" Un footballeur professionnel attaque Pfizer en justice pour blessures répétées
Le joueur de football François-Xavier Fumu Tamuzo, contraint de mettre un terme à sa carrière à 29 ans seulement en raison de blessures récurrentes, soupçonne un lien avec le vaccin Pfizer-BioNTech qu'il a reçu. Il a décidé d'assigner les laboratoires en justice pour faire la lumière sur cette affaire. "
Depuis ses deux injections de vaccin en juillet et août 2021, suivies d’une troisième dose en mars 2022, le joueur du Stade Lavallois enchaîne les problèmes de santé. Des blessures au genou à répétition, puis une rupture du tendon d’Achille, l’ont éloigné des terrains et l’ont poussé à prendre sa retraite anticipée. Bien qu’il ne se considère « ni anti-vaccin ni complotiste » (sans doute est-il obligé de le préciser), ces événements ont éveillé des doutes chez le footballeur formé à Auxerre.
Contraint de prendre sa retraite à 29 ans pour une multitude de blessures, l'ancien Lavallois François-Xavier Fumu Tamuzo a assigné les laboratoires Pfizer et BioNTech pour déterminer si le vaccin contre le Covid19 a pu avoir un impact sur son corps. https://t.co/sBBKw1KXNt pic.twitter.com/auZNCGsa0g
— L'ÉQUIPE (@lequipe) April 26, 2024
Selon France Bleu Mayenne, François-Xavier Fumu Tamuzo a donc décidé de saisir la justice pour obtenir des réponses. Son avocat, Éric Lanzarone, explique que son client est dans une errance médicale depuis deux ans et qu’aucun médecin n’a évoqué la possibilité d’effets indésirables du vaccin. Pourtant, ces derniers existent et ne peuvent être niés.
Rappelons que Martine Gardénal, ancien médecin de l’équipe olympique, avait sonné l’alarme sur Ligne Droite : "
" Martine Gardénal: «Une étude belge montre une perte de puissance de 40% chez les sportifs vaccinés. On perd la moitié des résultats!»
@Houdiakova
#LigneDroite #Vaccin "
" Obligation vaccinale pour les militaires et gendarmes – Entretien de Maitre Guyon avec l’APNM Militaires Libres
Maitre David Guyon reçoit Franck, le Président de l’APNM Militaires Libres (association professionnelle nationale de militaires). Si le militaire a bien évidemment des devoirs, il a aussi des Droits. Ces Droits écrits dans le Code de la Défense sont trop souvent méconnus par la profession, hiérarchie comprise, certainement par héritage d’une culture d’obéissance aux ordres. "
28 avril 2024
VIDÉO
" L’APNM Militaires Libres a donc vu le jour, sous l’élément déclencheur qu’était la vaccination obligatoire covid19 au sein des Armées, afin d’informer ces professionnels sur leurs droits devant cette nouvelle campagne médicale promue parfois de façon coercitive avec menaces, sanctions, mutations, etc.
Le militaire, de par sa profession et ses potentielles opérations extérieures, reçoit plus de vaccins que tout citoyen. Toutefois, c’est écrit dans les textes, le médecin doit avoir le consentement du militaire.
Certains d’entre eux ont préféré s’abstenir pour cette injection covid-19 étant informés qu’il s’agissait d’une injection expérimentale sous AMM conditionnel (autorisation de mise sur le marché).
Les conséquences d’un refus vaccinal sont prévues dans les textes comme avec la vaccination contre la grippe : pas d&rsquoérations extérieures ou de missions en Outre-Mer par exemple. En cas de refus ou de réticence pour cette nouvelle injection expérimentale covid19, il y a eu pression morale, harcèlement pour extorquer le consentement. "
" Cela bouge toujours autant en Allemagne, chaque jour, suite aux révélations des #RKIFiles dont les médias français ne parlent toujours pas.
En photo, Jan Josef Liefers un acteur très populaire et connu en Allemagne. Il avait fustigé les mesures Covid, il a été mis au banc de la profession, fustigé, traité de tous les noms, censuré des réseaux sociaux etc.
Il était soudain devenue une non-personne, un ennemi de l’État susceptible de mettre en danger la démocratie.
La journaliste qui écrit l'article du jour révèle :
"J'étais une journaliste, une représentante des médias, qui ne savait pas trop de quel côté elle se trouvait. J'ai fait confiance au gouvernement fédéral et à ses mesures, mais j'ai aussi compris les gens qui critiquaient les mesures ou ne se faisaient pas vacciner. J'ai parlé au téléphone avec mon amie Tinna en Suède, où il n'y avait presque aucune mesure".
Maintenant les Allemands se rendent compte qu'il avait raison sur tout... C'est bien ce mea-culpa des médias allemands, à quand en France ? "
" Traité de pandémie : l'OMS ne sait-elle pas ce qu'est une pandémie ?
L'accord de pandémie et les nouvelles réglementations sanitaires internationales doivent être adoptés à la fin du mois de mai. Mais les définitions soulèvent des questions. "
20.04.2024
" Le monde sera-t-il bientôt gouverné à partir de Genève ? Si l'on croit certains commentaires et pétitions récents, l'Assemblée mondiale de la santé de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) nommera le Directeur général de l'OMS à la fin du mois de mai, avec l'adoption de l'accord de pandémie et la réforme du Règlement sanitaire international, pour nommer le Directeur général de l'OMS pour une sorte de dictateur mondial qui peut déclarer une pandémie à volonté et envoyer les peuples du monde enfermer ou les soumettre à la vaccination.
Le monde sera-t-il bientôt gouverné à partir de Genève ? Si l'on croit certains commentaires et pétitions récents, l'Assemblée mondiale de la santé de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) nommera le Directeur général de l'OMS à la fin du mois de mai, avec l'adoption de l'accord de pandémie et la réforme du Règlement sanitaire international, pour nommer le Directeur général de l'OMS pour une sorte de dictateur mondial qui peut déclarer une pandémie à volonté et envoyer les peuples du monde enfermer ou les soumettre à la vaccination.
Si l'on croit que les partisans de l'accord de pandémie, il est aussi inoffensif que l'initiative qui aurait dû de prendre de l'avance pour prévenir de futures pandémies et sauver des millions de vies dans la coopération mondiale. Bien qu’aucun accord n’ait encore été conclu sur plusieurs points, ils plaident en faveur d’une conclusion rapide, sinon, selon Karl Lauterbach, risquerait « de perdre l’élan de la pandémie ».
Quiconque parle de « la pandémie » aujourd'hui signifie Corona. Nous pensons à des images de magasins fermés, de terrains de jeux fermés et de visages masqués. Mais qui se souvient encore de la grippe porcine 2009 ? Il s'agissait également d'une pandémie pour l'OMS. L'accord sur la pandémie n'est que l'exemple le plus marquant des efforts visant à établir le domaine de la prévention des pandémies, de la préparation et de la réaction des PPP comme pilier indépendant de l'architecture mondiale de la santé. "
" Afin de savoir où en était PFIZER après 3 années fructueuses sur le plan financier, il était temps de faire un point sur sa situation financière « réelle ».
L’objectif est de l’analyser dans le but d'éclairer le grand public, mais également certains analystes financiers qui font davantage de l’analyse graphique de cours boursiers que de l’analyse financière réelle.
L’analyse se concentre sur les fondamentaux en laissant de côté toute appréciation éthique sur ce qu’a fait, fait ou fera PFIZER :
Quelles informations clés apparaissent dans ce document officiel dont nul ne parle depuis sa publication dans la partie dite « littéraire » du document ?
Qu’en est-il de la situation bilancielle à court terme (sous 12 mois) du groupe PFIZER ?
Qu’en est-il de l’évolution de son activité et de sa capacité d’autofinancement libre dégagée (= Free Cash-Flow = différence entre recettes totales en trésorerie moins sorties totales en trésorerie) ?
PFIZER a réalisé une acquisition importante fin 2023 avec l’achat de SEAGEN spécialisée en produits d’oncologie (anti cancéreux). Ce relai de croissance est-il opportun sur le plan stratégique et financier ?
Que penser et que faire devant cette analyse ?
CA PAXLOVID (PFIZER) 2023 : 1 279M$ (-93,24%)
CA PAXLOVID (PFIZER) 2022 : 18 933 M$ (+248,11%)
CA PAXLOVID (PFIZER) 2021 : 76 M$ (NS : + ∞)
Face à ce constat de baisse drastique des ventes de ses produits « stars » mais également «vaches à lait » telles qu’on les appelle dans les matrices du ton Consulting Group, PFIZER doit trouver des relais de croissance.
Le 14 décembre 2023, PFIZER a finalisé l'acquisition de SEAGEN, société mondiale de biotechnologie qui découvre, développe et commercialise des médicaments transformateurs contre le cancer avec quatre médicaments en cours de développement (Padcev, Adcetris, Tukysa et Tivdak).
Cette acquisition détaillée plus loin est le relai de croissance sur lequel table PFIZER.
Cela n’étonnera aucun investisseur bien avisé. Il reste à voir si le coût d’acquisition largement financé à crédit et sur des durées TRES longues (40 ans pour certaines tranches de financement obligataires) sera supportable en termes de capacité de remboursement sans recours à des fonds extérieurs complémentaires.
Rentrons davantage dans le détail.
A ce stade, sans polémiquer mais en restant factuels, notons que outre l’oncologie et les anticoagulants, PFIZER se positionne sur les traitements des principaux effets secondaires reprochés à tort ou à raison à son vaccin «COVID » : les cancers et les thromboses/péricardites/myocardites.
Pour être juste, ces deux segments d’activité représentent les pathologies majeures sur lesquels des progrès encore significatifs restent à faire et concernent des milliards de patients au niveau mondial.
Le chiffre d'affaires des opérations hors des États-Unis, qui s'élève à 31,4 milliards de dollars (Md$ pour rappel), représente 54 % du chiffre d'affaires total en 2023.
Le PAXLOVID est vendu essentiellement aux agences gouvernementales.
Certains de ces contrats gouvernementaux peuvent être renégociés ou résiliés à la discrétion d'une entité gouvernementale. Les vaccins en dehors des États-Unis sont principalement vendus à des institutions gouvernementales et non gouvernementales.
Beaucoup s’interrogent sur les modalités d&rsquotroi des AMM conditionnelles dont a bénéficié PFIZER pour avoir pu commercialiser ses vaccins COVID.
Dans le contexte d'urgences de santé publique, comme la pandémie de COVID-19, PFIZER a pu demander à la FDA (Federal and Drugs Administration) une « Emergency Use Authorization » (EUA) qui, si elle est accordée, permet la distribution et l'utilisation de ses produits pendant l'urgence déclarée, conformément aux conditions énoncées dans l'EUA, à moins que l'EUA ne soit résiliée par le gouvernement… américain.
Un passage fait quelque peu sourire en lisant ceci (version traduite) dans la rubrique « Lutte contre la corruption ».
« Le FCPA interdit aux entreprises américaines et à leurs représentants d'offrir, de promettre, d'autoriser ou d'effectuer des paiements à un fonctionnaire ou à un membre du personnel d'un gouvernement étranger, à un parti politique ou à un candidat politique en vue d'obtenir ou de conserver un marché à l'étranger. Le champ d'application de la FCPA inclut les interactions avec certains professionnels de la santé dans de nombreux pays. D'autres pays ont adopté des lois et/ou des réglementations anti-corruption similaires. » "
" Coup de théâtre : le labo AstraZeneca avoue pour la première fois que son vaccin peut provoquer des effets secondaires "
29 avril 2024
" Quatre ans après l’arrivée de la pandémie à Coronavirus, les langues se délient. En tout cas, si jusqu’ici, les laboratoires ont catégoriquement nié toute responsabilité dans les effets secondaires de leur vaccin, ce n’est plus le cas d’AstraZeneca qui vient de reconnaître que son vaccin peut provoquer des effets secondaires.
C’est du moins la révélation faite, ce 28 avril 2024, par le média britannique The Telegraph. En effet, d’après cette source, le laboratoire AstraZeneca a reconnu, pour la première fois dans des documents transmis à la justice, que son vaccin peut déclencher chez les personnes vaccinées des effets secondaires.
Selon les informations fournies par la même source, AstraZeneca fait face à une plainte déposée contre son laboratoire par des personnes qui accusent son vaccin d’avoir provoqué la mort mais aussi de sérieuses blessures chez une douzain de personnes à qui il a été administré.
Toujours selon les mêmes informations obtenues par le média britannique, les avocats des plaignants affirment que le vaccin produit des effets secondaires qui ont eu des effets dévastateurs chez leurs clients. Parmi les victimes, figure James Scott, père de deux enfants qui souffre d’une lésion cérébrale qui l’empêche de travailler. Cet incident est survenu en avril 2021 lorsqu’il a été vacciné. A en croire The Telegraph, sa femme a été prévenue par l’hôpital que James allait perdre sa vie.
Il est important de souligner que jusque-là, AstraZeneca avait complètement nié les faits. Mais, acculé par les familles des victimes, le laboratoire a fini par admettre que son vaccin « peut, dans des cas très rares, causé des effets secondaires ».
AstraZeneca has admitted for the first time in court documents that its Covid vaccine can cause a rare side effect, in an apparent about-turn that could pave the way for a multi-million pound legal payout https://t.co/OpkWtytjrv
" Ottawa injecte 36 millions de dollars supplémentaires dans un fonds pour les personnes gravement blessées ou tuées par les vaccins Covid.
Les bureau fédéraux locaux sont pris d'assaut face à l'explosion des effets secondaires graves et décès "
" Dans les prochaines années, les moutons vont aller se faire vacciner toutes les semaines je pense....
Incroyable le titre de Bild avec le point d'exclamation... "
" Après investigation, le Dr Mike Yeadon ne croit plus aux méchants virus "
2024-04-28
" Je suis formellement convaincu que les maladies respiratoires aiguës que nous appelons rhumes et grippes (« maladies de type grippal ») ne sont pas causées par des particules infectieuses submicroscopiques appelées virus et qu’elles ne sont pas contagieuses.
Pour un certain nombre d’autres maladies attribuées à des virus, telles que le « VIH/SIDA » et la « polio », j’ai suivi la piste des preuves suffisamment loin pour affirmer également qu’il n’y a aucune preuve qu’elles soient causées par de tels virus. Au contraire, et comme pour le « Covid-19 », elles sont plus justement appelées syndromes (puisque les symptômes allégués varient dans des proportions extraordinaires) et sont des attributions erronées d’un ensemble d’autres maladies. Dans chaque cas, les personnes sont réellement malades. C’est simplement que le diagnostic est erroné et qu’il n’est pas viral.
J’ai lu qu’il n’a jamais été possible de répondre à des attentes raisonnables en matière d’isolement pour un virus quelconque.
En tant que passager de l’omnibus de Clapham1, j’en ai appris suffisamment pour dire que je pense que la virologie2 est totalement frauduleuse.
En tant que Dr Mike Yeadon, PhD, je n’ai pas fait suffisamment de recherches personnelles et détaillées pour être sûr que les virus n’existent pas, même si je soupçonne que c’est vrai.
Je fais cette distinction parce que je pense que les gens ont le droit de savoir si je parle en tant que scientifique expérimenté ou en tant que personne réfléchie mais inexpérimentée. Si je fais une déclaration sans réserve, il serait raisonnable qu’un tiers s’attende à ce que je sois en mesure de produire des chapitres et des versets sur de nombreuses déclarations importantes concernant des maladies prétendument virales et, dans de nombreux cas, je ne pourrais pas le faire. Je m’appuierais sur le témoignage d’autres personnes.
J’ai les preuves et j’ai lu la littérature primaire sur les maladies respiratoires et sur d’autres maladies sélectionnées. C’est pourquoi je suis sûr de moi.
Je suis également convaincu que les pandémies mondiales de maladies graves sont impossibles. Il n’y a jamais eu de pandémies. L’exemple le plus célèbre, la pandémie de grippe espagnole, est un mélange d’exagération et de probable empoisonnement délibéré. Ces dernières années, il s’agit de « pseudo-épidémies de PCR faussement positives », un phénomène bien établi et bien réel, dans lequel 100 % des résultats de tests prétendument positifs sont faux. Il existe des exemples célèbres où ce phénomène est entièrement accidentel, comme la pseudo-épidémie de coqueluche.
[Voir :
La fin du mythe infectieux — cas de la grippe espagnole]
L’idée que nous risquons à tout moment l’émergence d’une pandémie ou d’une maladie grave et hautement infectieuse est un mensonge central que je considère aujourd’hui comme une contre-vérité évidente.
Le voyage a été étrange et semé d’embûches. Le plus étrange, c’est de montrer à des gens intelligents les preuves qui étayent ma position actuelle sur les maladies respiratoires aiguës et de constater qu’elles ne les émeuvent pas.
Certains ont emprunté des chemins similaires et sont parvenus aux mêmes conclusions. Je crois que le Dr Jonathan Engler3 en fait partie. Il y a de nombreuses autres personnes que je crois sincères, je ne vais donc pas m’en prendre à elles demain, mais qui continuent à parler comme si la propagande de toute une vie restait intacte. C’est exaspérant et je suis incapable de l’expliquer.
Il est intéressant de noter qu’une personne, il y a des années, m’a avoué qu’elle ne voulait pas croire ce que je lui disais, parce que c’était tout simplement trop effrayant. Il est possible que des mécanismes de protection psychologique4 empêchent certains d’entre nous d’accepter de nouvelles informations. Je pense que nous sommes des êtres beaucoup plus actifs inconsciemment que nous ne le pensons. Nous rationalisons ensuite consciemment les choses que notre subconscient a traitées (ou non).
C’est peut-être la raison pour laquelle beaucoup d’entre nous se sont trouvés dans l’impossibilité de persuader les autres, même ceux que nous aimons et connaissons depuis de nombreuses années, que l’on nous ment et que nous subissons une attaque extraordinaire. Je ne suis pas psychologue non plus, et je ne sais donc pas ce qui se passe réellement lorsque je ne parviens pas à convaincre ma sœur aînée, titulaire d’un doctorat dans un domaine biologique, que la pandémie est une supercherie planifiée de longue date.
Certaines personnes agissent comme si elles croyaient qu’il suffisait d’affirmer que les virus n’existent pas pour que les écailles tombent des yeux de l’humanité et que la bataille soit terminée. Ma propre expérience me montre que c’est l’une des façons les moins efficaces d’aborder les couches indubitablement épaisses des maladies infectieuses.
Le fait d’être de cet avis incite certains d’entre eux à prétendre que je travaille pour les auteurs de ces maladies. Je n’y peux rien.
Je pense que c’est à peu près le point où j’en suis actuellement.
Pour dissiper tout doute, les diagnostics basés sur la PCR, les tests de détection de ce que l’on prétend être des anticorps contre certains agents responsables de maladies infectieuses et les vaccins (sans réserve) sont tous frauduleux.
Les maladies sous-jacentes sont réelles, c’est pourquoi les mensonges sont si efficaces.