budgétaires soutiennent quant à elles – certes à des degrés divers – la demande intérieure dans nombre d’économies avancées. Les climats des affaires sont d’ailleurs actuellement plus favorables dans les secteurs « abrités » (services, construction, commerce) que dans l’industrie. Malgré ces soutiens, les prévisions de croissance d’ici la fin de l’année 2019 sont revues à la baisse pour la plupart des partenaires économiques de la France. En particulier, l’activité économique resterait atone en Allemagne et en Italie. Le PIB de la zone euro progresserait de 0,2 % au troisième comme au quatrième trimestre, et de 1,2 % en moyenne annuelle en 2019 (après +1,9 % en 2018).
En revanche, le scénario macroéconomique pour la France est quasiment inchangé par rapport à la Note de conjoncture de juin (avec une croissance prévue de +0,3 % chaque trimestre d’ici la fin de l’année, et de +1,3 % en moyenne annuelle en 2019 après +1,7 % en 2018). Cette résistance tient surtout à la demande intérieure : l’investissement des entreprises bénéficie comme dans d’autres pays de conditions favorables, notamment les taux d’intérêt bas, tandis que celui des administrations publiques est dopé par le cycle municipal ; la consommation privée profite quant à elle – certes graduellement, compte tenu d’un taux d’épargne encore élevé – du retour de la confiance des ménages en lien avec la vigueur du pouvoir d’achat (+2,3 % prévu en 2019).
Au-delà des mesures de soutien budgétaire, cette vigueur reflète aussi celle de l’emploi (plus de 250 000 créations nettes d’emploi prévues sur l’année 2019) : le taux de chômage poursuivrait donc sa baisse de l’ordre de 0,1 point par trimestre et s’établirait à 8,3 % en fin d’année.
Les aléas internationaux susceptibles d’affecter – surtout à la baisse – ce scénario sont nombreux. Pour l’instant, le commerce extérieur français n’apparaît pas trop affecté par les tensions protectionnistes et les exportations seraient portées, en fin d’année, par d’importantes livraisons aéronautiques et navales. Mais il pourrait l’être davantage si, par exemple, la demande intérieure allemande venait à faiblir. En outre, notre scénario est établi sous l’hypothèse conventionnelle d’un Brexit « ordonné ». Il est difficile à ce stade de quantifier l’effet à court terme d’un éventuel Brexit sans accord au 31 octobre, compte tenu notamment des perturbations que cela risquerait de causer sur les chaînes d’approvisionnement de certaines entreprises. »
« Le commerce européen navigue entre deux risques majeurs »
Les anticipations de Brexit provoquent des àoups dans les flux commerciaux
« Les perturbations associées au Brexit ont été la première source de fluctuation des échanges commerciaux au premier semestre 2019 : après des importations et un stockage britanniques massifs au premier trimestre, le mouvement inverse, chute des importations et déstockage, a été tout aussi brutal au deuxième trimestre. En contrepartie, les échanges des partenaires européens du Royaume-Uni ont connu des variations notables mais d’ampleur plus modérée. »
Les échanges mondiaux subissent les chocs protectionnistes successifs
« À cela se sont ajoutées les incidences de l’escalade protectionniste poursuivie tambour battant par les États-Unis. Outre l’effet direct sur leurs flux bilatéraux avec la Chine, ces tensions ont contribué plus généralement à ralentir les échanges mondiaux depuis plusieurs trimestres. Ainsi, le commerce mondial a stagné au premier semestre 2019 (–0,1 % au deuxième trimestre après +0,2 % au premier). Sur l’ensemble de l’année 2019, le commerce mondial croîtrait trois fois moins vite que l’an passé (+1,4 % après +4,5 %), sapé par les hausses de droits de douane et le ralentissement économique en cours. Le produit intérieur brut (PIB) des économies avancées ne croîtrait que de +1,7 % en 2019 après +2,3 % en 2018. »
« L’activité française résiste un peu mieux que celle de ses principaux voisins »
La croissance en Allemagne et en Italie est plus morose qu’en France et a fortiori en Espagne
« Ces chocs internationaux ont davantage pesé sur l’activité économique en Allemagne qu’en France. La croissance outre-Rhin a en effet stagné au printemps (–0,1 % après +0,4 %), l’industrie ayant été nettement plus affectée que les services par l’affaiblissement des échanges internationaux et le ralentissement de l’investissement des entreprises. Alors que le PIB espagnol a gardé une progression soutenue (+0,4 % après +0,5 % au premier trimestre), la croissance économique italienne reste quasi nulle depuis plus d’un an (0,0 % au deuxième trimestre après +0,1 % au premier). En France, l’activité économique a continué de croître de 0,3 % par trimestre (au deuxième comme au premier trimestre et peu ou prou depuis un an). La production a été plus allante dans les services marchands (+0,7 % après +0,5 % au premier trimestre) ou la construction (+0,5 % après +0,7 %) que dans l’industrie manufacturière (–0,4 % après +0,5 %). »
« La politique monétaire toujours plus accommodante conduit les taux longs plus loin en territoire négatif »
La Fed et la BCE baissent leurs taux directeurs
« Alors que la Réserve fédérale (Fed) a abaissé d’un quart de point les taux directeurs américains en juillet puis à nouveau en septembre, la Banque centrale européenne (BCE) a accentué sa politique monétaire très accommodante en septembre, via notamment un abaissement du taux de dépôt et la reprise de ses achats obligataires à partir de novembre 2019 pour 20 milliards d’euros par mois. En conséquence, les taux souverains de la zone euro se sont établis en territoire négatif (depuis le printemps pour le taux allemand à 10 ans et depuis l’été pour le taux français). Cette diminution des taux européens, associée à une croissance moins vive qu’outre-Atlantique, a contribué à affaiblir le taux de change de l’euro face au dollar. Il a ainsi atteint 1,10 $ en septembre (taux retenu par hypothèse au dernier trimestre 2019). Dans le contexte de ralentissement économique mondial, le prix du baril de Brent est redescendu en deçà de 60 $ durant l’été avant de rebondir au-delà de 65 $ mi-septembre, à la suite d’attaques contre des équipements pétroliers saoudiens. »
« Au–delà des chocs ponctuels, le ralentissement des échanges concerne l’ensemble des principales économies »
La plupart des grandes économies ralentissent en 2019
« Aux États-Unis, l’activité économique ralentirait en 2019 (+2,3 % après +2,9 % en 2018) sous l’effet d’une contribution de nouveau négative du commerce extérieur (–0,3 point) ; les effets des relances fiscales de 2018 s’estompent, ce qui conduit à un ralentissement de la consommation des ménages (+2,6 % après +3,0 %) et de l’investissement privé (+1,2 % après +4,6 %).
En Chine, les indicateurs d’activité signalent de nouveau une décélération et les exportations freineraient nettement par rapport à l’an passé (+2,0 % après +6,6 %). Le ralentissement affecte d’autres grandes économies : la production industrielle est en berne au Brésil, la hausse de TVA en Russie a pénalisé la consommation, la Turquie n’est pas encore complètement sortie de crise et l’Argentine y demeure, les pays d’Europe centrale et orientale subissent la baisse de régime de leurs partenaires européens. Enfin, l’activité au Japon serait chahutée au second semestre 2019 par le relèvement de deux points de la taxe à la consommation en octobre. »
« Le Brexit demeure l’inconnue majeure en Europe »
Le climat conjoncturel allemand continue de se dégrader
« Alors que le moral des industriels s’établit à des niveaux favorables en Espagne et en France, il est nettement plus dégradé en Italie et surtout en Allemagne (graphique 1). Du fait d’une production industrielle particulièrement affectée mais aussi d’une confiance des consommateurs en repli, la croissance allemande ne dépasserait pas +0,1 % par trimestre d’ici la fin de l’année. La croissance italienne serait également en berne (+0,1 % par trimestre), tandis que l’économie espagnole conserverait son dynamisme (+0,6 % par trimestre).
La vigueur des gains de pouvoir d’achat en Allemagne, comme chez ses grands partenaires de la zone euro, ne serait pas suffisante pour compenser la morosité du climat industriel. »
Citation de valentin14vanves
Tu fais encore et toujours des amalgames qui t’arrangent et de mauvaises analyses :
1- Tous les politiciens ;, membres du gouvernement, fonctionnaires, experts… ne sont pas tous des manipulateurs ou pourris. CQFD
2- Tu oublies le rôles de certains médias parmi, ceux qui ne font pas partie du mainstream, pour le moins peu regardant sur la qualité et de la véracité de l’information sans parler des montages grossiers anti-système ressemblant plus à de l’infox ou à de la fake news, qu’à une information vérifiée et qualifiée, comme celle des médias de référence, ceux que tu appelle les médias mainstream. CQFD
3- Quant à parler du financement et de la ligne éditoriale de tes médias alternatifs, avant de faire fonction notre esprit critique pour évaluer la qualité de l’information, il est nécessaire de s’informer sur les créateurs et financeurs de ces nouveaux médias pour se faire une idée préalable de l’orientation donnée à l’information. Parce que lorsque tu critiques les médias mainstream à propos de leurs actionnaires et des pressions sur les journalistes, tu devrais en faire de même pour les médias alternatifs, là ça devient tout de suite plus gênant pour toi Fouthese ! Non ?CQFD
Citation Citation de Fouthese
C'est bien: tu progresses.
Ben Fouthese, tu t’égares, je ne fais pas d’amalgames moi, des politiciens ou journalistes manipulateurs, il y en a certes, mais je ne pense personnellement pas que ce soit une majorité de ces professions. CQFD
En règle générale ceux qui généralisent, sont eux des manipulateurs pour nous imposer des légendes urbaines populistes à deux balles et attirer le gogo benêt ou abusé pour cause d’absence d’analyse critique sérieuse. CQFD
" - Tous les politiciens ;, membres du gouvernement, fonctionnaires, experts… ne sont pas tous des manipulateurs ou pourris. CQFD "
Un " CQFD " très précis et complet ( je veux tous les noms ! Tous ! ) serait un plus sur ce topic !
Allez quoi: fais ça pour nous tous sur ce forum...!