" [INTERVIEW] Pr Martin ZIZI et Dr Joonas PARIKKA: L’urgence d’arrêter les vaccins ARN "
3 février 2024
" Pourquoi la technologie ARN — ne pourra pas remplir ses promesses avant 15–20 ans. Ses outils de contrôle ne sont pas encore développés, et cela explique les effets secondaires de ces « vaccins ». "
" Cette vidéo parle essentiellement des dommages gynécologiques et avortements « toxinaux » mais à partir de la minute 2, vers la fin, on voit Véran dont les mensonges sont exposés par l’imprimé avec les dates de fin des essais. "
" L’analyse du professeur Perronne concernant la loi sur les dérives sectaires : "Elle dépolitise la médecine et resanctuarise la relation entre le patient et son médecin"
16 février 2024
" Suite au vote du 14 février 2024 de la loi sur les dérives sectaires et de son article 4, qui a été rapidement réécrit dans la nuit du 13 au 14 février 2024, l’association BonSens.org proposait une analyse juridique en se réservant la possibilité de participer à sa demande de retrait en cas de saisine du Conseil constitutionnel.
Ce jour, le professeur Perronne propose une analyse plus complète que vous trouvez ci-dessous :
Plusieurs questions se posent sur cette loi qui devra encore passer l’étape de la commission mixte paritaire, revenir à l’Assemblée et être ensuite validée par le Conseil constitutionnel si des élus décident de le saisir (BonSens.org y participera si c'est le cas).
Si cette loi avait été en vigueur depuis le début de la crise Covid, les autorités auraient-elles tenu les mêmes discours ? Auraient-elles été d’une rigueur irréprochable pour ne pas tomber sous le coup de cette loi ?
1 – Le ministre de la Santé Olivier Véran en 2020 aurait-il imposé le port du masque en population générale malgré l’absence d’arguments concernant son efficacité ? Aurait-il prévenu des effets délétères potentiels du port du masque prolongé chez les enfants, comme l’a montré, parmi d’autres, une étude publiée ?
2- Le ministre de la Santé aurait-il prévenu la population qu’il n’existait aucune preuve scientifique que le confinement et le couvre-feu auraient un quelconque impact sur l’épidémie et que les risques pour la santé mentale et l’économie seraient trop grands ?
3 – Le ministre de la Santé se serait-il levé d’indignation, comme nous l’avons fait dans le New England Journal of Medicine, contre les surdosages toxiques d’hydroxychloroquine de l’étude clinique de l’OMS Recovery, augmentant le risque de transfert en soins intensifs et de mort aux patients hospitalisés de cette étude ? Aurait-il parlé du risque accru de détérioration respiratoire par un effet shunt ? Aurait-il essayé de convaincre les promoteurs de l’essai de baisser les doses et de donner le traitement plus précocement au regard des données favorables publiées à cette époque par plusieurs équipes dans le monde ?
4 – Le ministre de la Santé aurait-il réagi vigoureusement aux données frauduleuses de l’étude parue dans le Lancet et rétractée quelques jours plus tard ? Aurait-il rapidement demandé aux équipes responsables des études cliniques françaises Discovery et Hycovid de reprendre leur cours malgré des résultats prometteurs de l’IHU-Méditerranée et de l’hôpital de Garches ?
5 – Le président de la République, le 12 juillet 2021, se serait-il opposé à la vaccination obligatoire de certaines professions, au regard de l’absence de données sur la transmission et des données insuffisantes sur la sécurité des vaccins ?
6- Les députés français se seraient-ils opposés farouchement au passe vaccinal, sachant que l’on ne pouvait pas imposer en population un vaccin expérimental sur lequel il n’y avait aucun recul, sans faire prendre de gros risques à la population pour un virus dont la létalité était très faible pour les moins de 65 ans ? Ce, d’autant que les conventions internationales interdisent l’administration forcée d’un produit expérimental.
7 – Le ministre de la Santé Olivier Véran aurait-il prévenu les Français, comme il l’avait précisé au Conseil d’Etat, que le vaccin ne protégeait pas de l’infection ni de la transmission ? Les aurait-il prévenus que les nouveaux vaccins Covid-19 n’avaient été testés que sur peu de personnes et sur une courte période et que l’ampleur des effets indésirables était loin d’être connue ? Aurait-il mis en garde qu’il était imprudent de vacciner les jeunes, sans facteur de risque contre le Covid, puisque rien n’était connu sur les effets secondaires potentiels à moyen et long terme ?
8 – Plutôt que de déclarer que les vaccins Covid-19 n’entraînaient aucun effet secondaire, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau en 2023 aurait-il commenté aux Français les chiffres officiels en France et à l’étranger de la fréquence de ces effets secondaires déclarés et les chiffres de mortalité ? "
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Les médecins de plateau donneurs de leçons remis à leur place "
" Liens pharmaceutiques non déclarés, affirmations contraires aux données sanitaires. Ou comment les ténors de la doxa médicale reçoivent une piqûre de rappel.
on Sens est une association composée notamment des professeurs Christian Perronne, Gérard Guillaume, Martin Zizi, Amine Umlil, Laurent Toubiana, Christian Vélot, Pierre Chaillot, Jean-Yves Capot, Olivier Frot, Corinne Reverbel, Laurent Pelé, Jean-Paul Bourdinaud, Jean-François Lesgards et Xavier Azalbert de France-Soir. Dans un communiqué de presse récent, ces personnalités donnent une leçon d’éthique scientifique aux médecins de plateau trop prompts à oublier leurs conflits d’intérêts et à ignorer la réalité des données officielles. Covidhub reproduit ci-dessous leur communiqué in extenso.
Un groupe de médecins, chercheurs et sociétés dites « savantes » ont signé une tribune dans laquelle ils déclarent du haut de leur autorité qu’ils sont précupés par « les dérives constatées sur les réseaux sociaux et dans certains médias à grande audience, qui partagent et diffusent de fausses informations scientifiques et médicales ».
Par cette première déclaration, ils sous-entendent qu’ils feraient partie de ceux qui n’ont jamais diffusé de fausses informations scientifiques et médicales.
Ceci est donc un première fausse information. La démonstration en est fort simple grâce à ce petit florilège d’infox véhiculées par des signataires de cette tribune.
Citons quelques exemples emblématiques :
Le Dr Jérôme Marty en juin 2021 au sujet du vaccin Covid-19 avec sa déclaration dans les Grandes Gueules de RMC, sur les « milliers d’années de recul sur le vaccin quand on additionne en quelque sorte le temps de chaque personne qui a été vaccinée».
Pour le Professeur Rémi Salomon au sujet du vaccin AstraZeneca le 12 mars 2021 : “Il est aussi efficace que le vaccin Pfizer, le seul inconvénient, c’est qu’il donne un peu de fièvre chez certains”, oubliant de signaler les alertes données par plusieurs pays du Nord de l’Europe à ce sujet. Pourtant il était informé de cela, puisqu’il avait déclaré lors de la même interview “la suspension du vaccin AstraZeneca dans plusieurs pays est curieuse”.
Quelques éléments importants sur le vaccin AstraZeneca que le Professeur Rémi Salomon ne peut ignorer :
Le 11 mars 2021 le Danemark, la Norvège et l’Islande ont suspendu par précaution l’utilisation du vaccin AstraZeneca contre la Covid-19, en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins.
En France, il faudra attendre le 19 mars 2021, soit 8 jours plus tard, pour que des recommandations officielles de la HAS (Haute autorité de santé) soient publiées, de ne plus utiliser ce vaccin chez les moins de 55 ans.
Malheureusement le 18 mars 2021, le jeune Anthony Rio, 24 ans, succombera de thromboses et d’AVC massifs après une injection d’AstraZeneca avec une causalité du vaccin reconnue.
Le Professeur Molimard déclarait le 16 mars 2021 dans l’Express : «Nous n’avons pas de signal inquiétant sur le vaccin Astrazeneca», soit 3 jours seulement avant que la HAS demande son retrait pour les moins de 55 ans.
Le même Professeur Rémi Salomon, le 25 août 2021, lorsqu’il publiait sur son compte twitter que «le vaccin reste le meilleur rempart pour limiter la propagation» du virus et «l’émergence de nouveaux variants, il en faut dans le monde entier», alors que le 26 août 2021 le Pr Delfraissy déclarait sur Europe1 que «le vaccin n’apporte pas une protection contre l’infection (…). On peut être vacciné, être protégé contre la survenue d’une forme sévère ou grave mais s’infecter et infecter les autres».
Dans le Complément d’enquête du 14 avril 2023 (à partir d’1h03min17sec source vidé, le documentaire montre que le Professeur Alain Fischer avait déclaré au sujet des troubles menstruels post-vaccination le 30 août 2021 : «Il n’y a aucune donnée scientifique solide qui laisse craindre un tel risque. C’est typiquement une fakenews», alors que dans le même temps l’ANSM (Agence du médicament) avec le réseau des CRPV (pharmacovigilance) avait conclu en juillet 2021 qu’il s’agissait d’un signal potentiel pour les vaccins à ARNm.
Et que dans son rapport du 11 aout 2021 , l’EMA (Agence Européenne du Médicament) écrivait que même si aucune association causale n’avait été établie à cette époque, cet effet indésirable potentiel était toujours sous surveillance. "
" Profession gendarme a publié le 17 février dernier un article de Guy Boulianne paru l’année dernière et présenté comme un hommage au Pr Luc Montagnier. A la lecture, beaucoup auront relevé qu’il était aussi très polarisé sur Alexandra Henrion-Caudé et sur Emilie Mugabo, mise en avant dans ce « dossier ». A la demande de cette dernière qui n’a pas du tout apprécié la manœuvre et les réactions, Profession gendarme vous partage aujourd’hui ce qu’elle a écrit aux personnes qui la ciblaient sur le forum et son avis sur ce dossier Montagnier et l’actualité.
@ Phil75 et June , laquelle écrivait entre autres ceci : « il est clair que madame AHC n’avait et n’a aucun intérêt personnel matériel à informer ces pauvres cobayes que nous sommes, bien au contraire.
Entre cette noble personne hautement qualifiée et Emilie Mugabo, journaliste surgie du néant, laquelle pourrait bien chercher à se faire un nom ? »
Emilie Mugabo : « Le néant auquel vous faites référence est rempli de petites gens qui n’aspirent pas à briller dans la complosphère mais n’hésitent pas non plus à témoigner de leur vécu ou à appeler un chat un chat quand ils en ont assez de voir les masses baladées par des gens aux conflits d’intérêts aussi évidents que votre idole généticienne ou encore le Didier Raoult. Ne vous en déplaise, j’existe ! Quand et là où j’en ai envie. Et vous, n’avez-vous même pas un nom ?
Profession gendarme a publié le 17 février dernier un article de Guy Boulianne paru l’année dernière et présenté comme un hommage au Pr Luc Montagnier. A la lecture, beaucoup auront relevé qu’il était aussi très polarisé sur Alexandra Henrion-Caudé et sur Emilie Mugabo, mise en avant dans ce « dossier ». A la demande de cette dernière qui n’a pas du tout apprécié la manœuvre et les réactions, Profession gendarme vous partage aujourd’hui ce qu’elle a écrit aux personnes qui la ciblaient sur le forum et son avis sur ce dossier Montagnier et l’actualité.
@ Phil75 et June , laquelle écrivait entre autres ceci : « il est clair que madame AHC n’avait et n’a aucun intérêt personnel matériel à informer ces pauvres cobayes que nous sommes, bien au contraire.
Entre cette noble personne hautement qualifiée et Emilie Mugabo, journaliste surgie du néant, laquelle pourrait bien chercher à se faire un nom ? »
Emilie Mugabo : « Le néant auquel vous faites référence est rempli de petites gens qui n’aspirent pas à briller dans la complosphère mais n’hésitent pas non plus à témoigner de leur vécu ou à appeler un chat un chat quand ils en ont assez de voir les masses baladées par des gens aux conflits d’intérêts aussi évidents que votre idole généticienne ou encore le Didier Raoult. Ne vous en déplaise, j’existe ! Quand et là où j’en ai envie. Et vous, n’avez-vous même pas un nom ?
Pour rappel, l&rsquoyde de graphène génère comme par hasard lui aussi des maladies à prion. Et cela est documenté, comme cet article de 2018 déniché par Dominique Guillet:
« Comment le graphène affecte le mauvais repliement de la protéine prion humaine: Une étude combinée expérimentale et de simulation de dynamique moléculaire
Cette étude, de 2018, est intitulée “How Graphene Affects the Misfolding of Human Prion Protein: A Combined Experimental and Molecular Dynamics Simulation Study.” [1]
Compte tenu de la large application du graphène dans le domaine biomédical, il est urgent et important d’évaluer comment le graphène affecte la structure et la fonction des protéines dans notre corps, en particulier les protéines amyloïdes. La protéine prion, qui est une protéine amyloïde typique, se replie mal et s’agrège, ce qui entraîne de graves maladies à prion. Afin d’explorer si le graphène favorise ou inhibe la formation de l’amyloïde, nous avons combiné les méthodes de simulation expérimentale et de dynamique moléculaire (MD) pour étudier l’influence du graphène sur le domaine globulaire de la protéine prion (PrP117-231). Les résultats de l’extinction de la fluorescence et du spectre de dichroïsme circulaire ont montré que l’ajout de graphène modifiait largement la structure secondaire de la protéine prion, reflétant principalement la réduction de la structure en α-hélice et l’augmentation de la structure en bobine, indiquant que le graphène peut renforcer l’inclinaison du prion à se replier. Afin de découvrir le mécanisme du changement de conformation du prion sous l’induction du graphène, des simulations MD tout atome dans un solvant explicite ont été réalisées.
Nos simulations suggèrent que la protéine prion peut être rapidement et étroitement adsorbée sur le graphène avec un faible réarrangement conformationnel et peut se réorienter lorsqu’elle s’approche de la surface. La force de Van der Waals est le moteur du processus d’adsorption. Lors de l’induction du graphène, les régions des boucles H1 et S2-H2 du prion deviennent instables et le prion commence à se replier partiellement. Notre travail montre que le graphène peut induire le mauvais repliement de la protéine prion et peut causer un risque potentiel pour les biosystèmes. [1] »
" Les sociétés pharmaceutiques abandonnent discrètement les vaccins à ARNm face à l’augmentation des décès soudains"
19 février 2024
" Alors que les morts subites continuent de grimper en flèche dans le monde entier, les laboratoires pharmaceutiques ont discrètement laissé tomber les vaccins à ARNm, qui ont été à plusieurs reprises liés au phénomène.
Depuis le lancement public des vaccins à ARNm anti covid au début de l’année 2021, les morts subites et inattendues sont montées en flèche.
Des pics massifs d’insuffisance cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de cancers et de syndrome d’immunodéficience acquise vaccinale (SIADV) – qui sont tous des effets secondaires de l’injection d’ARNm – ont fait grimper en flèche les chiffres de la surmortalité à l’échelle mondiale.
L’idée des vaccins à ARNm remonte aux découvertes de Robert Malone à la fin des années 1980.
Malone n’a pas été en mesure de les poursuivre et les brevets ont été cédés au géant pharmaceutique Merck.
Merck a passé la fin du siècle dernier à échouer coûteusement dans le développement d’un produit.
L’idée aurait pu rester en suspens s’il n’y avait pas eu le 11 septembre et le curieux épisode, immédiatement après, où des lettres contenant des spores d’anthrax ont été envoyées à des sénateurs et à des médias.
Ces lettres, prétendument envoyées par un scientifique mécontent de l’armée américaine, ont tué cinq personnes et en ont infecté 17 autres.
À l’époque, le monde était déjà ébranlé par l’utilisation d’avions comme missiles et s’inquiétait de la menace du bioterrorisme.
En 2018, une société pharmaceutique, à la recherche de nouveaux vaccins contre la variole, a recréé le virus disparu de la variole en utilisant uniquement la chimie de l’ADN.
Si les conditions sont favorables, la culture de tissus infectés par le virus renaissant se réplique d’elle-même.
La possibilité de recréer la variole n’est devenue que trop évidente.
On pense généralement, même si ce n’est pas officiel, que la pandémie de COVID-19 a commencé par la fuite d’un virus manipulé par des scientifiques américains et chinois qui collaboraient. "
" Un embaumeur retire des caillots fibreux blancs de la veine jugulaire et suggère que le vaccin contre le COVID est responsable "
20 février 2024
" « Quelle en est la cause ?Je ne peux pas le dire avec certitude, mais je n’ai commencé à observer ce phénomène qu’au début de l’année 2021. Malheureusement, je trouve encore des caillots étranges dans plusieurs corps que j’embaume. » "
VIDÉO
" Une vidéo choquante circulant sur les réseaux sociaux montre un embaumeur en train de retirer un caillot fibreux blanc et caoutchouteux d’une veine jugulaire, ce qui, selon lui, est une conséquence du vaccin contre le COVID-19.
L’embaumeur Richard Hirschman rejoint Alex Jones pour discuter de l’apparition mystérieuse de caillots sanguins étranges et caoutchouteux trouvés dans les cadavres suite à l’introduction du vaccin contre le COVID-19 :
« Il s’agit d’une vidéo dans laquelle je retire l’un des étranges caillots fibreux blancs de la veine jugulaire droite. La personne qui l’a enregistrée est Nicky King, qui est également embaumeur. Je ne l’ai remarqué que lorsque j’ai soulevé le vaisseau. Je pouvais le sentir à l’intérieur de la veine », a écrit Richard Hirschman, directeur de pompes funèbres et embaumeur, sur X dimanche. "
" Une analyse indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHU-Méditerranée Infection donne des résultats encore meilleurs que ceux initialement annoncés par les équipes de l’IHU "
19 février 2024
" Réunis autour du Professeur Christian Perronne, Valère Lounnas (PhD de chimie théorique appliquée aux protéines et ancien chercheur à l'EMBL-Heidelberg), Pr. Eleftherios Gkioulekas (PhD, School of Mathematical and Statistical Sciences, University of Texas), Dr Marc Rendell, (MD Rose Salter Medical Research Foundation), Dr Alexis Lacout et Xavier Azalbert (économétricien, directeur de la rédaction de France-Soir) ont analysé de manière autonome et indépendante les données des 30 423 patients pris en charge par l’IHUM ( Institut Hospitalo-Universitaire-Méditerranée Infection). Deux faits marquants :
La bithérapie utilisée à l'IHUM diminue de 58 % le passage en soins intensifs et décès, montre l'étude indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHUM.
L'AP-HM, sous la responsabilité de François Crémieux, a donné son accord à l'exploitation des données dans un but de publications scientifiques. Ce qui vient mettre un terme aux affirmations non étayées du Pr Molimard qui a qualifié cette étude "d'essai sauvage".
Le Professeur Perronne déclare :
"L’équipe a fait un travail très précis alliant la rigueur mathématique et méthodologique nécessaire à l’analyse d’une base de données de type Big data avec les compétences cliniques essentielles."
Une étude autorisée par l’AP-HM dirigé par François Crémieux
Les patients analysés sont ceux du pôle de maladies infectieuses de l’AP-HM (Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille) soignés à l'IHU-Méditerranée pendant la phase aiguë de l'épidémie (de mars 2020 à décembre 2021). Cette clarification importante permet de resituer les responsabilités des uns et des autres notamment en matière de soins et de recherche clinique. L’AP-HM est donc le responsable administratif des soins, de la collecte des données et de leur utilisation. Et c’est dans cette optique que l’AP-HM, aujourd’hui représentée par son directeur général François Crémieux, a donné son accord pour l’exploitation des données à but de publications scientifiques dans l’intérêt de la science médicale. Les autorisations 2020-151 et 2020-152, que France-Soir a pu consulter, établit que les études des Pr Million et Pr Lagier sur la Covid sont inscrites au registre des activités de traitements de l’AP-HM pour la période du 27 avril 2020 étendue jusqu’au 31 décembre 2021. Ceci est bien sûr une des missions d’un pôle d’expertise internationalement reconnu comme celui de l’IHUM. Ces éléments contredisent les affirmations non étayées du Pr Molimard de l’université de Bordeaux, opposant affiché aux travaux de l’IHU, qui a déclaré sans l’étayer factuellement que ces données constituaient un "essai sauvage". Contactés par France-Soir à plusieurs reprises, François Crémieux et Mathieu Molimard n'ont jamais été disponibles pour répondre à ces points spécifiques.
Les résultats de l’étude indépendante confirment les résultats des chercheurs de l’IHUM "
" Les autorités américaines admettent l’absence de surveillance active des effets à long terme des vaccins contre le COVID-19 "
Publié 20 février 2024
" Lors d’une audition organisée le 15 février par la sous-commission spéciale sur la pandémie de coronavirus, les autorités sanitaires américaines ont éludé la question de savoir si la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis menait activement une surveillance prolongée de la sécurité des personnes ayant reçu les premiers vaccins contre le COVID-19.
La représentante Nicole Malliotakis (R-N.Y.) a demandé au Dr Peter Marks, directeur du Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA, si la FDA menait une surveillance active et s’il existait des marqueurs de santé spécifiques qu’elle étudiait et qui pouvaient signaler des tendances nécessitant une enquête plus approfondie.
« Chaque fois que nous procédons à la surveillance de la sécurité, nous revenons en arrière, jusqu’en 2020. Dans certains cas, lorsque nous recherchons certaines choses, nous pouvons utiliser une fenêtre différente, mais en fait, nous devons commencer par le début de la période de surveillance. Je peux laisser la parole au Dr Jernigan, car il peut parler au nom des CDC [Centers for Disease Control and Prevention] à ce sujet », a déclaré le Dr Marks.
« En ce qui concerne la myocardite, nous avons certainement surveillé le problème à l’aide de différents systèmes de données. Je pense que les données les plus récentes démontrent que le risque de myocardite est environ huit fois moins élevé chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées« , a répondu le Dr Daniel Jernigan, directeur du Centre national des maladies infectieuses émergentes et zoonotiques des CDC.
La députée Malliotakis a dit à M. Jernigan qu’elle voulait tout savoir, et pas seulement sur la myocardite. "
" L'Angleterre souffre de décès d'un million de vaccins Covid en seulement 2 ans "
15 février 2024
" L'alarme de nouvelles données officielles du gouvernement britannique montre que l'Angleterre a subi un million de décès stupéfiants dus aux vaccins Covid à l'ARNm Covid en seulement deux ans.
La population vaccinée en Angleterre a souffert d'un nombre excessif de décès par rapport à la population non vaccinée.
Selon le département du gouvernement britannique connu sous le nom d'Agence de santé du Royaume-Uni (UKHSA), au 3 juillet 2022, 18,9 millions de personnes avaient refusé la première dose de l'injection COVID-19, 2,8 millions de personnes avaient refusé la 2e dose de l'injection de COVID-19, aux côtés de 2,6 millions de personnes qui avaient reçu la première dose mais refusé la seconde, et 30,4 millions de personnes avaient refusé la troisième injection de Covid-19 aux côtés de 8,9 millions de personnes qui avaient reçu la deuxième dose.
Selon les chiffres de l'UKHSA, 63,4 millions de personnes étaient éligibles à la vaccination à ce stade.
Par conséquent, 18,9 millions de personnes ont refusé le vaccin contre le COVID-19 en Angleterre et sont restées complètement vaccinées.
Mais en plus de cela, 2,6 millions de personnes ont refusé une deuxième dose, ce qui signifie que 21,5 millions de personnes n'ont pas été vaccinées deux fois, et 8,9 millions de personnes ont refusé une troisième dose, ce qui signifie que 30,4 millions de personnes n'ont pas été vaccinées en triple.
En juillet 2022, 30 % de la population anglaise n'était toujours pas vaccinée. 34 % de la population anglaise n'a pas été vaccinée en double, et 50 % de la population n'ont pas été vaccinées trois fois.
Cependant, comme le montre le graphique suivant, la population vaccinée dans son ensemble a représenté 95 % de l'ensemble des décès dus à la COVID-19 entre janvier et mai 2023, tandis que la population non vaccinée ne représentait que 5 %.
Mais c'est le fait que ces décès ne sont pas parmi la population vaccinée en une seule dose et en deux doses qui est vraiment horrifiante.
La grande majorité fait partie des 4x vaccinés, cette population représentant 80 % de tous les décès dus à la COVID-19, et 83 % de tous les décès dus à la COVID-19 parmi les personnes vaccinées.
Ainsi, cela dit, les chiffres suivants publiés par l'Office for National Statistics (ONS) dans leur ensemble de données « Deaths by Vaccination Status », qui peuvent être consultés sur le site web de l'ONS hereici, ou téléchargés ici, permettent d'y lire encore plus horrible.
Les graphiques suivants montrent des décès toutes causes confondues par statut vaccinal entre le 1er juillet 2021 et le 31 mai 2023 par groupe d'âge.
Chaque graphique peut être développé en cliquant dessus pour voir les chiffres plus clairement.
Les décès non vaccinés sont indiqués en premier dans chaque groupe d'âge et les décès vaccinés sont indiqués plus en suivant dans chaque groupe d'âge. "