" L'avocat Gilles-William Goldnadel confesse s'être trompé sur la vaccination et souffre de palpitations cardiaques
Quand tu traînes trop avec les racailles de l'Etat Profond, cela peut se retourner contre toi !
L'avocat Gilles-William Goldnadel confesse s'être trompé sur la vaccination et souffre de palpitations cardiaques "
" Tremblement de terre hier en Allemagne
Un tremblement de terre gigantesque a eu lieu hier en Allemagne. Mais bien sûr les médias français détenus par des milliardaires proches du pouvoir, n'ont toujours pas écrit une ligne sur le sujet.
Hier le grand journal, Berliner Zeitung titrait qu'il fallait donné la Croix… "
pic.twitter.com/pQBnarmRGO
— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) April 17, 2024
Citation de iseult
Y'a longtemps que la complotiste parano ne m'avait pas citée !
Elle ferait mieux de balayer devant sa porte et de voir la poutre dans son oeil avant la paille, qui souvent ne se trouve pas, dans les yeux des autres !
Notamment, ça lui va bien de se moquer des jeux de mots pourris dont elle-même use et abuse !
Quelle pôv' fille !!!
toujours aussi sensible...
"au point j'ai"...compris.....
(toujours à demander aux autres à balayer...
devant leur porte ....
la concierge..)
et les autres poufs non...!
d'ailleurs c’est pour ça...
que j'n'ouvre jamais d'topic...!
bon allez l'ambiance est assez "au pressing"...
pour que j'en rajoute pas une couche...
sourire....
ps l'amitié "top conne à poussette" et "la conciergerie"...
n'a pas durée longtemps....
à peine tournés les talons...
Modifié il y a 6 mois, le vendredi 19 avril 2024 à 02:55
" Analyse des « vaccins » Covid-19 effectuée par Prof. Lorena Diblasi and Dr. Marcela Sangorrín "
19 avril 2024
VIDÉO
" La chercheuse Pr Lorena Diblasi déjà évoquée dans un article à PG montre ce qu’elles ont trouvé avec le Dr Marcela Sangorrin dans les fioles de diverses sociétés criminelles mais qu’elles attribuent sans ambages à la DARPA pour leur fabrication..
Elle souligne aussi les entraves et l’inertie de la justice à tous les niveaux y compris fonctionnaires soit en raison de la corruption ou des menaces. Les constats faits devant notaire pour être probants ne font réagir personne. Leurs avocats sont empêchés de consulter les dossiers des poursuites comme des victimes.
pourquoi venir te déverser ici ?
qui t'a sifflé ? je ne te demande pas comment tu vas parce que nos derniers échanges n'avaient rien qui me donne envie d'y revenir... quant à tes histoires de poussette et de je n'sais quoi, passer sur ta page (clic par erreur, sûrement),...incompréhensibles
j'te rappelle que je ne bois pas, moi, je fume
pourquoi venir te déverser ici ?
qui t'a sifflé ? je ne te demande pas comment tu vas parce que nos derniers échanges n'avaient rien qui me donne envie d'y revenir... quant à tes histoires de poussette et de je n'sais quoi, passer sur ta page (clic par erreur, sûrement),...incompréhensibles
j'te rappelle que je ne bois pas, moi, je fume
Me déverser ..?
lol..
ton cerveau te joue des tours...
dés fois, peut être...
le rhume des foins obscurcie-t-il
la corrélation entres tes neurones...
surtout au printemps ...non..?
mdr...
je sais pas si tu connais le mot "démocratie"...
je vais où je veux...
quand je veux sur les espaces publiques...
vu...?
là si t'es méfu..?
tu devrais vite pécho l'ambiance...!
Modifié il y a 6 mois, le samedi 20 avril 2024 à 03:31
L'industrie pharmaceutique est essentielle à la santé publique contemporaine, jouant un rôle vital dans la création et la distribution de traitements indispensables. Néanmoins, elle est souvent critiquée, particulièrement pour son approche des maladies non rentables. Ces critiques incitent des chercheurs indépendants à scruter de plus près ses pratiques et politiques.
Un exemple notable est l'épisode de la chloroquine, popularisé par le Professeur Didier Raoult. Ce cas a exposé des débats complexes sur l'efficacité et la sûreté des antibiotiques pour traiter certaines infections. Il est crucial de reconnaître que la controverse autour de la chloroquine requiert une évaluation détaillée et objective, basée sur l'ensemble des données scientifiques accessibles.
Le terme d'escroquerie médicale est parfois mentionné dans ces discussions. Il est crucial d'aborder ces accusations avec une rigueur scientifique, car elles nécessitent des preuves concrètes et une compréhension détaillée du processus de recherche, développement et commercialisation des médicaments.
L'éthique en santé publique est au centre de ces enjeux. Les traitements doivent être non seulement efficaces mais aussi sécuritaires pour les patients, impliquant une surveillance et une évaluation constantes des effets indésirables. Une critique bien fondée peut aboutir à des améliorations importantes dans la formulation et l'application des médicaments.
Les investigations sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique sont vitales pour identifier des comportements problématiques. Ces enquêtes doivent être menées de manière éthique et objective. La gestion transparente des conflits d'intérêts, fréquents dans la recherche médicale, est nécessaire pour préserver la confiance publique et l'intégrité de la recherche.
De plus, il convient d'éviter les théories du complot non étayées qui peuvent discréditer les recherches sérieuses et altérer la perception publique des problématiques de santé. Une démarche mesurée et basée sur des preuves est cruciale pour assurer que les débats et décisions dans ce domaine soient fondés sur des informations scientifiques fiables et non sur des conjectures erronées.
L'industrie, en collaboration avec des chercheurs, régulateurs, et professionnels de la santé, doit continuellement s'efforcer de s'améliorer et de s'adapter aux nouveaux défis sanitaires tout en adhérant à des normes éthiques strictes. La transparence, la responsabilité et la coopération sont indispensables pour que l'industrie pharmaceutique puisse continuer à répondre aux besoins de la santé publique mondiale, tout en faisant l'objet d'un contrôle et d'une régulation adéquats. "
25509 vues Sortie le 18 avr. 2024
251 commentaires
Modifié il y a 6 mois, le samedi 20 avril 2024 à 12:12
" Un fonctionnaire de l’OMS témoigne que les conseils contre les passeports vaccinaux ont été ignorés pour poursuivre le déploiement numérique "
19 AVRIL 2024
" Les gouvernements avaient l’intention de déployer cette technologie controversée et invasive contre toute attente.
Le docteur Hanna Nohynek, fonctionnaire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré à un tribunal que la recommandation qu’elle avait faite au gouvernement finlandais pendant la pandémie était que le “passeport vaccinal” n’était pas nécessaire.
Nohynek, qui est également médecin en chef de l’Institut finlandais de la santé et du bien-être, a déclaré qu’au moment de l’annonce des programmes controversés, sa position était que les vaccins Covid n’étaient pas efficaces pour stopper la transmission du virus et que, par conséquent, les “passeports vaccinaux”, conçus pour prouver le statut vaccinal d’une personne et créer une société de contrôle, étaient superflus.
Breaking news. Learn what was testified today at Helsinki district court by Hanna Nohynek Senior physician of Finnish Institute of Health and Welfare (THL) and chair of Strategic Advisory Group of Experts on Immunization at WHO. @positvfi @DrAseemMalhotra @MikaVauhkala pic.twitter.com/oF0WfVr4o2
" Laurent Truchot, haut magistrat français, empêche-t-il la justice d’être rendue dans l’affaire des contrats d’acquisition de vaccins contre la covid ? "
19 avril 2024
" Laurent Truchot, haut magistrat français siégeant au tribunal de première instance de l’Union européenne, empêche-t-il la justice d’être rendue dans l’affaire des contrats d’acquisition de vaccins contre la COVID 19 conclus par Ursula von der Leyen pour la Commission Européenne et Albert Bourla PDG de Pfizer ?
France-Soir engagé dans une démarche de transparence, afin de fournir une information factuelle, avait fait la demande à la Commission européenne, sur le fondement de l’article 41 de la Charte des Droits Fondamentaux (Droit à la Transparence) d’accorder l’accès à « l’ensemble des contrats d’acquisition de vaccins contre la COVID-19 conclus par la Commission Européenne avec les sociétés pharmaceutiques PFIZER Inc/BION’TECH – MODERNA – JANSEEN non caviardés. » Une démarche louable eu égard aux récentes déclarations du président Macron et de la présidente de la Commission européenne von der Leyen quant à leur combat « contre la désinformation ». Un combat qui ne peut pas être à géométrie variable au risque de bafouer les droits des citoyens. Comment est-il possible de déclarer, lutter contre la désinformation, et ne pas vouloir faire la transparence sur les contrats qui permettent à un média de valider l’information ! C’est une forme d’entrave au métier du journaliste et au droit du citoyen d’avoir accès à l’information. "
" L’EMA a-t-elle organisé un essai de thérapie génique au prétexte du Covid (1/3) ? "
17 avril 2024
"En ignorant les risques sur le génome, l'agence évite la réglementation sur les OGM et ouvre la voie au marché de l'ARNm
VIDÉO
Article de Mathilde Debord publié sur Le Point critique :
Fin novembre 2023, des députés européens ont rendu publique la réponse de l’EMA (Agence européenne des médicaments) à la lettre dans laquelle ils l’exhortent à suspendre l’homologation des injections Pfizer et Moderna. Ils estiment notamment qu’elles ne sont pas des vaccins, mais produits assimilables à des OGM, dont les risques spécifiques n’ont jamais été évalués. Nous démontrons à travers une série de trois articles pourquoi ces injections sont des produits de thérapie génique relevant de la législation sur les OGM (partie 1) et comment l’EMA a exploité le droit européen pour les exclure de cette catégorie (partie 2), permettant aux laboratoires de conduire légalement un essai sauvage de thérapie génique (partie 3).
La lettre adressée le 4 octobre 2023 à l’EMA n’a pas été publiée, mais on peut en reconstituer le contenu à partir des réponses de l’EMA. Les parlementaires contestent notamment le fait que les injections Pfizer et Moderna ont été homologuées comme des vaccins et non comme des produits de thérapie génique, les deux définitions s’excluant mutuellement en droit européen. Sur ce principe, pour l’EMA, elles ne peuvent en aucun cas modifier le génome des personnes vaccinées, ce qui est aujourd’hui démenti par la littérature scientifique.
L’évaluation de la sécurité des injections anti-Covid est basée sur le postulat qu’elles ne sont pas des produits de thérapie génique
Bien que la thérapie génique soit l’indication historique des vaccins ARNm, la Commission européenne a exclu les vaccins contre les maladies infectieuses de cette catégorie en 2009 [1], lorsqu’elle a organisé la législation encadrant les médicaments de thérapie innovante. Cette exclusion a été confirmée en 2015 [2] par un second document, qui précise qu’un produit de thérapie génique doit impérativement remplir ces deux conditions :
sa composition et son mécanisme d’action doivent avoir pour effet de « réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique », ce qui correspond typiquement au fonctionnement des vaccins ARNm Covid-19 [3] ;
cet effet doit être l’objectif dans lequel le produit est administré [4].
D’autres définitions moins restrictives leur confèrent pourtant officiellement ce statut, notamment un document de 2015 rédigé par la FDA (note 1, page 3). Ce n’est qu’en 2018 que l’Agence a ajouté à cette définition « l’intention de modifier ou manipuler l’expression d’un gène » selon une finalité thérapeutique. L’Organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers [5] et la Société américaine de thérapie cellulaire et génique (ASGCT) estiment tous les deux que les vaccins ARNm Covid-19 sont des produits de thérapie génique leur permettant d’interagir avec l’ADN, mais sans le modifier de manière irréversible. Le laboratoire Pfizer confirme que ce procédé, appelé « transfection », relève de la thérapie génique :
La fabrication de thérapies géniques est difficile et gourmande en ressources, certaines étapes distinctes des autres types de médicaments, vaccins et traitements étant à l’étude. Cela comprend la transfection. "
" En avril 2024, comment oser encore promouvoir les injections expérimentales anti-covid inefficaces et dangereuses ? "
20 avril 2024
" Pourquoi promouvoir encore de pseudo-vaccins anti-Covid, inutiles, et démontrés inefficaces et dangereux ?
Le gouvernement, les ARS, la Haute Autorité de Santé, la Caisse d’assurance maladie et toutes les médias subventionnés font actuellement la promotion pour la nouvelle campagne d’injection anti-covid du 15 avril 2024 pour les personnes âgées ou fragiles.
En 2021, lors de la mise sur le marché, Ils pouvaient être dupes de l’utilité de ces injections du fait de la propagande mensongère prétendant qu’ils étaient efficaces à 95% et sans dangers.
Mais les données publiées par l’OMS ont depuis totalement démenti ces allégations, tandis que chacun constate que de plus en plus de vaccinés souffrent de complications diverses parfois graves voire mortelles.
Alors pourquoi font-ils la promotion de faux vaccins, inefficaces, dangereux alors que l’épidémie est terminée ?
Rappelons-leur les faits établis.
Les injections anti-covid proposées en France ne sont pas des vaccins
Un vaccin contient des antigènes obtenus à partir de souches de virus ou de bactéries inactivées, d’antigènes purifiés ou d’analogues antigéniques, afin de susciter une réaction immunitaire pour aider à un patient de se débarrasser d’un agent infectieux déjà présent (vaccin thérapeutique), ou de rendre le vacciné résistant au germe ciblé (vaccin préventif).
Les injections anti-covid ne sont pas des vaccins car elles ne contiennent aucun antigène.
Ce sont des médicaments à ARN messager dont le but est de forcer nos cellules à fabriquer un antigène contre lequel notre système immunitaire réagira. Ce médicament préventif ne nécessite pas de cultiver, d’inactiver ou de fragmenter le germe à combattre et est donc beaucoup plus facile, plus rapide et moins couteux à fabriquer, qu’un vrai vaccin. Mais il ne créée un seul antigène en quantité et pour une durée imprévisibles alors qu’un vaccin classique contient souvent une association de plusieurs antigènes garants de son efficacité.
Ces injections expérimentales ont été affublées du nom de vaccin dans un but uniquement commercial pour les faire accepter par la population.
Les injections anti-covid ont été inefficaces
Un vrai vaccin empêche les vaccinés d’être malades, de transmettre la maladie et les protège de la mort. Une unique injection du vaccin contre la fièvre jaune protège le vacciné à vie contre la maladie. D’autres vaccins (comme le vaccin anti grippal) ne protègent que pour une faible durée et/ou qu’une partie des vaccinés.
Les données de l’OMS prouvent que les injections anti-covid ne protègent pas réellement les vaccinés de la maladie et sont incapables d’éviter les transmissions comme l’illustre l’évolution de l’épidémie en France et la comparaison dans les différents pays selon leur politique vaccinale.
En France, l’explosion des cas Omicron est survenue alors que le taux de vaccinés atteignait 80%.
Dans le monde, ce sont les pays vaccinés qui ont le plus souffert de l’épidémie après la vaccination.
La propagande officielle prétendant que les injections préviendraient les formes graves est démentie par les données de l’OMS montrant que ce sont les pays les plus vaccinés qui ont souffert des mortalités les plus élevées.
La comparaison France/Algérie est d’autant plus démonstrative que les deux pays ont le même taux de personnes âgées de plus de 65 ans.
Ceci est confirmé par la plus forte mortalité des double vaccinés en Grande-Bretagne.
Les faux vaccins ont été suivis de complications fréquentes et parfois graves
Toutes les classes d’âge vaccinées ont souffert de complications, des plus âgées aux plus jeunes. "
En réponse à une plainte que nous avons reçue en vertu du Digital Millennium Copyright Act des États-Unis, nous avons bloqué l'accès à ce contenu à partir de nos applications. "