" a Fondation Hippocrate est une fondation suisse fondée le 26 août 2020 et domiciliée à 1003 Lausanne. Il est soumis à l'autorité de tutelle suivante : Département fédéral de l'intérieur.
Le profil de la fondation a été mis à jour pour la dernière fois le 22 novembre 2022.
Les données sont mises à jour quotidiennement depuis zefix.ch & shab.ch. Voir la dernière notification SOGC.
But
Les objectifs de la fondation sont les suivants : promouvoir et soutenir la médecine naturelle et intégrative, préventive et de soutien et les thérapies holistiques ; un soutien financier aux projets de recherche scientifique liés à ces thérapies, ainsi qu'aux médecins et acteurs qui adoptent et défendent ce type d'approche thérapeutique (voir acte fondateur pour l'objet complet).
La Fondation Hippocrate est une fondation au sens des articles 80 à 88 du Code civil suisse (ZGB). Elle a été inscrite au registre du commerce pour la première fois le 26 août 2020. Selon le registre du commerce, le domicile est à 1003 Lausanne à l'adresse suivante : Place Saint-François 1. La correspondance se fait en français.
En raison de l'objet de la fondation, la Fondation Hippocrate est à qualifier de fondation d'utilité publique du type « fondations ». Il est placé sous la tutelle de l'autorité de tutelle : Département fédéral de l'intérieur.
La dernière modification du profil de la fondation a été enregistrée le 22 novembre 2022 - la dernière notification de la Feuille officielle suisse du commerce ayant été reçue le 22 octobre 2020. "
" Mon royaume pour un smartphone — (Philippe Boyer, Mon royaume pour un smartphone sur LaTribune.fr. Mis en ligne le 19 janvier 2017, consulté le 28 février 2017)
Quelle recette me proposez-vous ? Une recette à tout prix pour obturer l’angoisse de notre trop fréquente inefficacité thérapeutique ! « Mon royaume pour un cheval ! » « Tout Freud pour une recette » ! — (Jean Laplanche, Nouveaux fondements pour la psychanalyse, PUF, 2008, page 13)
Richard III de William Shakespeare, où le roi perd son cheval sur le champ de bataille et en demande un autre contre toutes ses possessions afin de tuer son dernier ennemi : « Un cheval ! Un cheval ! Mon royaume pour un cheval ! » (Acte V, scène IV). "
" Quand les mots perdent leur sens, les royaumes deviennent ingouvernables "
" "Quand les mots perdent leur sens, les royaumes deviennent ingouvernables" - Confucius
Ça doit être l’âge, mais de plus en plus souvent j’ai de grands moments de lassitude (GML).
Pourquoi ?
Parce que les gens beaucoup plus jeunes que moi (il y en a peu de plus vieux, et de moins en moins) écrivent comme des cochons et ne respectent même plus ce que, de mon temps, on appelait la structure logique d’un argument. Je m’explique. Où que j’aille, quoi que je lise, que je regarde ou que j’écoute, j’entends que le libéralisme, le néolibéralisme, le capitalisme, le libre-échange, la recherche du profit, … ont amené le monde à la catastrophe et que nous allons tous mourir bientôt grillés, noyés, affamés, assassinés ou que sais-je encore.Très curieusement, tous ces mots sont utilisés de façon interchangeable.
Les minus habens qui défendent ces idées ne font en effet aucune différence entre libéralisme, capitalisme, liberté des prix, droit de propriété etc…
Pour eux, c’est bonnet blanc et blanc bonnet.
Et donc, l’objet de leur attaque n’est pas défini clairement.
On sait qu’ils sont contre, mais on ne sait pas très bien contre quoi exactement puisqu’ils n’ont pas défini leur vocabulaire.
Ensuite, et comme le faisait remarquer Revel , ils attaquent toujours le monde réel, en s’appuyant non pas sur une autre déclinaison de la réalité, mais sur leur conte de fée favori du moment, Millénarisme, Fascisme, Nazisme, Thératie, Communisme, Écologie, Mondialisme…
C’est-àire qu’ils ne comparent pas la réalité à une autre réalité, mais la réalité à un rêve, pour conclure triomphalement que le rêve est supérieur à la réalité.
En toute honnêteté, on ne peut pas leur en vouloir puisque la bonne méthode « scientifique » n’a été définie que très récemment, par Aristote, il y a seulement 2400 ans.
Et voici cette méthode, qui n’a jamais changé.
Commencer par définir le problème, c’est-àire le nommer pour en comprendre les causes, proposer une solution, et là nous passons dans le domaine pratique, vérifier si ça marche, nous restons dans le pratique. Enfin, abandonner cette solution si la situation empire, nous revenons dans la prise de décision.
Or les gens qui maudissent les solutions qui ont marché depuis trois siècles font exactement le contraire (Voir les analyses de Thomas Sowell à ce sujet). "
" Chaque matin, la presse nous apporte son lot de nouvelles monstrueuses. La mort et la souffrance d'un côté, la tyrannie et la corruption de l'Autre. Volontairement ou non, les hommes choisissent presque toujours le pire. Et il faudrait garder son sang-froid ; accepter avec philosophie l'amoncellement de l'horreur quotidienne et l'encerclement de la sottise ! Les occasions encore des optimistes glorifier la bonté du monde. Dans le détail, le monde n'est d'ailleurs pas si moche : c'est la vue d'ensemble qui gâte tout. S'énerver, dira-t-on, la belle affaire...La culture de l'énervement est, en effet, un programme un peu court pour diriger une existence. Ce n'est pas en tapant du poing sur la table ou sur le pif du voisin que l'on risque de s'ouvrir une voie vers le bonheur. Il ne faudrait pas croire que l'auteur soit inconscient au point d'ériger la tension nerveuse en principe positif de vie. Pourtant, il ne peut se défendre contre l'impression de tenir là quelque chose d'intéressant. Héraclite disait déjà que tout advient par discorde. En tant que posture éthique, l'énervement pourrait avoir sa place parmi les attitudes recommandables. Dans ce livre, Georges Picard énonce quelques-uns des faits majeurs ou mineurs qui provoquent chez lui la révolte ou le ricanement agacé : l'aliénation du travail salarié subi, la toute-puissance des technoscientistes et des économistes, le fanatisme du sport patriotique, l'obnubilation télévisuelle, l'arrogance intellectuelle et , par dessus tout, l'irrésistible penchant humain pour le malheur. L'énervement , au fond, une façon d'exposer, par le biais de l'humeur, une sorte de philosophie réactive de l'existence qui s'achève quand même sur un sourire. "
Qui aurait prophétisé, il y a moins de trente ans, la « droitisation » économique des gauches et la « gauchisation » culturelle des droites ? Qui aurait prédit le collapsus du « Nouvel ordre mondial » et le développement de courants transversaux, anti-oligarchiques et populistes ?
Devant cette évolution rapide et inattendue, activée par la crise financière, les vagues migratoires et les attentats islamistes, la plupart des acteurs et observateurs politiques réagissent en gardiens jaloux de la pensée unique. Mais le mur se lézarde : l’homme moderne se révolte contre l’uniformisation qui l’enchaîne. La division droite / gauche, présentée comme « l’horizon indépassable de la pensée démocratique », apparaît pour ce qu’elle est : un mythe incapacitant destiné à brider la résistance populaire, une mystification antidémocratique dont l’effet est de perpétuer la rupture peuple / élite. Un nouveau clivage politique, désormais tangible, oppose les partisans de l’enracinement aux adeptes du mondialisme.
Cette Histoire des idées et des valeurs non conformistes du XIXe au XXIe siècle est une introduction aux courants de pensée qui luttent contre l’homogénéisation consumériste, le multiculturalisme et la gouvernance globale au nom de la diversité culturelle, de la souveraineté populaire et du bien commun. Elle dévoile une histoire méconnue, caricaturée et refoulée. "
" Lutter contre le Terrorisme Intellectuel | avec André Bercoff "
" Le Terrorisme Intellectuel ou "Tyrannie Parlière" selon Montaigne s'est massivement intensifié dans le monde idental depuis la fin de la Guerre Froide, et en particulier depuis deux décennies. Diffamation, aggression, harcèlement, dénigrement, insultes, tous les coups sont permis pour une presse-voyou qui, bien qu'encore subventionnée, est devenue d'autant plus agressive qu'elle a perdu ses lecteurs par dizaines de milliers. André Bercoff, qui a personnellement connu toutes les évolutions de la presse depuis les année 1960 jusqu'à aujourd'hui, nous permet de prendre un peu de recul sur cet effondrement moral et intellectuel. "