fouthese

Quo Vadis ?

il y a 2 ans
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fouthese il y a 1 an

" Je viens ici vous repasser un extrait d'une importance capitale dans la compréhension de ce qui se joue:

Fabien BOUGLE, expert en politique énergétique, nous délivre d'énormes révélations sur lobbying énergétique et implique notamment Macron et Bill Gates.

A voir absolument. "

VIDÉO

9:10 AM · 25 juil. 2023

https://twitter.com/Red_Pill_Report/status/1683736542894776321?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1683736542894776321%7Ctwgr%5E9aab83e33ca3fc1bc7197801fb55b48df4f6d65a%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=http%3A%2F%2Fechelledejacob.blogspot.com%2F

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fouthese il y a 1 an

" Néandertal était aussi un artiste "

26.06.2023,

" Des gravures découvertes dans une grotte en Touraine seraient l’œuvre de néandertaliens. Ceci confirme que notre lointain cousin n’était cognitivement pas inférieur aux humains modernes de son époque…

Un être rustre et stupide. Une version primitive d’Homo sapiens, capable uniquement d’assurer sa survie matérielle et dénuée de tout attrait pour les activités de l’esprit, comme l’art… Voilà le cliché qui a longtemps traîné dans les manuels de Préhistoire, concernant Néandertal (Homo neanderthalensis), une espèce désormais éteinte, qui a vécu en Europe jusqu’à il y a environ 40 000 ans. Or une minutieuse analyse de gravures découvertes dans une grotte en Touraine a permis d’attribuer « sans ambiguïté » ces productions à ce lointain cousin1 ! "

La suite de l'article ici:

https://lejournal.cnrs.fr/articles/neandertal-etait-aussi-un-artiste?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

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fouthese il y a 1 an

Requiem

.
.

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fouthese il y a 1 an

" Dolores O'Riordan & Sinfonia Varsovia - Zombie (orch. & cond. Adam Sztaba) "



Grandiose ! (f)

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fouthese il y a 1 an

" « L’ antisystème » : de la formule à la posture médiatique "

26 Jan, 2023

" Résumé

Partant du constat que le terme « antisystème » circule dans les sphères médiatiques et académiques sans pour autant faire l’objet d’une conceptualisation précise, cet article propose quelques pistes pour déconstruire ce terme flou et difficile à saisir. Il s’agit de cerner dans un premier temps les diverses définitions de l’« antisystème » et des études qui lui ont été dédiées, à l’appui d’une enquête sémantique, étymologique et scientifique du terme. Et ce, avant de proposer dans une seconde étape une analyse détaillée de ses usages médiatiques au sein de la presse nationale française, permettant de faire émerger la diversité et les caractéristiques des acteurs se revendiquant ou étant qualifiés d’« antisystème ».

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" Introduction

« Une spirale de défiance s’est installée dans l’o.pinion publique. Elle sécrète un état d’esprit : le positionnement anti-système. Celui-ci est difficile à cerner à travers des statistiques ou des enquêtes, mais il rampe de manière souterraine et de plus en plus d’individus, des politiques de l’extrême droite et de l’extrême gauche, mais aussi des anonymes, s’en réclament » (Dagnaud, 2014), écrivait la sociologue Monique Dagnaud sur le site Slate.fr. Ce « positionnement antisystème », qui « rampe » et semble se dérober à toute conceptualisation, est ici au cœur de notre propos. Depuis une dizaine d’années, le terme « antisystème »1 circule de plus en plus dans notre environnement médiatique, s’accrochant à des personnalités variées telles que Marine Le Pen, Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon, Éric Zemmour, Alain Soral, Dieudonné M’Bala M’Bala, ou encore Didier Raoult. Nous proposons ainsi, dans le cadre de cet article, de lever le voile sur le flou discursif qui entoure ce terme en interrogeant sa place au sein des discours circulants. Notre objectif est de préciser les contours des positionnements « antisystème » et de comprendre ce qui permet à des personnalités, des partis et des mouvements très éloignés sur les plans idéologique et politique, de se définir et d’être définis par un même terme.

Car le terme « antisystème » est souvent utilisé et pourtant rarement questionné dans la sphère médiatique mais également dans la sphère académique. Or, l’effort de théorisation relève d’une nécessité à la fois scientifique, éthique et politique : loin d’être un « allant de soi », l’« antisystème » implique une déconstruction permettant d’éviter le flou définitionnel qui l’entoure et de faire ainsi le jeu de sa circulation médiatique et du discours d’escorte des acteurs dont nous allons analyser les positionnements. Cette déconstruction passe par l’étude des acceptions du terme et de leur actualisation ou non actualisation dans les discours médiatiques, selon les personnalités et selon les contextes. Le positionnement de recherche appelle ainsi un propos plutôt théorique conjugué à une approche inductive. Car l’« antisystème » ne se laisse pas immédiatement saisir comme objet concret (Davallon, 2004) : il a cette particularité d’être un objet à la fois visqueux2 en ce qu’il se colle et s’attache à un individu, un mouvement ou un parti par lequel il s’incarne, et volatil en ce qu’on en trouve des manifestations plurielles au sein de différents espaces médiatiques, par le biais de pratiques, de stratégies communicationnelles, de discours, etc. Nous proposons ainsi, à l’image des travaux menés par Yves Jeanneret et Emmanuel Souchier sur la notion d’« usage », « de contribuer à un examen critique de la notion, d’un point de vue particulier dans lequel la prise en compte de la dimension langagière et signifiante de la réalité médiatique intervient comme condition première de définition des pratiques » (Jeanneret, Souchier, 2002, p. 7).

Nous présentons ici les résultats d’une recherche menée sur le long court sur ce que nous avons choisi d’appeler la « posture antisystème ». Nous considérons celle-ci comme une posture médiatique et pas seulement politique. Il s’agit donc de cerner dans un premier temps les diverses définitions de l’« antisystème » et des études qui lui ont été dédiées, à l’appui d’une enquête sémantique, étymologique et scientifique du terme. Et ce, avant de proposer dans une seconde étape une analyse détaillée de ses usages médiatiques au sein de la presse nationale française, permettant de faire émerger la diversité et les caractéristiques politico-médiatiques des acteurs se revendiquant ou étant qualifiés d’« antisystème ». C’est ce cheminement en deux étapes qui permet enfin de poser l’hypothèse de l’existence d’une « posture antisystème », posture médiatique et communicationnelle partagée par des acteurs très divers, et d’en identifier les caractéristiques.

Qu’est-ce que l’« antisystème » ? Les difficultés d’une approche scientifique

Le terme « antisystème » pose problème : composé du préfixe « anti » qui indique une opposition à « la notion désignée par la base »3, et du nom « système », défini comme un « ensemble de méthodes organisées, de pratiques, de procédés destinés à assurer une fonction définie », il échappe à toute tentative de définition. Sa signification est relative au contexte de son emploi : pour comprendre le sens du terme « antisystème », le destinataire doit savoir à quel « système » se réfère le locuteur.

La première définition du terme « antisystème » que nous avons trouvée en français apparaît dans Le Dictionnaire de la langue française d’Émile Littré (XIXe siècle). Dans ce document, il est défini comme le « système financier opposé au système de Law, dit par excellence le Système ». À cette époque, l’« antisystème » se réfère donc au domaine économique et permet de qualifier un système économique alternatif au système monétaire dominant de l’époque.

L’entrée « antisystème » disparaît ensuite des dictionnaires, pour réapparaitre deux siècles plus tard, dans le Larousse 2017 avec la définition suivante : « Adj. Inv et n.: Se dit de quelqu’un, d’un groupe, d’un parti qui s’oppose au système politique en place, avec ses formations légales et leurs élus professionnels : La montée en puissance des candidats antisystème ». Ainsi, l’« antisystème politique » du XXIe siècle n’a plus grand-chose à voir avec l’ « antisystème économique » du XIXe.

Ces deux définitions témoignent de l’instabilité sémantique du terme et de la difficulté à le définir en dehors du cadre qui détermine son contexte d’utilisation. Il existe en effet un grand nombre de « systèmes » qui régissent l’activité politique, économique ou sociale au sein d’une nation ou d’un groupe de pays. Le terme de « système » peut être employé en référence à un système économique4 (libéral, bancaire, capitaliste, fiscal, etc.), ou à un système politique (démocratique, électoral, fé;odal, socialiste, communiste) et social5 (patriarcal, judiciaire, etc.). La signification accordée au terme « antisystème » dépend donc de ce qui sera communément entendu comme étant le « système ».

Nous sommes ainsi en présence d’un terme conjoncturel : parler d’« antisystème » présuppose l’existence d’un « système » identifié et identifiable. De manière à avoir une vision théorique des différentes formes que peut revêtir l’« antisystème », nous avons choisi d’observer à présent la manière dont les sciences sociales ont abordé cette question.

De façon surprenante, nous n’avons trouvé aucune étude proposant une conceptualisation de l’« antisystème » inscrite dans la discipline des sciences de l’information et de la communication6. Si le terme apparaît dans plusieurs travaux, il n’est jamais questionné en profondeur. Il l’est, en revanche, au sein de travaux en science politique qui proposent de l’étudier dans son rapport avec, d’une part, le pouvoir étatique établi, d’autre part, le fonctionnement du système de partis. Nous verrons néanmoins que l’approche en science politique, si elle tente de poser un cadre théorique à l’étude des partis « antisystème », semble échouer à en faire une catégorie pertinente à l’analyse scientifique des revendications « antisystème » actuelles.

Le politologue italien Giovanni Sartori, dans son étude des systèmes de partis (Sartori, 1976 ; Sani et Sartori, 1983), utilise le terme « anti system » pour qualifier les partis qui ne reconnaissent pas la légitimité du pouvoir en place (Abedi, 2003). La notion de « parti antisystème » a ainsi été définie par le chercheur italien en 1976 comme un parti qui « mine la légitimité du régime contre lequel il se dresse »7. À cette époque, le terme apparait également chez d’autres auteurs utilisant alors la catégorie « antisystème » pour décrire certains types de partis qui ont pour objectif de renverser le régime démocratique et les valeurs qui lui sont liées, tels que les partis fascistes, nazis et communistes.

Ilana Kaufman, dans une étude des partis arabo-palestiniens en Israël, dresse une revue de littérature des travaux consacrés aux « partis anti-système ». Elle souligne ainsi que, depuis les premières études réalisées par Giovanni Sartori dans les années soixante-dix, les critères de l’« anti-systèmité » d’un parti ont évolué. « La rupture conceptuelle au sein de la recherche, nous dit-elle, a été de concevoir l’“anti systémité ” comme un attribut relationnel » (Kaufman, 2011 : 29). En effet, cette dernière dépend du point de vue de chacun des acteurs, et non plus d’une opposition stricte au régime démocratique :

« [Pour] l’État ou les partis en compétition pour le pouvoir – certains partis sont vus comme subversifs et anti-système ; du point de vue des partis en question, les tentatives visant à contrecarrer leurs actions sont appréhendées comme des moyens illégitimes et antilibéraux dont le but est de réduire au silence une opposition et une participation politique légitimes. » (Kaufman, 2011, p. 29)

Cette idée de « rupture conceptuelle » se retrouve dans les travaux de Giovanni Capoccia ; s’inspirant de la définition de Stratori, il propose une distinction entre l’« antisystémie relationnelle » et l’« antisystémie idéologique » (anti-démocratique) d’un parti (Capoccia, 2002, p. 10 11). L’enjeu principal de cette distinction est, pour lui, de clarifier l’emploi de la qualification « anti-système » au sein de la littérature scientifique. Un parti « anti-système » n’aura pas les mêmes caractéristiques en fonction du cadre au sein duquel il est étudié. Sa signification change selon que l’on se place dans la perspective d’une analyse des systèmes de parti ou dans celle d’une analyse empirique des aspects plus généraux de la vie des régimes démocratiques :

« L’anti-systémie, en fait, est un concept qui a souffert d’un « étirement » considérable (Sartori, 1970a), notamment en raison de son application indifférenciée dans deux domaines d’analyse distincts : l’étude des systèmes de partis, d’une part et l’analyse empirique des aspects plus larges de la vie des régimes démocratiques, d’autre part. Je soutiens que le concept d’anti-systémicité, appliqué aux partis, fait référence à des réalités différentes se chevauchant partiellement dans les deux domaines. Dans l’analyse du système des partis, le concept s’oriente vers la différence idéologique d’un ou de plusieurs partis dans le système, tandis que dans l’analyse plus générale des régimes démocratiques, la référence principale est le caractère idéologique inhérent au parti ». (Capoccia, 2002, p. 10, notre traduction)

L’auteur rappelle que le concept d’« anti-système » a été utilisé par différents auteurs pour définir des partis ou des groupes divers qui pouvaient aussi bien se caractériser par leurs idéaux non- démocratiques, que par le fait qu’ils étaient plus ou moins « isolés » et marginalisés par les autres acteurs du champ politique. Giovanni Capoccia exprime ainsi le problème conjoncturel que nous avons déjà évoqué en précisant qu’il est nécessaire de définir le cadre d’analyse – c’est-à;-dire de définir le « système » contre lequel s’oppose un parti dit « antisystème » – lorsqu’on étudie ce phénomène en science politique (Capoccia, 2002, p. 19).

Capoccia propose une typologie permettant de cerner au mieux les significations données au terme. Il explique que, dans le cadre de l’analyse des systèmes de parti, « l’antisystème » est « relationnel » dans la mesure où le parti dit « antisystème » l’est vis-à-vis des autres partis qui dominent le champ politique en question. En d’autres termes, lorsqu’il conserve une grande distance envers les autres partis sur le plan idéologique et se caractérise ainsi par une propension à l’isolationnisme. En revanche, dans le cadre d’une analyse de l’idéologie des partis, le « système » se réfère au système démocratique. Dès lors, les partis qui sont qualifiés d’« antisystème » relèvent de ce que le politologue appelle « l’anti-systémie idéologique » : ils ne s’opposent pas uniquement au pouvoir politique en place mais aux valeurs démocratiques.

L’« antisystème idéologique » est donc « anti-démocratique ». Cette conception rejoint les premières théorisations du terme qui permettaient de désigner les partis fascistes ou nazis. Un problème se pose alors à l’utilisation du terme « antisystème ». Selon les approches théoriques, un « parti antisystème » pourra aussi bien, au sein d’un régime démocratique :

s’opposer au système démocratique lui-même,
faire figure de dissidence,
ou avoir un effet polarisant, par rapport aux positions des partis politiques adverses sans pour autant remettre en cause le régime et les valeurs démocratiques.

Ainsi la typologie proposée par Capoccia, qui s’appuie sur l’opposition antisystemness relational / ideological antisystemness, offre la possibilité de clarifier les diverses formes que prennent ces partis politiques sans pour autant proposer une définition stable et constante de l’« antisystème ». Cette étude apporte un éclairage sur les différentes utilisations du syntagme « parti antisystème » au sein de la littérature scientifique et permet de mieux appréhender les diverses approches dans leurs spécificités théoriques et conceptuelles.

Néanmoins, si l’analyse met en avant le fait qu’il n’existe pas une mais plusieurs formes de partis « antisystème », le fait qu’elle s’inscrive strictement dans le cadre de l’analyse du système de partis est regrettable. Cette limitation du cadre de l’analyse – qui aborde l’« antisystème » exclusivement comme une catégorie de partis et non comme une posture politique et médiatique, individuelle ou collective – occulte partiellement la question des pluralités des formes d’« antisystème » et, avec elle, l’analyse de phénomènes sociétaux plus larges. C’est en ce sens qu’une approche communicationnelle de l’« antisystème » est susceptible de renouveler la compréhension de ce terme et de la réalité qu’il désigne. Elle offre la possibilité de ne plus le considérer comme une catégorie politique (dont on a bien vu le manque de pertinence pour désigner des acteurs très différents) ni comme une étiquette transparente, mais comme un processus complexe de mise en scène de soi au travers de discours et de stratégies médiatiques. "

La suite de l'article ici:

https://lesenjeux.univ-grenoble-alpes.fr/2022/varia/04-l-antisysteme-de-la-formule-a-la-posture-mediatique/

Modifié il y a 1 an, le jeudi 27 juillet 2023 à 15:41

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fouthese il y a 1 an

Hibakusha

" Les survivants de la bombe atomique racontent leur histoire
La photographe Haruka Sakaguchi rend hommage aux survivants des bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki il y a près de 80 ans. "

21 juil. 2023

" Quand les États-Unis larguèrent des bombes atomiques sur le Japon en août 1945, la population fut déchiquetée, brûlée et pulvérisée. Des débris et des cendres retombèrent sous forme de chutes radioactives appelées « pluies noires ». La chaleur extrême des explosions déclencha de gigantesques incendies qui poussèrent les rescapés à se réfugier dans les rivières, où beaucoup finirent noyés.

À la fin de l'année, le nombre de victimes d'Hiroshima et de Nagasaki s'élevait à plus de 200 000 morts. Et les choses n’allèrent pas en s’arrangeant : de nombreux survivants succombèrent des suites de l’exposition aux radiations et certains de leurs enfants souffrirent de pathologies liées aux radiations. En japonais, le terme hibakusha désigne les « survivants de la bombe atomique » ; considérant les préjudices durables de l'exposition aux radiations, mieux vaudrait peut-être parler de « victimes de la bombe atomique ». "

PHOTOS

La suite de l'article ici:

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/seconde-guerre-mondiale-hiroshima-nagasaki-les-survivants-de-la-bombe-atomique-racontent-leur-histoire?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

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fouthese il y a 1 an

" Tanneries de peaux humaines pendant la révolution française de 1789 "

VIDÉO

https://odysee.com/@salazar:1/Tanneries-de-peaux-humaines-pendant-la-r%C3%A9volution-fran%C3%A7aise-de-1789:5

La révolution française de 1789 a prétendu faire table rase du passé en éliminant l'ancien monde et tous les royalistes qui s'opposaient à la révolution.
Considérés comme des bêtes et non plus comme des êtres humains, les Vendéens en particulier ont été massacrés et écorchés, leur peau a été utilisée dans des tanneries pour fabriquer des pantalons, des bottes, et mêmes des exemplaires de la constitution de 1793, que l'on peut voir au musée Carnavalet à Paris.
Documentaire original :



https://viveleroy.net/les-tanneries-de-peau-humaine-sous-la-revolution-francaise/

https://parciparla.fr/tanneries-de-peau-humaine-revolution-francaise/

https://www.liberation.fr/culture/2013/07/05/revolution-francaise-sauve-qui-peau_916314


6 mai 2023

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fouthese il y a 1 an

" Éric Sadin. L’ère de l’individu tyran. La fin d’un monde commun. "

" « Notre moi numérique (second corps du sujet) a pris son autonomie, jusqu’à devenir plus tangible que notre moi analogique. »
Bernard E. Harcourt, 2020

« On dit fréquemment la violence “irrationnelle”. Elle ne manque pourtant pas de raisons : elle sait même en trouver de fort bonnes quand elle a envie de se déchaîner. »
René Girard, 1972

Nous le savons : nous sommes les enfants perdus d’un monde déboussolé. Ce n’est pas vraiment nouveau : Machiavel parlait déjà de « l’indétermination des temps » qui « brouillait les consciences ». Ce qui l’est, nouveau, c’est que jamais auparavant n’avaient été déployés autant de moyens capables de modifier la psyché des individus. C’est à cette spécificité de notre époque qu’est consacré le livre (au titre si explicite) présenté ici. Peut-être sa lecture nous aidera-t-elle à mieux comprendre ce que ce monde fait de nous.

Éric Sadin essaie de décrire dans son livre les contours de l’individu de cette première partie du xxie siècle, après s’être appliqué – pendant plus de dix ans – à penser le monde numérique [1]
[1]De La surveillance globale (Flammarion, 2009) à L’intelligence…
. Cet individu, dont il trace le portrait, apparu dans les années 1990, impose « la primauté systématique de soi sur l’ordre commun », tendance caractérisée par « une déliaison continue entre les êtres et l’ensemble commun » déjà présente dans le management des entreprises. Elle se double « d’un écart sans cesse croissant entre cette condition […] marquée par l’expérience de la dépossession et l’illusion de l’autonomie de soi ». Ainsi adviendrait l’avènement de « l’ère de l’individu tyran », « d’une condition civilisationnelle inédite voyant l’abolition progressive de tout soubassement commun pour laisser place à un fourmillement d’êtres épars qui s’estiment dorénavant représenter l’unique source normative de référence » et qui prétendent « occuper de droit une position prépondérante ». Or, « la propension des individus à se concevoir comme des totalités plus ou moins repliées sur leur propre régime de croyances […], si elles étaient amenées à se démultiplier, […] serait en mesure de conduire à des formes d’anomie ». La simple observation témoigne de cette réalité par des rencontres de plus en plus nombreuses d’individus développant des points de vue hors contexte, a-sociologiques, généralisant des idées à partir d’une seule expérience parfois rapportée ou simplement la leur. Leur capacité de distanciation a disparu si elle n’a jamais existé. Dans cette disposition d’esprit, tout apport extérieur en vaut un autre, générant ainsi une tendance au complotisme que les réseaux sociaux démultiplient : les propos de la concierge ou du voisin équivalent à ceux du chercheur appliqué et consciencieux à une époque où l’influence d’un animateur de radio ou de télévision est incomparablement plus grande que celle d’un savant.

3
Éric Sadin va développer, en cinq chapitres, une réflexion autour de cet individu tyran, enfant d’internet et des réseaux sociaux, qui se croit le centre du monde, « persuadé même d’en être l’unique centre ».

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4
Dans la première partie du livre (« Mythes et déboires de l’individualisme libéral »), l’auteur va en décrire la genèse. Au commencement (les références sont Locke, Tocqueville…) était l’idée d’espérance d’un futur meilleur avec plus d’équité, d’égalité jusqu’à la première guerre mondiale qui « a tué l’espoir [2]
[2]G. Mendel, De Faust à Ubu. L’invention de l’individu, La…
», dont l’auteur, curieusement, ne parlera pas [3]
[3]Elle est pourtant un marqueur particulièrement pertinent :…
. Il préférera insister et aller jusqu’à l’après-seconde guerre mondiale à partir de laquelle se construira progressivement l’État social avec, selon lui, comme « axiome décisif », le mérite [4]
[4]« C’est grâce à l’effort individuel qu’une société prospère »…
alors que s’imposait le libéralisme politique comme « vérité incontestable du temps ». Des difficultés existaient bien, mais elles étaient encore un peu perçues comme « transitoires vers la marche flamboyante du progrès et de l’individualisme démocratique » qui, malgré les guerres et Hiroshima, persistait. Viendront les années 1960, courte période d’insouciance durant laquelle vivra « le sentiment d’un équilibre parfait entre la possibilité de vivre selon ses propres désirs et l’édification de sociétés supposées harmonieuses ». Société de loisirs (Dumazedier, 1962), de consommation (Baudrillard, 1972), du spectacle (Debord, 1967), quelle que soit l’appellation, « cet environnement prétendument fondé sur la liberté individuelle et la réalisation de soi ne faisait que conduire à un enrégimentement inavoué, à un modèle de société uniquement soucieux de générer des cycles continus de rotation du capital » dont l’une des principales conséquences fut « une large dépolitisation ». Cette « trajectoire empruntée par l’individualisme démocratique » rencontrera une forte opposition, dont « l’éclosion des différents printemps de 1968 de par le monde » fut le résultat. Les années 1970 furent celles de la crise économique dite conjoncturelle (à cause du choc pétrolier) mais s’avérant structurelle (dans un sens, nous n’en sommes jamais sortis) avec la désillusion qui l’accompagne et bientôt « un premier et massif traumatisme collectif […] résultant de la désagrégation progressive du pacte de confiance » – cassure, selon l’auteur, ineffaçable. Dès lors, le keynésianisme échouant, viendra l’heure de l’individualisme libéral radical [5]
[5]Signe des temps, en 1974, Hayek obtenait le prix Nobel…
et « la constitution progressive d’un nouvel éthos individuel » : « S’opère un repli sur sa propre expérience, la seule à même d’offrir des instants de relâchement et une meilleure estime de soi. » Seule réponse possible à l’extension de la rationalité économique, faute de pouvoir « peser collectivement » : le pouvoir de séduction (Baudrillard), le narcissisme de masse (Lasch), la formation d’une culture de la personnalité et les « tyrannies de l’intimité » (Sennet) viendront achever une mutation faisant apparaître deux réalités bien distinctes. « D’un côté, l’ordre collectif, structuré par des usages, des règles, des lois. De l’autre, la multitude des individus faits de leur singularité, de leur biographie et de leurs inclinations. » La situation à la fin du siècle, personne ne l’a documentée et établie mieux que le sociologue Alain Ehrenberg. En 1995, il écrivait [6]
[6]A. Ehrenberg, L’individu incertain, Paris, Calmann-Lévy, 1995.
: « Nous avons basculé d’une détermination par un passé, à laquelle il était devenu possible d’échapper grâce aux progrès de la protection sociale et à la croissance économique, à une indétermination par l’avenir, qui reporte sur l’individu des responsabilités relevant auparavant de l’action publique. Nous sommes entrés dans une société de responsabilité de soi : chacun doit impérativement se trouver un projet et agir par lui-même pour ne pas être exclu du lien, quelle que soit la faiblesse des ressources culturelles, économiques ou sociales dont il dispose. »

La suite de l'article ici:

https://www.cairn.info/revue-nouvelle-revue-de-psychosociologie-2023-1-page-231.htm

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fouthese il y a 1 an

" LES JUGES DEVRONT-ILS RENDRE DES COMPTES ? "

26 juillet 2023

" L’un de nos lecteurs publie sur PG un commentaire qui mérite de faire l’objet de la présente publication.

Nous le remercions du travail effectué et de la rédaction de cet écrit.

« N’ayez pas peur de la Liberté, car si vous en avez peur, elle se détournera de vous. Aimez la et chérissez la » — Ronald Guillaumont

Oui, les juges devront rendre des comptes un jour sur leur silence et leurs actes concernant :
– la non conformité des lois qu’ils appliquent par rapport aux traités internationaux sur les droits de l’homme (PIDCP, PIDESC)
– et sur la non-application de la déclaration des droits de 1789 ayant pleine valeur constitutionnelle depuis la décision du conseil constitutionnel du 16 juillet 1971, alors que la constitution est devenue caduque depuis au moins 2008 en application de cette Déclaration !

voir https://conseilnational.fr et les références à la fin de ce post.

Car à la différence des magistrats sous Vichy, qui ont pu continuer d’appliquer la ‘LOI » pour exercer leurs fonctions sous le régime de l’Etat de Vichy, la situation actuelle des magistrats est bien différente depuis la constitution du 4 octobre 1958 même si celle-ci est devenue caduque depuis au moins 2008 :
– sous Vichy et antérieurement sous la IIIe République, la norme la plus haute était la LOI et les magistrats étaient donc « légalistes », seulement chargés d’appliquer la loi, norme suprême, dans le respect des principes de droit, sans égard pour des droits de l’homme qui n’existaient pas encore en droit international ou français,
– toutefois, ils ont été parfois trop légalistes, en appliquant les lois d’exception comme sur le statut des juifs, et des lois rétroactives pour condamner à mort des personnes pour des faits déjà jugés et ayant déjà été condamnées…, en violation totale des principes de droit élémentaires.

Certains magistrats du régime de Vichy et des Sections Spéciales créées en 1941 ont été lourdement punis pour cela à la libération, et certains même directement par la population…

Aujourd’hui la situation des magistrats est bien différente et leur responsabilité est encore plus grande face à l’oppression dont la population est victime, car :
– la LOI n’est plus la norme la plus haute et incontestable
– il y a des normes plus hautes qui disent le DROIT au-dessus de la LOI,
– il y a d’abord les traités internationaux, notamment sur les droits de l’homme comme les Pactes internationaux des Nations Unis du 16/12/1966 (PIDCP et PIDESC)
– l’article 55 de la constitution de 1958 disposait que les traités internationaux ont une valeur supérieure à celle des lois
– et le conseil constitutionnel depuis l’arrêt Jacques Vabres en 1975 avait donné mission aux juges judiciaires, avant d’appliquer une loi, de vérifier la conformité des lois avec les traités internationaux et donc la constitution, et de même depuis 1989 pour les juges administratifs !
– et au-dessus des traités internationaux, la norme supérieure est la constitution,
– et au-dessus de la constitution, la norme supérieure est le DROIT naturel non écrit qui est la norme la plus haute, tel que traduit et rappelé en droit positif par la Déclaration des droits de 1789 qui est supérieure à la constitution elle-même et aux traités et lois, puisqu’elle est visée au préambule de la constitution de 1958 et que le conseil constitutionnel lui a donné pleine valeur constitutionnelle par décision du 16 juillet 1971,

– son article 5 dispose, conformément au droit à la liberté qui est un droit fondamental et inaliénable dont les limites sont la liberté d’autrui telles que déterminées par la loi selon l’article 4, « la loi ne peut défendre (interdire) que les actions nuisibles à la société », c’est à dire les actions dont il serait prouvé (donc scientifiquement) qu’elle seraient nuisibles à la société, comme de ne pas respecter les mesures liberticides dites sanitaires anti virus ou climato-réchauffistes. Or, ce n’est pas prouvé scientifiquement et la loi n’a donc pas le droit d’interdire des actions aux citoyens sur la base de ces mesures ! La loi n’a PAS le droit d’interdire la moindre action aux citoyens sous le prétexte de ces mesures sans preuve que ces mesures interdiraient prétendument « des actions nuisibles à la société ».
– son article 16 dispose aussi qu’il n’y a plus de constitution si la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée,
– la Déclaration des droits de 1789 n’a donc vocation qu’à rendre caduque une constitution qui en violerait les principes, et non pas à disparaître avec une constitution devenue caduque. "

La suite de l'article ici:

https://profession-gendarme.com/les-juges-devront-ils-rendre-des-comptes/

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fouthese il y a 1 an

ARCHIVE

" Armée Injections Obligatoires - Capitaine Alexandre Juving-Brunet "

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https://odysee.com/@hermestrismegiste:f/Arm%C3%A9e_Injections_Obligatoires-Capitaine_Alexandre_Juving-Brunet:8

20 août 2021

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fouthese il y a 1 an

" Olivier Soulier (RIP) - Chroniques du Totalitarisme: la vraie médecine est humaniste "

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https://odysee.com/@Covidbel:5/Olivier-Soulier_3:1

" Alors que nous étions en train de monter l'interview que nous avions faite avec Olivier Soulier, le 13 mai 2023 à Paris, pour la publier ce dimanche dans « Chronique du totalitarisme », nous apprenions sa mort. Infatigable défenseur de la vérité, il nous avait livré lors de cet échange sa vision profonde de la médecine et de ce qui n'allait pas : « Quand on veut comprendre ce qui ne va pas en médecine aujourd'hui c'est simple, tu peux tirer la ficelle comme tu veux, un moment tu vas arriver sur le mot "business", "rentabilité" ». La vraie médecine est humaniste, c'est une médecine du sens, qui s'oppose à la médecine technicienne. Face au départ tragique d'Olivier Soulier, nous anticipons la publication de cette belle rencontre à Paris. Repose en paix Olivier, tu étais un phare."

1 juillet 2023

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fouthese il y a 1 an

" En Bretagne, il vit avec 50 euros par mois et il est heureux comme ça "



" Quelque part dans les Côtes-d'Armor, cet ancien ingénieur du son a décidé de créer son monde à lui, Nomade Land. Il y vit entre sa caravane, sa forêt comestible et ses animaux, avec une recherche d'autonomie, "50 euros par mois", et il est très heureux comme ça. Depuis peu, Myriam a rejoint sa vie. "

6 juin 2023

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fouthese il y a 1 an

Non,rien

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fouthese il y a 1 an

" Consommer une cuillère à soupe d’huile d’olive par jour réduirait de 28% les risques de développer une forme de démence "

Publié le 25/07/2023

" Plébiscitée pour ses vertus médicinales et son goût aux notes ensoleillées, l'huile d'olive semble avoir tout d'un superaliment. Et une nouvelle étude a révélé qu'elle avait peut-être même le pouvoir de protéger notre cerveau du déclin cognitif.

Aujourd'hui plus de 55 millions de personnes seraient atteintes de démence dans le monde, relate l'OMS. Si la maladie d’Alzheimer est la cause la plus courante de démence et serait même à l’origine de 60 à 70 % des cas, le déclin cognitif est actuellement la septième cause de décès dans le monde et l’une des principales causes d’invalidité chez les personnes âgées. "

La suite de l'article ici:

https://www.marieclaire.fr/consommation-quotidienne-huile-olive-reduit-risque-demence,1456595.asp?utm_source=pocket-newtab-fr-fr


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