Fouthese,
comme tu as commencé tard, j’ai cru comprendre que cette année tu venais d’atteindre ta majorité religieuse, il était temps, hein, mais jamais trop tard, alors t’as pensé à ta Bar Mitsva ?
Quand vas-tu nous inviter ? Je suppose qu’il te faudra quelques leçons pour apprendre à danser, mais comme tu es intelligent tu devrais y arriver comme qui rigole, allez un petit aperçu :
Regarde le danseur du milieu,t'y vois pas comme une ressemblance ? t'as déjà la barbe, il ne te reste plus que les peot (papilottes) le chapeau et pile poil le tour est joué !
Rabbi Jacob dance - Bar Mitsva Daniel :
Alors Fouthese, elle est pas belle la vie ?
Allez, chaque matin devant ta glace !
Modifié il y a 5 ans, le vendredi 25 octobre 2019 à 21:40
Retraites, régimes spéciaux : la grande reculade ? - Les questions SMS #cdanslair 18.10.2019
« Le gouvernement serait-il en train de changer ses plans dans le dossier des retraites ? Selon un document confidentiel qui vient d’être transmis aux partenaires sociaux et qu’a dévoilé hier le journal des Échos, le gouvernement pourrait revoir le calendrier de la mise en œuvre du nouveau système de retraites. Ces quelques pages ouvrent en effet la porte à un étalement de la réforme sur une durée encore plus longue que prévu jusqu’à maintenant. En juillet dernier, le haut-commissaire aux retraites Jean-Paul Delevoye avait écrit que la réforme s’appliquerait, à partir de 2025, aux seuls Français nés après 1962. Tous ceux qui ont aujourd’hui 57 ans et plus n’étaient donc pas concernés par le système de retraite universel par points souhaité par Emmanuel Macron.
L’application était plus tardive pour les assurés bénéficiant d’un départ anticipé à 57 ans, tels les policiers, qui ne basculeraient qu’à partir de la génération 1968, et ceux pouvant partir à 52 ans, comme les conducteurs de trains, à partir de la génération 1973. Mais désormais, deux nouvelles possibilités seraient soumises à la concertation : repousser la bascule aux "générations postérieures", "voire appliquer la réforme aux nouveaux entrants sur le marché du travail". En clair, la génération née en 1963 pourrait ne pas être la première à basculer dans le nouveau système.
Bref, "rien n’est tranché sur la durée de la période de transition" a expliqué Matignon. D'ailleurs, hier, le Premier ministre a passé une grande partie son échange sur les retraites avec des parents d'élèves de Lons-le-Saunier, dans le Jura, à rassurer sur le fait que toutes les portes restent ouvertes. "Nous avons le temps de discuter, il ne s'agit par de faire vite mais de faire au mieux pour préserver le pouvoir d'achat des futurs pensionnés et limiter la pression sur les futurs cotisants". Ces déclarations surviennent alors qu’un front commun du refus du futur régime universel est en train de s'organiser. Mercredi la CGT, FO, FSU, Solidaires et plusieurs organisations regroupant lycéens et étudiants (Fidl, MNL, UNL, Unef) ont lancé un appel à une "première journée de grève interprofessionnelle", jeudi 5 décembre. Une date qui avait déjà été choisie par les syndicats de la RATP comme point de départ d'une grève illimitée, après une première mobilisation très suivie le 13 septembre dernier.
Des syndicats de la SNCF et des transports routiers avaient déjà rejoint cet appel. Pour l’heure, il est prévu que la concertation, ainsi qu’une "consultation citoyenne" lancée en parallèle, se poursuivent jusqu’à la fin de l’année, en vue d’un vote du futur projet de loi en première lecture à l’Assemblée au plus tard fin juillet 2020. Mais la tâche s’annonce ardue tant l'inquiétude face au manque de visibilité sur les effets du futur système des retraites se fait également sentir dans l&rsquoinion. Alors quel est le plan d’Emmanuel Macron dans le dossier des retraites ? Qu'est-ce que la clause de grand-père ? Le gouvernement est-il prêt à reculer ? »
Invités :
- Roland Cayrol, politologue, directeur du Centre d’études et d’analyses (Cetan).
- Fanny Guinochet, journaliste pour L&rsquoinion, spécialiste des questions économiques et sociales.
- Stéphanie Matteudi, directrice d’Art du dialogue social (ADDS).
- Gilles Dansart, journaliste spécialiste des questions sociales, directeur de Mobilettre.
diffusé le mer. 23.10.19 à 17h47
disponible jusqu'au 30.10.19
magazines - 64 min - tous publics
De nombreuses informations / chiffres et explications données dans l’émission
- 27mn47 :
A propos des baisses d’impôts
- 29mn56 :
Explications sur l’augmentation du pouvoir d’achat en 2019 -2020 et les chiffres sur l’estimation avancée du taux de pauvreté et de indicateurs d’inégalités en 2018 à cause principalement des mesures fiscales pour les plus fortunés, hausse de la taxe carbone CSG , distribution de dividendes et du prix de l’immobilier, baisse du chômage, l’augmentation des salaires a dépassé l’Allemagne l’année dernière.
« Après Mayotte et un crochet par les îles Éparses, Emmanuel Macron arrive ce mercredi 23 octobre à la Réunion. Mais pour sa première visite en tant que président, et en guise de cadeau d’accueil en quelque sorte, l’ensemble des syndicats réunionnais ont lancé un appel à la grève générale demain pour dénoncer les inégalités sociales et la vie chère. Seul territoire d’outre-mer à avoir connu l’an dernier un mouvement des Gilets jaunes important, la Réunion fait face à de vraies difficultés économiques : 40 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté et selon l'Insee, le coût de la vie, pour un ménage réunionnais moyen est 7,1 % plus élevé que dans l’Hexagone. Ce alors que le revenu médian y est inférieur de 30 % au niveau national (AFD, 2015). Et qu’en 2018 les prix avaient même connu une inflation record de 1,8 %. Cette année, le coût de la vie a continué d'augmenter de 0,6 % et il est l'une des principales précupations des Réunionnais. »
« Les attentes autour de la venue du président de la République sont donc très fortes sur la question du pouvoir d’achat. Un sujet également au centre des débats en France. Alors que la première partie du budget 2020 consacrée aux impôts a été adoptée hier à l’Assemblée, une étude montre que les Français savent très bien ce qu’ils veulent : du pouvoir d’achat en plus ! Selon le Baromètre des décideurs réalisé par Viavoice, 50 % des ménages considéraient même que ce devait être la priorité des priorités de la loi de finances, loin devant la réduction des dépenses publiques (36 %) ou la baisse du déficit (31 %). Aussi plébiscitent-ils toutes les mesures permettant d’y parvenir : la suppression du 3e tiers de la taxe d’habitation, la baisse de cinq milliards de l’impôt sur le revenu, la suppression des hausses de la fiscalité écologique, revalorisation du minimum vieillesse... »
« Mais si l’OFCE prévoit une hausse de pouvoir d'achat de 240 euros par ménage l'an prochain, un Français sur deux seulement pense que les mesures du gouvernement impacteront leur pouvoir d’achat d’après le baromètre CSA/Cofidis, et trois sur quatre affirment ne pas croire à une amélioration de leur situation d’ici 2022. Ils seraient même de plus en plus nombreux à se considérer comme des ménages "modestes" selon une étude de l’Ifop. Ainsi, la proportion de Français déclarant appartenir à la classe moyenne est passée de 70 % en 2008 à 58 % en 2019. Inversement, ceux qui se déclarent "modestes" ont augmenté de 23 % à 38 %. Parmi ces Français, on compte nombre d’agriculteurs qui manifestaient hier un peu partout en France leur colère.
« Alors quels sont les ressorts de la crise sociale à la Réunion ?.
Et en métropole, qu’en est-il du pouvoir d’achat ? Qui sont les gagnants et les perdants du budget 2020 ? Enfin comment répondre à la crise du monde agricole ? »
« Invités :
- Bruno Jeudy, rédacteur en chef du service politique de Paris Match.
- Fanny Guinochet, journaliste en charge des questions économiques et sociales à L&rsquoinion.
- Mathieu Plane, économiste, directeur adjoint au Département analyse et prévision de l’Observatoire Français des Conjonctures Économiques. L'OFCE publie "L’économie française 2020", aux éditions La Découverte.
- Robin Rivaton, essayiste et auteur de "La ville pour tous", publié aux éditions de L’Observatoire. du même programme »
Chômage et demandeurs d'emploi
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Demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi au 3e trimestre 2019
Pour la catégorie A - 0,4 % soit – 12 800 demandeurs en moins
Ce qui fait une baisse de 2,4 % sur un an en France métropolitaine
Pour les catégories A, B, C, une baisse de 0,9% ce trimestre et recule de 2,0% sur un an. »
Alors Fouthese ! Merci qui ? Merci P(M)aron !
« le nombre de demandeurs d’emploi s’élève à 3 616 700 pour la catégorie A. Il diminue de 0,4% sur le trimestre (-2,4% sur un an). Pour les catégories A, B, C, ce nombre s’établit à 5 835 800. Il diminue de 0,9% ce trimestre et recule de 2,0% sur un an. »
« En moyenne au troisième trimestre 2019, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s’établit à 5 530 600. Parmi elles, 3 364 500 personnes sont sans emploi (catégorie A) et 2 166 100 exercent une activité réduite (catégories B, C).
En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A baisse de 0,4% (-12 800) ce trimestre et de 2,4% sur un an. Le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte (catégorie B) diminue de 0,1% par rapport au trimestre précédent et celui des personnes en activité longue (catégorie C) recule de 2,4%. Au total, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C diminue de 0,9% ce trimestre (-48 900) et de 1,9% sur un an.
Au troisième trimestre, 666 300 personnes inscrites à Pôle emploi ne sont pas tenues de rechercher un emploi. Elles sont soit non immédiatement disponibles et sans emploi (catégorie D, par exemple : formation, contrat de sécurisation professionnelle, maladie), soit pourvues d’un emploi (catégorie E, par exemple : création d’entreprise, contrat aidé). Sur ce trimestre, le nombre d’inscrits en catégorie D augmente de 7,9% et celui des inscrits en catégorie E augmente de 1,3%.
En France (y compris départements-régions d’outre-mer, hors Mayotte), le nombre de demandeurs d’emploi s’élève à 3 616 700 pour la catégorie A. Il diminue de 0,4% sur le trimestre (-2,4% sur un an). Pour les catégories A, B, C, ce nombre s’établit à 5 835 800. Il diminue de 0,9% ce trimestre et recule de 2,0% sur un an. »