Citation de fouthese
" RAPHAËL COHEN : PLAINTE CONTRE MACRON, POUR TRAHISON, CRIME CONTRE L'HUMANITÉ, INSTITUT... "
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" Livre Ier : Des personnes (Articles 7 à 515-13)
Titre Ier : Des droits civils (Articles 7 à 16-14)
Article 7 Article 8 Article 9 Article 9-1 Article 10 Article 11 Article 14 Article 15
Chapitre II : Du respect du corps humain (Articles 16 à 16-9)
Article 16-2Version en vigueur depuis le 21 décembre 2008
Modifié par LOI n°2008-1350 du 19 décembre 2008 - art. 12
Le juge peut prescrire toutes mesures propres à empêcher ou faire cesser une atteinte illicite au corps humain ou des agissements illicites portant sur des éléments ou des produits de celui-ci, y compris après la mort. "
" Convention d’Oviedo : le comité de bioéthique donne son feu vert à l’édition du génome humain "
Publié le 17 Oct, 2022
" Dans son article 13, la Convention d’Oviedo[1] interdit les modifications de génome humain qui seraient héréditaires[2]. Elle interdit donc l’édition du génome d’un embryon humain. Toutefois, en juin 2021, un groupe de travail a été lancé par le comité de bioéthique du Conseil de l’Europe pour apporter des « précisions » à cet article. Il vient de rendre ses conclusions[3].
Sans envisager de modifier l’article 13[4], « les conditions n’étant pas réunies », le comité a convenu de « la nécessité de d’apporter des précisions, notamment sur les termes “préventif, diagnostique et thérapeutique” et d’éviter toute interprétation erronée de l’applicabilité de cette disposition à la “recherche” ».
Ainsi, après avoir explicité ce que le comité entend par ces trois adjectifs, il estime que, « dans le cadre de la recherche, les interventions visant à modifier le génome humain en vue de l’acquisition de connaissances utiles à ces fins autorisées peuvent être réalisées ». Le dernier interdit reste d’utiliser les gamètes, les embryons, ou « leurs précurseurs » ainsi modifiés, « à des fins de procréation ».
Le seul texte international contraignant en matière de bioéthique admet donc désormais l’édition du génome d’embryons humains. Un feu vert que la France, pourtant signataire de la Convention d’Oviedo, n’a pas cru bon d’attendre. La loi de bioéthique autorise la création d’embryons transgéniques depuis le 2 août 2021 (cf. Le Conseil constitutionnel valide les transgressions bioéthiques majeures de la loi bioéthique ; [Infographie] : ce que contient la loi de bioéthique 2021).
[1] La Convention d’Oviedo est un texte international de référence dans le domaine de la bioéthique, seul texte dans ce domaine qui soit contraignant pour les Etats l’ayant ratifié. Elaborée au cours des années 1990, elle est en vigueur dans 29 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe. La France l’a pour sa part ratifiée en décembre 2011, pour une entrée en vigueur en avril 2012, mais cela n’a entrainé aucun changement significatif, le législateur ne voyant pas de contradiction entre le droit français et la Convention.
[2] « Article 13 – Interventions sur le génome humain : Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entreprise qu’à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. » "
" Convention d’Oviedo : le comité de bioéthique donne son feu vert à l’édition du génome humain "
Publié le 17 Oct, 2022
" Dans son article 13, la Convention d’Oviedo[1] interdit les modifications de génome humain qui seraient héréditaires[2]. Elle interdit donc l’édition du génome d’un embryon humain. Toutefois, en juin 2021, un groupe de travail a été lancé par le comité de bioéthique du Conseil de l’Europe pour apporter des « précisions » à cet article. Il vient de rendre ses conclusions[3].
Sans envisager de modifier l’article 13[4], « les conditions n’étant pas réunies », le comité a convenu de « la nécessité de d’apporter des précisions, notamment sur les termes “préventif, diagnostique et thérapeutique” et d’éviter toute interprétation erronée de l’applicabilité de cette disposition à la “recherche” ».
Ainsi, après avoir explicité ce que le comité entend par ces trois adjectifs, il estime que, « dans le cadre de la recherche, les interventions visant à modifier le génome humain en vue de l’acquisition de connaissances utiles à ces fins autorisées peuvent être réalisées ». Le dernier interdit reste d’utiliser les gamètes, les embryons, ou « leurs précurseurs » ainsi modifiés, « à des fins de procréation ».
Le seul texte international contraignant en matière de bioéthique admet donc désormais l’édition du génome d’embryons humains. Un feu vert que la France, pourtant signataire de la Convention d’Oviedo, n’a pas cru bon d’attendre. La loi de bioéthique autorise la création d’embryons transgéniques depuis le 2 août 2021 (cf. Le Conseil constitutionnel valide les transgressions bioéthiques majeures de la loi bioéthique ; [Infographie] : ce que contient la loi de bioéthique 2021).
[1] La Convention d’Oviedo est un texte international de référence dans le domaine de la bioéthique, seul texte dans ce domaine qui soit contraignant pour les Etats l’ayant ratifié. Elaborée au cours des années 1990, elle est en vigueur dans 29 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe. La France l’a pour sa part ratifiée en décembre 2011, pour une entrée en vigueur en avril 2012, mais cela n’a entrainé aucun changement significatif, le législateur ne voyant pas de contradiction entre le droit français et la Convention.
[2] « Article 13 – Interventions sur le génome humain : Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entreprise qu’à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. » "
« " RAPHAËL COHEN : PLAINTE CONTRE MACRON, POUR TRAHISON, CRIME CONTRE L'HUMANITÉ, INSTITUT... " »
Encore lui ? Au fait il a des nouvelles de la CPI pour toutes ses précédentes plaintes pour trahison, crime contre l'humanité ... et bla bla bla ?
sérieusement Foutaise t'y crois encore au procès de Nuremberg 2.0 ? Le dernier qui avec proposé ça, Fuellmich est parti avec la caisse des gogos et autres neuneux qui avaient cotisé !
Dis-moi, t'avais participé à la cagnotte ? Si oui, je trouve qu'il a fait preuve d'ingratitude ! Il aurait pu te remercier d'avoir contribué au financancement de son home sweet Home si ce qui est écrit dans l'article est juste !
« CheckNews
En Allemagne, des avocats covidosceptiques règlent leurs comptes entre eux
Stars des anti-confinements outre-Rhin, Reiner Fuellmich et Viviane Fischer s’accusent mutuellement d’avoir trop pioché dans leur cagnotte. Les fonds étaient destinés à mener une action de groupe, surnommée Nuremberg 2.0., en faveur des prétendues victimes des mesures sanitaires. »
« Rachat de crédits de sa propre maison »
« Or comme l’a révélé la rédaction du site d’information allemand T-Online, plusieurs anciens partenaires de Fuellmich lui réclament désormais des centaines de milliers d’euros et l’accusent d’avoir très mal administré l’argent des donateurs. Les critiques les plus dures sont venues de Viviane Fischer, avocate et chapelière berlinoise à l’origine du Comité corona et cadre de dieBasis, souvent vue aux côtés de Fuellmich.
Elle reproche à son ancien camarade de s’être fait payer 29 750 euros par mois (soit près de 660 000 euros au total) par le Comité corona pour le traitement de mails, alors qu’il n’avait aucun accès à ces courriers. Cette tâche aurait finalement été exécutée par une employée payée moins de 800 euros par mois.
Elle l’accuse également de s’être servi de 700 000 euros de dons, prévus comme des «réserves de liquidités», pour le rachat de crédits de sa propre maison et d’avoir acquis de l’or avec l’argent du comité, sans prévenir personne. Enfin, elle assure que Fuellmich n’a pas utilisé ces fonds pour financer des avocats ou des experts juridiques à destination de l’action collective, comme il le promettait, puisque les procédures au Canada et en Afrique du Sud ont été confiées à des avocats locaux bénévoles. »
« Covid: le procès Nuremberg 2.0, grand fantasme des complotistes, n’aura pas lieu »
par Annick Chevillot
Publié le 11 août 2021 05:00. Modifié le 23 février 2022 11:40.
« Une idée folle est née dans le cerveau agité de l’avocat allemand Reiner Fuellmich, une des grandes figures complotistes actuelles.
Celle d'un grand procès international pour punir les scientifiques et les politiques ayant géré la pandémie. Il s'en prend aux tests PCR mais aussi à la reine d'Angleterre, au Vatican et à la famille Rothschild. L'idée fait désormais peur à son auteur, qui tente de la faire oublier tout en affirmant que la justice est en marche. »
" Convention d’Oviedo : le comité de bioéthique donne son feu vert à l’édition du génome humain "
Publié le 17 Oct, 2022
" Dans son article 13, la Convention d’Oviedo[1] interdit les modifications de génome humain qui seraient héréditaires[2]. Elle interdit donc l’édition du génome d’un embryon humain. Toutefois, en juin 2021, un groupe de travail a été lancé par le comité de bioéthique du Conseil de l’Europe pour apporter des « précisions » à cet article. Il vient de rendre ses conclusions[3].
Sans envisager de modifier l’article 13[4], « les conditions n’étant pas réunies », le comité a convenu de « la nécessité de d’apporter des précisions, notamment sur les termes “préventif, diagnostique et thérapeutique” et d’éviter toute interprétation erronée de l’applicabilité de cette disposition à la “recherche” ».
Ainsi, après avoir explicité ce que le comité entend par ces trois adjectifs, il estime que, « dans le cadre de la recherche, les interventions visant à modifier le génome humain en vue de l’acquisition de connaissances utiles à ces fins autorisées peuvent être réalisées ». Le dernier interdit reste d’utiliser les gamètes, les embryons, ou « leurs précurseurs » ainsi modifiés, « à des fins de procréation ».
Le seul texte international contraignant en matière de bioéthique admet donc désormais l’édition du génome d’embryons humains. Un feu vert que la France, pourtant signataire de la Convention d’Oviedo, n’a pas cru bon d’attendre. La loi de bioéthique autorise la création d’embryons transgéniques depuis le 2 août 2021 (cf. Le Conseil constitutionnel valide les transgressions bioéthiques majeures de la loi bioéthique ; [Infographie] : ce que contient la loi de bioéthique 2021).
[1] La Convention d’Oviedo est un texte international de référence dans le domaine de la bioéthique, seul texte dans ce domaine qui soit contraignant pour les Etats l’ayant ratifié. Elaborée au cours des années 1990, elle est en vigueur dans 29 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe. La France l’a pour sa part ratifiée en décembre 2011, pour une entrée en vigueur en avril 2012, mais cela n’a entrainé aucun changement significatif, le législateur ne voyant pas de contradiction entre le droit français et la Convention.
[2] « Article 13 – Interventions sur le génome humain : Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entreprise qu’à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. » "
" Convention d’Oviedo : le comité de bioéthique donne son feu vert à l’édition du génome humain "
Publié le 17 Oct, 2022
" Dans son article 13, la Convention d’Oviedo[1] interdit les modifications de génome humain qui seraient héréditaires[2]. Elle interdit donc l’édition du génome d’un embryon humain. Toutefois, en juin 2021, un groupe de travail a été lancé par le comité de bioéthique du Conseil de l’Europe pour apporter des « précisions » à cet article. Il vient de rendre ses conclusions[3].
Sans envisager de modifier l’article 13[4], « les conditions n’étant pas réunies », le comité a convenu de « la nécessité de d’apporter des précisions, notamment sur les termes “préventif, diagnostique et thérapeutique” et d’éviter toute interprétation erronée de l’applicabilité de cette disposition à la “recherche” ».
Ainsi, après avoir explicité ce que le comité entend par ces trois adjectifs, il estime que, « dans le cadre de la recherche, les interventions visant à modifier le génome humain en vue de l’acquisition de connaissances utiles à ces fins autorisées peuvent être réalisées ». Le dernier interdit reste d’utiliser les gamètes, les embryons, ou « leurs précurseurs » ainsi modifiés, « à des fins de procréation ».
Le seul texte international contraignant en matière de bioéthique admet donc désormais l’édition du génome d’embryons humains. Un feu vert que la France, pourtant signataire de la Convention d’Oviedo, n’a pas cru bon d’attendre. La loi de bioéthique autorise la création d’embryons transgéniques depuis le 2 août 2021 (cf. Le Conseil constitutionnel valide les transgressions bioéthiques majeures de la loi bioéthique ; [Infographie] : ce que contient la loi de bioéthique 2021).
[1] La Convention d’Oviedo est un texte international de référence dans le domaine de la bioéthique, seul texte dans ce domaine qui soit contraignant pour les Etats l’ayant ratifié. Elaborée au cours des années 1990, elle est en vigueur dans 29 des 47 pays membres du Conseil de l’Europe. La France l’a pour sa part ratifiée en décembre 2011, pour une entrée en vigueur en avril 2012, mais cela n’a entrainé aucun changement significatif, le législateur ne voyant pas de contradiction entre le droit français et la Convention.
[2] « Article 13 – Interventions sur le génome humain : Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entreprise qu’à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. » "
" Alors que les algorithmes devaient révolutionner nos vies, les belles promesses des géants de la tech sont-elles en passe d’être tenues ? Un état des lieux documenté des impasses auxquelles se heurte encore l’intelligence artificielle.
Il a fallu patienter jusqu’à l’aube des années 2000 pour que, avec l’essor exponentiel d’Internet, la science s’emballe et annonce une nouvelle ère. Grâce à la masse incommensurable de données numériques et à de savants programmes informatiques, l’homme allait enfin être libéré de toute une liste de servitudes et de malheurs. Depuis 2010, avec le coup d’accélérateur lié au deep learning – apprentissage profond, soit la capacité des machines à apprendre –, on allait toucher au but : les algorithmes aideraient les médecins à soigner les cancers ; les voitures rouleraient sans conducteur ; les robots épargneraient la vie des soldats. Mais qu’en est-il aujourd’hui ? Les belles promesses de géants de la tech sont-elles en passe d’être tenues ?
Belles promesses
À l’heure du bilan d’étape, les avancées sont plus nuancées, à en croire les chercheurs de renommée mondiale réunis dans ce documentaire, comme Yoshua Bengio (prix Turing 2018), François Chollet (directeur informatique à Google) ou la lanceuse d’alerte américaine Meredith Whittaker. Car en fait de révolution technologique, l’IA patine. Derrière ses prouesses tant vantées, les seules intelligences à l’œuvre sont, pour l’heure, celles des humains qui travaillent dans l'ombre pour entraîner, corriger, voire suppléer les algorithmes. Ce qui n’empêche pas les "machines intelligentes" et les assistances automatisées, malgré leurs limites, de s’immiscer de plus en plus dans nos vies intimes et sociales. Sur un ton aussi irrévérencieux que pédagogique, recourant à l'animation ainsi qu’à de courts extraits de fiction cinéma ou de séries télé, Cécile Dumas et Jean-Christophe Ribot (L’aventure Rosetta – Aux origines de la vie) démystifient les sciences de l’informatique et invitent à réfléchir sur la délégation de nos décisions à des processus automatiques. Un état des lieux qui remet, intelligemment, les pendules à l’heure. "
" George Orwell, Aldous Huxley : "1984" ou "Le meilleur des mondes" ? | ARTE "
" Histoire croisée de George Orwell et d'Aldous Huxley, les auteurs des deux grands romans d'anticipation, "1984" et "Le meilleur des mondes". Ecrits il y a plus de 70 ans, ces deux romans trouvent un écho extraordinaire dans nos sociétés d'aujourd'hui : faits alternatifs, fake news, ultra-surveillance... Orwell et Huxley semblent avoir imaginé toutes les dérives de nos sociétés.
Avant l’ère de la surveillance généralisée, des fake news ou des bébés sur mesure, deux romans d’anticipation du XXe siècle ont alerté sur les dérives des sociétés démocratiques : Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley et 1984 de George Orwell, parus respectivement en 1932 et 1949. Écrits par deux Anglais, qui se croisent en 1917 au chic collège d’Eton − le premier, professeur dandy, y enseignait le français au second, Eric Blair de son vrai nom, boursier égaré dans l’institution −, ces livres mettent en scène des dystopies également cauchemardesques mais foncièrement divergentes. Quand Le meilleur des mondes annonce une aliénation consentie au travers d’une civilisation hédoniste, consumériste et eugéniste dans une Londres futuriste, 1984 dénonce la surveillance systématisée d’un régime totalitaire, sous l’œil terrifiant − et faussement rassurant − de "Big Brother". Si George Orwell a lu avec passion le roman de son aîné, l’ancien combattant du POUM (Parti ouvrier d’unification marxiste) en Catalogne pendant la guerre d’Espagne a été marqué par la violence et la propagande des fascismes en Europe comme du stalinisme en URSS. Issu d’une famille nantie de scientifiques et frère d’un biologiste eugéniste, Huxley, à son tour, jugera le livre d’Orwell "profondément important", mais ne partagera pas sa vision de l’avenir, qui ne peut, selon lui, se réduire à "une botte dans un visage". L'un redoute une dictature scientiste qui, en s’appuyant sur les biotechnologies, asservirait des individus programmés, quand l’autre imagine un État bureaucratique et répressif qui confisquerait la liberté de penser et la mémoire.
Monstre hybride
En confrontant les versions du "monde d’après" d’Aldous Huxley et de George Orwell, comme les itinéraires respectifs des deux écrivains, ce documentaire montre combien leurs œuvres visionnaires, qui ont en commun la manipulation du langage et la falsification de l’histoire, rencontrent les enjeux glaçants du monde contemporain, sorte de monstre hybride à la croisée de leurs romans. Éclairée par les analyses de critiques, d’écrivains (Boualem Sansal) et de philosophes (Cynthia Fleury), comme de l’émouvant témoignage du fils adoptif de George Orwell, Richard Blair, une relecture opportune, au temps de la surconsommation, des caméras à reconnaissance faciale, des réseaux sociaux ou encore des éructations de Donald Trump qui martèle : "Ce que vous voyez et lisez n’est pas la vérité."
" Neuro-fascisme, intelligence artificielle et résistance "
" Idriss Aberkane, essayiste et auteur de "Le triomphe de votre intelligence - Pourquoi vous ne serez jamais remplacé par des machines" aux éditions Robert Laffont est l'invité d'André Bercoff. "
" Des scientifiques affirment qu’il sera impossible de contrôler une IA superintelligente "
PUBLIÉ 27 SEPTEMBRE 2022
" L’idée de renverser l’humanité grâce à l’intelligence artificielle est discutée depuis des décennies, et en 2021, des scientifiques ont rendu leur verdict sur la possibilité de contrôler une superintelligence informatique de haut niveau.
Selon des scientifiques, le hic, c’est que pour contrôler une superintelligence qui dépasse de loin la compréhension humaine, il sera nécessaire de simuler cette superintelligence, qui pourra être analysée et contrôlée. Mais si les gens ne sont pas capables de comprendre cela, alors il est impossible de créer une telle simulation.
L’étude a été publiée dans le Journal of Artificial Intelligence Research .
Selon les scientifiques, il est impossible d’établir des règles telles que « ne pas nuire aux personnes » si les gens ne comprennent pas les scénarios que l’IA peut leur offrir. Une fois qu’un système informatique fonctionne à un niveau dépassant les capacités de nos programmeurs, alors plus aucune limite ne peut être fixée. "