" "L’interprétation du droit international se fait selon les intérêts géo politiques des acteurs dominants" PE Thomann "
Publié le 12 octobre 2022
" Le professeur Pierre-Emmanuel Thomann, géo politologue, s’est rendu en qualité d’observateur dans la République populaire de Lougansk, en Ukraine, pour assister au processus référendaire sur le rattachement à la Russie, qui s’est déroulé fin septembre. Il est notre invité pour ce Debriefing. Par des sanctions, l’Union européenne « veut nous empêcher de parler et de dire ce que l’on a vu sur le terrain », dénonce-t-il. "
" LES SERVICES ANTI-TERRORISTES MOBILISÉS POUR MATER LES GRÉVISTES "
" L'an dernier, pendant plus de 4 mois, des salariés de l'entreprise publique Réseau Transport Électricité ont fait une grève pour obtenir une petite augmentation salariale. Après avoir laissé le conflit s'enliser, puis refusé cette augmentation, et a procédé à des mises à pied, jusque là, un cas tristement banal.
Mais c'est la suite des événements qui est choquante et presque inédite : Suite à cette grève, la direction décide de porter plainte contre X, et le 4 octobre 2022, 4 salariés sont arrêtés à leur domicile, menottés, perquisitionnés, accusés devant leur famille de "cyber terrorisme en bande organisés" et emmenés à la Direction Générale de la Sécurité Intérieure, pour une garde à vue de 96 heure. La CGT dénonce "un traitement réservé aux terroristes présumés".
Que s'est il vraiment passé ? Pourquoi la DGSI se retrouve mêlée à un mouvement de grève au sein d'une entreprise publique ?
Explications de Francis Casanova, délégué syndical central CGT RTE. "
" « Le terrorisme moral actuel, stade ultime et vérité de la révolution », par Paul-André Delorme "
15 octobre 2022
" Soutien à l’hebdomadaire Rivarol privé d’aides à la presse
Liberté d’expression : uniquement pour ceux qui pensent comme nous ?
samedi 8 octobre 2022, par Lionel Labosse
Rivarol est victime dans l’indifférence quasi-générale (y compris dans les rangs de la sphère « complotiste ») d’une tentative de censure économique. Voyez cet article de l’Observatoire du journalisme daté du 1er juin 2022 : « Rivarol privé d’aides à la presse » (auquel j’emprunte la vignette illustrant cet article), qui fait suite à la tribune que le torchon macroniste Le Monde a publiée sous la plume d’un certain nombre de commissaires politiques du wokisme en vogue : « Notre pays accorde des facilités à “Rivarol”, hebdomadaire le plus raciste, le plus antisémite et le plus négationniste qui soit ». Le Figaro nous apprend que « Carrefour cesse de vendre le journal d’extrême droite Rivarol ». Les torchons collabos de la macronie se gardent bien de préciser qu’eux, qui appartiennent tous à des milliardaires, sont perfusés à coups de milliards à nos frais pour répandre les éléments de langage de la tyrannie covidiste ou va-t-en-guerre Mc-Rond-McQui-ne-sait. Mais qu’est-ce qu’une guerre nucléaire ou des milliers de morts ou d’handicapés à vie à cause d’effets secondaires de vaxins par rapport à quelques saillies précipitamment étiquetées « antisémites » ? L’étiquette « antivax », un mutant du virus « antisémite » n’a-t-elle pas été naguère utilisée par le truc verdâtre nommé Rosière Cachalot pour tenter d’interdire France-Soir. "
bonjour fouthese and Co
partage du jour ...
Témoignage :
Ayant travaillé dans les années 90 dans la pétrochimie chez ELF, puis chez total
Je crois qu¹il est grand temps de vous apporter quelques précisions.
Prétendre qu¹il faudrait laisser le temps aux gens de migrer des voitures à moteur diesel aux voitures à moteur essence démontre qu'ils n'ont, comme la plupart de nos concitoyens d¹ailleurs, aucune idée de comment sont obtenus les différents produits pétroliers.
Un écologiste forcené (un "yaka faukon" comme on en connait tous) me disait récemment que la solution était simple
"YAKAPLU" fabriquer du gazole. Lui aussi croyait qu¹on fabriquait du gazole à la demande.
Je m¹en vais donc éclairer votre lanterne et vous expliquer comment on obtient les différents produits issus de la distillation du pétrole.
Eh oui, une raffinerie n¹est ni plus ni moins qu¹une distillerie et on distille le pétrole comme la lavande pour la parfumerie ou le raisin pour la gnôle.
Pour faire simple et en schématisant beaucoup (car en vérité c¹est un tout petit peu plus complexe):
1) On verse du pétrole brut dans une immense cuve et on allume le feu dessous, très doucement au début: 20°c.
2) La cuve commence alors à « dégazer », et on récupère les gaz: propane, butane, GPL.
3) On augmente le feu vers 150 à 200°c, sortent les vapeurs qui, une fois condensées donnent les essences de pétroles. D¹abord les naphtes, pour la pétrochimie, puis l¹essence pour nos voitures.
4) On augmente encore la température jusque vers 300°c. Montent alors les huiles: le kérosène pour les avions, le fameux gazole pour nos moteurs diesel, et le fioul domestique. et ainsi de suite.
Il ne reste à la fin plus que les résidus: Les bitumes avec lesquels nous faisons nos routes.
Rien ne se perd dans le pétrole.
CONCLUSION: On ne fabrique pas du gazole à la demande. Qu¹on le veuille ou pas, qu¹on le consomme ou pas, il sort des cuves au cours du processus. Et ce gazole représente 21% de la masse du pétrole brut, ce qui est loin d¹être négligeable. (45% pour l¹essence).
La question c¹est: Qu¹est-ce qu¹on en fait si on ne le consomme plus?
Vers la fin des années soixante, seuls les camions, des bateaux pas trop gros et quelques rares voitures étaient équipés de moteurs diesel. On ne consommait pas tout le gazole issu des raffineries. Le surplus était rejeté à la mer.
Les compagnies pétrolières, devant ce manque à gagner, se sont alors tournées vers les constructeurs automobiles pour leur demander de développer les moteurs diesel, et c¹est ce qu¹on fait les constructeurs.
Avec de nouveaux alliages acceptant des hautes température de fonctionnement, des taux de compression plus élevés et l¹intégration de système de suralimentation (les turbos) ils ont obtenus des moteurs diesel aussi performants que les moteurs à essence, plus fiables, avec une meilleure longévité et qui consommaient moins. Le succès des moteurs diesel, aidé par une fiscalité moins âpre sur le gazole, a donc été fulgurant.
Je me souviens qu¹à l¹époque, des panneaux publicitaires de 4m sur 3, faisaient l¹apologie du moteur diesel, et la presse vantait dans tous les articles « l¹écologie » du moteur diesel, affirmant qu¹il polluait moins que le moteur à essence.
Le problème aujourd¹hui, c¹est qu¹on a inversé la tendance, et qu¹il existe, surtout en France, un gros déséquilibre de la demande entre l¹essence et le gazole. Il faut donc impérativement pour les pétroliers revenir à l¹équilibre, et contrairement ce que croient les gens, il n¹est pas question d¹éradiquer les moteurs diesel, au risque de retourner aux années soixante.
Comment résoudre ce dilemme?
Sachant qu¹entre deux moteurs, les gens choisiront toujours le plus performant, il faut donc faire une campagne de dénigrement du moteur préféré des usagers. On mobilise donc les politiques et la presse, on prend une poignée de fous furieux intégristes écologistes à qui « on bourre le crâne », et c¹est parti pour façonner l¹inion publique, et fabriquer le consentement.
Et vous verrez que quand on sera revenu à l¹équilibre (2 véhicules essence pour 1 véhicule diesel) comme par magie, on retrouvera des vertus au gazole. D¹autant que le gros problème du diesel c¹est le rejet des particules, et qu¹il a été résolu par l¹adjonction de filtres à particules qui piègent 99% des émissions.
Guillaume Kaznowski
" TRIBUNE - « À laisser le laisser-faire, on engendre aujourd’hui les vrais problèmes de demain ».
L’usage maintenant généralisé du terme "complotisme" appelle des observations essentielles, puis une critique importante et enfin une action individuelle, qui peut être décisive. Tant cette évolution-là de notre champ lexical collectif est contraire à, oui, la dignité humaine.
Dans cet article, sont présentées cinq observations assorties d’illustrations permettant une démonstration complète qu'en réalité, l’usage de ce terme péjoratif masque la volonté de ses utilisateurs de non seulement ostraciser plutôt que de débattre, mais finalement de travailler à l’anéantissement de leurs contradicteurs.
Et ce au nom d’une légitimité qu’ils ne détiennent de personne, mais qui les présente pourtant comme les détenteurs d’une vérité qui n’existe pas davantage.
Le complotisme appelle quelques remarques puisqu’aujourd’hui il a tout l’air d’être aussi banal que l’écologie. Ce qu’il ne pourra jamais être.
Les complots marquent la société humaine
La première remarque, c'est qu’il n’existe pas de société humaine qui ne soit pas animée de complots permanents. Petits ou grands, insignifiants ou décisifs, préparés de longue date comme montés à la va-vite depuis l’actualité du jour. Et ceci pour la raison simple que ces mêmes sociétés sont animées de pouvoirs et d’intérêts qui sont aussi rarement accordés. Ce qui donne le goût à n’importe qui d’y organiser sa petite conjuration, et tenter de faire valoir une alternative à l’état donné des choses qui ne lui convient pas.
À cet égard, l’idée qu’il puisse exister quelque part, y compris au sein de démocraties, une assemblée libre, ouverte, éclairée, etc., où des divergences pourraient être exposées pour être débattues de manière simplement équitable et équilibrée, relève autant d’une illusion que d’une propagande feignant d’être autre chose : nos débats ont toujours moins l’envie d’aboutir à la position qui est juste, que celle qui est la plus forte, et ceci explique cela.
Alors ceux qui s’y opposent tout de même sont presque forcément des gens portés sur la ruse secrète pour tenter de faire valoir leurs positions ; une ruse qui a un rapport évidemment direct avec le fondement d’un complotisme.
Les complots marquent l’histoire
La deuxième remarque parle dans le même sens : que n’importe qui prenne un manuel d’Histoire et à chaque page à peu près, il constatera qu’il n’est question que de complots et de conjurations sous des formes les plus diverses. Rien ou presque dans l’Histoire de France, comme dans celle du monde, n’est advenu par une concorde spontanée universelle. Une communion qui aurait été d’abord discutée de manière aussi aimable qu’entre gens de bonne compagnie.
Ça, c’est l’île aux enfants de Casimir, qui n’a jamais existé ailleurs qu’en "dessin animé".
Tout au contraire, l’Histoire ne procède que de rapports de forces, de manipulations, de coups de Jarnac, d’alliances de circonstances et d’autres poignards plantés dans le dos pour parvenir à ses fins. Trouvez alors un seul fait historique d’importance qui ne relève pas de cet état d’esprit complotiste, y compris pour la « bonne cause », - car la promotion de justes combats est aussi souvent arrivée - eh bien, vous pourrez sabler de champagne votre trouvaille !
Les complots sont présents partout dans la culture contemporaine "
" Le scandale explose enfin au Parlement Européen !
L'Agence de Santé Britannique a prouvé qu'il n'y a AUCUNE différence de gravité des infections COVID et de mortalité entre les vaccinés et les non-vaccinés !
Ils ne servent à RIEN !
Une enquête pour escroquerie va être ouverte "