" Laissons du temps au temps ",comme l'avait dit un politicard qui depuis a quitté la surface de la planète.
« Il n'y aucun traitement "vraiment efficace" contre le covid-19, déclare l'épidémiologiste Arnaud Fontanet »
« Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l'Institut Pasteur et membre de conseil scientifique sur le covid-19, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce lundi 1er juin 2020. »
Le 1 juin 2020 - Durée 53 s
Citation de valentin14vanves« Il n'y aucun traitement "vraiment efficace" contre le covid-19, déclare l'épidémiologiste Arnaud Fontanet »
« Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l'Institut Pasteur et membre de conseil scientifique sur le covid-19, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce lundi 1er juin 2020. »
Le 1 juin 2020 - Durée 53 s
« Coronavirus et hydroxychloroquine - les contre vérités»
Modifié le 17/04/2020 à 13:09 - Publié le 17/04/2020 à 09h29 - Le Point
Pr Aimé Bonny
Moins de malades à Marseille ?
Le Pr Raoult a déclaré dans l'une de ses interviews que « l'on ne peut pas transformer un malade en objet de recherche ». Or il ne fait que ça pour convaincre le monde, qui lui fait aveuglément confiance, justement pour se prévaloir de plus de 1 800 publications dont plusieurs ayant inclus des patients. Simplement, il le fait de façon peu conventionnelle, à la façon d'un marginal.
Pour appuyer sa démonstration de l'efficacité de son protocole (utilisant les malades), il affirme qu'il y a moins de malades à Marseille. Conclure que la faible prévalence de malades (personnes contaminées) dans la région de Marseille serait la conséquence du traitement précoce des personnes dépistées positives est tentant pour un profane. Or ceci est une contre-vérité scientifique.
Le taux de contamination d'une population donnée dépend essentiellement de sa capacité à observer une distanciation structurelle (difficile, par exemple, dans des situations de promiscuité comme en Seine-Saint-Denis) ou individuelle (port de masque, lavage des mains et autres gestes barrières). Les facteurs environnementaux favorisant la circulation du virus sont peu clairs, mais plausibles. C'est certainement l'une des raisons de la distribution inégale du taux de circulation du virus en France (la Corse, la Bretagne, la Normandie, les Pays de la Loire, voire le Centre-Val de Loire, la Nouvelle-Aquitaine, l'O ccitanie étant les régions les moins touchées) et dans le monde (l'Afrique subsaharienne dans l'ensemble relativement épargnée).
« Bataille des chiffres »
Par ailleurs, au 7 avril, les taux d'hospitalisation en réanimation et de décès de plusieurs régions en France n'utilisant pas le protocole marseillais sont soit meilleurs (Corse : < 1 % et < 0,5 % respectivement), soit superposables (Bretagne : 2 % et 1 % respectivement). Si on pondère les taux de morbidité et mortalité du Covid-19 à la gravité de l'état des malades, le Pr Raoult ne saurait revendiquer le rôle miraculeux de son traitement.
En effet, alors que 95 % de sa population traitée est stratifiée comme ayant une forme « légère » de la maladie (les images des candidats attendant quatre heures dans les longues files de l'institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection l'attestent), les données chinoises revendiquent la forme « modérée » chez 81 % des cas.
Les données brutes des régions françaises les moins contaminées citées plus haut sont meilleures que celles de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) , incluant la ville de Marseille. En effet, les régions Centre-Val de Loire, Nouvelle-Aquitaine et Normandie se portent mieux avec 2 % de mortalité contre 6 % en Paca.
Au pointage du 9 avril, en Paca, le département des Bouches-du-Rhône paie le plus lourd tribut à la maladie avec 144 décès. Autrement dit, la recette du Pr Raoult n'est en rien une assurance tout risque. Pour mieux apprécier sa saveur, le choix du dénominateur permettant le calcul des taux de mortalité est crucial. Oui, la bataille médiatique du traitement du Covid-19 est d'abord celle des chiffres.
Or, selon qu'on rapporte le nombre de cas hospitalisés en réanimation ou de patients décédés au nombre de personnes dépistées (avec un niveau de sévérité différent) ou hospitalisées (même biais de différence de sévérité) ou encore à la population générale du territoire (le meilleur critère), les chiffres divergent.
Rapportés au nombre de personnes hospitalisées, on a plus de morts en Normandie (25,4 %) qu'en Nouvelle-Aquitaine (22,4 %) et que dans les Bouches-du-Rhône (14,7 %), alors que les taux du premier et du dernier territoire cités s'égalisent lorsqu'on prend pour dénominateur les populations globales des deux territoires (0,005 % vs 0,007 %) ; la Nouvelle-Aquitaine étant le lieu où il serait conseillé de vivre, avec 0,0002 % de cas.
Ce comparateur est plus objectif que celui utilisant le nombre de cas positifs détectés puisque le nombre de tests effectués est inégal entre les régions et que la moyenne d'âge des candidats aux traitements est disparate (44 ans dans la cohorte de Marseille).
« Pas mieux qu'un placebo »
Enfin, la population soignée à l'IHU de Marseille revendique un taux de guérison de 91 %, contre une moyenne de 88 % dans la littérature mondiale. Rapporté au score de risque moins élevé des patients du Pr Raoult, dont la moyenne d'âge est très faible (44 ans), il est fort à parier que la différence serait statistiquement non significative.
Cette quasi-certitude est renforcée par la modélisation de l'Imperial College of London, qui prédit une prévalence de 2 millions de personnes infectées en France pour une dizaine de milliers de décès, soit un taux approximatif de 0,5 %, qui est exactement le résultat de Marseille. Autrement dit, l'association hydroxychloroquine et azithromycine ne ferait pas mieux que le placebo.
« Socrate et Nostradamus »
Cette guerre fratricide ne profitera à personne au final. La science en sortira fragilisée et décrédibilisée, le Pr Raoult, en course pour le prix Nobel de médecine, ou un gourou. Dans tous les cas, l'on se souviendra d'un homme dont l'absence d'humilité et d'un minimum de doute est manifeste, contrairement à Socrate qui déclarait « Je sais une chose, c'est que je ne sais rien » pour affirmer la reconnaissance de son ignorance comme attitude nécessaire à la quête du savoir.
On se souviendra également de ses phrases « Les mathématiques ne servent à rien » ou « les Nostradamus se sont trompés ». On n'oubliera pas l'omniprésence du Pr Philippe Douste-Blazy qui, sur tous les plateaux de télévision acquis à la cause de ces « sachants » autoproclamés, n'hésitait pas à faire mentir les statistiques de mortalité par département pourtant consultables par les journalistes. Ce virus nous aura fait plus de mal qu'on ne l'aurait prédit.
* Aimé Bonny est cardiologue, université de Douala-Cameroun.
Le lien vers l'article du point ne passe pas, pour y accéder saisir les mots clés dans votre moteur de recherche préféré :« Coronavirus et hydroxychloroquine - les contre vérités» article du point. (Publié le 17/04/2020 à 09h29 - Le Point)
Modifié il y a 4 ans, le lundi 1 juin 2020 à 21:11
Citation de iseult
Tu pisses dans un violon (c'est l'expression, hein)
Depuis le temps, il doit déborder ; prends un violoncelle, voire une contrebasse
Dans un violon ?
Non non, pas dans un violon !
Et puis c'est de l'information pour toutes et tous ! CQFD
1mn 39 - « Pionniers de l’autonomie … convaincus que le bonheur passe par la sobriété »
2mn05 – « Alors ici on voit le chauffe eau solaire, photo piles qui donnent l’électricité, la serre qui donne de la chaleur, un banc thermique qui stocke les calories dans la serre, un séchoir solaire qui permet de sécher les fruits et puis ici on voit l’éolienne en haut, on voit encore 6 m² de photo-piles tournantes, on voit la serre…. »
2mn50 - « Ce qui est intéressant c’est de savoir que on a tout le confort, alors le confort que nous on estime juste, mais on a la lumière, aspirateur, internet, télévision, une machine à laver et tout l’électroménager, ordinateur, smartphone... la bagnole, on se prive de rien »
J’aime bien sa démonstration Foutaise, toi l’émule d’Ellul, l’anarcho libertaire, tu devrais t’arracher les cheveux ... ou ce qu'il en reste !
Sur quoi est bâti son modèle de hameau autonome ? ... Enfin autonome c’est beaucoup dire hein en électricité et en eau, en fruits et légumes oui ?
Pour le reste ? Ben en équipements électroménagers, ordinateur, smartphone... la bagnole , pour moi, c’est quasiment comme le quidam vivant en zone urbaine hein ! CQFD
Alors oui Foutaise, jusqu’à preuve du contraire, il est bien loin des thèses d’Ellul ! CQFD
Son modèle d’autonomie de vie est bâti autour de la technique (la technologie) : l’éolienne, les panneaux solaires, les batteries, chauffe-eau solaire, four solaire, « photo-piles » tournantes (panneaux solaires tournants) …
C’est fou non cette démonstration évidente ! Que la technique serait néfaste pour l’humanité et qu’elle est à bannir à tout prix ! T’as des choses à dire sur le sujet Foutaise ?
Pour le reste :
- 6mn45 – « Il y a les événements de 68, dont le maître mot c’est « métro boulot dodo », c’est une première réflexion sur la modernité,[/b] sauf que pour moi, c’était très intellectuel et c’est facile. C’est facile de descendre dans la rue, c’est facile d’être sous une bannière, dans la mesure où on demande aux autres de changer et pour j‘ai toujours eu le sentiment que ça commence par moi, de balayer devant ma porte et d’être un minimum cohérent »
T’as capté Foutaise ?
[b]11mn01 - « on revient à une vie très simple finalement et pourquoi ça se généraliserait pas ! Je ne comprends pas. Si le peuple français était vraiment conscient, on pourrait vraiment changer les choses ! »
Quel manque de recul et de réflexion !
Appliquer son modèle ?
C’est vrai comment n’y a t-on pas pensé plus tôt hein !
Euh, Patrick sait-il que près de 83 % de la population française vit en zone urbaine ?
Allez éolienne, panneaux solaires, fours solaires et eau de pluie pour tout le monde !
Peut-il expliquer aux résidents des cités urbaines vivant en pavillons, en appartement, en HLM, comment ils peuvent installer leur propre éolienne, leurs panneaux solaires et leurs batteries, pour accéder à la totale autonomie électrique, dans leur 50 m² et sur le toit de leur habitation, leur l’immeuble et récupérer leur eau de pluie acide et contaminée par la pollution ?
Sans compter les coûts d’acquisition de ce type d’installation ou sans ou avec une aide de l’Etat limitée ?
11mn30 – « on est sans arrêt en train de réfléchir à ce qui est bon de conserver de la tradition, des modes de vie anciens et aussi ne pas refuser la modernité, bon par exemple on a internet, j’ai un site internet sui marche très bien et qui nous sert énormément, ben on a une voiture, mais voilà on va pas plus loin que ça, et avec un demi salaire on a pu assouvir tout nos besoins avec 4 enfants »
Finalement lorsque l’on compare les équipements électro-ménager, cuisinière à gaz ... quelle différence y a t-il avec ceux qui vivent normalement ? CQFD
16mn46 – « Ecole de formation à l’autonomie – Qu’est-ce qu’il faut pour faire un oeuf »
« Ca commence en Ouganda dans les mines pour faire de la fonte , des aciéries et des manufactures, donc des produits qui permettent de faire une centrale électrique, donc y a déjà énormément d’énergie qui n’est jamais calculée, qui est dépensée avant d’arriver dans la centrale nucléaire.
Alors les industries chimiques, le pétrole fait des engrais des plastiques et des désherbants, ensuite on élève les poules dans en usines, en batteries, pardon, c’est à peu près pareil, stress et puis maladies engendrées, à la fois par les injections et la surpopulation, tout ça pour faire un oeuf et nous laisser du fumier absolument contaminé, donc ça je pense que c’’est un bel exemple de fonctionnement.
Ca tout ça j’en avais l’intuition et la connaissance à 25 ans et je me suis dit je ne veux pas, personnellement me compromettre avec ça ! »
Purée Foutaise ! T’as bien fait de poster cette vidéo et nous faire partager cette présentation digne d’un exposé de gamins de CM2 !
Je crains le pire, pour l’éducation des enfants scolarisés à la maison !
Patrick ne semble pas avoir tout compris dans les mécanismes économiques des entreprises, qu’elles soient privées ou publiques. Contrairement à ce qu’il raconte, les charges fixes, variables sont intégrées au prix de revient d’un produit ou d’un service ... jusqu’à preuve du contraire !
Questions :
- Quid de cette « compromission » avec des équipements qu’il utilise : éolienne, panneaux solaires, les grosses batteries rouges au plomb « Rolls série 500 » que l’on voit à 11m33, les équipements électroménagers, télévision, ordinateur et smartphone ?
Quelle est l’empreinte carbone de ces matériels, de l’utilisation des terres rares, comme le coltan extrait en zone de conflit (kivu) en RDC par des enfants exploités, des composants toxiques pour l’environnement utilisés dans la fabrication de ces matériels ?
- Et où il situe sur son tableau les œufs bio et œufs dont les poules sont élevées en plein air, ou ceux que tu achètes via les circuits courts chez les petits producteurs ?
18mn02 – « Je me suis dit je ne veux pas me compromettre avec ça ! Quand on voit que nos déchets de cuisine et un petit peu de grains locaux, ben ça nous fait des œufs pour l’année ! Ca nous donne nos protéines pour l’année. [b]Donc la solution mondiale, c’est de retrouver nos autonomies à partir des éléments au dessus du sol et de la végétation et des éléments organiques »
Donc la solution mondiale, c’est de [i]« retrouver nos autonomies à partir des éléments au dessus du sol »? /i]
J’imagine bien les 83 % de français vivant en zone urbaine élevant leurs poules dans leur appartement de 60 m² !
Même en pavillon, le voisinage sera ravi de faire appel aux avocats pour régler les contentieux sonores et « o dorants » !
Pour conclure :
Ce type de modèle d’autonomie, c’est à mon humble avis un peu de la poudre aux yeux, dans le sens où cela ne s’adresse que principalement qu’à des bobos, avec un minimum de moyens financiers ou bénéficiant d'un terrain à la campagne d’une belle surface pour y installer panneaux solaires, éolienne, potager et arbres fruitiers .
Près de 83 % de la population française vit en zone urbaine, ce qui signifie que pour cette population, l’autonomie n’est qu’un vœu pieux.
Parce que pour accéder à l’autonomie électrique en ville ou en zone urbaine, cela demande un terrain et une maison déjà d’une taille respectable pour y installer des panneaux solaires et prétendre à cette autonomie.
Sans parler du montant des investissements, relativement conséquents, surtout pour des populations aux revenus modestes.
Idem pour l’autonomie en eau, en zone urbaine ? Récupérer l’eau de pluie polluée, pour la consommer ? Mouais ! Pour ceux qui possèdent un jardin récupérer l’eau de pluie pour l’arrosage du jardin, pourquoi pas, c’est ce que font la plupart d’entre eux !
Et j’ai de gros doutes sur la « pureté de l’eau sans bactérie » !
Des bactéries, micro-organismes, germes ... vivent et se développent à des températures bien plus basses que les 12 °c, comme au fond des océans, dans les grandes profondeurs à des températures bien inférieures ou bien supérieures !
Et puis consommer cette eau sans savoir si elle est réellement potable ?
Fait-il des prélèvements et analyses régulièrement (ce qui est fait par les services des eaux de ville) pour s’assurer que l’eau est consommable, sans danger pour la santé !
L’eau issue des nappes phréatiques à la campagne est souvent polluée par des germes, pesticides produits phytosanitaires, du radon, métaux lourds, des pcb…
Est-ce réellement une économie que d’être autonome en eau et devoir réaliser régulièrement des analyses, comme pour l’eau de ville ?
Pour ceux qui n’ont pas les moyens ni l’envie de se retirer dans la campagne profonde, l’autonomie électrique (sauf à posséder des panneaux solaires pour chauffer son ballon d’eau chaude ou produire un peu d’électricité) et en eau (surtout à partir de l’eau de pluie), est une chose quasi impossible en zone urbaine, l’autonomie alimentaire encore moins.
Le jeux en vaut-il la chandelle avec toutes les contraintes que cela occasionne financièrement, en temps d’entretien, le relatif éloignement des « commodités » : des services de santé, d’éducation, des commerces … ?
Et pour quel bénéfice réel au final, si en dehors de l’électricité et de l’eau, notre comportement ne change que très peu d’une utilisation classique de l’électroménager, surtout qu’en ville, où la possession d’un véhicule personnel à énergie fossile n’est pas toujours indispensable ? La question est posée !
Modifié il y a 4 ans, le mardi 2 juin 2020 à 13:44
Je sais mais je ne vois pas pourquoi tu me dis ça ?
Y'a même l'urinothérapie, peut-être plus efficace que la Chloroquine contre le corona ?
C'était de l'humour ... mon humour !
Je ne dis pas ça pour toi, c'était un message subliminal ... à titre d'information !
Concernant l'urinothérapie et le traitement contre le conronavirus, je n'en sais rien, je ne suis pas médecin, donc je ne m'avancerais pas sur le sujet !
En revanche, toujours en survie, en l'absence d'eau potable à disposition, boire son urine peut sauver la mise et la vie ... et même chez certains écolos, c'est une pratique entrée dans les moeurs !
Modifié il y a 4 ans, le mardi 2 juin 2020 à 14:47
Citation de valentin14vanves
C'était de l'humour ... mon humour !
Je ne dis pas ça pour toi, c'était un message subliminal ... à titre d'information !
Concernant l'urinothérapie et le traitement contre le conronavirus, je n'en sais rien, je ne suis pas médecin, donc je ne m'avancerais pas sur le sujet !
En revanche, toujours en survie, en l'absence d'eau potable à disposition, boire son urine peut sauver la mise et la vie ... et même chez certains écolos, c'est une pratique entrée dans les moeurs !
OK !
Il parait que ça aiderait (au conditionnel, hein) à combattre certaines maladies, d'où mon inter.
Comme je n'ai pas de certitude (j'en ai si peu), je n'affirme pas
Il parait que ça aiderait (au conditionnel, hein) à combattre certaines maladies, d'où mon inter.
Comme je n'ai pas de certitude (j'en ai si peu), je n'affirme pas
Il parait !
Mais je ne sais pas s'il y a eu des preuves scientifiques pour confirmer les réels effets ! Surtout lorsque le donneur souffre d'infections urinaires !
Cela dit c'est une pratique ancestrale millénaire en inde (amaroli) et dans le sud-est asiatique.
Y en a des « roots » qui l'utilisent pour le soin de leurs cheveux et de leur peau !
" En moyenne au premier trimestre 2020, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s'établit à 5 450 300. Parmi elles, 3 333 800 personnes sont sans emploi (catégorie A) et 2 116 500 exercent une activité réduite (catégories B, C). " - Citation