" Les médecins font état d’une hausse inquiétante des cas de “cancers rares”
" Depuis la crise du COVID-19, les médecins américains observent une tendance alarmante : une augmentation des cancers rares et inhabituels. Contrairement aux cas typiques, de nombreux patients sont jeunes et sans antécédents familiaux de la maladie. En 2022, environ 1,9 million de nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués aux États-Unis, avec environ 609 000 décès. Les projections pour 2023 suggèrent une tendance similaire.
Ces patients contractent des formes rares de cancer, souvent associées aux personnes âgées, telles que le cholangiocarcinome, un cancer rare des voies biliaires. De plus, certains présentent plusieurs types de cancers simultanément, un phénomène extrêmement rare avant la crise COVID.
Les cas de cancers rares se multiplient chez les jeunes sans antécédents
" Aux Etats-Unis, les données montrent que l’incidence du cancer est en hausse par rapport à 2019. En 2019, avant la crise du COVID, environ 1,7 million de diagnostics de cancer ont été signalés et 599 601 personnes sont mortes d’un cancer. En 2022, on estime à 1,9 million de nouveaux diagnostics de cancer. Les données de 2023 ne sont pas encore disponibles, mais le NIH estime que près de deux millions de nouveaux cas de cancer et près de 610 000 décès dus au cancer devraient se produire aux États-Unis cette année-là.
Le Dr Kashyap Patel, oncologue en Caroline du Nord, a été témoin de cette tendance. En 2021, il a traité un patient de quarante ans atteint d’un cancer rare des voies biliaires, généralement observé chez les personnes beaucoup plus âgées. D’autres patients jeunes, sans antécédents familiaux de cancer, ont également été diagnostiqués avec des cancers multiples et rares. "
" Le Dr Thomas Binder a été hospitalisé de force. "
" Un cardiologue suisse appelle à l’abolition de l’OMS .
« Ce génocide à ARN est le plus grand crime médical de l’histoire de l’humanité »
« Il n’y a jamais eu de pandémie de virus mortel… mais il y a eu une pandémie de lâches. »
En tant que médecins, ne pouvons-nous pas voir….
• augmentation des maladies graves
• augmentation des décès inattendus
• augmentation des crises cardiaques
• augmentation de myocardite
• augmentation de la dissection aortique
• augmentation des accidents vasculaires cérébraux
• augmentation des cas d'embolie pulmonaire
• augmentation des cas de cancer
• augmentation des maladies auto-immunes
• augmentation de l'infertilité
• augmentation des fausses couches
" Un appel urgent à la transparence dans les essais cliniques "
PUBLIÉ 8 JUIN 2024
" Des essais cliniques bien menés sont essentiels pour faire progresser les soins médicaux. La divulgation complète des résultats renforcera la confiance du public dans l’efficacité des nouveaux traitements, améliorera la participation aux essais cliniques et profitera à tous – mais seulement si elle donne une image fidèle des résultats et de leur signification réelle.
En 2022, l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a lancé une consultation sur la législation relative aux essais cliniques. La réglementation initiale sur les essais cliniques a été introduite en 2004 principalement pour améliorer la sécurité des patients et garantir que les données obtenues à partir des essais sont à la fois fiables et de bonne qualité. Cependant, ils étaient plutôt lourds, ne faisaient pas vraiment la différence entre les essais universitaires à petite échelle et les essais à grande échelle des grandes sociétés pharmaceutiques et rendaient les choses plus compliquées qu’elles ne devaient l’être ; un changement s’imposait depuis longtemps.
À l’époque de leur introduction, j’ai trouvé frustrant que des réglementations imposées par l’UE soient imposées au Royaume-Uni et que nous n’ayons pas le pouvoir de rédiger notre propre législation qui aurait pu être plus appropriée à notre situation, en permettant peut-être une certaine flexibilité pour les petites études cliniques novatrices, menées par des universitaires, auxquelles j’ai participé.
Une mise à jour de la réglementation a été rédigée par l’UE en 2014. Ce nouveau règlement (règlement 536/2014) était plus pragmatique, simplifiant une partie de la bureaucratie, améliorant la transparence (en incluant une base de données publique et des résumés pour les non-spécialistes) et prévoyant des dispositions pour soutenir les essais universitaires et non commerciaux. Mais, ironie du sort, en raison du retard pris dans la mise en œuvre de ces changements et du départ du Royaume-Uni de l’UE au cours de cette période, ce règlement n’a jamais été inscrit dans la législation britannique. Ce qui aurait dû être un avantage du Brexit s’est transformé en désavantage – j’entends les huées des Remainers !
La consultation de la MHRA semblait être, du moins en partie, une réponse à cela – non pas aux railleries des Remainers, mais au manque de compétitivité du Royaume-Uni en matière de découverte de médicaments. Elle a posé de nombreuses questions relatives à la législation existante et aux changements législatifs proposés. Les changements proposés sont généralement bien accueillis, même si le retard pris pour les introduire dans la législation britannique ne l’est pas. Un commentaire publié ce mois-ci dans Nature Medicine se penche sur un changement qui a été largement soutenu par les personnes qui ont répondu à la consultation, mais qui pourrait s’avérer très controversé et au sujet duquel j’ai quelques inquiétudes. "
" Martine Wonner relaxée après la plainte de Mme Lacombe ! "
" Nous partageons cette vidéo pour informer tout le monde que Martine Wonner a été relaxée du chef de diffamation après la plainte de Mme Lacombe.
C'est une victoire importante pour la liberté d'expression et pour tous ceux qui soutiennent Martine dans son combat pour la vérité.
Regardez la vidéo de Maitre Brusa Carlo Alberto pour en savoir plus sur cette affaire et les détails de la décision. "
" Le monde et nous.
Une émission du Dr Jacky Cassou
Invité : Dr Hervé Seligmann, biologiste.
Thème : Les chiffres de la surmortalité vaccinale infantile falsifiés.
NB. Nous savons tous à quoi a servi l'Opération Covid. Jacky Cassou reçoit le Dr Hervé Seligmann, docteur en biologie qui vient nous expliquer comment les chiffres de la mortalité infantile sont sous-estimés, manipulés et falsifiés. Des révélations choquantes.
S'il vous plaît diffusez et partagez car l'information est le meilleur antidote contre la naïveté et l'ignorance.
Ceux qui ont commis ce crime de masse doivent rendre compte de leurs actes.
Nous n'oublions pas et nous ne pardonnerons qu'après que la justice soit passée."
" Le chercheur et activiste Mike Adams et la biologiste moléculaire Judy Mikovits, tous deux américains, parlent de la corruption totale du système biomédical et de la façon dont il a été utilisé comme arme contre l'humanité avant le Covid. Ils ont caché la source et le remède du VIH, le remède du cancer. D'autre part, ces découvertes ont été utilisées pour provoquer le cancer, le sida et des décès massifs. Lorsque quelqu'un s'en rend compte et en parle publiquement, on lui retire tout, on donne son travail à quelqu'un d'autre et on déclare qu'il s'agit d'une fraude, comme dans le cas du Dr Mikovits et d'autres personnes qui ont même été emprisonnées et tuées pour l'avoir dénoncé des situations irrégulières. Si vous découvrez quelque chose dans la nature, vous ne pouvez pas le breveter, mais, avec un petit gain de fonction pour le modifier, vous pouvez le faire. "
" États-Unis : la Cour d’appel de Californie (9th district) accepte que "le vaccin Covid n’est pas un VACCIN...s'il ne protège pas de la transmission"
08 juin 2024
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" D’après un jugement de la cour d’Appel de Californie (9e circuit), le « vaccin Covid » n’est PAS UN VACCIN. En effet, la Cour a déclaré dans son ordonnance « qu’il ne s'agissait pas d'un vaccin s'il ne résistait pas à l'allégation qu'il ne visait pas à prévenir la transmission ». Les vaccins étaient censés « réduire les symptômes » et prévenir l'hospitalisation. Ils devraient donc être considérés comme un TRAITEMENT.
La cour d’Appel a jugé que « l’obligation vaccinale contre la covid-19 au risque de perdre leur emploi interférait avec leur droit fondamental de refuser un traitement médical. » Cette décision contribuerait à priver les injections d'ARNm de toute protection en matière de responsabilité juridique.
Les requérants pourront désormais utiliser cette décision au fur et à mesure que les dossiers avancent tel que l'on peut le lire dans un tweet sur X :
The 9th Circuit has decided the ‘Covid Vaccine’ is NOT A VACCINE. Plaintiffs can now use this as cases go forward.
Buckle up, Pfizer and Moderna. You’re guilty of Mass Murder. pic.twitter.com/uZEbt5zU6q
— Liz Churchill (@liz_churchill10) June 8, 2024
Aux États-Unis, l’affaire opposant l’association Health Freedom Defense Fund du Wyoming, des personnes physiques et éducateurs californiens pour la liberté médicale au Chef du district scolaire, à la directrice des ressources humaines ainsi qu’aux membres du conseil d’administration du district scolaire de Los Angeles (LAUSD) tourne à l’avantage des requérants dans le cadre de l’obligation vaccinale imposée comme règle.
La cour d’appel a donc annulé l’ordonnance du tribunal de district. Elle a ainsi jugé que l’obligation vaccinale contre la covid-19, au risque de perdre son emploi, interférait avec le droit fondamental d'une personne de refuser un traitement médical.
Les requérants avaient comme avocats John Howard de San Diego et George Wentz de Louisiane devant les juges Nelson, Collins et Hawkins. Un observateur averti note que Nelson et Collins sont des « Trumpiste » alors que le juge Hawkins du camp Clinton désapprouvait la décision.
De manière inhabituelle, un résumé a été préparé par le tribunal pour faciliter la compréhension du lecteur.
Le tribunal a conclu que l'exception de cessation du caractère de motivation s'appliquait.
Le fait que le LAUSD a retiré puis a rétabli sa politique de vaccination a suffi à laisser un questionnement juridique dans cette procédure. En effet, la procédure a permis de conclure que le LAUSD a attendu de voir comment se déroulait la plaidoirie avant de décider s'il fallait maintenir la politique vaccinale ou procéder à l'abrogation préparée par anticpation. LAUSD s’était expressément réservé la possibilité d’envisager d'imposer de nouveau un mandat de vaccination.
En conséquence, le LAUSD n'a pas apporté la preuve critique qui lui incombait de démontrer qu'il n'y a aucune possibilité raisonnable qu'il revienne à imposer une telle politique.
Examinant le fond, la Cour d’appel a conclu que le tribunal de district avait mal appliqué une décision de la Cour suprême, (jurisprudence Jacobson v. Massachusetts, 197 U.S. 11 (1905), en concluant que la décision n'avait pas satisfait à l'examen du fondement rationnel. La jurisprudence Jacobson montrait que l’obligation vaccinale contre la variole avait un lien causal avec la prévention de la propagation de la maladie.
Dans le cas présent, les requérants ont plaidé avec succès que le vaccin n'empêche pas efficacement la propagation (de la covid-19), mais qu'il atténue seulement les symptômes de la personne injectée ; Et qu’en conséquence, il s'apparente donc à un traitement médical, et non à un vaccin « traditionnel ».
En considérant que les éléments apportés sur le vaccin covid-19, étaient corrects, les requérants ont allégué de manière plausible que le vaccin COVID-19 n'empêche pas efficacement la propagation de la COVID-19. Ainsi, la cour a estimé que la jurisprudence Jacobson ne s'applique pas.
En suivant le même raisonnement, le juge R. Nelson a évalué que la décision du tribunal de district selon laquelle le LAUSD avait droit à l'immunité souveraine devrait être réexaminée en renvoi à la cour de district. ( Affaire Kohn v. State Bar of California, 87 F.4th 1021 (9th Cir. 2023).
Le juge Collins, un des trois magistrats de la Cour Supreme a séparément abordé un point crucial que le tribunal de district avait négligé. Conformément à la jurisprudence plus récente de la Cour suprême,
« le traitement obligatoire pour le bien de la santé de la personne traitée – par opposition au traitement obligatoire pour le bien de la santé d'autrui – englobe le droit fondamental de refuser un traitement médical. »
Les éléments présentés des requérants sont suffisants pour invoquer ce droit fondamental. La partie défenderesse, pour LAUSD, a fait valoir que l'obligation vaccinale a été imposée simplement comme une « condition d'emploi », mais cela ne suffit pas à justifier l'application par le tribunal de district d'un examen rationnel.
En opposition, le juge Hawkins a écrit que, parce qu'il n'y a plus de politiques vaccinales (en place) que ce tribunal puisse interdire, il soutiendrait, comme ce tribunal l'a toujours fait dans les actions contestant les politiques annulées au début de la pandémie, que cette action est donc sans objet, révoquant ainsi la décision du tribunal de district et qu’il renverrait l’affaire au tribunal de district avec instruction de rejeter l'action sans préjudice.
Une des limites à l&rsquoinion délivrée est qu’il s’agit d’une motion de rejet où le tribunal a considéré comme vraies les allégations faites par les requérants que les injections sont des traitements et pas des vaccins. La question épineuse est de savoir si oui ou non et dans quelle mesure les injections préviennent de l’infection et surtout pendant combien de temps. Jusqu’à présent, les politiques sanitaires se sont basées sur des études des fabricants qui ne confirmaient pas ces hypothèses. Il faudra aussi et surtout savoir comment balancer tout cela avec les libertés fondamentales dont le consentement libre et éclairé et le droit d’aller et venir.
" "Le seul endroit où les gens sont morts, c'est dans nos hôpitaux. Et ce uniquement parce qu'ils sont morts à cause des traitements".
VIDÉO
" Kimberly Overton, infirmière en soins intensifs, lanceuse d'alerte et fondatrice/directrice exécutive du Nurse Freedom Network, a décrit à Peter Santilli comment ce n'était pas COVID qui tuait les gens dans les hôpitaux, mais les protocoles de traitement eux-mêmes (distribués par le gouvernement).
"Ils nous répétaient sans cesse que tous nos patients allaient mourir du COVID - ce n'est pas le COVID qui a tué l'un de ces patients, mais la mauvaise gestion médicale complète et totale du COVID.
C'était le Remdesivir, le respirateur, la mort, laver, rincer, recommencer", dit Overton. L'infirmière en soins intensifs ajoute : « C'est exactement ce que nous avons vu à maintes reprises dans ces hôpitaux, et je suis loin d'être la seule infirmière à pouvoir vous le dire.
« Écoutez », dit Overton, « s'ils sont morts seuls à cause du virus, pourquoi n'avons-nous pas retiré des corps des maisons ? Pourquoi ne les avons-nous pas retirés de la rue ? ... Le seul endroit où les gens sont morts, c'est dans nos hôpitaux. Et cela uniquement parce qu'ils sont morts à cause des traitements".
Elle ajoute : « Le Remdesivir a empoisonné les gens. On débranchait leurs organes, on les branchait sur des respirateurs, puis ils contractaient sans cesse des infections bactériennes secondaires dont ils mouraient. Ils ont développé des caillots de sang parce qu'ils ne pouvaient pas bouger correctement.
« Nous ne pouvions même pas envoyer des médecins et des kinésithérapeutes dans le service pour faire bouger les patients », explique Overton. "Les gens avaient trop peur, la plupart du temps c'était juste les infirmières. Et puis les médecins arrivaient et regardaient à travers les vitres de l'unité de soins intensifs et prenaient le rapport de l'infirmière...".
« Nous n'avons pas intubé les patients parce qu'ils étaient en détresse, mais pour endiguer le virus », ajoute Overton. "Ils ont insisté pour que l'intubation soit précoce parce qu'ils savaient que 80 % ou plus des patients branchés à un respirateur ne survivaient pas." "
" Californie : "le vaccin Covid n’est pas un VACCIN...s'il ne protège pas de la transmission" debriefing avec l'avocat George Wentz "
09 juin 2024
VIDÉO traduite
" Debriefing avec George Wentz, un des avocats américains de Health Freedom Defense Fund du Wyoming et des personnes physiques et éducateurs californiens pour la liberté médicale qui ont eu une décision favorable dans le cadre des mandats vaccinaux en Californie. Les requérants avaient attaqué en justice le Chef du district scolaire, la directrice des ressources humaines ainsi qu’aux membres du conseil d’administration du district scolaire de Los Angeles (LAUSD).
Le tribunal leur a donné raison et la Cour d'Appel du 9ᵉ district de Californie a accepté que le « vaccin Covid » n’était pas un vaccin". La Cour a déclaré dans son ordonnance :
« qu’il ne s'agissait pas d'un vaccin s'il ne résistait pas à l'allégation qu'il ne visait pas à prévenir la transmission ».
Les vaccins étaient censés « réduire les symptômes » et prévenir l'hospitalisation. Ils devraient donc être considérés comme un traitement.
Dans ce debriefing exclusif pour France-soir, George Wentz détaille la décision de la cour ainsi que l'opinion supplémentaire donnée par le Juge Collins. Il évoque aussi les éléments de communication et les conséquences de cette décision. Décision historique. "
" Jurist.CSAPE (cov) : Le Projet de Loi 21 87 d' Agnès Buzyn de Juillet 2019 appuyé par Delfraissy... "
VIDÉO
" (Vid1) Le Projet de Loi 21 87 d' Agnès Buzyn de Juillet 2019 finira par aboutir d'une autre manière grâce à la Plandémie...: ( Donc projet de loi intervenu plusieurs mois avant qu'on alarme la planète avec un virus ...)