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Suisse: maladies en hausse, natalité en baisse – chiffres choc
L'analyse des statistiques officielles bouscule les idées reçues sur la dangerosité du Covid, et montre des évolutions saisissantes suite aux campagnes vaccinales. Notamment les cancers, myocardites, AVC chez les moins de 40 ans et les enfants. "
1 juillet 2023
" Viviane Cuendet, enseignante, est venue présenter devant le Conseil Scientifique Indépendant (CSI) les statistiques suisses qui montrent une augmentation massive de diverses maladies et une forte baisse de la natalité de 2020 à 2023. Les jeunes, les enfants et les femmes semblent les plus impactés par ce phénomène que tout ramène aux injections Covid. Plusieurs idées reçues sur la pandémie sont également bousculées.
Les milieux critiques des mesures officielles contre le Covid s’étonnent que les autorités sanitaires, ainsi que les milieux politiques, scientifiques et médiatiques restent silencieux face à des chiffres aussi spectaculaires que difficiles à nier.
Tous les graphiques et plus d’informations se trouvent dans le document pdf en fin d’article
Le mythe d’une pandémie mortelle
Viviane Cuendet a passé les dernières deux années à traduire bénévolement en français les publications et présentations de Real Data Hero, un canal d’information allemand sur les données statistiques liées au Covid, ainsi que d’autres vidé qu’elle diffuse sur son canal.
« Comme Pierre Chaillot l’a montré pour la France, la réalité de la mortalité Covid en Suisse est fort différente de l’image dramatique assénée par les politiciens et les médias. » Viviane Cuendet
Sa démonstration débute par un tableau (voir ci-dessous) montrant les taux de mortalité classés et ajustés en fonction de l’évolution démographique de 2010 à 2022 par tranche d’âge de 5 ans. Pour chaque tranche d’âge (ligne), il y a une valeur rouge, qui représente l’année la plus mortelle, et une valeur verte, qui représente la meilleure année.
Un constat s’impose : l’année 2020 était une année normale, classée 5e sur ces treize années, qui a suivi une année 2019 où la mortalité était particulièrement basse. Il serait impossible de déduire à partir de ce tableau qu’une quelconque épidémie mortelle aie eu lieu en 2020.
« Visuellement, s’il avait fallu déclarer une urgence sanitaire, cela aurait dû être en 2010. » Viviane Cuendet. "
" Dossier de défense lors des attaques de l'Ordre des Médecins contre les soignant "
" Ivermectine : on continue de persécuter ceux qui guérissent
Encore mi 2023, les autorités continuent dans la ligne du président : emmerder les français. Toutes les semaines je reçois des demandes d’aide pour des dossiers de poursuites de médecins ayant prescrit de l’ivermectine. Toute la France est touchée, certainement en raison de consignes nationales.
Le dernier, cette semaine, un médecin avec plainte du Conseil de l’Ordre, pour 18 prescriptions de janvier 2021 à février 2022. La belle affaire ! 18 prescriptions hors AMM sans danger en 14 mois, alors que l’Ordre reconnaît lui-même que 20% de toutes les prescriptions sont hors AMM. Au pays de l’Égalité, il semble que la discrimination et l’inégalité soient de règle. En effet, selon les départements où vous exercez, les Caisses ou les ARS poursuivent ou pas, les Ordres donnent suite ou pas.
Si le premier rôle du médecin est de soigner, si possible de guérir, dans toutes les plaintes, les poursuites sont pour avoir soigné, mais surtout jamais, jamais le résultat n’est évoqué. Dans aucun dossier il n’est évoqué un quelconque incident ou accident. On n’est pas dans le contrôle médical, mais dans le contrôle politique. On ne peut même pas dire que ce sont des rappels à la loi, car il n’existe aucun texte interdisant de prescrire de l’ivermectine dans le cadre du covid. Juste pour emm…
Certains confrères sont perdus et se débrouillent mal, avec des avocats mal placés pour connaître le dossier. Alors pour tous et ne pas avoir à intervenir trop tard, voici un dossier type, avec toutes les pièces utiles à la défense. Des faits, rien que des faits, indiscutables, vérifiables. Et pour ceux qui ne sont pas concernés, cela fait un petit rappel d’une vérité que l’on veut enterrer. Également utile pour l’éducation des septiques.
Il faut toujours argumenter en ne s’intéressant qu’aux textes législatifs. Le magistrat qui préside les instances disciplinaires reviendra toujours à ces textes : sont-ils respectés ou non, il n’y a que cela qui compte. Le devoir, l’éthique et le Serment d’Hippocrate ne sont pas des lois. Je signale au passage que le Code de Déontologie n’existe plus, c’est une copie du Code de la Santé Publique recopié, et à la discrétion des fonctionnaires qui publient ces textes, pas de l’Ordre. Ses propositions peuvent être refusées, tout comme ils peuvent sortir des textes qui ne plaisent pas à l’Ordre. J’ai connu cela en matière de retraite, toutes les décisions de nos Conseils d’Administration sont sans objet si non validées par ces fonctionnaires, qui ont plus de pouvoir que les élus, et ils peuvent sortir tous les textes qu’ils veulent sans notre avis. Et quand vous voyez un décret avec mentionné « vu l’avis de tel organisme », l’avis négatif n’est jamais mentionné.
" La falsification de médicaments est un fléau dont les conséquences sur la santé publique peuvent être graves, voire dramatiques. Il s’agit d’un phénomène global qui touche l’ensemble des pays et n’épargne aucune aire thérapeutique. "
05.05.20
" LES ENJEUX
L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’un médicament sur dix est falsifié dans le monde.
Ce chiffre se monte à un médicament sur quatre si l’on ne considère que les pays en développement, selon le dernier bilan de l’organisation, en date du 31 janvier 2018
(cliquer sur le logo pour plus d'informations).
Concernant les seuls médicaments vendus sur Internet, un médicament sur deux serait un faux médicament, toujours selon l’OMS. Selon l’IRACM (Institut de Recherche Anti-Contrefaçon de Médicaments), le trafic de faux médicaments se mondialise à une vitesse inquiétante. Très lucratif, il rapporterait 20 fois plus que le trafic d’héroïne. Il se concrétise sous forme de flux physiques (via des conteneurs), à travers l’organisation d’activités illicites (reconditionnement et réintroduction dans le circuit légal) et de plus en plus via Internet (Source IRACM, CP 3 juin 2015). "
" Au niveau mondial, ce sont des maladies graves comme le Sida, la tuberculose et le paludisme qui sont les plus concernées par ce fléau. Selon l’OMS, les traitements falsifiés contre le paludisme entraîneraient ainsi le décès d’environ 150 000 enfants africains âgés de moins de 5 ans en 2013.
Très rentable, la falsification de médicament touche aussi bien les pays émergents que les pays industrialisés.
En Europe, la lutte contre le trafic repose sur les systèmes de santé. Même si la situation est très variable d’un pays à l’autre, aucun n’est épargné.
La France est jusqu'à présent relativement épargnée grâce à un circuit pharmaceutique très contrôlé, mais elle constitue malgré tout une zone de transit pour l'acheminement de produits falsifiés vers des pays tiers.
Afin de lutter efficacement contre la falsification de médicaments, les acteurs publics chargés du contrôle et de la répression, les organisations professionnelles et les entreprises se mobilisent et collaborent étroitement ensemble. Une information continue et claire à destination des patients est primordiale afin de les sensibiliser sur les risques encourus.
Les entreprises du médicament lancent ainsi un appel à la vigilance.
" Aux Etats-Unis, la pharma a payé un milliard de dollars pour s'acquitter de ses fraudes
Les autorités américaines multiplient les enquêtes pour débusquer les abus du système de santé. La plupart des grands groupes sont incriminés. Certains sont déjà passés à la caisse. Les amendes sont le résultat d'enquêtes souvent menées pendant plusieurs années. Les services d'inspection du Ministère de la santé ont indiqué leur intention d'élargir encore le champ de leurs investigations "
Publié le 18 octobre 2004
" L'entente cordiale entre les Etats-Unis et l'industrie pharmaceutique est-elle en train de tourner au vinaigre? Les Etats-Unis sont à la fois le plus grand marché de la santé, le pays où les médicaments sont les plus chers et le pays le plus intransigeant dans la défense des brevets. Mais c'est aussi le pays qui, depuis quelques mois, multiplie les amendes et les poursuites judiciaires à l'encontre des laboratoires. Le nombre de sociétés contraintes de passer à la caisse pour obtenir l'annulation des enquêtes menées contre elles («settlement») pour fraude à l'encontre des programmes de sécurité sociale est en forte augmentation. Sur les neuf premiers mois de l'année, les amendes payées par les grandes sociétés approchent le milliard de dollar.
En avril, Medco, une société issue de Merck, a versé 29 millions pour obtenir l'abandon d'une affaire où elle était soupçonnée d'avoir encouragé des patients à abandonner ses thérapies au profit de celles, plus onéreuses, de son ancienne maison mère. En mai, Pfizer a payé 430 millions en échange de l'abandon de l'enquête menée sur la promotion du Neurontin, un médicament contre l'épilepsie, dans une indication non autorisée par les autorités sanitaires. En juillet, Dickinson, un fabricant de seringues qui aurait exagéré ses prix, a été mis hors de cause contre le paiement de 100 millions. Le même mois, Schering-Plough a payé 345 millions pour échapper à une enquête de surfacturation du Claritin, un médicament contre les allergies.
Ce laboratoire n'en a vraisemblablement pas fini avec la justice, puisqu'il est encore suspecté d'avoir payé des sommes importantes à des médecins pour qu'ils prescrivent l'Intron A, un médicament contre l'hépatite C. Certains témoignages font état de «cadeaux» individuels de 10 000 dollars. Les enquêteurs s'intéressent également à des essais cliniques peu convaincants au plan scientifique, mais où les médecins étaient généreusement rémunérés. Il pourrait en fait s'agir d'opérations marketing illégales. Le record en la matière d'amendes pour fraude reste entre les mains de TAP Pharmaceuticals, une entreprise commune du Britannique Abbott Laboratories et du Japonais Takeda, qui a dû s'acquitter de 875 millions en 2001. "
" Nouvel article de recherche : les vaccins à ARNm contre le COVID-19 sont des produits de thérapie génique "
Publié 3 juillet 2023
" Maintenant que la pandémie est terminée, les chercheurs exhortent les organismes de réglementation à examiner les questions de sécurité liées à l’approbation rapide des vaccins contre le COVID-19 et à classer correctement les vaccins à ARN messager (ARNm) dans la catégorie des produits de thérapie génique, afin d’empêcher les sociétés pharmaceutiques de contourner les normes réglementaires.
Selon un article publié dans Nature le 22 juin, les vaccins à ARNm contre le COVID-19, de par leur mode et leur action, sont des produits de thérapie génique et devraient adhérer à des normes réglementaires différentes. Pourtant, les agences réglementaires américaines et européennes n’ont pas classé les vaccins à ARNm contre le COVID-19 comme des produits de thérapie génique, ce qui leur a permis d’être réglementés comme des vaccins contre les maladies infectieuses au lieu d’être soumis à la réglementation plus stricte des PTG.
Étant donné que les directives réglementaires actuelles ne s’appliquent pas, ne mentionnent pas les produits thérapeutiques à base d’ARN ou n’ont pas de définition largement acceptée pour ces produits, les agences réglementaires ont adopté une procédure d’approbation modifiée et accélérée pour les vaccins contre le COVID-19 sous la forme d’un « examen continu ».
Un examen continu est un outil réglementaire généralement utilisé en cas d’urgence de santé publique pour accélérer l’évaluation des données relatives aux médicaments ou aux vaccins. Il permet d’examiner les données au fur et à mesure qu’elles sont disponibles, sans disposer de l’ensemble des données ou de contrôles spécifiques.
Ce processus a conduit à une biodistribution large et continue des vaccins COVID-19 à ARNm qui n’ont pas fait l’objet d’études approfondies et ont donné lieu à des tests dont les résultats n’étaient pas conformes en ce qui concerne la pureté, la qualité et l’homogénéité des lots. Les fabricants prévoient maintenant de remplacer les vaccins classiques par des vaccins à ARNm en utilisant le même processus, en commençant par les vaccins antigrippaux.
Les vaccins utilisant la technologie de l’ARNm sont des thérapies géniques "
" Les vaccins Covid ont provoqué une alliance dangereuse et mortelle entre le graphène, l'ARNm et la nanotechnologie "
2 juillet 2023
" Dans le domaine obscur de la nanotechnologie, une alliance effrayante a émergé, une alliance qui a le potentiel de façonner notre avenir d'une manière inimaginable.
Au cœur de cette union se trouve la présence insidieuse de nanoparticules lipidiques, de minuscules transporteurs conçus pour transporter le matériel génétique profondément dans nos cellules.
Mais derrière leur façade apparemment inoffensive se cache une réalité dystopique, où les frontières du contrôle et de la manipulation humains s'estompent.
Parce qu'à la suite du déploiement des injections de Covid-19, une alliance effrayante entre les nanobots de graphène, la technologie de l'ARNm et la nanotechnologie a émergé, jetant une ombre sinistre sur notre avenir collectif.
Il est de notre devoir d'exposer les conséquences dystopiques, nuisibles et dangereuses qui nous attendent dans ce paysage perfide.
En regardant derrière le voile trompeur de l'innovation, nous dévoilons les sombres intentions et les risques potentiels qui se cachent dans les profondeurs des agendas des entreprises et des institutions avides de pouvoir. "
" Bill Gates à l'OMS : Didier Raoult tire la sonnette d'alarme ! "
" Nouvelle vidéo extraite de l'audition de Didier Raoult devant la commission d'enquête nationale citoyenne du Canada. Le professeur Raoult dénonce le conflit d'intérêt de Bill Gates qui finance l'OMS et détient en parallèle des parts dans les sociétés de biotechnologies. "
" Malgré les dommages post-vaccinaux de l’ARN, Sanofi parie sur cette technologie pour stimuler ses ventes "
" Sanofi, le laboratoire pharmaceutique français, a annoncé ses ambitions pour le développement de nouveaux vaccins lors d’une conférence dédiée aux investisseurs. Sanofi affiche de fortes ambitions dans le domaine des vaccins, avec l’objectif d’un chiffre d’affaires annuel de plus de 10 milliards d’euros d’ici à 2030. Le laboratoire pharmaceutique prévoit de lancer au moins cinq programmes de phase III de vaccins innovants d’ici à 2025, dont certains ciblent des maladies telles que la bronchiolite, le pneumocoque et la fièvre jaune. Alors que des centaines d’individus ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires graves suite à l’administration du vaccin à ARNm anti-Covid, Sanofi travaille à une “nouvelle génération” de vaccin contre la grippe reposant sur l’ARN messager.
Même après la déclaration de la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale liée à la Covid-19 par l’OMS (Organisation mondiale de la santé), Pfizer et Moderna avaient annoncé que leur travail continue. Les deux sociétés pharmaceutiques ont déclaré mettre au point des vaccins annuels. Sanofi compte également accélérer ses recherches dans ce domaine. En 2020, Sanofi avait annoncé un retard d’un an sur ses concurrents dans la production d’un vaccin anti-COVID, le laboratoire avait aussi annoncé des coupes douloureuses dans ses effectifs de recherche et de développement. Expert dans la production de vaccins, le leader pharmaceutique français a déjà été critiqué pour avoir échoué face aux concurrents Pfizer et Moderna. Sanofi a perdu pied dans la course aux vaccins à ARN messager contre le COVID.
Nouvelles ambitions dans le domaine des vaccins pédiatriques
Sanofi se concentre sur le développement d’un vaccin pédiatrique antipneumocoque, avec les dernières étapes des essais cliniques prévues pour le premier semestre 2024. Les infections à pneumocoques représentent un marché important pour les vaccins, en dehors de la pandémie de Covid-19. Sanofi veut aussi développer un vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS), responsable de bronchiolites et de pneumonies graves chez les enfants de 1 à 5 ans. Selon Sanofi, les premiers résultats prometteurs d’un vaccin par voie intranasale ont incité Sanofi à prévoir une étude de phase III à partir de l’année prochaine.
Utilisation de la technologie de l’ARN messager
Une autre ambition de Sanofi est d’améliorer la technologie de l’ARN messager pour les vaccins antigrippaux. Bien que l’ARN messager ait provoqué une forte réponse immunitaire contre la souche A de la grippe, la réponse contre la souche B est insuffisante. L’entreprise a investi pour améliorer cette technologie et développer une “nouvelle génération” d’ARN messager pour les vaccins. Des progrès substantiels ont été réalisés, notamment en termes de stabilité du vaccin à des températures de conservation plus élevées.
Par ailleurs, selon la MIT Technology Review, les vaccins ARN sont bon marché, rapides et faciles à produire. Les grands groupes pharmaceutiques sont convaincus qu’il est théoriquement possible de produire des ARNm pour à peu près n’importe quelle protéine – et lutter potentiellement contre n’importe quelle maladie infectieuse. Les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie prévoient l’arrivée des vaccins à ARNm et anticipent la prochaine “épidémie mondiale”, qui pourrait bien être un virus de la grippe. Pourtant les effets secondaires des vaccins à ARNm restent largement méconnus, et étant donné le taux d’autopsie extrêmement bas en Europe, aucune avancée n’est a prévoir dans ce domaine. Tout les jours, des personnes meurent de manière « inattendue », souvent à un jeune âge. L’OMS a même reconnu les effets indésirables des vaccins ARNm (par exemple : les problèmes cardiaques de type myocardites). "
Les scandales rythment l’information sur l’industrie pharmaceutique et focalisent l’attention sur ses excès. Suivre le parcours d’un médicament sans histoire, de sa conception à sa prescription, montre pourtant que la frontière est mince entre les dysfonctionnements et les pratiques routinières.
J'’ai compris que j’étais fliquée, qu’on savait exactement ce que je prescrivais, s’indigne une médecin installée à Paris. J’étais naïve, moi, je ne savais pas. [Un jour], une visiteuse médicale m’a dit : “Vous ne prescrivez pas beaucoup !” Je me suis demandé : “Comment peut-elle savoir cela ?” » Cette pratique de surveillance, qui choque de nombreux praticiens, est orchestrée par les services commerciaux des laboratoires. Pour augmenter ou maintenir leurs parts de marché, les grands groupes pharmaceutiques déploient des trésors d’ingéniosité. Ils n’hésitent pas, par exemple, à modifier les indications de leurs médicaments pour gagner de nouveaux clients.
Considérée par certains médecins comme « la Rolls Royce de l’antibio dans le cutané », la Pyostacine, fabriquée par Sanofi — l’un des tout premiers groupes pharmaceutiques mondiaux en chiffre d’affaires (33 milliards d’euros en 2013) —, a connu un tel destin. Longtemps dévolu à un usage dermatologique, l’antibiotique a opéré un « tournant respiratoire » : il est désormais massivement utilisé dans les cas d’infections broncho-pulmonaires et oto-rhino-laryngologiques. Cette dernière utilisation, critiquée par de nombreux médecins puis dénoncée par les pouvoirs publics, a pu conduire à une surconsommation d’antibiotiques, participant ainsi au problème plus vaste du renforcement des résistances bactériennes — un enjeu de santé publique majeur, responsable de sept cent mille décès par an dans le monde (lire l’encadré « L’autre cauchemar de Darwin »).
Pour comprendre la nature versatile de la marchandise médicale, nous avons suivi la vie de ce médicament ordinaire, depuis les laboratoires de recherche jusqu’aux visiteurs médicaux, en passant par l’usine de production du principe actif. A chaque étape, la marchandise change de nom : les biologistes parlent de la bactérie Pristinae Spiralis, les chimistes de la pristinamycine fabriquée par la bactérie, les visiteurs médicaux vantent les mérites de « la Pyo » aux praticiens, les ouvriers la surnomment affectueusement « la (...) "
" Les rapports des CDC confirment que 0,6 million d'enfants et de jeunes adultes américains sont morts depuis que la FDA a approuvé le vaccin COVID-19 "
30 Juin 2023
" Selon un rapport choquant divulgué sous couverture par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis, les vaccins COVID-19, qui ont été promus comme le remède contre le virus présumé du SRAS-CoV-2, pourraient en fait être responsables de la mort de dizaines de milliers de personnes. à des centaines de milliers d'enfants et de jeunes adultes dans le pays.
Selon les Centers for Disease Control (CDC) , depuis que la FDA a autorisé l'administration des vaccins COVID au public américain pour une utilisation d'urgence, un nombre surprenant de 608 590 enfants et jeunes adultes ont péri. "
" Transparency dénonce la corruption dans le secteur pharmaceutique
La corruption continue à peser sur l'industrie pharmaceutique malgré plusieurs scandales récents,, estime jeudi l'organisation Transparency International. "
" Thérapies #ARNm en général et #Pfizer en particulier: trois nouvelles avancées des biologistes qui changent la donne et interpellent les décideurs "
Publié le 4 juillet 2023 par pgibertie
" Les « vaccins » ARNm sont bel et bien de thérapies géniques et doivent être traitées comme telles , le Pfizer et ses cousins sont contaminés lors de la fabrication en série et certains lots se révèlent particulièrement dangereux. Ces évidences sont aujourd’hui acceptées par la communauté scientifique et doivent interpeler les décideurs.
1Il n’existe aucune explication scientifique ou éthique pour exclure les vaccins à ARNm du contrôle strict auquel sont soumis les GTP (ARNm cancers) "