" 1°) Comment analysez-vous la séquence Covid qui dure maintenant depuis plus de deux ans ?
A-t-elle changé la donne ?
Quel a été son impact sur la vie des gens ?
Qu’a-t-elle dévoilé par rapport à notre monde ?
Comment est-ce qu’elle changera notre monde ?
Précède-t-elle un effondrement économique et systémique ?
Le covid a-t-il modifié ou amplifié la corruption ?
Peut-on espérer des poursuites à l’encontre des gestionnaires de la crise Covid ?
Comment voyez-vous l’évolution du contexte Covid ? "
un partage de Nicolas ...
qui comme dab ...
a fait fort ...!!!
LA VALSE DES ECRANS
Hypnotisé à longueur de journée
Par des écrans à jamais allumées
L'être humain ne sait plus quoi penser
Sans sa télécommande prête à zapper
La valse des écrans se danse dans les salons
Celui de tous les regards, entre films et chansons
Au coeur de nos souvenirs, ils forment à l'unisson
L'Histoire, la géographie et le rythme des saisons
Vient un moment où l'image est éteinte
Dès lors, nous assistons en demi-teinte
Au retour à nos vies, dans une réalité insipide
Soit l'on devient passif, soit l'on devient intrépide !
Eteindre les télévisions en allumant les cerveaux
Une activité nouvelle, mais pas plus qu'il n'en faut
Dans la "boîte à troubadours" qui chante faux
Le niveau est tel qu'on sent l'odeur des caniveaux
Cathodique, l'écran est devenu tellement plat
Autant que la maigreur de la pensée, on en est là
A avaler le vomi perpétuel des actualités du jour
Faits divers, fin du monde, une détresse pour toujours !
La valse des écrans est le début d'une nouvelle vie
En envoyant valdinguer cette ingénierie sociale
Faisant de son existence un départ fatal
En profitant de l'instant maintenant et ici !
Nicolas BOUVIER
" Le consensus bourgeois autour du président n’augure pas la refondation du contrat social. Il est l’aboutissement d’un mépris profond pour les classes laborieuses et annonce des révoltes populaires d’autant plus violentes que la disparition de toute référence à l’intérêt général rend le dialogue impossible.
La récente présidentielle a révélé une France plus clivée que jamais. Les sujets de stupéfaction ne manquent pas : absence de campagne électorale et de débats, vote téléguidé par des centaines de sondages, unanimisme du champ médiatique, ingérences étrangères et religieuses, fascisation de l’adversaire en guise de programme, etc.
Mais au-delà des aspects idéologiques, internationaux et médiatiques, le plus frappant est la confirmation de ce qu’a révélé le premier quinquennat d’Emmanuel Macron : la réunification autour de lui du bloc bourgeois, sans équivalent depuis la monarchie de Juillet et son vote censitaire. En contrepoint, une véritable populophobie s’est déployée dans certains médias.
La bourgeoisie, principale pourvoyeuse de voix d’Emmanuel Macron
La bourgeoisie, intacte, est presque unanime dans ses quatre composantes sociologiques : la bourgeoisie d’argent et la banque ; la bourgeoisie intellectuelle et ses clercs ; les notables de province guidés par les grands médias parisiens ; et les retraités aisés issus de ces trois catégories, véritable génération-classe, détachée du monde du travail, plus aisée que les actifs, qui constitue un bloc électoral déterminant dans le vote.
La bourgeoisie réunifiée pèse pour 20 % de la population et de l’électorat, et plus de la moitié du vote Macron ; l’autre pilier de ce vote est constitué du reste des retraités boomers. L’unité du monde bourgeois a été rendue possible par l’effondrement du socialisme et par l’affaissement du catholicisme, qui permettent d’oublier les pauvres – ou plus exactement de les trier. L’effacement du clivage droite/gauche autorise la bourgeoisie, avant tout soucieuse de préserver ses intérêts matériels et ses positions sociales, à ne plus s’embarrasser de considérations idéologiques et politiques. C’est le retour à Balzac sans les romantiques. La bourgeoisie n’a été patriote que lorsque ses intérêts vitaux étaient en jeu : face à l’aristocratie ; quand il lui fallait défendre la liberté économique ; contre l’émeute populaire ou la menace de collectivisation. Seul De Gaulle, qui la méprisait, est parvenu à la dominer parce qu’elle avait collaboré sans vergogne avec les nazis. Ayant tiré la leçon, notre bourgeoisie met aujourd’hui en avant le supplément d’âme qu’elle s’est choisi.
Un mépris de classe qui se banalise
Lors de la crise des Gilets jaunes, le pouvoir avait appelé au secours et mis à l’écran une poignée d’intellectuels organiques issus de Mai 1968 pour criminaliser le peuple révolté. Certains l’avaient accusé de fascisme et d’antisémitisme. D’autres avaient appelé l’armée et la police à tirer à vue. Les intérêts supérieurs de la bourgeoisie étaient effectivement en jeu. On se rappelle comment la famille pauvre et provinciale de Gilets jaunes avec quatre enfants, présentée dans Le Monde, avait attiré les sarcasmes, les injures et les railleries de plus de 1 000 internautes ; certains ayant même appelé à sa stérilisation – propos purement fasciste au demeurant. La scène s’est reproduite le lundi 25 avril 2022 sur les réseaux sociaux, après qu’a été montrée à l’écran la tristesse des femmes du peuple d’Hénin-Beaumont, le 24 avril au soir, devant la défaite de leur championne. Insultes, moqueries, railleries, mépris de classe, déversement de haine se sont abattus sur ces femmes pauvres. Il est vrai que nos urbains ne rencontrent jamais de leur vie des gens de condition modeste, car le pauvre n’a que le visage du migrant ou du SDF croisé en bas de chez eux. Même le réseau ferroviaire libéralisé a été soigneusement segmenté selon les classes sociales afin qu’elles ne se croisent plus. "
bonjour fouthese
citation du jour ...
L'esprit d'enfance compose le solfège des brisures primitives.
La simplicité des enfants ...
c'est une musique sacrée et oubliée ...
que les adultes s'échinent à s'approprier pour la compliquer.
Sophia Sherine Hutt
Citation de savanee
un partage de Nicolas ...
qui comme dab ...
a fait fort ...!!!
LA VALSE DES ECRANS
Hypnotisé à longueur de journée
Par des écrans à jamais allumées
L'être humain ne sait plus quoi penser
Sans sa télécommande prête à zapper
La valse des écrans se danse dans les salons
Celui de tous les regards, entre films et chansons
Au coeur de nos souvenirs, ils forment à l'unisson
L'Histoire, la géographie et le rythme des saisons
Vient un moment où l'image est éteinte
Dès lors, nous assistons en demi-teinte
Au retour à nos vies, dans une réalité insipide
Soit l'on devient passif, soit l'on devient intrépide !
Eteindre les télévisions en allumant les cerveaux
Une activité nouvelle, mais pas plus qu'il n'en faut
Dans la "boîte à troubadours" qui chante faux
Le niveau est tel qu'on sent l'odeur des caniveaux
Cathodique, l'écran est devenu tellement plat
Autant que la maigreur de la pensée, on en est là
A avaler le vomi perpétuel des actualités du jour
Faits divers, fin du monde, une détresse pour toujours !
La valse des écrans est le début d'une nouvelle vie
En envoyant valdinguer cette ingénierie sociale
Faisant de son existence un départ fatal
En profitant de l'instant maintenant et ici !
Nicolas BOUVIER
J'extrais ceci:
" Au retour à nos vies, dans une réalité insipide
Soit l'on devient passif, soit l'on devient intrépide ! "
Ça me va......
( Je visionnerai plus tard la vidéo... )