" Royaume Uni: déjà 105 victimes de vaccins Covid indemnisées "
9 juin 2023
" Changement d’ambiance au Royaume Uni? La défense des victimes d’injections ARN est devenue politiquement acceptable et l’obligation vaccinale semble s’estomper. La nouvelle ministre de la santé prône la liberté de choix des traitements par les individus.
Le programme britannique d’indemnisation de dommages causés par les vaccins, lancé en 1979, a pour but de rassurer les gens au cas où quelque chose se passerait mal après une vaccination recommandée ou obligatoire.
Un citoyen gravement handicapé à la suite d’une injection contre certaines maladies peut obtenir un paiement unique non imposable de 120 000 livres sterling (130 000 CHF ou 135 000 Euros).
Au Royaume Uni, la défense des victimes de dégâts vaccinaux liés au Covid-19 a atteint une dimension politique, contrairement à la France ou à la Suisse. Un groupe parlementaire inter-partis a même vu le jour et plaide la cause des citoyens qui ont connu des déboires post-vaccinaux.
Forte hausse des demandes acceptées
La ministre de la santé, Maria Caulfield, a déclaré début juin à ce groupe parlementaire que 5’738 demandes avaient été soumises jusqu’au mois de mai dans le cadre de ce programme. Parmi les 2000 premiers dossiers évaluées par les autorités, 105 ont été jugés suffisamment solides pour obtenir le dédommagement unique prévu par la loi.
En comparaison, de 1978 à 2017, 936 demandes d’indemnisation pour les dommages causés par les vaccins ont été acceptées, soit une moyenne de 23 par an. Avec 105 indemnisations alors que moins que la moitié des demandes a été analysée, on peut parler d’une situation hors-normes due aux injections Covid.
Tractations politiques en faveur des victimes
Le gouvernement a pris les choses en main puisque quelques 80 personnes ont été recrutées pour aider à traiter les demandes de dédommagement. En moyenne six mois sont nécessaires au traitement d’un seul dossier, le temps d’obtenir tous les rapports et compléments nécessaires. Le coût administratif et médical du traitement d’un dossier n’est pas communiqué.
Certains parlementaires demandent à ce que le critère de 60% d’invalidité pour recevoir ce dédommagement soit assoupli et que cette somme soit indexée à l’inflation. Les ministres ont pour l’instant rejeté ces propositions durant les négociations, nous apprend un article du Daily Mail (voir lien en fin d’article).
Point important, recevoir un paiement pour les dommages causés par les vaccins n’empêche pas son bénéficiaire d’intenter une action en justice pour réclamer une indemnisation. "
" Alexandra Henrion-Caude, une scientifique de haut vol "
Publié le 09/07/2021
" L’article paru récemment dans le Quotidien du Médecin (cf. De l’Inserm aux covido-sceptiques, l'étonnante dérive de la généticienne Alexandra Henrion-Caude, le quotidiendumedecin.fr, 19 juin) sur Alexandra Henrion-Caude réclame un commentaire. Il s’agit en effet d’un article à charge qui la présente comme une exaltée mise au banc de toute la communauté scientifique. Quelques nuances auraient été cependant les bienvenues.
Tout d’abord, Alexandra est une scientifique de haut vol, spécialiste de l’ARN, respectée et écoutée dans son domaine. Cela explique sans doute pourquoi elle s’autorise à donner son avis sur le vaccin anti-covid. Elle est à l’âge où l’on est en même temps capable de se prononcer sur les sujets scientifiques les plus pointus et où l’on est en mesure de prendre du recul pour apprécier une situation sanitaire de manière globale. Son expertise, son expérience sont donc précieuses.
Sa démarche est celle d’une authentique scientifique qui observe, analyse, tâche d’interpréter les faits, émet des doutes et se garde de toute affirmation hâtive. Quoi de plus respectable ? Elle n’a aucun lien avec l’industrie pharmaceutique et ne déclare aucun conflit d’intérêt. Elle fait donc partie de ces rares scientifiques dont la parole est libre. Elle a fait sienne la maxime de Claude Bernard qui rappelait que : «les faits ont toujours raison».
Quels reproches ?
Sur le plan scientifique, on lui reproche principalement deux choses. La première est de s’interroger sur l’innocuité des vaccins ARN. N’est-elle pas dans son rôle d’alerter si, dans son for intérieur, elle pense que la portée négative de ce vaccin a été sous-estimée. Elle a parlé d’une possibilité de transformation de l’ARN en ADN par l’action de la transcriptase inverse. On le lui reproche, arguant que cette enzyme n’existe pas pour le coronavirus, mais elle n’est pas la seule scientifique à soulever aujourd’hui ce problème d’importance cardinale. La deuxième est de s’interroger sur la pertinence de l’usage généralisé et systématique du masque et du confinement. Comment peut-on lui reprocher de s’intéresser à ces pratiques qui sont malheureusement à l’origine de dépressions nerveuses profondes et parfois de suicides chez les personnes âgées et isolées ?
Sur le plan de sa communication, on la blâme de se commettre avec l’humoriste Bigard. Il est vrai que, même si on peut comprendre que cet homme exprime sa colère, ses outrances sont préjudiciables à la cause qu’il entend défendre. La vulgarité ne sert pas la vérité scientifique ni la vérité tout court.
Bien que cela ne soit pas exprimé ouvertement dans les différents articles qui lui sont consacrés, on reproche aussi à Alexandra de s&rsquoposer au projet de loi de bioéthique qui ouvre objectivement la porte à tous les abus. Elle fait partie de ces rares personnes qui osent dire que ce projet est inique et dangereux.
À ce sujet, elle a donné une conférence en plein air sur la bioéthique à Lyon le 15 mai dernier. Devant une foule de parapluies, car il pleuvait, elle a parlé de l’homme, de la femme, de la complémentarité homme-femme, de la fertilité, de l’humanité, du respect de la vie, de la tentation de la médecine de créer des hommes parfaits. Elle a aussi parlé des embryons congelés qu’elle a appelés «nos frères et soeurs en humanité» (elle a osé le dire). Ce fut une des plus belles conférences de bio-éthique qu’on ait entendue depuis longtemps.
Les cotisations sociales obligatoires génèrent des sommes considérables qui sont devenues la convoitise des laboratoires pharmaceutiques. Aujourd’hui la médecine est à un carrefour. Soit elle devient un instrument au service de l’État, de l’industrie pharmaceutique, et des lobbies de tout genre, soit elle reste au service des malades. L’enjeu de la loi de bioéthique est là. Le nouveau projet de loi asservit la médecine et les médecins au profit d’intérêts industriels et pseudo-philosophiques. Où voulons-nous aller ? Qui voulons-nous servir ?
Personnellement, je trouve merveilleux qu’une femme de la qualité d’Alexandra puisse s’exprimer librement sur des sujets aussi importants. Elle donne au débat fraîcheur et sincérité. Elle a des choses à dire. Laissons la parler. La reléguer dans la case des complotistes, réservée maintenant à tous ceux qui se permettent d’exprimer des doutes sur le bienfondé de la politique sanitaire, relève d’une malveillance déplacée. Écoutons ce qu’elle dit et débattons. C’est la manière la plus intelligente et la plus éthique de procéder.
N’oublions pas que le premier adage du médecin est : «Primum non nocere». Cela doit être notre obsession, à nous médecins. Si Madame Henrion-Caude lit ces quelques lignes, j’aimerais lui dire combien je serais heureux qu’elle rédige un article de fond résumant sa pensée sur la Covid-19. "
" Source FB Ordre des avocats de Martinique Colloque Georges Gratiant " La liberté de parole à l'épreuve de la covid 19 " Pr Perronnes , Pr Salamon , des élus des intellectuels, des syndicats, des soignants suspendus Merci au Bâtonnier George E. Germany "
" Des vaccinés produisent encore de la protéine spike après deux ans
Contrairement à ce qu’avaient affirmé les autorités, les vaccins Covid peuvent modifier l’ADN. Des effets graves et à long terme sont mis à jour "
25 juin 2023
" De nouvelles recherches montrent que les vaccins Covid contiennent des proportions considérables de résidus d’ADN capables de s’intégrer en permanence dans le génome humain, causant maladies chroniques et cancers. Ceci pourrait aussi expliquer les excès de mortalité observés depuis le début des campagnes de vaccination.
Acte 1 : des analyses sanguines troublantes
L’enquête que nous vous présentons a débuté par une intrigante publication de l’ancien banquier suisse Pascal Najadi. L’auteur d’une plainte pénale pour abus de pouvoir contre le président de la Confédération Alain Berset est triplement vacciné et autant de fois remonté contre les autorités sanitaires depuis qu’une analyse de son sang lui a révélé que son corps continue de produire de la protéine spike vaccinale plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech.
Contacté, l’intéressé nous a fourni les résultats du laboratoire ainsi qu’une lettre du Prof. Sucharid Bhakdi confirmant que « les résultats des tests indiquent clairement que M. Najadi souffre d’effets irréparables à long terme provoqués par le produit ARNm injecté fabriqué par PfizerBiontech » (voir les ressources en fin d’article).
Une protéine toxique
Les analyses sanguines du banquier révèlent la présence de protéine de pointe mais pas de capsules nanolipidiques que l’on trouve dans les injections. Pour le scientifique, ceci indique qu’il ne s’agit pas de protéine de pointe résultant de l’administration d’un « vaccin » mais qu’elle a été produite récemment par le corps du vacciné.
Quelques recherches plus tard, nous trouvons un avocat allemand, Me Tobias Ulbrich, représentant plusieurs clients qui ont également fait analyser leur sang pour arriver aux mêmes conclusions que Pascal Najadi : leur corps produit en permanence de la protéine de pointe, une substance toxique, et personne ne peut leur dire si et quand ça s’arrêtera.
Autorités sanitaires incapables d’expliquer
L’ex-banquier avait sollicité l’Office fédéral de la santé publique en Suisse à ce sujet. Ce dernier a été incapable de lui donner des réponses, arguant qu’il ne pouvait pas se prononcer sur un cas individuel. Pascal Najadi en avait déduit que l’office ne maîtrisait en fait rien concernant ces nouvelles technologies vaccinales.
La persistance de la présence de protéine de pointe détectée chez Najadi et d’autres injectés reste officiellement inexpliquée et se situe bien au-delà des 14 jours communiqués lors du lancement des campagnes de vaccination Covid.
Acte 2 : le rôle de l’ARN
Tout le monde connaît l’ADN, représenté par une double hélice et contenant notre code génétique. L’ARN lui n’est constitué que d’un seul brin. La cellule en fabrique au besoin en lisant une partie de l’ADN qui lui servira ensuite de cahier des charges pour produire une protéine.
Une dose de « vaccin » Covid à ARN messager contient des milliards de brins d’ARN messager, qui vont déclencher la production d’autant de protéines de pointe du virus SARS-CoV-2 dans les cellules où ils parviennent. Ces protéines de pointe vont activer une réponse du système immunitaire.
En théorie et officiellement – toutes les autorités sanitaires ont bien insisté làessus pour rassurer les futurs vaccinés – les « vaccins » Covid ne contiennent pas d’ADN et il n’y a pas d’altération permanente de nos cellules.
Comme on va le voir, de sérieux doutes écornent malheureusement les affirmations officielles.
La protéine de pointe a de plus été présentée comme une substance inoffensive lors des campagnes de vaccination alors que l’on sait qu’elle est toxique pour le corps humain et cause la plupart des complications du Covid, dont les réactions inflammatoires et allergiques. "
" Plus de 500 décès excédentaires d’origine cardiaque par semaine en Angleterre depuis le début du COVID-19 "
Publié 25 juin 2023
" La British Heart Foundation (BHF) a déclaré que plus de 500 décès supplémentaires dus à des maladies cardiaques ont été enregistrés chaque semaine en Angleterre depuis le début de la pandémie de COVID-19.
En se basant sur les données de l’Office for Health Improvement and Disparities, la BHF a révélé dans un rapport (pdf) que, depuis février 2020, il y a eu un total de 96 540 décès en excès liés à des conditions cardiovasculaires – un terme générique pour une gamme de conditions cardiaques et vasculaires, y compris les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux.
Charmaine Griffiths, directrice générale de la BHF, a déclaré : « Il est profondément troublant que tant de personnes atteintes de maladies cardiovasculaires aient perdu la vie au cours des trois dernières années. »
Au cours de la première année de la pandémie, l’infection par le COVID-19 a entraîné un nombre élevé de surmortalités liées aux maladies cardiovasculaires.
Bien que les décès dus à COVID-19 aient diminué d’année en année, le nombre de décès dus à des maladies cardiovasculaires est resté supérieur aux niveaux attendus, selon l’analyse de la BHF.
La Dr Sonya Babu-Narayan, directrice médicale associée à la BHF et cardiologue consultante, a déclaré : « Le COVID-19 n’explique plus entièrement le nombre important de décès excédentaires dus à des maladies cardiovasculaires ».
Elle a ajouté que d’autres facteurs ont pu contribuer à cette situation, notamment les perturbations subies par le NHS au cours des dernières années. "
" Coup de théâtre : la revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna "
26 juin 2023
" Ce 25 juin 2023, plusieurs médias ont annoncé le décès du célèbre basketteur dominicain Oscar Cabrera qui, ces derniers mois, a vertement critiqué le vaccin Covid l’accusant d’avoir causé la myocardite dont il souffrait.
Lecourrier-du-soir.com ne fait aucun lien entre la mort de cette star du Basket et le vaccin. Toutefois, notre rédaction tient à rappeler qu’en juin 2022, la très prestigieuse revue scientifique The Lancet avait confirmé le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna
Lecourrier-du-soir.com vous explique tout
Une étude menée par la très prestigieuse revue scientifique The Lancet a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite
Certains parleront de complotisme. Pourtant, il n’en est rien. Car, l’étude en question est menée par la très prestigieuse revue scientifique The Lancet qui l’a rendue publique il y a deux jours. Ainsi, dans son étude, la revue confirme que les vaccins anti-Covid comportent des effets secondaires dangereux, dont la myocardite et la péricardite.
Dans l’étude en question, on peut lire : « un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ». La revue tente tout de même de minimiser. En effet, d’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, seuls 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.
La publication de cette récente étude est d’autant plus précupante pour les laboratoires que tout récent une étude similaire, menée en France, avait abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent. "
" Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l’homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier "
26 juin 2023
" L’interview vidéo suivante avec le professeur Michel Chossudovsky concerne le rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI).
Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 déclarations de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.
Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période (au plus deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « l’homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n’est plus un « acte d’homicide involontaire ».
Le meurtre par opposition à l’homicide involontaire implique une « intention criminelle ».
Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte criminel. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes.
Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.
Vidéo : Entretien avec Caroline Mailloux , Lux Media : Le professeur Michel Chossudovsky sur le rapport « secret » de Pfizer propose une stratégie et une procédure légale pour affronter les grandes sociétés pharmaceutiques en vue de retirer le vaccin Covid-19 dans le monde "
Citation de fouthese
" Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l’homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier "
26 juin 2023
" L’interview vidéo suivante avec le professeur Michel Chossudovsky concerne le rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI).
Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 déclarations de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.
Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période (au plus deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « l’homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n’est plus un « acte d’homicide involontaire ».
Le meurtre par opposition à l’homicide involontaire implique une « intention criminelle ».
Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte criminel. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes.
Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.
Vidéo : Entretien avec Caroline Mailloux , Lux Media : Le professeur Michel Chossudovsky sur le rapport « secret » de Pfizer propose une stratégie et une procédure légale pour affronter les grandes sociétés pharmaceutiques en vue de retirer le vaccin Covid-19 dans le monde "
" Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier
Par le Pr Michel Chossudovsky "
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Première publication le 17 mai 2022
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L'interview vidéo suivante avec le professeur Michel Chossudovsky concerne le rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d'une procédure d'accès à l'information (FOI).
Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 déclarations de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d'événements indésirables signalés , dont 23 cas d'avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.
Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une très courte période (au plus deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque "l'homicide involontaire". Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d'annuler et de retirer immédiatement le "vaccin".
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n'est plus un « acte d'homicide involontaire ».
Le meurtre par opposition à l'homicide involontaire implique une « intention criminelle ».
Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte criminel. D'un point de vue juridique, il s'agit d'un "acte de meurtre" appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes.
Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l'OMS et les médias.
Vidéo : Entretien avec Caroline Mailloux , Lux Media : Le professeur Michel Chossudovsky sur le rapport « secret » de Pfizer propose une stratégie et une procédure légale pour affronter les grandes sociétés pharmaceutiques en vue de retirer le vaccin Covid-19 dans le monde
Parmi tous les acteurs majeurs de Big Pharma, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis (2009 DoD Judgment)
Vidéo : Pfizer a un casier judiciaire. Est-ce pertinent ?
" Un chercheur de l’Institut Pasteur sort enfin de son silence « On sait que de vacciner de plus en plus de monde probablement va faire naître d’autres variants résistants à la réponse immunitaire »
Donc vacciner massivement en pleine épidémie est dangereux "