je pense qu'il s'agit surtout d'une dérive (dé) z' organisée en plus haut lieu..... Tout est "non" assumé, non revendiqué.... mais bien utile.... un peu comme un chien pris au piège..... les flics se rongent la patte prise au piège.....
Coucou evildad,
oui sûrement mais n'empêche qu'ils se comportent pire que des voyous, tu as vu celui qui fait un croche-pied à la jeune fille? Ça c'est vicieux et juste écœurant
oui sûrement mais n'empêche qu'ils se comportent pire que des voyous, tu as vu celui qui fait un croche-pied à la jeune fille? Ça c'est vicieux et juste écœurant
oui sûrement mais n'empêche qu'ils se comportent pire que des voyous, tu as vu celui qui fait un croche-pied à la jeune fille? Ça c'est vicieux et juste écœurant
Bonjour Cass' et bon dim'. ;)
Ces vidé deviennent virales.... Oui, des voyous ... nous sommes d'accord sur le qualificatif...
Comment le « shutdown » affecte les services publics américains
Aux quatre coins des Etats-Unis, les médias locaux ont rapporté ces derniers jours des histoires de fonctionnaires qui ne sont plus en mesure de payer leurs factures ou leur crédit, craignant d'êtres saisis de leurs biens voire d'être expulsés si la situation se prolonge.
Pour certains, ce sont même les dépenses du quotidien qui sont touchées. Des fonctionnaires expliquent avoir fait des provisions de produits surgelés pour s'assurer d'avoir de quoi manger en cas de « shutdown » prolongé, tandis que d'autres affirment devoir rationner les croquettes de leurs animaux de compagnie.
Appel à la solidarité
Pour s'en sortir, nombre d'entre eux font appel à la générosité de leurs concitoyens. Ce jeudi, le site d'informations Quartz a ainsi comptabilisé plus de 1.000 appels aux dons d'employés fédéraux sur le principal site américain de cagnottes en ligne, Gofundme.
Dans chacune de ces annonces, le fonctionnaire explique les motivations de cette cagnotte, qui peut aller du coup de pouce pour rembourser l'emprunt de sa maison à l'achat de produits de première nécessité, comme du lait et des couches. De manière générale, les appels aux dons vont de 500 à 5.000 dollars.
Dans plusieurs villes des Etats-Unis, des associations ont également organisé des collectes d'argent et de nourriture pour les agents fédéraux. Mais les autorités ont averti que ces dons pouvaient être considérés comme des cadeaux, ce qui est formellement interdit par le règlement éthique de l'administration.
Petits boulots
Chez les employés fédéraux mis au chômage forcé, qui n'ont pas à venir travailler, nombre d'entre eux se sont lancés dans d'autres activités pour tenter de joindre les deux bouts, par exemple garder des enfants, organiser des vide-greniers voire prendre une licence Uber.
Lundi, des chauffeurs de VTC de Washington se sont ainsi plaints de l'arrivée de cette concurrence temporaire : « Avec le shutdown, il y a de plus en plus de fonctionnaires qui travaillent comme chauffeurs à plein temps. Du coup, cela a un impact sur nous et nos revenus », a ainsi déploré un chauffeur Uber de la capitale fédérale auprès d'une télévision locale.
Si les employés fédéraux n'ont pas le droit de se mettre en grève, ils se mobilisent chaque jour un peu plus pour faire entendre leur inquiétude. Ce jeudi, une manifestation était organisée devant la Maison-Blanche pour tenter de sensibiliser Donald Trump, qui s'était dit début janvier prêt à maintenir le bras de fer avec les démocrates « pendant des mois, voire des années ».
Le 25 janvier Donald Trump annonçait la fin (provisoire) du plus long « shutdown » de l'histoire des Etats-Unis .
Si l'administration fédérale n'a été gelée « que » 34 jours, les conséquences pourraient être visibles pendant des siècles pour la nature. Faute de surveillance et d'entretien, plusieurs parcs nationaux ont subi de nombreuses dégradations, allant du simple jet d'ordures à l'abattement d'arbres centenaires.
Pendant ce bon mois de « shutdown », les autorités ont décidé de laisser ces parcs partiellement ouverts, alors que les gardes forestiers n'étaient pas là pour le surveiller et guider le public . Une décision qui a valu de nombreuses critiques à l'administration chargée des parcs nationaux mais aussi à Donald Trump.
Déchets, graffitis et arbres à terre
Selon le Bureau du budget du Congrès, le manque à gagner de cette ouverture partielle est estimé à 500 millions de dollars. Mais au-delà du préjudice financier, c'est la perte écologique qui a marqué les esprits, principalement à propos du parc national de Joshua Tree, un espace sauvage de plus de 3.000 km2 au sud de la Californie.
Comment le « shutdown » affecte les services publics américains
Cet immense territoire désertique a subi de nombreux actes de vandalisme tout au long du mois, malgré la mobilisation de nombreux bénévoles qui ont tenté de protéger les lieux. Lundi, les gardes forestiers ont ainsi découvert des sentiers abîmés et jonchés de détritus, des graffitis apposés sur des rochers millénaires et surtout, des arbres de Joshua arrachés.
Des spécimens centenaires de ces arbres endémiques de la région, qui ont donné son nom au parc national, ont été abattus par certains automobilistes partis camper dans des zones interdites aux visiteurs. Largement relayées sur les réseaux sociaux, les images de ces arbres à terre ont suscité l'indignation des internautes.