" La police nazie allemande arrête un garçon de 6 ans pour avoir brandi un drapeau palestinien ! "
9 juin 2024
" Décidément l’Allemagne tient à se positionner systématiquement du mauvais côté de l’histoire puisqu’après avoir génocidé les juifs d’Europe en 39-45, pour se faire pardonner, elle se rend complice du génocide du peuple palestinien en 2024 ! On peut remarquer également à quel point un policier peut être dangereux lorsqu’il obéit à n’importe quel ordre de sa hiérarchie, il est capable d’arrêter un enfant de 6 ans, ce qui est en soi une anomalie, une dérive d’une rare gravité. "
" Les Français méritent de connaître la gravité de la situation qui frappe le pays "
VIDÉO
" Une tentation est forte aujourd’hui : mettre la tête dans le sable et rêver d’un avenir où la dette se rembourserait sans effort, comme par magie. Il suffit d’écouter les discours politiques depuis plusieurs mois pour comprendre que certains Français croient encore au père Noël : à de l’argent caché, dont on connaît la rengaine (les prétendues aides aux entreprises, les dividendes, la fraude fiscale, la fraude sociale, etc.), et à des solutions simples pour rétablir la situation. Sauf que… l’ère de la croyance naïve selon laquellela dépense publique crée de la croissance touche à sa fin. Quelle est l’ampleur de la tragédie ? Je vous la décris aujourd’hui.
Peu de Français ont conscience de la gravité de la situation financière du pays. Cette gravité n’est pas seulement une affaire de “volume” de dettes. Elle tient surtout à l’incapacité du gouvernement à la maîtriser, à l’approche de turbulences politiques qui risquent de prendre un mauvais tour.
Pour mémoire, voici l’évolution de la dette de la France depuis le départ du général De Gaulle : "
" Les leçons de la dissolution, avec Pierre-Yves Rougeyron "
" Dimanche 9 juin, dans le sillage de l'annonce des résultats aux élections européennes, Emmanuel Macron annonce la dissolution de l'Assemblée nationale. Et maintenant ? Le chaos ? La recomposition ? Comment interpréter la décision du chef de l'État ? Le Rassemblement national, grand vainqueur du scrutin, est-il en état de gouverner ? Autant de questions auxquelles la cacophonie médiatique du moment ne semble pas en mesure d'apporter une réponse nette. Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote, est notre invité pour y voir un peu plus clair. "
" Reste-t-il des arguments valables en faveur de l’UE ? (Emploi, énergie, alimentation, sport…) "
" A l&rsquocasion de la Fête de l’Europe du 9 mai, nos ministres Eurolâtres avaient publiés des encarts à la gloire des bienfaits de l’Union Européenne. En ces temps d’élection européenne, c’est le moment idéal pour faire le bilan des promesses et des arguments en faveur de l’UE pour voir s’il en reste encore un de valable. "
" Dans le monde des affaires, il est courant d'enquêter sur son partenaire contractuel. Au vu du traité de l'OMS sur les pandémies, c'est précisément ce qui semble avoir été complètement "oublié". Nos représentants de l'État se mettent maintenant à la table des négociations avec cette organisation qui cherche ouvertement à légaliser la pédophilie et à dresser nos enfants pour cela. "
" On commence par le sort si incertain du prochain ICBM américaniste, pourtant essentiel pour la force nucléaire stratégique de cette puissance. On poursuit par d’autres exemples, couronnées par la somptueuse cerise sur le gâteau du technologisme qu’est le F-35. La question, dont la réponse va de soi, est de savoir si les USA sont capables aujourd’hui d’intégrer le technologisme dans leurs armements. La question (annexe (même réponse) est de se demander bien entendu si cette chute du technologisme n’est pas celle de notre-civilisation.
Le programme LGM-35 ‘Sentinel’, le “nouvel” ICBM (missiles stratégique nucléaire) chargé de remplacer les 400 ‘Minuteman III’ qui sont proches des 60 ans d’existence opérationnelle et forment l’un des trois composants de la triade stratégiques US, est destiné à devenir une vedette de l’actualité catastrophique du Pentagone, – peut-être pour des décennies, si on lui prête vie tout ce temps. Le ‘Sentinel’ est passé pour un examen devant une commission du Congrès formée spécialement pour suivre son développement, et les constats sont évidemment catastrophiques. Mais d’abord, il y a le constat de l’inefficience et l’incapacité du Congrès d’avoir vu venir la catastrophe et de s’en être précupée.
« “Nous voulons que le Congrès fasse son travail, mais les faits sont clairs : il n'a pas fait son travail dans le passé et ne semble pas prêt aujourd'hui à tenir le Pentagone pour responsable et à poser les questions difficiles”, a déclaré à la presse en début de semaine le député John Garamendi, coprésident du groupe de travail sur les armes nucléaires et le contrôle des armements. »
Nous avons déjà parlé récemment de la catastrophe-‘Sentinel’ à venir, et même déjà il apparaissait qu’on en resterait longtemps au constat de la catastrophe sans que le programme avance vraiment, – si même il survit. Dieu sait que son importance est considérable puisqu’il concerne la force de combat suprême de la sécurité des Etats-Unis
Comme d’habitude, la catastrophe se décline essentiellement en trois domaines : le prix et les délais, avec en supplément la question des capacités opérationnelles.
• Le prix : l’ensemble (missiles + systèmes de contrôle et rénovation des silos) était programmé à 62,3 $milliards en 2015. Il a été attribué à Northrop Grumman en 2020, pour un budget grimpé à 96 $milliards. Actuellement, il est évalué à 131 $milliards, soit plus du double de l’estimation originale il y a 10 ans.
• Les retards ne sont pas fixés tant le désordre est grand. Pour l’instant, on en est à la “découverte“ de l’absence de chaînes d’approvisionnement et de l’absence de main d’œuvre qualifiée. Rien n’est fait et les problèmes de ce “rien” s’accumulent déjà.
• C’est-àire que nous entrons dans le domaine que nous citions en janvier 2024, citant le secrétaire adjoint de l'US Air Force chargé des acquisitions, Andrew Hunter, qui qualifiait de “drôle” un des aspects du programme, avec le mot ‘funny’ (‘comique’) plutôt que ‘phoney’ (‘étrange’), – en d’autres mots, “marrant” parce qu’on ne sait pas où l’on va et qu’on ne sait plus faire...
» “Ce qui est drôle (!) avec les programmes d’une-fois-par-siècle, c’est qu’il y a beaucoup de choses qui n’ont pas été appréciées. C’est comme si nous le faisions pour la première fois... »
Ces conditions rocambolesques ont déjà fait passer le programme bien au-dessus de la limite de la loi Nunn-McCurdy de 1982 qui prévoit qu’un programme certifié qui dépasse de 25% son estimation de départ doit être réexaminé et re-certifié. Nul ne doute qu’Austin, suivant les instructions de la bureaucratie et du complexe industriel, s’exécutera et re-certifiera le programme le 9 juillet prochain malgré un dépassement de plus de 100%. On ne peut se priver d’un programme si ‘funny’, dont personne n&rsquoe avancer la date de mise en service (avant 2050 ? Après 2060 ? Si les États-Unis existent encore...). Quelques solitaires rechignent, on se demande bien pourquoi... "
" Gros scandale en France : 48 heures après sa victoire, Bardella recule déjà sur l’abrogation de la réforme des retraites "
12 juin 2024
" Jordan Bardella face aux réalités du pouvoir. 48 heures après sa victoire aux élections européennes, le candidat du Rassemblement National vient de découvrir la complexité de la réalité du pouvoir. Et ses électeurs risquent d’en payer les frais car, à peine sacré, il rétropédale déjà sur la cruciale question de la réforme des retraites.
Sur ce sujet scabreux, il faut rappeler que le nouveau chouchou du Rassemblement National a toujours été clair. Il prônait ouvertement une abrogation de la réforme des retraites. Mais ça, c’était avant sa victoire. Maintenant que son accession à Matignon semble quasi certaine, il ne se gêne pas de produire un autre son de cloche.
En effet, interrogé par Yves Calvi sur l’abrogation de cette réforme, il entretient le flou : « nus verrons », rétorque Bardella. Une volte-face qui n’est pas passée inaperçue et qui a provoqué une vive polémique sur les réseaux sociaux ces dernières heures.
Spectaculaire rétropédalage de Bardella sur les retraites ce matin @RTLFrance. Soudain, il n’est plus urgent du tout de « défaire » la réforme comme le promettait pourtant Marine Le Pen en 2023, dans le feu du combat parlementaire.
" Gros scandale en France : 48 heures après sa victoire, Bardella recule déjà sur l’abrogation de la réforme des retraites "
12 juin 2024
" Jordan Bardella face aux réalités du pouvoir. 48 heures après sa victoire aux élections européennes, le candidat du Rassemblement National vient de découvrir la complexité de la réalité du pouvoir. Et ses électeurs risquent d’en payer les frais car, à peine sacré, il rétropédale déjà sur la cruciale question de la réforme des retraites.
Sur ce sujet scabreux, il faut rappeler que le nouveau chouchou du Rassemblement National a toujours été clair. Il prônait ouvertement une abrogation de la réforme des retraites. Mais ça, c’était avant sa victoire. Maintenant que son accession à Matignon semble quasi certaine, il ne se gêne pas de produire un autre son de cloche.
En effet, interrogé par Yves Calvi sur l’abrogation de cette réforme, il entretient le flou : « nus verrons », rétorque Bardella. Une volte-face qui n’est pas passée inaperçue et qui a provoqué une vive polémique sur les réseaux sociaux ces dernières heures.
Spectaculaire rétropédalage de Bardella sur les retraites ce matin @RTLFrance. Soudain, il n’est plus urgent du tout de « défaire » la réforme comme le promettait pourtant Marine Le Pen en 2023, dans le feu du combat parlementaire.
" Bardella a gagné parce que le pouvoir CENTRAL l’a voulu : ce n’est même pas un piège, c’est une porte ouverte. Il est payé comme Joker-Trump pour se ridiculiser, préparer l’arrivée à l’abattoir (Hayer aura eu moins de télé que lui…). Les rats sinon se bouffent entre eux à droite avant de quitter le navire (LR, Reconquête…). Problème pour nous : Macron gagnera la présidentielle en 2027 mais sera-t-elle compatible avec le super-Etat européen qui prépare camp de concentration et dépeuplement ? L’extrême-gauche (90% de la jeunesse depuis 1830) prépare l’assassinat du pauvre Jordan en braillant dans les rues de Paris sinon. Mais ne critiquons pas les froncés : les teutons ont voté pire (démocratie crétine-chrétienne). Attentat prévisible aux JO de Paris : guerre et prêts (de Goldman Sachs, Rothschild et BlackRock). On répète pour nos étourneaux : le citoyen vote pour son boucher, pas le mouton (Mirbeau). Tombouctou à la nage ? "