" Révélation explosive : voici la liste des médias qui ont touché 319 millions de Bill Gates pour contrôler nos opinions "
28 juillet 2023
" Une information publiée en 2021 mais qui mérite une nouvelle fois que notre média la mette à la disposition du grand public dans un contexte particulier marqué par une violence et une agressivité indescriptibles des grands médias qui refusent catégoriquement de couvrir la corruption qui gangrène le monde scientifique.
Mais, pour quelles raisons les médias refusent-ils de s’attaquer à Big Pharma? Sont-ils payés par les labos pour taire les pratiques malsaines courageusement dénoncées par des centaines de scientifiques depuis le début de la pandémie? Les questions se posent et le débat est ouvert.
En tout cas, ce l’on sait jusqu’ici, c’est que de grands médias en ident sont financés par le milliardaire Bill Gates dont les liens avec les labos sont connus de tous. Pour vous donner une idée de cette connivence entre le fric et Big Pharma, Lecourrier-du-soir.com a jugé bon de republier une révélation faite il y a un an sur ce sujet.
« D’après une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPressNews qui fédère des journalistes d’investigation du monde entier, Bill Gates a versé, à travers sa fondation, 319 millions de dollars à des médias américains et internationaux qui lui déroulent le tapis rouge en promouvant des sujets qui lui tiennent à cœur
Exclusif
Bill Gates a-t-il pris le contrôle total des opinions des citoyens du monde entier? La question se pose à la suite d’une révélation explosive faite ce 15 novembre par le média d’investigation MintPresseNews.com. En effet, ce média a révélé que Bill Gates a versé 319 millions de dollars à différents groupes de presse dans le monde pour contrôler la ligne éditoriale et imposer son agenda sur certains sujets.
Le média dit avoir obtenu ces informations en fouillant dans quelque 30 000 dons effectués par la fondation Bill & Melinda Gates et figurant dans sa base de données. MintPressNews.com est allé jusqu’à dévoiler le nom des médias qui ont bénéficié de ce gigantesque financement.
Parmi les médias cités, figurent : CNN, NBC, PBS et The Atlantic pour ce qui concerne les Etats-Unis. Dans le reste du monde, d’autres médias ont été mouillés. Parmi eux, figurent : El Pais (en Espagne), The BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph (au Royaume-Uni), Der Spiegel (en Allemagne), Al-Jazeera (au Qatar) et Le Monde (en France).
Les montants versés à ces médias ont été dévoilés. Ainsi, la chaîne américaine CNN a touché 3 600 000 dollars du milliardaire américain. El Pais a touché 3 968 184 dollars; Le Monde aurait touché 4 014 512 dollars; la BBC a touché 3 668 657 dollars; Der Spiegel a touché 5 437 294 dollars. Le média The Guardian semble avoir remporté le gros lot : 12 951 391 dollars. Et la liste n’est pas exhaustive.
D’après la source, cet argent sert à couvrir des thématiques chères à Bill Gates. Par exemple, les 3 600 000 dollars qui ont été attribués à la chaîne CNN servent à couvrir des questions liées au genre et à la parité, avec un focus sur les pays en voie de développement.
Après avoir fourni des informations extrêmement détaillées sur les financements de Gates accordés aux médias, le site d’information MintPressNews explique à quel point cette mainmise sur les médias tue le journalisme, en imposant à la presse une seule ligne favorable au tout-puissant milliardaire américain.
Par ce système qui s’apparente clairement à de la corruption, l’image de Bill Gates est constamment redorée par les médias internationaux qui le présentent ainsi comme un véritable sauveur de la planète. Ses conflits d’intérêts et les graves scandales dans lesquels il est impliqué sont volontairement passés sous silence et ceux qui osent en parler risquent de le payer très cher.
Autrement dit, tout ce qui est défavorable à sa Majesté Gates est purement et simplement censuré.
Pour l’article dans sa version originale, cliquez ici : MintPressNews "
" Dr Véronique Rogez : « Nous sommes dans un combat civilisationnel qui est loin d’être terminé » "
Publié le 28 juillet 2023
" Nous avons eu le plaisir d’interviewer le Dr Véronique Rogez qui, dès le début de la « crise sanitaire », a remis en cause le narratif officiel. Elle a en effet, contrairement aux consignes et à la grande majorité des médecins, soigné ses patients, puis a émis des doutes et des critiques lors de l’arrivée du « vaccin ». Son refus de se faire injecter lui a valu une suspension, avant d’être convoquée par le Conseil de l’ordre pour avoir prescrit de l’Ivermectine.
Le Média en 4-4-2 : Bonjour docteur et bienvenue sur Le Média en 4-4-2. Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs qui ne vous connaissent pas encore en nous expliquant quelle était votre situation en mars 2020 et comment vous avez accueilli ce mystérieux virus en provenance de Wuhan ?
Véronique Rogez : Je suis le Dr Véronique Rogez, médecin généraliste à orientation homéathique, installée à Noyon, dans l’Oise. En mars 2020 — ce qui me paraît déjà lointain ! — je consultais normalement, mais commençais à voir des symptômes particuliers, et inquiétants. On entendait parler de ce Covid depuis fin janvier et beaucoup de cas semblaient arriver rapidement, sans qu’il soit possible de faire la différence avec la grippe, puisque les tests n’étaient pas encore sur le marché. L’Italie était alors notre « référence » puisque nous semblions suivre l’épidémie avec quelques jours d’écart avec elle. Je me souviens avoir contacté le Samu, mi mars 2020, très inquiet des évènements et craignant un débordement des urgences.
L’évolution était difficile à appréhender et les incohérences commençaient à se faire jour : toujours pas de masques pour les professionnels, des élections municipales qui se tenaient normalement quand même, le Salon de l’Agriculture bondé de monde dans des lieux clos, Emmanuel Macron qui incitait à aller au théâtre, puis ce confinement le 17 mars (date que je n’oublie pas puisque c’est mon anniversaire !) qui n‘a pas changé grand-chose pour moi puisque j’ai travaillé normalement… En fait, pas tout-à-fait car notre activité était très calme, hors Covid (quelques cas par jour), à tel point que la CPAM a compensé un peu notre manque à gagner pendant cette période…
La peur, peut-être légitime au début, commençait à faire son apparition, et est allée crescendo, alimentée par des éléments médiatiques sans sens comme ce décompte tous les soirs des morts de la journée. J’ai alors commencé à soigner les malades, selon les symptômes, donc en les examinant, et non pas comme le disait la Sécu, en leur disant de rester chez eux avec du Paracétamol ! Ce qui ne s’est jamais vu en médecine.
J’ai vu que les traitements hydroxychloroquine / azithromycine / zinc /vitamine D avaient de très bon résultats donnés précocement ; très peu chers, avec très peu d’effets secondaires, très connus, je ne vois pas pour quelle raison on ne devait pas les utiliser, avec le consentement libre et éclairé des patients. Je tiens à disposition de très nombreux témoignages : j’avais à cœur de demander des nouvelles de mes patients systématiquement quelques jours après.
En avril 2020, j’étais moi-même atteinte : énorme fatigue et grosse dyspnée sans aucun autre symptôme. Très bizarre. J’ai pris ce traitement du Pr Raoult et je n’ai eu besoin que d’une semaine d’arrêt !
J’ai constaté alors les mesures sanitaires idiotes que pourtant tout le monde a acceptées facilement : masque seul dans la rue, seul en forêt, plage dynamique, contrôles et verbalisations iniques, fermetures des rayons « non essentiels », auto-attestation pour sortir son chien, droit de manger assis et non debout, etc. "
" Kriss Papillon : Les plaisirs du jardinage en période de canicule asymptomatique "
Publié le 29 juillet 2023
" Jardiner, se détendre avec les doigts dans la terre, récolter les fruits de notre labeur dans une atmosphère rafraîchissante pour les déguster aussitôt... Eh oui, c'est bien connu que le réchauffement climatique nous offre des étés où la chaleur est asymptomatique ! Et bien sûr, notre fameux Monsieur Maxime, le retraité émérite de son village dans le Val de Saône en Belgique, est là pour nous le rappeler avec ironie. "
" Digital Service Act/climatisme : ferme ta gueule et danse ! "
" Vendu aux pigeons, sur fond d’émeutes, moyennant un marketing sécuritaire façon Zemmour, le flicage des RS ne dissuadera pas forcément beaucoup de racailles d’avancer, face à une police désavouée, vers les magasins de godasses. Aux naïfs qui se demanderont : « Mais alors, à quoi va servir le Digital Service Act ? », le think tank écosocialiste Institut Rousseau apporte un début de réponse : « A vous bâillonner, gueux, lorsque vous oserez blasphémer contre le climatisme ! »
Dans les années 1980, soudain, des députés et des sénateurs se sont découvert une vocation d’historien : ils ont passé des lois mémorielles, criminalisant la remise en cause du récit historiographique produit, après 1945, par les vainqueurs de la dernière guerre. Comme ces textes ne semblaient viser que quelques excentriques plus ou moins monomaniaques, consacrant leur existence à démontrer que, dans tel ou tel bâtiment de Pologne orientale, une vitre avait ou n’avait pas existé, nous n’avons, pour la plupart, pas accordé une grande attention à la manœuvre.
En réalité, la France et l’O ccident, à peine débarrassés de leur vieille religion catholique (devenue minoritaire en France, en termes de pratique, dans le courant des années 1960), venait de basculer dans une nouvelle religiosité dite antifasciste, et de renier le legs démocratique des libertés civiques.
Pas d’expertise pour les ennemis de l’Expertise !
En mars 2020, les « historiens » des années 1980 sont brusquement devenus épidémiologistes. Ou, plus exactement, épistémologues : les autorités publiques se sont arrogé le droit de sanctifier les méthodes de certains experts (Fauci), et de déclarer hérétiques celles d’autres experts (Raoult).
Dès cette époque, d’ailleurs, Schwab expliquait très clairement à ses ouailles que « le Covid » n’est que le petit frère passager « du Climat », et qu’il convenait donc de fermer les yeux sur ces « confinements » totalement injustifiés d’un point de vue sanitaire, mais qui allaient nous aider à « sauver la planète ».
Et voilà, nous y sommes. Pendant que les infirmières-dansantes des confinements remontent sur scène pour le Climat, grâce au Digital Service Act de l’Eurogoulag, qui entrera en vigueur en août, l’Institut Rousseau – en l&rsquocurrence : une brochette d’experts de la com’, se plaçant (gracieusement ?) au service de l’expertise du Saint GIEC – propose de faire monter le climato-scepticisme dans le même wagon que le révisionnisme et le covido-scepticisme. "
" France — Des anciens hauts gradés de l’armée appellent à une nouvelle alliance franco-russe et sortir de l’OTAN "
29 juillet 2023
" Dans une tribune publiée dans la revue Défense nationale, plusieurs anciens officiers généraux de l’armée française, dont le général de corps d’armée (2S) Jean-Pierre ser, ancien chef d’état-major de l’armée de terre, et le général de division aérienne (2S) Jean-Marie Fayard, ancien commandant des forces aériennes stratégiques, appellent à un changement radical de la politique étrangère et de défense de la France.
Ils considèrent que les États-Unis, qui ont abandonné leurs alliés en Afghanistan et qui se désintéressent de l’Europe, ne sont plus dignes de confiance.
Ils dénoncent également l’OTAN, qu’ils qualifient d’organisation « périmée » et « inadaptée » aux réalités du monde actuel. Ils estiment que la France doit sortir de cette « emprise américaine » qui la prive de sa souveraineté et de sa liberté d’action.
Ils critiquent aussi la construction européenne de défense, qu’ils jugent « illusoire » et « dépendante » des choix stratégiques des États-Unis. Ils plaident donc pour un rapprochement avec la Russie, qu’ils considèrent comme un acteur majeur de la scène internationale, avec lequel la France a des intérêts convergents en matière de sécurité.
Ils affirment que la Russie n’est pas l’ennemie de l’Europe, mais un partenaire indispensable pour faire face aux menaces du terrorisme islamiste, du réchauffement climatique et de l’hégémonie chinoise. Ils invitent le président Macron à prendre des initiatives audacieuses et visionnaires pour rétablir une relation de confiance avec le président Poutine, dans le respect mutuel et le dialogue."
" Comment le fascisme (gris) est devenu mondialiste et d’extrême-centre "
" J’appelle “fascisme gris” le système post-démocratique qui caractérise actuellement le monde nord-américain et l’Union Européenne. Du fascisme il accomplit le potentiel un moment interrompu par la victoire des Alliés dans la Seconde Guerre mondiale : culte de la guerre asymétrique pouvant aller jusqu’au génocide, dépassement du nationalisme, détestation de l’économie de marché et de l’esprit d’entreprise, destruction de la monnaie, capitalisme de connivence et de surveillance, contrôle strict de l’information, règne de la technocratie, vision inégalitaire de l’humanité, eugénisme et malthusianisme comme aboutissement du “biopouvoir”, obsession écologique, détestation du christianisme…On appellera ce système “fascisme gris” car il s’appuie sur le “pouvoir gris” là où le fascisme de la première moitié du XXè siècle s’appuyait sur un culte de la jeunesse; et il se complaît dans les “cinquante nuances de gris” de la révolution sexuelle. Aujourd’hui, troisième volet de ma série estivale consacrée à l’exploration du “fascisme gris”: je reviens sur la question du positionnement politique: en un siècle, on est passé du “ni droite ni gauche” mussolinien au “en même temps” macronien. Surtout, il est essentiel de comprendre que le”fascisme gris” vit sur un leurre grossier: il voudrait nous faire croire que le danger se trouve à “l’extrême droite” qui serait une héritière de Hitler et Mussolini; alors que le “fascisme gris” s’appuie sur le pouvoir de destruction potentiellement illimité de “l’extrême-centre”. "
" Dans cette vidéo, l’écrivain français Johan Livernette répond à une interview pour la télévision slovène Ex.odus qui porte sur des questions d’actualité, la crise dans l’Eglise, l’infiltration maçonnique, la monarchie britannique, le paradigme mondialiste. "
" Vers une irresponsabilité pénale du Chef de l’État ? "
21 avril 2017
" Sous la monarchie, l’irresponsabilité absolue du souverain était justifiée par l’adage selon lequel « le roi ne peut mal faire ». A cette règle en totale contradiction avec les principes révolutionnaires proclamés à partir de 1789, la IIe République lui substitue un régime de responsabilité très large, englobant « tous les actes du gouvernement et de l’administration ». Par exemple, le fait pour le Président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale était un crime de haute trahison et entraînait sa destitution de plein droit(1). A partir de la IIIe République, l’irresponsabilité présidentielle réapparaît dans les lois constitutionnelles de 1875 ; le Chef de l’État devient irresponsable, sauf le cas de haute trahison(2).
Cette irresponsabilité pénale du Président de la République s’est maintenue sous les IVe et Ve République, et s’est encore accentuée avec la loi constitutionnelle du 23 février 2007. Si elle était acceptée sous les IIIe et IVe République, étant donné le peu de pouvoirs octroyés au Chef de l’État, elle a pu paraître davantage malséante sous la Ve République.
Désormais, si les articles 67 et 68 de la Constitution de 1958 prévoient la possibilité pour la Haute Cour de destituer le Président de la République en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat », il ne s’agit toutefois que d’une responsabilité de nature politique, à propos de laquelle la loi constitutionnelle du 23 février 2007 a pris soin d’abolir tous les vocables qui donnaient une connotation répressive à l’ancienne procédure.
Si le principe de la responsabilité politique du Chef de l’État n’est pas remis en question aujourd’hui, qu’en est-il de sa responsabilité pénale ?
I. LA RESPONSABILITÉ PÉNALE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
L’article 67, alinéa 1er de la Constitution énonce que « le Président de la République n’est pas responsable des actes accomplis en cette qualité ». Le Chef de l’État bénéficie ainsi d’une irresponsabilité totale pour les actes nécessaires à l’exercice de sa fonction. S’il commet une infraction pénale dans ce cadre, il ne pourra en aucun cas être poursuivi, ni pendant son mandat, ni après.
Avant la modification constitutionnelle de 2007, le Président de la République était responsable pénalement en cas de haute trahison commise pendant son mandat devant la Haute Cour de Justice. Aujourd’hui, ce cas de responsabilité pénale a disparu et le Chef de l’État n’est plus responsable pénalement de toutes les infractions commises dans le cadre de ses fonctions, y compris la haute trahison. Cette irresponsabilité absolue est contestée, car elle apparaît contraire aux aspirations contemporaines de justice des citoyens. Dans une réponse écrite à un député, le garde des Sceaux affirmait qu’« un projet de loi constitutionnelle mettant en oeuvre les préconisations […] destinées à mettre fin à l’inviolabilité pénale absolue du Chef de l’État pendant son mandat pour les actes autres que ceux qu’il a accomplis en qualité de Président de la République a été préparé par la Chancellerie et présenté en Conseil des ministres le 13 mars 2013. Le refus de l&rsquoposition d’apporter son soutien à une réforme importante de nos institutions n’a pas permis au Gouvernement de présenter utilement le texte au Parlement »(3). La question d’une accentuation de la responsabilité pénale du Président de la République reste aujourd’hui encore sensible sur le plan politique.
A contrario, le Chef de l’État est responsable des actes détachables de ses fonctions, c’est-àdire des infractions commises à titre personnel, sans rapport avec sa qualité. "
« Le Consentement meurtrier » interroge au plus profond les racines de la violence. Celle-ci ne se résume pas à son exercice dans certains cas extrêmes : meurtres ou guerres. Elle a pour origine ce qui en chacun de nous déjà commence à pervertir le lien nécessaire entre l'éthique et les intérêts qui commandent toute action, personnelle ou plus généralement politique. Ainsi sommes-nous conduits à transiger en permanence avec le type de responsabilité qu'appellent pourtant « de partout » le secours, le soin et l'attention exigés par la vulnérabilité et la mortalité d'autrui. Pour autant, un tel consentement n'est pas une fatalité, et ce livre explore aussi quelques-unes des voies qui permettent de s'en dégager : la révolte, la bonté, la critique et la honte. Sa méthode opte pour une démarche rarement explorée : soutenir la réflexion philosophique de sources littéraires (Camus, Zweig, Grossman, Kraus, Ôé) qui nous font pénétrer le surgissement d'un tel consentement plus finement que ne le feraient une théorie et ses concepts.
" RÉVÉLÉ : L’implication de l’Allemagne dans les programmes biologiques militaires en Ukraine "
April 17, 2022
" RÉVÉLÉ : L’implication de l’Allemagne dans les programmes biologiques militaires en Ukraine
Posted le 17 avril 2022 par mirastnews in Europe // 0 Comments
Rédacteur en chef d’ER : Nous avons publié il y a quelques jours un court article sur l’implication de l’Allemagne dans les programmes biologiques de l’Ukraine, mais cet article de Freddie Ponton va beaucoup plus en détail.
Que des chercheurs allemands (ou américains) soient impliqués dans ces programmes biologiques ou que certaines sociétés privées le soient ne prouve en soi rien de néfaste. Mais ces situations indiquent que les pays ne sont pas autorisés à mener de telles recherches par des traités ou des conventions qu’ils ont peut-être signés ou que leurs lois ne permettent pas de le faire par la porte dérobée dans des pays hautement corrompus comme l’Ukraine. Idem pour les entreprises. Ensuite, il y a le problème du « double usage », comme l’explique Ponton ci-dessous.
Nous rappelons aux lecteurs qu’il existe des preuves suggérant que les propres citoyens ukrainiens ont été expérimentés dans le passé.
RÉVÉLÉ : L’implication de l’Allemagne dans les programmes biologiques militaires en Ukraine
FREDDIE PONTON pour 21st CENTURY WIRE
Selon le représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, Gennady Gatilov, de vastes armes militaires biologiques dangereuses et des programmes de recherche ont été découverts en Ukraine.
Comme 21WIRE l’a signalé précédemment, bon nombre de ces projets hautement exotiques sont financés par les États-Unis, dans le cadre de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) du Pentagone.
Cependant, l’histoire ne s’arrête pas là. D’autres programmes d’armes biologiques présumés et leurs installations sont également financés et dirigés par le ministère allemand des Affaires étrangères et les forces armées allemandes.
Les ramifications de ces conclusions sont troublantes, car elles indiquent que l’implication des membres de l’OTAN en Ukraine est beaucoup plus profonde qu’on ne le pensait auparavant.
Le 31 mars 2022, lors de la session plénière de la Conférence du désarmement à Genève, le représentant de l’ONU Gatilov (image, à gauche) a exigé que tous ces programmes de recherche biologique potentiellement dangereux fassent l’objet d’une enquête immédiate.
Après des recherches approfondies incluant de nombreuses sources bien documentées, il semble maintenant que les soupçons de tout le monde pourraient être vrais après tout – que l’Ukraine était devenue une destination d’externalisation de l’OTAN pour la recherche et le développement d’armes biologiques.
À ce jour, il a été confirmé et démontré que le ministère américain de la Défense et sa filiale, la DTRA, financent des projets de recherche biologique et scientifique de défense offshore sous le couvert d’activités de recherche, de développement et de formation en «sciences de la vie» en Ukraine. Les preuves suggèrent fortement que ces activités et programmes liés à la lutte contre et à la dissuasion des armes biologiques de destruction massive ainsi que des «menaces biologiques émergentes» – sont en fait utilisés comme véhicules pour les sciences de la vie dites «à double usage» et les projets classifiés. Dans ce cas, le terme « double usage » fait référence au travail et aux matériels relatifs à la recherche supposée sur la biosécurité qui est complètement interchangeable avec le développement d’armes biologiques interdites au niveau international. En raison de l’ambiguïté inhérente au domaine de recherche, ces programmes et leurs installations se sont révélés imperméables à toute surveillance significative ou régime d’inspection internationale.
En outre, il est facile de comprendre le fardeau juridique et réglementaire associé à la recherche dite de « gain de fonction » (GOF) dans les pays de l’OTAN, et il est donc tentant pour des individus et des organisations sans scrupules pour exporter ces projets risqués vers des environnements réglementaires moins stricts, en particulier des destinations qui se classent en tête de l’indice mondial de corruption, comme l’Ukraine.
Il est important d’abord d’examiner de plus près les relations germano-ukrainiennes afin de mieux comprendre à quel point les intérêts allemands sont investis en Ukraine.
L’Allemagne est le plus grand donateur bilatéral civil de l’Ukraine
Selon les derniers chiffres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et du Comité d’aide au développement (CAD), l’Allemagne est le plus grand donateur bilatéral de l’Ukraine avec des paiements s’élevant à environ 220 millions de dollars américains (aide publique au développement de l’OCDE 2018-2019) – ce qui est en fait devant les États-Unis, qui ont donné un peu moins de 200 millions de dollars américains. En plus de cela, l’Allemagne verse des contributions par le biais de l’UE (selon le CAD de l’OCDE, plus de 400 millions d’euros en 2018-2019 – le montant le plus élevé apporté par un seul donateur. Depuis 2014, l’Allemagne a fourni un total d’environ 1,83 € milliards d’euros d’aide bilatérale (Source).
Coopération bilatérale au développement
Dans le domaine de la coopération bilatérale au développement, l’Allemagne soutient la « transformation » politique et économique de l’Ukraine avec des engagements totalisant 771 millions d’euros depuis 2014. De nouveaux engagements supplémentaires de 96,5 millions d’euros ont été convenus lors des négociations intergouvernementales du 30 novembre 2021. La coopération est axé sur la promotion de la démocratie, d’une économie durable (y compris par l’enseignement et la formation professionnels) et de la société civile (y compris de nombreuses ONG et organisations «parties prenantes»), l’efficacité énergétique et la supposée «stabilisation» de l’est de l’Ukraine.
La coopération entre les gouvernements allemand et ukrainien est en outre renforcée par plus de 70 accords de «jumelage» de villes et de municipalités.
De plus, un système de garantie de prêt a également été mis à la disposition de l’Ukraine – lancé par le gouvernement allemand en 2014, et totalisant 500 millions d’euros (Source).
Soutien militaire
L’Allemagne soutient le service médical militaire ukrainien depuis 2019 avec des mesures de renforcement des capacités (dons de fournitures et d’équipements médicaux), ainsi qu’en fournissant des soins médicaux aux soldats blessés dans les hôpitaux militaires allemands. Depuis 2014, 149 membres des forces de sécurité ukrainiennes au total ont été emmenés en Allemagne pour des soins médicaux (dans des hôpitaux de la Bundeswehr et civils).
Au total, les dons médicaux militaires de l’Allemagne (y compris les fournitures médicales) depuis 2014 s’élèvent à plus de 13 millions d’euros. Dans le cadre d’un projet commun germano-estonien, l’Allemagne finance intégralement un hôpital de campagne déployable (coût d’acquisition de 5,3 millions d’euros, plus un volet formation). La date de livraison estimée était fin février ou début mars 2022 (Source).
En 2016, l’Allemagne a déclaré cinq installations de biodéfense. La soumission CBM (Confidence Building Measures) fournit leurs noms, emplacements, les surfaces au sol des laboratoires des installations, la structure organisationnelle des installations, des descriptions des travaux de défense biologique effectués dans les installations, des détails sur leurs politiques de publication et des listes des documents et des rapports accessibles au public résultant des travaux effectués dans ces installations.https://www.auswaertiges-amt.de/en/aussenpolitik/laenderinformationen/ukraine-node/ukraine-support/2510752
Le principal centre des activités de biodéfense médicale de l’Allemagne, l’Institut de microbiologie des forces armées (Bundeswehr), est la première installation répertoriée. Situé sur la Neuherbergstrasse de Munich, l’installation comptait en 2016 quelque 20 scientifiques et 39 techniciens travaillant dans une surface totale de laboratoire de 1325 m2, répartis en 1258 m² de laboratoires de niveau de biosécurité 2 (BSL2) et 67 m² d’un Espace laboratoire BSL3. Les disciplines scientifiques représentées sont la médecine, la médecine vétérinaire, la microbiologie, la virologie, la bactériologie, l’immunologie, la biologie moléculaire, l’épidémiologie et la médecine de laboratoire (voir plus d’infos ici).
Qu’il suffise de dire que l’Allemagne a des intérêts substantiels investis en Ukraine, et bien sûr une telle générosité envers l’Ukraine doit être compensée d’une manière ou d’une autre. Je veux dire que rien n’est gratuit dans ce monde, n’est-ce pas ?
Maintenant, allons-y…
Allemagne Biosécurité / Biodéfense Recherche en Ukraine
En 2013, le ministère fédéral des Affaires étrangères a lancé le programme allemand de biosécurité, avec lequel l’Allemagne travaille dans divers pays dans le cadre du partenariat mondial du G7 qui met en œuvre des projets durables dans le domaine de la biosécurité contre la prolifération des armes et des matières de destruction massive. . Selon le ministère allemand des Affaires étrangères, le programme contribue également au renforcement de la Convention sur les armes biologiques (BTWC). La troisième phase du programme est 2020-2022, où des activités sont actuellement mises en œuvre dans neuf pays partenaires, avec deux projets suprarégionaux.
VOIR AUSSI : Pentagone-Ukraine Bio Labs : The Hunter Biden Connection
L’objectif du programme est d’aider les pays partenaires à contrôler les risques de sécurité biologique, tels que l’utilisation abusive délibérée d’agents pathogènes et de toxines dangereux, ainsi que les épidémies de maladies hautement pathogènes et les pandémies. Cela peut également être considéré comme un effort destiné à empêcher l’utilisation abusive d’agents pathogènes biologiques qui pourraient également être dangereux pour l’Allemagne.
Dans cet article, nous allons enquêter sur leurs activités en Ukraine – et voir si, comme le DTRA du Département américain de la Défense avec l’aide d’entrepreneurs de la défense tels que Black & Veatch et Metabiota, les Allemands ont également développé leur propre programme biologique militaire en Ukraine.
Le programme allemand de biosécurité se compose de plusieurs projets individuels en Ukraine qui sont mis en œuvre en collaboration avec les institutions allemandes suivantes : "