" Covid aux États-Unis : confinement, port du masque, mortalité... Un grand jury de Floride publie ses premières conclusions "
20 février 2024
" Un peu plus d’une année après avoir été autorisé par la Cour suprême de l’État de Floride à se constituer, le grand jury, sollicité par le gouverneur républicain de cet État, Ron DeSantis, a publié un rapport dans lequel il détaille ses premières conclusions à propos du port de masque et du confinement durant la pandémie de Covid. Le document précise que l’enquête suit son cours et doit encore obtenir les témoignages et les preuves de la part des représentants des Centers for Disease Control (CDC) ou de la Food & Drug Administration (FDA), deux institutions parmi les plus décriées par les Américains et les scientifiques durant la pandémie.
En décembre 2022, la Cour suprême de l’État de Floride avait autorisé le gouverneur républicain, Ron DeSantis, à constituer un grand jury afin d’enquêter sur les fabricants de vaccins anti-Covid ARNm. De Santis avait accusé ceui d’avoir "induit en erreur” l&rsquoinion publique et d’avoir fait “de fausses déclarations, en particulier en ce qui concerne l'efficacité” de leurs traitements.
Au début du même mois, il avait annoncé une pétition en vue de constituer ce grand jury. "Une des raisons pour laquelle je pense que cela a été une mauvaise réponse à la pandémie est que depuis le tout début, vous avez fait preuve de beaucoup d'arrogance (...) Quiconque exprimait une opinion dissidente a été censuré dès le premier jour. Les gens qui écrivaient des choses contre le confinement en mars ou avril 2020 en ont subi les conséquences”, avait-il dénoncé.
Les confinements “n’étaient pas une bonne idée”
Un mois plus tard, il annonçait sa décision de faire de son État “un refuge pour la santé mentale” en luttant contre “l’Etat de sécurité biomédicale” que "l'establishment médical, la bureaucratie les médias et même le président des États-Unis, tentent, ensemble, d’imposer à la société”. Il ciblait particulièrement les Centers for Disease Control (CDC) et Anthony Fauci, conseiller médical de la Maison-Blanche pendant la pandémie de Covid et directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIH), qui était derrière l’article "The Proximal Origin of SARS-CoV-2" devant servir à imposer le discours selon lequel l’origine du virus était “naturelle”. "
" Le documentaire « Silence, on vaccine » a été préparé par Lina Moreco entre 2006 et 2009. Lina Moreco était une réalisatrice québécoise reconnue et acclamée de nombreuses fois… Malheureusement, le hasard du calendrier a vu la sortie de son film coïncider avec la pseudo-pandémie de grippe H1N1 (en septembre 2009), tant et si bien que, sous la pression des lobbys pharmaceutiques, il a été retiré de la vente deux mois après sa sortie (avec promesse de le rendre rapidement accessible au public, après avoir ôté les passages concernant le docteur Wakefield). Onze ans plus tard, ce documentaire n'est toujours pas disponible…
Pourtant, ce documentaire ne remettait pas en cause le principe vaccinal. Il ne faisait que soulever la question des effets secondaires, systématiquement sous-estimés dans les pratiques médicales. Mais la vaccination est une religion qui ne souffre aucune critique, ni aucune remise en question.
Cette vidéo ne m'appartient pas et je ne la revendique pas. Mon but est de porter ces éléments à la connaissance de ceux qui sont intéressés. Pour enrichir une vision du monde dans lequel chacun à le droit de se poser des questions. "
il y a 2 mois
Modifié il y a 10 mois, le jeudi 22 février 2024 à 10:05
" L’oms se dégage de toutes responsabilités, l’agence Européenne du médicament aussi et montrent du doigt la responsabilité des états dans la gestion de la crise Covid. "
" Les Français ont compris que les vaccins Covid-19 étaient inefficaces et dangereux et n’en veulent plus "
Jeudi, 22 Févr. 2024
" En février 2024, le ministère français de la santé continue de recommander les injections covid même aux enfants jeunes en prétendant que le Covid est menaçant [1].
Pourtant, depuis la fin de la vague Omicron qui a conféré une solide immunité à la population, il n’existe que très peu de nouveaux malades en France (moins de 1000 par jour) comme le montre le graphique ci-dessous illustrant les données de l’OMS. "
" Le vaccin à ARNm contre le COVID peut « se propager de façon systémique » dans le placenta et chez les nourrissons des femmes vaccinées pendant la grossesse "
23 février 2024
" Un nouveau rapport suggère que le vaccin à ARNm ne reste pas au point d’injection après la vaccination, mais qu’il peut « se répandre de manière systémique » dans le placenta et le sang du cordon ombilical des nourrissons des mères vaccinées au cours de la grossesse.
Dans une préreuve acceptée pour publication dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, les chercheurs ont présenté deux cas qui démontrent, pour la première fois, la capacité des vaccins contre le COVID-19 à pénétrer la barrière fœto-placentaire et à atteindre l’intérieur de l’utérus. En outre, les chercheurs ont détecté la protéine spike dans le tissu placentaire, ce qui indique la bioactivité de l’ARNm dans l’atteinte du placenta.
Les chercheurs ont vacciné deux femmes enceintes avec des vaccins à ARNm peu avant l’accouchement afin de déterminer si l’ARNm des vaccins contre le COVID-19 atteignait le placenta ou le fœtus après la vaccination de la mère.
« L’objectif principal de l’étude était d’étudier les lacunes dans les connaissances entourant les thérapies à ARNm pendant la grossesse, en utilisant le vaccin contre le COVID-19 comme base pour les futurs développements thérapeutiques à ARNm, compte tenu de son utilisation établie », a déclaré l’auteur correspondant de l’étude, le Dr Nazeeh Hanna, néonatologiste, à The Epoch Times par courrier électronique.
Les chercheurs trouvent du vaccin à ARNm dans les échantillons "
" Pfizer annonce 17 nouveaux traitements en France d'ici à 2026 "
23 février 2024
" Le butin issu du Covid-19 n'était peut-être qu'un début pour Pfizer, qui prévoit de lancer 17 nouveaux traitements dans l'Hexagone au cours des deux prochaines années. Sans surprise, thérapies géniques et vaccins sont au programme.
La France représente le 5ᵉ marché mondial pour Pfizer, et le 2ᵉ marché européen. Le laboratoire américain mise donc gros sur le pays, prévoyant d'y commercialiser des "traitements, vaccins et extensions d’indications dans les champs de l’oncologie, de la prévention vaccinale, des maladies rares et inflammatoires, et des anti-infectieux".
Parmi ces 17 nouveaux traitements, trois antibiotiques sont en phase de développement, notamment pour les "cas d'impasse thérapeutique", selon le PDG de Pfizer France. Comme le rapporte Capital, Pfizer a aussi déposé des dossiers auprès de l'Agence européenne du médicament pour deux thérapies géniques de traitement de l'hémophilie. Le laboratoire travaille aussi sur "une thérapie génique dans la myopathie de Duchenne", qui provoque des dégénérescences musculaires.
Ces innovations font partie d'un plan d'investissement d'un milliard d'euros entre 2022 et 2026, rien que pour la France.
En janvier dernier, le dirigeant du groupe Albert Bourla assurait fièrement : "Nous abordons 2024 avec des bases solides". Il n'anticipe pas moins que 58,5 à 61,5 milliards de dollars en guise de chiffre d'affaires pour cette année. "
" Les « boosters » anti Covid bloquent les défenses naturelles contre le cancer, selon une étude "
24 février 2024
" Une nouvelle étude, qui fait l’effet d’une bombe, met en garde contre le fait que les injections de rappel de Covid empêchent les défenses naturelles de l’organisme de prévenir les cancers et autres maladies mortelles.
Les scientifiques à l’origine de l’étude ont constaté que les injections dites « de rappel » étaient liées à des niveaux plus élevés d’anticorps IgG4.
Après les injections, la capacité de l’organisme à activer les globules blancs est altérée.
En raison de la surproduction d’anticorps IgG4, les injections d’ARNm anti covid détruisent la défense naturelle de l’organisme contre toutes les autres infections et divers cancers.
En outre, il est prouvé que les injections de rappel altèrent les facettes les plus critiques du système immunitaire, à savoir la fonction des lymphocytes T CD4+ et CD8+.
Alberto Boretti, auteur principal et scientifique de l’article, a utilisé la base de données Google Scholar pour réaliser son étude.
Boretti, professeur de recherche en génie mécanique à l’Université des sciences et technologies du Missouri, n’a pas trouvé de preuves suffisantes pour suggérer que la vaccination de rappel répétée chez les personnes immunodéprimées est sûre ou efficace, comme l’affirment les autorités sanitaires.
Au contraire, le professeur Boretti a trouvé des preuves montrant que les vaccins de rappel à ARNm contre le covid entravent activement l’activation des lymphocytes T CD4+ et CD8+.
Lorsqu’il s’agit de surveiller les agents pathogènes, d’y répondre et de les éliminer, ces lymphocytes T sont deux des éléments les plus importants du système immunitaire.
Ces lymphocytes T aident également l’organisme à réagir aux allergènes et aux tumeurs.
Les lymphocytes T CD4+ sont responsables de l’activation d’autres cellules immunitaires.
Elles coordonnent la réponse immunitaire contre d’autres infections et aident les lymphocytes B à créer des anticorps. "
" Accélération du vieillissement visible chez les vaccinés Covid
Selon le Dr Hervé Seligmann, les données fournies par le lanceur d'alerte Barry Young confirment une détérioration de la santé des injectés assimilable à un vieillissement précoce. Il a depuis reçu plusieurs témoignages de ces "coups de vieux" post-vaccinaux. "
16 février 2024
" L’affaire Barry Young
Barry Young
Si c’est arrivé ici, c’est certainement arrivé partout. Il faut plus de gens comme moi pour se lever contre cela. N’ayez pas peur. Allez-y ! Faites-le, un point c’est tout. Moi, je ne peux plus porter ce secret.
Statisticien au ministère de la Santé néo-zélandais, Barry Young jouissait d’un accès privilégié aux bases de données gouvernementales, ce qui lui a permis d’analyser les données, les recouper pour en faire une analyse révélatrice.
Choqué par la découverte de taux de mortalité atteignant les 20% pour certains lots de vaccins Covid-19, il a estimé qu’il était dans l’intérêt public de divulguer ces statistiques. Ceci lui a valu une arrestation et une inculpation, que nous évoquions dans un article en décembre 2023.
Données reprises par le Dr Hervé Seligmann
Le Dr Hervé Seligmann est biologiste statisticien, spécialiste de la biologie moléculaire de l’ARN et de la biologie évolutive. Avec son collègue Haim Yativ, il fut le premier à alerter le public sur l’augmentation de la mortalité liée aux injections Covid en analysant les données des autorités de santé, dès les premières semaines de la campagne de vaccination Pfizer en Israël. Il a ensuite poursuivi ses analyses sur la base des statistiques communiquées à l’échelle mondiale, afin de déterminer l’impact des injections Covid sur la mortalité globale, en observant par exemple les pics liés aux campagnes de rappel et aux différentes doses injectées.
Grâce à ces données, le Dr Hervé Seligmann (voir encadré) est aujourd’hui en mesure non seulement de confirmer ces résultats, mais aussi d’affiner ces recherches.
Dès le début de la vaccination, il avait lui aussi observé le fait que de nombreuses personnes mouraient dans la semaine suivant l’injection. Et à mesure que la vaccination progressait, il semblait bien se dégager une corrélation entre des pics de mortalité et les campagnes de vaccination successives de la population néo-zélandaise.
Il explique dans un entretien accordé au média Dépêches Citoyennes que l’on observe chez les vaccinés Covid-19 une accélération précoce de la mortalité, comparaison faite avec les non-vaccinés, ce qui correspond à une diminution de l’espérance de vie.
" Il s’agit d’un coup d’État de l’ère digitale comme l’humanité n’en a jamais connu.
Il fut un temps. Ce qui semblait se dérouler était une énorme erreur intellectuelle pour les livres d’histoire. Un nouveau virus était apparu et tout le monde paniquait et détruisait tout fonctionnement social normal.
L’excuse s’est avérée n’être qu’une histoire de couverture. Néanmoins, elle mérite d’être examinée.
Même si de nombreux commentateurs extérieurs ont déclaré que l’agent pathogène devait être traité de manière normale – avec un traitement connu et dans le calme, tandis que les personnes les plus sensibles restaient prudentes jusqu’à l’endémie – certaines personnes à l’intérieur du pays ont été victimes d’une grande erreur. Ils en sont venus à croire les modèles informatiques plutôt que les réalités connues. Ils pensaient qu’il suffisait de séparer tout le monde, de réduire le nombre d’infections et que le virus s’éteindrait.
Ce scénario n’a jamais été plausible, comme le rappellent tous ceux qui connaissent un peu l’histoire des pandémies. Toute l’expérience connue s&rsquoposait à ce stratagème de cocagne. Les données scientifiques étaient très claires et largement disponibles : les confinements ne fonctionnent pas. Les interventions physiques en général ne donnent rien.
Mais, bon, ils ont dit qu’il s’agissait d’une expérience née d’une nouvelle pensée. Ils allaient tenter l’expérience.
Lorsqu’il est devenu évident que les pro-confinements avaient pris le dessus sur les politiques, beaucoup d’entre nous ont pensé, vraiment, combien de temps cela peut-il vraiment durer ? Une semaine, peut-être deux. Ensuite, nous en aurions terminé. Mais il s’est passé quelque chose d’étrange. L’argent a commencé à affluer. Et il a coulé à flots. Les États ont pensé que c’était génial et ils ont continué. Les imprimeurs de monnaie se sont mis au travail. Un chaos général s’est installé : social, culturel, éducatif, économique et politique.
Tout s’est passé très vite. Les mois ont passé sans que le récit ne s’interrompe. Au bout d’un moment, c’est devenu de la folie. Il y avait si peu de critiques. Nous ne le savions pas, mais ils étaient réduits au silence par une nouvelle machinerie déjà construite à cet effet.
Parmi les critiques censurées, il y avait celles qui portaient sur la potion d’inoculation qui était en train d’être lancée et qui allait finalement être imposée aux populations du monde entier. On disait qu’elle était efficace à 95 %, mais on ne savait pas très bien ce que cela pouvait signifier. Aucun coronavirus n’avait jamais été contrôlé par une vaccination. Comment cela pouvait-il être vrai ? Ce n’était pas vrai. La vaccination n’a pas non plus permis d’enrayer la propagation. "
" Sommet international de crise sur la Covid, à Washington, la France représentée par Perronne, Darles et Pavan "
23 février 2024
Document
" Le professeur Perronne à Washington pic.twitter.com/qTJzXbXhXW
— VERITY France (@verity_france) February 23, 2024
Des représentants politiques et scientifiques du monde entier sont réunis à Washington , la délégation française comprend Christian Perronne , Emmanuelle Darles et Vincent Pavan
Aux cotés de grands scientifiques tels que
@RWMaloneMD,
@Kevin_McKernan
@DrDMartinWorld
@JesslovesMJK
@PierreKory
Kevin Mckernan un des plus grands généticiens au monde explique sa découverte de l’ADN plasmidique dans les vaccins ARN. Ainsi que les conséquences très inquiétantes que cela représente
L’intégralité de la journée sera disponible ici (actuellement en direct) https://vimeo.com/event/4090318/embed/43a3dafe89… "
" Tests de sécurité du "va x in" à ARNm : de 10 ans à... "
" Épisode 5 de la partie II de notre série consacrée au contexte médical occidental actuel.
Dans cet épisode, il est question d’Anthony Fauci (le plus haut responsable de la santé publique aux États-Unis jusqu’en 2022, conseiller médical en chef du président des États-Unis Joe Robinette Biden) et de la durée des essais cliniques réalisés avant la mise sur le marché des « va x ins » à ARNm.
Avant 2020, il fallait entre 7 et 10 années pour tester un nouveau vaccin.
Quelle a été la durée des tests destinés à notre sécurité avec les « va x ins » à ARNm ? "