Citation de schnockdu
Juste de brefs passages - le temps que qu'est-ce que je fais se repose et mûrisse, ou le temps de penser à aut'chose en attendant de m'y remettre...
Et sur ce, trève de blabla.
Qu'attends-tu ? Qu'on vienne te chercher ?
Microminus aussi !
Trêve de blabla dis-tu... Nous qui sommes des êtres de paroles.
Comment peux-tu dire cela,ça m'échappe.Mais sûrement que tu as des raisons tirées de ton expérience récente.... - Encore que ta faconde ici saura te ramener à toi-même - " chassez le naturel,il revient...................".......etc.
Et je vois que tu t'interroges.Mais bah ! Nous en sommes tous là,indéfiniment. - Je ne t'apprends rien...
C'est lorsque la réponse à chacune de nos interrogations tarde à venir qu'on peut,éventuellement,baisser les bras.
Moi,jamais ! - Enfin...,lorsque je sens que c'est important.
Personne viendra me chercher.Et c'est tant mieux parce que je tiens à ma tranquillité.
Ceci dit,je te prépare une réponse plus étoffée.
Patience.
Citation de schnockdu
Être humain est déjà un bien encombrant et inconfortable carcan. Bien que si doux et léger aussi.
Mais je comprends.
Conseil du jour, donc : change de slip.
Je ne t'ai pas attendu...
Conseil nocturne: questionne la notion d’incommensurabilité...
Les enfant la pratiquent.
Toi & moi avons été des enfants...
Malheureusement les adultes que nous sommes devenus en conservent une image trop superficielle.
Les G-J ayant des enfants ne prennent pas le temps d'analyser les agissements de leur progéniture alors que,en toute innocence,lesdits enfants pointent là où il faut regarder - puis avoir l'idée de penser ce qu'ils ont montré !
Observe-les puis réfléchis.Eux ont la réponse à ton questionnement.
As-tu un/des enfant ?
Émerveillé,tu saisiras combien nous adultes avons perdu en grandissant.
Social : dans le piège de la violence #cdanslair 18.11.2019
C dans l'air
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Le premier anniversaire des Gilets jaunes, qui a eu lieu samedi, a été marqué par des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, notamment Place d’Italie, dans le 13ème arrondissement de Paris. Ces violences ont poussé la préfecture de police à annuler l’une des manifestations prévues et le cortège des Gilets jaunes n’a donc pas pu quitter la place. Les violences de samedi ont laissé la place d’Italie dévastée, et ces évènements n’ont pas manqué de faire réagir la classe politique, parfois très fermement. Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a appelé à "des condamnations fermes et unanimes" pour toutes les "dégradations et violences commises en marge des manifestations". La maire de Paris, Anne Hidalgo a, de son côté, tenu à dire "bravo aux équipes de la ville" qui doivent "réparer nettoyer après ces dégradations inacceptables et ce depuis un an".
Ces nouvelles violences font craindre le pire aux autorités pour le mouvement de grève et de manifestations qui doit commencer le 5 décembre prochain (et qui peut s’inscrire dans la durée). La question sera de savoir si les syndicats arriveront à garder la main sur la situation et à éviter les débordements. Comment la violence est-elle devenue régulière lors de ces manifestations ? Les syndicats sont-ils dépassés par quelques individus violents ? Quels risques pour le 5 décembre ? Quels seront les mots d’ordres pour la mobilisation contre la réforme des retraites ?
Invités :
- Christophe Barbier, éditorialiste politique à L’Express.
- Raymond Soubie, expert en gestion des ressources humaines et des politiques sociales.
- Frédéric Ploquin, journaliste, spécialiste des questions de sécurité.
- Soazig Quémener, rédactrice en chef du service politique de Marianne.
Pour toi Fouthese :
45mn29 Frédéric Ploquin – A propos des Maquisards du clip
« Un an des "gilets jaunes" : un gendarme était-il infiltré avec son bouclier parmi les casseurs ?»
Ou de l'art de de générer de la Fake News les images et vidéo s dans le lien :
« Contactée par franceinfo, la gendarmerie nationale assure que le bouclier a été "arraché à un escadron qui faisait face à des manifestants déterminés et violents". »
Benoît ZagdounFrance Télévisions
Mis à jour le 19/11/2019 | 18:08
publié le 19/11/2019 | 16:24
« La photo d'un homme habillé de vêtements sombres, le visage dissimulé, et tenant contre lui un bouclier de gendarmerie, agite les réseaux sociaux, mardi 19 novembre. Certains internautes veulent y voir la preuve que des membres des forces de l'ordre s'habillent en civil pour infiltrer les manifestants et jouer les "casseurs", provoquant ainsi les violences que policiers et gendarmes répriment ensuite. Mais qui était donc cet individu et que faisait-il avec ce bouclier ? »
« L'image, postée sur Twitter dans un message depuis supprimé, juxtapose deux photos : celle de cet homme au bouclier, avec à ses côtés un autre homme masqué, et celle de ce second individu, reconnaissable au col en fourrure de son blouson, à son bonnet et à ses chaussures, armé d'une tige en métal s'attaquant au monument en hommage au maréchal Juin. Sur Twitter, le député La France insoumise Alexis Corbière a jugé ces deux photos "très choquantes". L'élu a avancé deux hypothèses : "les casseurs ont-ils volé un bouclier aux gendarmes" ou le "casseur" était-il "sous protection des forces de l'ordre" ? »
« La première photo se retrouve sur la page Facebook du journaliste et essayiste Laurent Obertone, apprécié de l'extrême droite, avec ce commentaire : "Beau trophée ahahah". "C'est un 'snap' [une image envoyée sur l'application Snapchat] qui a un peu circulé", confirme l'auteur à franceinfo, qui l'a prise sur un autre profil Facebook. »
« Le protagoniste du second cliché apparaît dans la même situation dans une vidéo du Figaro, reprenant des images de l'agence Associated Press montrant le saccage du monument en hommage au maréchal Juin, samedi 16 novembre, place d'Italie à Paris, pendant la manifestation des "gilets jaunes", à l'occasion du premier anniversaire de leur mouvement. »
« Contactée par franceinfo, la gendarmerie nationale confirme que l'individu qui tient le bouclier siglé gendarmerie "n'est pas un gendarme" et que le bouclier a bien été "volé". "Le bouclier a été arraché à un escadron de gendarmerie mobile qui faisait face à des manifestants déterminés et violents", samedi, sur la place d'Italie, explique la gendarmerie nationale. »
« Plusieurs vidéo s confirment ce scénario. Cette séquence, tournée par une agence de presse indépendante filmant les manifestations, montre un mouvement de foule forçant un cordon de gendarmes. Les coups pleuvent des deux camps. Les gaz lacrymogènes emplissent l'air. Un manifestant s'enfuit avec un bouclier de la gendarmerie. Dans la bousculade, un gendarme a également son casque arraché et un manifestant part avec. »
« Cette autre vidéo, filmée par un journaliste indépendant, Amar Toualit, montre la suite de l'action. Un jeune homme au visage dissimulé pose avec le bouclier, faisant un doigt d'honneur. Une voix explique que l'objet est tombé à terre et qu'il a été ramassé. "C'était vers 16 heures", "pas loin de la place d'Italie", confirme le reporter à franceinfo. "Ils ont poussé un barrage de gendarmes pour sortir de la place d'Italie et ils ont pris le bouclier des gendarmes et ils sont partis." »
« Le bouclier refait son apparition dans une vidéo (à 1h16) du Média, la webtélé lancée par Sophia Chikirou, proche de Jean-Luc Mélenchon et de La France insoumise. Des manifestants ont retourné une voiture et tentent de l'incendier. Le bouclier est jeté au sol en direction du véhicule. Il est ramassé par un manifestant, puis passe de main en main, chacun voulant poser avec l'objet pour une photo souvenir. "C'est une prise de guerre, ça !", "Prenez-le !", "Prends-moi en photo !", lancent des voix. »
« L'un des manifestants finit par partir en courant avec le bouclier, alors que des grenades lacrymogènes explosent au loin. On reconnaît à son manteau bleu sombre à capuche et à cordelettes blanches et à ses baskets à liserés verts l'homme qui pose avec le bouclier sur la photo à l'origine de la rumeur. "Sans doute avez-vous raison", a concédé sur Twitter Alexis Corbière au journaliste indépendant Gaspard Glanz, qui lui opposait cette démonstration. »
« Retraites : un rapport alarmant sur le déficit, qui pourrait atteindre 17 milliards en 2025 »
Source : RTL
ÉDITO - Le Conseil d'orientation des retraites a rendu un rapport alarmant sur l'évolution du déficit des retraites. Ce dernier devrait peser entre 8 et 17 milliards en d'ici à 2025.
François Lenglet
«C'est une sorte de bombe, le déficit de nos retraites va se creuser. C'est ce que nous dit le COR, le Conseil d'orientation des retraites, un organisme qui audite régulièrement la branche retraite de la sécu. La dernière fois qu'il s'était penché sur les comptes des pensions en France, c'était en 2016, il anticipait un solde proche de l'équilibre. Et voici que les nuages se sont amoncelés. Dans le rapport qui sera remis sous peu au gouvernement, le Conseil prévoit désormais un déficit de 8 à 17 milliards d'euros en 2025, et encore davantage en 2030.»
Dans ces comptes tout est affaire de projection. Projections démographiques, pour évaluer le vieillissement des Français, c'est-à- dire leur espérance de vie, pour anticiper l'évolution de la population active, et bien sûr de l'activité économique, la richesse future du pays.»
La moindre variation dans l'un des paramètres produit des effets budgétaires très importants à horizon de plusieurs années. C'est ce qui s'est passé, en particulier dans le dénombrement des actifs, qui a été corrigé par l'INSEE. Le COR a donc lui aussi amendé ses prévisions, ce qui explique cette détérioration sévère en si peu de temps.»
Une réforme hors sujet
Cela veut dire qu'on a bel et bien besoin d'une réforme, si on veut équilibrer les comptes. Mais la question est : quelle réforme ? Celle qui est envisagée par le gouvernement ne résout pas le problème du déficit. Elle a été conçue en 2016, à partir des précédentes projections du COR, qui étaient à l'équilibre. »
« C'était une réforme de beau temps. Du coup, elle se concentre sur la réduction des inégalités entre les 43 régimes différents. Au prix d'une usine à gaz pour fusionner tout cela. Au prix de milliards, peut-être de dizaines de milliards d'euros, pour mettre tout le monde à niveau. Mais elle ne s'attaque pas au déficit, qui est en réalité la menace la plus forte qui pèse sur nos retraites»
Conseil nocturne: questionne la notion d’incommensurabilité...
Les enfant la pratiquent.
Toi & moi avons été des enfants...
Malheureusement les adultes que nous sommes devenus en conservent une image trop superficielle.
Les G-J ayant des enfants ne prennent pas le temps d'analyser les agissements de leur progéniture alors que,en toute innocence,lesdits enfants pointent là où il faut regarder - puis avoir l'idée de penser ce qu'ils ont montré !
Observe-les puis réfléchis.Eux ont la réponse à ton questionnement.
As-tu un/des enfant ?
Émerveillé,tu saisiras combien nous adultes avons perdu en grandissant.
T'as des enfants Fouthese ?
Modifié il y a 4 ans, le mardi 19 novembre 2019 à 23:19
« La Cour des comptes évalue le coût des niches sociales à 90 milliards »
« Dans leur rapport annuel sur les comptes de la Sécurité sociale, les magistrats financiers insistent sur la nécessité de réduire les dépenses sociales alors que le déficit se creuse à nouveau. Le coût des niches sociales est supérieur de 25 milliards d'euros à l'estimation qu'en fait le gouvernement. »
Par Solveig Godeluck
Publié le 8 oct. 2019 à 10h00
Mis à jour le 8 oct. 2019 à 16h34
« Les niches sociales coûteront en 2019 « plus de 90 milliards d'euros », soit autant que les fameuses niches fiscales . C'est ce qu'affirme la Cour des comptes dans son rapport annuel sur les comptes de la Sécurité sociale publié ce mardi. Un chiffre d'autant plus impressionnant qu'il est supérieur d'« environ 25 milliards » au décompte officiel des principales exonérations et exemptions de cotisations et de contributions recensées dans une annexe du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Le gouvernement n'a pas pris en compte certains dispositifs « relevant des politiques propres à la Sécurité sociale », tels que les exonérations de cotisations pour les praticiens et auxiliaires médicaux conventionnés ou pour la garde d'enfant, accuse la Cour des comptes.
Le coût des exemptions d'assiette a été minoré, et certains dispositifs chiffrés n'ont tout simplement pas été mentionnés dans l'annexe, poursuit-elle. »
En outre, le projet de loi ne s'intéresse pas aux régimes gérés par les partenaires sociaux, hors du champ législatif. Il y aurait pourtant plus de 17 milliards d'euros de niches sociales au sein des régimes complémentaires de retraite ou de l'assurance-chômage. »
« 52 milliards d'allégements généraux
Les magistrats financiers pointent le poids croissant des allégements généraux de charges patronales, estimés à 52 milliards d'euros. Entre 2013 et 2019, ils ont enflé de 26 milliards d'euros : 9 milliards pour le pacte de responsabilité mis en oeuvre par la gauche à partir de 2014, puis 18 milliards pour la transformation du crédit d'impôt compétitivité emploi en allégements directs de charges en 2019, pour 18 milliards d'euros.
Pour des raisons de lisibilité du niveau des prélèvements sociaux, la Cour préconise d'intégrer ces allégements au barème de droit commun… non sans avoir fait la revue de toutes les niches qui pèsent plus de 100 millions d'euros, afin de fermer l'accès à de nouveaux bénéficiaires voire de supprimer les dispositifs inefficaces. En attendant cette évaluation, elle conseille de geler « les valeurs de référence des paramètres servant à calculer l'avantage » ou le plafond de cet avantage.
Les exonérations ciblées sont aussi dans le viseur. Elles ont crû de 1,6 milliard depuis 2013.
La Cour épingle la déduction forfaitaire spécifique, qui donne à certains employeurs un suravantage par rapport aux allégements généraux. Le gouvernement a justement prévu d'économiser 400 millions d'euros l'année prochaine sur cette niche. »
...
Citation de mephilto
Ouai, mais non, on a juste envi de te dire "ferme ta gueule le nain chauve, tu sers a rien"
Mais voila j'suis correct moi, alors je dis " on s'en branle de tes conneries fouthese "
Le style quoi !!!
c'est trop drôle...
le chauve qui se fout d'un qui ne l'est pas ....
parce que l'avatar de foutaise..
c'est Trotski..
ducon...!
ignare...
qui ballade son inculture ici comme partout..
sourire.....
sale con..
Modifié il y a 4 ans, le mardi 19 novembre 2019 à 23:29
Retraites: un déficit de 8 à 17 milliards à résorber avant la réforme
Le déficit du système de retraite devrait s'établir entre 7,9 milliards et 17,2 milliards d'euros en 2025, selon le rapport du conseil d'orientation commandé pour justifier d'éventuelles mesures d'économies avant l'instauration d'un régime "universel", sujet explosif à l'approche de la grève du 5 décembre.
Compris "entre -0,3% et -0,7% du PIB", le "solde financier du système" serait ainsi dans un ordre de grandeur proche de la prévision évoquée en juin dans le rapport annuel du COR (Conseil d'orientation des retraites), qui tablait alors sur un déficit d'environ 10 milliards d'euros (0,4% du PIB) en 2022, selon le document qui doit être remis jeudi à Matignon et qu'a pu consulter l'AFP lundi.
Les "légers écarts" constatés entre juin et novembre "s'expliquent" par la prise en compte de la "sous-indexation des pensions au-delà de 2.000 euros en 2020", des "hypothèses d'inflation plus faibles à l'horizon 2023" et de la révision à la baisse par le gouvernement de l'objectif de suppressions de postes dans la fonction publique.
Instance indépendante composée de parlementaires, de partenaires sociaux, de représentants des retraités et des familles, de membres de l'administration et d'experts, le COR a été saisi en septembre par le gouvernement en amont d'un nouveau cycle de concertations sur le futur "système universel" de retraites censé remplacer les 42 régimes existants.
Il s'agissait alors, selon le Premier ministre Édouard Philippe, d'évaluer "la situation financière" du système actuel et de proposer des mesures "pour en garantir l'équilibre en 2025", comme le souhaite Emmanuel Macron, au grand dam des syndicats....