" Discopathie : comment éviter d’en souffrir au travail ? "
Publié le 27 mai 2024
" La discopathie se définit par l’usure des disques intervertébraux de la colonne vertébrale ou du rachis*. Si elle peut rester longtemps asymptomatique, cette maladie parfois professionnelle peut se manifester par des douleurs et une perte de mobilité.
Comme leur nom l’indique, les disques intervertébraux séparent chacune des vertèbres. Constitués de 85 % d’eau et d’un anneau périphérique, ils s’usent et se déshydratent en cas de discopathie. Au point que les vertèbres concernées finissent par entrer en contact (ce qui provoque des douleurs) et à terme, se souder. Il existe différentes formes de discopathie, relatives à l’état de déshydratation du disque et la zone des vertèbres touchée. "
" Hunter Biden, fils du président américain Joe Biden, reconnu coupable de détention illégale d’arme
Hunter Biden, avocat et homme d’affaires de 54 ans reconverti en artiste, comparaissait depuis le 3 juin pour avoir menti sur sa consommation de drogues lorsqu’il avait acheté en 2018 un revolver de type Colt Cobra. "
" Macron de plus en plus seul....
L'Allemagne n'a pas l'intention d'envoyer des formateurs pour former l'armée ukrainienne sur le territoire ukrainien - Scholz "
" 257. "Die Partei hat immer recht" (1950) / "Le parti a toujours raison"
Au sortir de la seconde guerre mondiale, l'Allemagne est provisoirement découpée en 4 zones d'occupation par les vainqueurs qui entendent dénazifier le pays. Dans leur secteur, les Soviétiques imposent très vite leur modèle politique.
A l'issue du blocus de Berlin voulu par Staline, deux États allemands distincts naissent.
Dans ce contexte de guerre froide, la République démocratique allemande (RDA) devient donc dès sa création le 7 octobre 1949, une "démocratie populaire" qui s'enracine dans le bloc de l'Est. Satellisée par l'URSS, l'Allemagne de l'Est doit intégrer les alliances économique (CAEM ou COMECON en 1950) et militaire (le pacte de Varsovie en 1955) imposées par le grand frère soviétique.
* Les SED parti-État et la Stasi.
Dès l'origine, l'emprise du SED sur la vie politique est-allemande est totale. Sous la pression de l'administration militaire soviétique, le parti social-démocrate allemand (SPD) et le parti communiste allemand (KPD) fusionnent en avril 1946 pour devenir le parti socialiste unifié (SED = le parti communiste est-allemand). Les différentes formations politiques rassemblées dans un "bloc anti-fasciste" doivent désormais constituer une liste commune de candidats qui les placent en fait sous le contrôle du SED, dont la prééminence est encore renforcée par le trucage des élections. "Instrument du prolétariat", le parti s'aligne sur l'idéologie marxiste-léniniste. Son comité central, organe de direction du SED, élit le bureau politique à l'origine des décisions importantes. Walter Ubricht, le premier secrétaire du parti, dirige le comité central jusqu'en 1971. Erich Honeker lui succède et prend le titre de Secrétaire général.
Le pluralisme de façade ne remet nullement en cause le rôle de parti unique du SED qui étend ses ramifications dans toute la RDA et crée de nombreuses organisations de masse qui constituent autant de courroies de transmission du parti. Le SED et l'Etat ne font qu'un.
Les consultations électorales ne sont que des mascarades dans la mesure où les électeurs se voit présenter une liste unique. L'élection, purement formelle, se résume au pliage du bulletin de vote avant son introduction dans l'urne. Pour autant, s'abstenir de voter revient à voter contre la liste unique et donc le socialisme. L'abstention s'avère donc marginale.
Le SED, parti de masse, est en réalité un parti de cadres dans lequel les travailleurs sont sous-représentés. Le cumul des fonctions de dirigeants vieillissants devient une règle. Toute opposition est muselée par le ministère de la Sécurité d’État, plus connu sous le nom de Stasi. Crée en 1950, il représente "le bouclier et l'épée du parti" (« Schild und Schwert der Partei »). Les milliers d'agents officiels ou officieux (1) recrutés par la Stasi épient et surveillent la population est-allemande afin de neutraliser toute opposition. Les personnes jugées suspectes font l'objet d'une surveillance étroite. Un gigantesque système de fichage de la société, en particulier des milieux sensibles tels que les Églises, les universités, mais aussi les cellules locales du parti, se met en place. "
" Dans leur ouvrage Les Gardiens de la raison, deux journalistes du Monde et un chercheur mettent en lumière les agissements d’une galaxie d’individus et d’organisations qui - sous couvert de défendre la science - défendent surtout les intérêts de grands groupes industriels. "
19 octobre 2020
" Au journal Le Monde, Stéphane Foucart est un journaliste scientifique, spécialisé en science de l'environnement et multi récompensé pour ses différentes enquêtes. Mais sur Twitter, il est la bête noire de plusieurs centaines de comptes. Mobilisés contre lui, on trouve un étrange mélange d'ingénieurs, de vulgarisateurs scientifiques, de journalistes très suivis, de lobbyistes, d'agriculteurs, de youtubeurs, de zététiciens et de libertariens. Parmi eux, des personnalités comme le futurologue anti-Greta Thunberg Laurent Alexandre, le présentateur de télé Mac Lesggy, ou les journalistes Géraldine Woessner et Emmanuelle Ducros. On compte aussi des associations comme l’AFIS (Association Française pour l'Information Scientifique). Tous l’invectivent à la moindre occasion en mettant en doute ses papiers, au nom d’une véracité scientifique dont ils seraient les véritables gardiens.
Journalistes d'investigation et anti-vax, même combat ?
Ce camp qui se dit du côté de la science est justement le sujet principal du livre Les Gardiens de la Raison, écrit par Stéphane Foucart, Stéphane Horel, journaliste au Monde spécialisé sur les lobbies et Sylvain Laurens, sociologue et maître de conférences à l'EHESS. Touffu et très documenté, l’ouvrage revient sur la manière dont quelques twittos se sont emparés des débats scientifiques sur les réseaux sociaux. Du glyphosate à la 5G en passant par le nucléaire ou la vaccination, ils sont sur tous les fronts.
Leur objectif : conjurer ceux qu’ils considèrent comme des promoteurs de fake news, rétablir « la vérité » à coup de fact checking et surtout opposer de soi-disants faits scientifiques a un camps jugé hystérique et bien trop porté sur le principe de précaution. Leurs méthodes ? Mettre dans le même panier des journalistes d’investigation, des ONG ou des parti écologiste et des mouvements anti-vax, anti-5G ou des défenseurs de l’homéathie. Très actifs sur Twitter, ils se font passer pour les combattants de la vraie et bonne science tout en répétant ad nauseam, parfois même sans le savoir, des éléments de langage mensongers issus de cabinets de lobbying. Décryptage d’une guerre culturelle et politique qui ne dit pas son nom. "
" «Le vrai journaliste doit être un complotiste» "
Del Bigtree, créateur du grand site alternatif The Highwire, redoute le projet de l’OMS de combattre la «désinformation». Notre interview. "
6 juin 2024
" Ici à Genève, une bureaucratie mondiale veut contrôler la chose la plus importante : notre corps. Notre souveraineté personnelle sur notre vie. Pourquoi ça ne fait pas la une de tous les médias ?!»
Del Matthew Bigtree est un bouillant guerrier de l’information. Producteur de TV et de cinéma, il a notamment produit en 2016 le film Vaxxed, qui établissait un lien entre les vaccinations infantiles et l’explosion des cas d’autisme depuis l’an 2000. Un docu d’emblée taxé de complotiste par l’establishment politique et médical.
Il lance ensuite The Highwire, un média alternatif qui contribuera à révéler les dessous de la crise Covid, alors que les grands médias se contentaient de relayer les informations officielles. Un site pionnier qui jouit d’une vaste audience aux Etats-Unis et dans le monde – 5 à 7 millions de visites par mois.
Par ailleurs, Del Bigtree a été nommé directeur de communication de la campagne présidentielle de Robert Kennedy Jr.
Un vrai journaliste doit contester les pouvoirs !
Le message essentiel qu’il développe dans cette interview: «Notre job de journaliste, c’est d’être complotiste! De poser des questions gênantes. Et non pas de faire les PR [relations publiques] des pouvoirs politiques et économiques.»
Del Bigtree avait affirmé dès 2020 que le gouvernement étasunien et l’OMS conspiraient pour imposer un produit dangereux au monde entier… “Et ils l’ont fait! Ce n’est plus une théorie, on a maintenant toutes les preuves, leurs emails, tout sur leurs essais illégaux pour fabriquer des virus en Chine…”
«A nous de chercher à savoir»
Mais aujourd’hui, les gens doivent comprendre que les médias en qui ils avaient confiance ne donnent plus de nouvelles fiables. «Le pouvoir est en nous! C’est à nous de faire nos recherches, de dire non aux masques inutiles, d’utiliser notre voix tant qu’on l’a encore… »
Qui désinforme ?
Car en effet, un point clé des négociations à l’OMS, c’est la lutte contre «l’infodémie». C’est-àire la «désinformation» ou «mal-information» des opposants à la doxa sanitaire, soit “toutes les infos vraies qui sapent la croyance des gens dans le système gouvernemental!”.
Avec une conséquence redoutable selon Del Bigtree : «Ils pourraient, grâce à l’OMS, rendre illégale toute information libre et critique. Ce serait la fin du monde que nous connaissons. Vous et moi, nous irions en prison, traités comme [les lanceurs d’alerte] Edward Snowden et Julian Assange.»
A voir aussi: le discours de Del Bigtree sur la Place des Nations
Son site : https://thehighwire.com/
Canal Telegram : The HighWireOfficial "
" “C’est bien un coup d’Etat préparé de longue date”, décryptage de “La fabrique du désastre” avec Jean-Dominique Michel "
11 juin 2024
" En 2024, Jean-Dominique Michel, anthropologue de la Santé aura pris le temps d’écrire non pas un mais deux livres. Après “Autopsie d’un désastre” (aux éditions Résurgence) publié en début d’année, qui fournissait une analyse complète de la crise sanitaire à partir de son expertise, Jean-Dominique Michel publie “La Fabrique du désastre”. Un livre en 10 chapitres qui passe en revue tous les aspects du coup d'État mondial avec les divers acteurs comme l’industrie pharmaceutique, les médias, les politiques.
Alors que vient de sortir le second rapport provisoire de l&rsquoECST (Office pour l’évaluation des choix scientifiques et technologiques), attendu depuis juin 2022, qui s’apparente plus à un rapport propagandiste justifiant les choix du gouvernement dans la crise sanitaire, l’ouvrage de Jean-Dominique Michel s’attache à fournir une grille de lecture des plus objectives. Le monde à l’envers puisque l’on pourrait s’attendre à ce que le document de l&rsquoECST réalisé à l’aide de fonds publics par des parlementaires fasse office de rapport indépendant, c’est bien le livre de Jean-Dominique Michel qui apporte le recul et l’indépendance nécessaire afin que le lecteur puisse être informé objectivement.
Dans cet entretien essentiel, Jean-Dominique Michel s’attache à montrer le blanchiment de fausse information ainsi que la pollution des décisions publiques. Ce livre sort à point nommé alors qu’Antony Fauci est passé au grill dans les auditions sur la gestion de la crise sanitaire aux Etats-Unis. '