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Citation de birdfree
Si on commence comme cela on aime plus grand monde de ce qui est musique ou art en général
être intêgre tu sais ce que cela veut dire ???? J'aime pas l'acte homo ...!!! et alors ...!!! ou est est le problème ?
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
FASCINATION DU FEU
Mon corps ondule
Sous tes paumes brûlantes
Ma peau gémit
Mes seins se tendent
Mes lèvres avides
Se gonflent de désir
Fesses cambrées
Tétons durcis
Mes sens embrasés
Réclamant
Ton hommage
Ta torche dressée
Enflamme mon sexe
Ivresse
Désir
Brasier où ton âme
Prend un goût d’incendie
Ma chair appelle ta peau
Je respire ton corps
Te lèche
Te mordille
Te dévore
Je hume ton odeur
Qui déculpe mon ardeur
Amour torride
Passion dévorante
Ah
Soumettre ma faim
Vaincre ma boulimie
Mais mon ventre t’appelle
Mes cuisses
Ruisselantes
Te réclament
Encore
Encore
Sans fin
Inassouvies
Amour à l’Infini
Démesure
Conjugaison d’éternelle avancée
Vers l’Absolu
Ah
Baise moi
Les lèvres
Fouille de ta langue
Les fruits cachés
De ma lascivité
Fait hurler ma forge rougeoyante
Sous tes coups de boutoir
Encore
Encore
Sans fin
Infinité de mon désir
Démesure
Vertige des plaisirs
De la chair
Immense faim de ton sexe
Appétit sexuel dévorant
Mes mains t’éventrent
Et te découvrent
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
GOUT PIMENT
Saveur pimentée
De son sexe
Fragrance poivrée
De son désir
Il vient
Son corps houleux se pliant à mes lèvres
Oscillation
Chavirement de mes pupilles
Rivées en son âme d'étang
Sucre de sa peau
Sel de sa sueur
Perlance de nos transparences
Il va en moi
Comme une houle
Marée secouée de bourrasques
Ballotant mon être consentant
Au delà de la jouissance
Traversant
Sexes accolés
Les portes multiples de l’extase
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
HOM’ MAGE
Mon ventre impérieux
M’éveille :
Mes reins se cambrent en appel de toi,
Mon échine frissonne
Du désir de ta peau
Pour courir
Tout au long de mes cuisses.
Fesses lovées contre toi
J’écoute le chant de tes paumes
Expertes
Ruisseler sur ma nuque.
Ton souffle dans mes cheveux
M’attise
Allume moi encore
Jusqu'à la jouissance
Montre moi le soleil de tes yeux
Que mon corps nu se pare
A la foudre de ton âme.
Embrase moi encore
Jusqu'à l’inaccessible
Que jaillissent des gerbes de flammes
Au réveil de nos offrandes volcaniques
Orgiaques agapes
Fusion totale de nos sens explosés
Où l’amour et la mort se rejoignent.
Désir de toi
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
IMPRESSION CHOCOLATEE
Ses yeux pailletés
Au long goût de noisettes
Se mélangent
A l'onctueux chocolat de son lourd regard
Impression de saveurs liquoreuses
Liquidités fondantes
Allongements
Harmonie de douceurs alanguies
Tendresse
Du coin des lèvres
Ses mains scintillent
A l'ombre de ses cheveux
...Là
Où sa bouche picore
De délicieux préludes.
Sous sa langue pétillent
De subtiles senteurs sucrées.
Gourmande
Elle se délecte
Des rondeurs sirupeuses aux suaves parfums
Des délices moelleux de ses lèvres pulpeuses...
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Aimons, foutons, ce sont des plaisirs
Qu'il ne faut pas que l'on sépare;
La jouissance et les désirs
Sont ce que l'âme a de plus rare.
D'un vit, d'un con et de deux cœurs
Naît un accord plein de douceurs
Que les dévots blâment sans cause.
Amaryllis, pensez-y bien :
Aimer sans foutre est peu de choses,
Foutre sans aimer, ce n'est rien.
Jean de La Fontaine
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de morganna
Aimons, foutons, ce sont des plaisirs
Qu'il ne faut pas que l'on sépare;
La jouissance et les désirs
Sont ce que l'âme a de plus rare.
D'un vit, d'un con et de deux cœurs
Naît un accord plein de douceurs
Que les dévots blâment sans cause.
Amaryllis, pensez-y bien :
Aimer sans foutre est peu de choses,
Foutre sans aimer, ce n'est rien.
Jean de La Fontaine
Oh que cela est bien vrai...
Est ce aussi ton credo ?
Humm
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Tiens il me plaît bien celui là
Si tu vois le dieu RA par hasard... mdrrr
Poésie coquine de la Marquise de Grignan, fille de Mme de Sévigné, écrite en 1660.
Ah ! vous dirais-je Maman
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène ?
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu
Auquel nous jouons tous les deux.
Il m'emmène dans le bois
Et me dit: "déshabille-toi ".
Quand je suis nue tout entière,
Il me fait coucher par terre,
Et de peur que je n'aie froid
Il vient se coucher sur moi.
Puis il me dit d'un ton doux :
"Écarte bien tes genoux"
Et la chose va vous faire rire
Il embrasse ma tirelire
Oh ! vous conviendrez Maman
Qu'il a des idées vraiment !
Puis il sort, je ne sais d'où
Un petit animal très doux,
Une espèce de rat sans pattes
Qu'il me donne et que je flatte.
Oh ! le joli petit rat !
D'ailleurs, il vous le montrera.
Et c'est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment.
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu'il a trouvée, le farceur,
Où vous situez mon honneur.
Mais ce petit rat curieux,
Très souvent devient furieux.
Voilà qu'il sort et qu'il rentre
Et qu'il me court dans le ventre.
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal.
Complètement essoufflé,
Il essaye de le rattraper.
Moi je ris à perdre haleine
Devant les efforts d'Eugène.
Si vous étiez là, Maman
Vous ririez pareillement.
Au bout de quelques instants
Le petit rat sort en pleurant.
Alors Eugène qui a la tremblote
Le remet dans sa redingote.
Et puis tous deux, nous rentrons
Sagement à la maison.
Mon cousin est merveilleux
Il connait des tas de jeux
Demain soir, sur la carpette
Il doit m'apprendre la levrette
Si vraiment c'est amusant
Je vous l'apprendrai en rentrant.
Voici ma chère Maman
Comment je passe mon temps.
Vous voyez je suis très sage.
Je fuis tous les bavardages
Et j'écoute vos leçons :
Je ne parle pas aux garçons.
Modifié il y a 7 ans, le dimanche 6 août 2017 à 17:12
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de birdfree
Tiens il me plaît bien celui là
Si tu vois le dieu RA par hasard... mdrrr
Poésie coquine de la Marquise de Grignan, fille de Mme de Sévigné, écrite en 1660.
Ah ! vous dirais-je Maman
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène ?
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu
Auquel nous jouons tous les deux.
Il m'emmène dans le bois
Et me dit: "déshabille-toi ".
Quand je suis nue tout entière,
Il me fait coucher par terre,
Et de peur que je n'aie froid
Il vient se coucher sur moi.
Puis il me dit d'un ton doux :
"Écarte bien tes genoux"
Et la chose va vous faire rire
Il embrasse ma tirelire
Oh ! vous conviendrez Maman
Qu'il a des idées vraiment !
Puis il sort, je ne sais d'où
Un petit animal très doux,
Une espèce de rat sans pattes
Qu'il me donne et que je flatte.
Oh ! le joli petit rat !
D'ailleurs, il vous le montrera.
Et c'est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment.
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu'il a trouvée, le farceur,
Où vous situez mon honneur.
Mais ce petit rat curieux,
Très souvent devient furieux.
Voilà qu'il sort et qu'il rentre
Et qu'il me court dans le ventre.
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal.
Complètement essoufflé,
Il essaye de le rattraper.
Moi je ris à perdre haleine
Devant les efforts d'Eugène.
Si vous étiez là, Maman
Vous ririez pareillement.
Au bout de quelques instants
Le petit rat sort en pleurant.
Alors Eugène qui a la tremblote
Le remet dans sa redingote.
Et puis tous deux, nous rentrons
Sagement à la maison.
Mon cousin est merveilleux
Il connait des tas de jeux
Demain soir, sur la carpette
Il doit m'apprendre la levrette
Si vraiment c'est amusant
Je vous l'apprendrai en rentrant.
Voici ma chère Maman
Comment je passe mon temps.
Vous voyez je suis très sage.
Je fuis tous les bavardages
Et j'écoute vos leçons :
Je ne parle pas aux garçons.
tres mimi !
lolll
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
l'amour au féminin !!!!!!!
Je veux sentir le continent de tes seins contre les miens
Je marche le long des quais de Seine
sous les rayons de la lune à Paris,
j’écoute le bruit de tes pas
à mes côtés,
ô mon Amazone de splendeur,
tes lèvres charnelles
m’honorent souvent d’un baiser
que je te rends au centuple,
la cathédrale Notre-Dame
nous apparaît maintenant,
notre hôtel nous attend.
A la lueur de la pleine lune,
je vois ta longue chevelure brune
pendue à la misaine de ton dos,
ta robe de soie blanche
me conte l’innocence de ta beauté,
et l’amphore de tes hanches.
Cette nuit, je veux t’aimer, te posséder,
sentir le continent de tes seins contre les miens,
car tu es mon Élue,
la Femme d’entre les Femmes,
celle que chantaient les prêtresses de Sappho.
Je veux tout à l’heure,
nue comme le vent des forêts,
t’entendre gémir dessous le faix du Plaisir,
t’emmener sur les rivages de la Jouissance,
et t’offrir dans le ciboire de mes mains
le Saint chrême de ta cyprine,
et nous nous endormirons dans la soie de la tendresse
jusqu’à nos prochains duels d’Eros
pour que vivent à jamais les lys de nos amours
si belles et si féminines !
Sophie Rivière
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Comment oublier l’ivoire de tes hanches
Comment oublier
l’ivoire de tes hanches,
la cathédrale de tes seins,
et l’hermine de ton pertuis,
ô ma Princesse de douceur,
toi qui es partie
un jour de décembre
pour parcourir le monde,
je t’ai attendue des jours,
des mois, et des années durant dans notre borde,
j’ai crié en vain ton nom de baptême
au vent, aux arbres, aux forêts, et à la pluie,
j’ai relu nos premières lettres d’amour,
et j’ai pleuré à l’évocation
de nos rimes de langueur,
quand tu te reposais le soir
parmi la crique de mes seins
arrogants et lourds
après nos duels d’Eros,
j’ai connu parfois pendant quelques heures
l’affection de quelques jeunes femmes
qui repartaient le matin venu,
je t’ai recherchée en vain dans le canton,
et les départements voisins,
cependant, je sais que tu me reviendras,
car nous sommes unies
comme les doigts de la main,
nous rependrons alors sur notre couche,
la folie de nos sens
afin que triomphent
la lumière du Désir,
et l’écume de notre Jouissance !
Sophie Rivière
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Nos chairs ont répondu à la soie de l’Amour
Je devine sous ta robe d’indienne
les lys arrogants de tes seins
qui se soulèvent à chacun de tes pas,
ô mon Amazone,
tandis que tu marches sur les paupières des étoiles,
dedans les rues de Paris,
ta longue chevelure brune
pend à la vergue de ton dos,
l’ombre connaît la scansion de tes escarpins,
et l’aurore de ta douceur.
Dans le ciel, veille la lune,
tu viens vers moi, je t’attends, anxieuse et fébrile,
je me rappelle tes caresses et le miel de notre Jouissance
sous la cime des chênes du Maine
depuis que, voilà peu,
nos chairs frémissantes ont répondu
à la soie d’or de l’Amour.
Je t’attends.
J’attends l’hymne de nos duels d’Eros,
je veux voir monter en tes yeux ton Désir,
ô ma Sirène,
tu t’approches, j’entends déjà
les craquements de l’escalier sous tes pas,
je t’ouvre ma porte, tu m’apparais, rayonnante,
et par ces mots que voilà, je t’offre à genoux,
moi qu ne suis qu’une humble poétesse,
que ta vassale si païenne,
cette poésie de félicité,
et de Passion
si douce et si féminine !
Sophie Rivière
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Il n’y a rien de plus beau au monde que la grâce de la Féminité
Dans les bocages,
s’élèvent des guenilles de brume,
des oiseaux griffent le glaive des cieux,
nous nous promenons, main dans la main,
nos robes volettent au gré du souffle
parmi les bois et les bocages du Maine,
nos bas de soie brasillent,
partout monte le motet du printemps,
je t’attire à moi, parfois,
ma Sirène, mon amante,
et je dépose sur l’aile de tes lèvres
le psaume d’un baiser,
tu es si belle
que les arbres des forêts te révèrent
et s’ouvrent au vent de tes escarpins,
ô toi qui es es ma Princesse, mon Élue.
Voilà peu, à ta vue, j’ai parjuré ma foi,
et je suis devenue tienne,
j’ai laissé derrière moi ma maison
et mon époux pour me consacrer à te chanter,
moi qui ne suis
qu’une humble poétesse,
tu m’as initiée aux
langueurs enflammées de la Chair,
et il se se passe pas d’instant
sans que je ne t’étreigne
sur notre couche
ou les mousses des forêts,
car il n’y a rien de plus beau au monde
que notre Jouissance,
et
la grâce de la Féminité !
Sophie Rivière
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
et oui !
ces poèmes sont ceux de sophie qui écris à sa dulcinée !
et j'aime ses poèmes!!
mais je préfèrerais être à sa place!
lol
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fredvienne (clôturé)
il y a 7 ans
Texte en dessous de la cravate
La goujate
Sa voisine la petite Nath
A en ce moment, la patate
Une charge en kilowatts
Quelque chose lui échappe
Installée dans son transat
Elle caresse sa petite chatte
A force elle devient tout moite
De ses mains elle est adroite
Il voit ca, il devient écarlate
La réaction est immédiate
Sa grosse queue bien droite
Elle ne regarde pas ses savates
Oublié ses problèmes de prostate
Il se sent fort comme Goliath
Il lui rend visite avec hâte
Ce n'est pas un cul de jatte
Il prend une capote dans la boite
Sa faille est forte étroite
Quelques va et vient, elle se dilate
Des coups de reins a péter des lattes
Elle adore l'amour vache, l'auvergnate
Soumise, elle se lance dans une cantate
Il envoie sa purée blanche comme la ouate
Elle se délecte de sa semence, la goujate
de kinkin !
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