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" Pass-sanitaire à vie, hôpitaux à mort ? - JT du mercredi 22 septembre 2021 "
10 924 vues 22 sept. 2021 382 commentaires Dont celui-ci: - " Depuis 50 ans de recherche sur la maladie d’alzheimer, quasiment aucune avancée , les médicaments ont tous été déremboursés par manque d’efficacité. Actuellement un nouveau médicament est en test (phase 2) mais il faut voir la prudence des spécialistes, quand on met cette prudence en parallèle avec l’engouement sans borne pour les vaccins covid ficelés en quelques mois à peine, on peut s’interroger. " |
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Citation de iseult
Bonjour,
Modifié il y a 3 ans, le jeudi 23 septembre 2021 à 00:52 |
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Citation de iseult
Bonjour,
Modifié il y a 3 ans, le jeudi 23 septembre 2021 à 01:29 |
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Citation de fouthese
Raoult toujours consulté !
397 613 vues ++++++++++ +++++++++++++++ +++++++++++++ +++++++++++++++ ++++++++++++ ++++++++++++ Mesure barrière contre la pseudo science, les bonimenteurs et gourous de salon ++++++++++ ++++++++++++++ ++++++++++++++ ++++++++++++ ++++++++++ + Toujours consulté ? Par qui ? C’est de l’auto-consultation ! « Le lendemain, le matou revient » Blabla bla, The Number One de la pseudo science en microbiologie, en être arrivé après une telle carrière à faire ses petites vidéo s d'amateur, ça en devient pathétique ! - Quand on voit la tête de son collègue on se demande ce qu’il pense du blabla de Papa Doc ! - 6mn00 : D. Raoult : « ... Moi je ne veux pas perdre ma crédibilité en racontant des contes de fée » Ça c’est bien vrai ! Cré vindiou la marie ! La preuve en image … et encore la saison 2 n’est pas encore terminée « Le grand bêtisier de Didier Raoult ! » 42,891 views • Oct 23, 2020 Foutaise, tu devrais jeter un oeil sur la presse internationale pour te rendre compte que contrairement à quelques followers atteints du syndrome de Stockholm et les guignols politicards qui se sont accroché à lui pour faire du racolage politique, il est maintenant moqué ou pire, de partout (US, Canada, GB, Brésil… Belgique… ) ! et même le Comité d’éthique du CNRS le massacre avec d'autres dans leur « AVIS n°2021-42 approuvé en séance plenière le 25 juin dernier » ! C’est dire ! « COMETSComité d’éthique du CNRS AVIS n°2021-42 «COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EN SITUATION DE CRISESANITAIRE: PROFUSION, RICHESSE ET DERIVES » Approbation en séance plénière le 25 juin 2021 » « 2.Des écarts à l‘intégrité scientifique, à la déontologie et à l’éthique lourds de conséquences » «Face à l’urgence de trouver des solutions thérapeutiques à la COVID-19,des acteurs de la recherche et du monde médical ont soutenu que l’intuition ou le «bon sens», médical seraient suffisants pour décider de l’efficacité et de la sécurité d’un traitement. Ils ont déclaré être les tenants d’une «éthique du traitement» qui serait opposée à une «éthique de la recherche»20. Ce discours a servi la promotion, par DidierRaoult et son équipe de l’IHU de Marseille, du traitement de la COVID-19par un antipaludéen connu de longue date, l’hydroxychloroquine(HCQ). Largement ouvert au public, dans des conditions peu respectueuses des règles de déontologie médicale, le traitement a fait l’objet d’un emballement médiatique et politique alors même que son efficacité sur la COVID-19 ne reposait que sur une étude clinique contestable. Les dérives qui ont accompagné la publication de cette étude dans la revue International Journal of Antimicrobial Agents21 ont alerté la communauté scientifique22(voir Annexe 1). Elles sont édifiantes: accepté 24 heures après sa soumission, l’article a eu, dès sa parution, un énorme impact international23; il a été critiqué sur sa méthodologie (élimination de cas, biais statistiques, absence de preuves robustes,) et suscité des commentaires sur le processus de validation par les pairs, l’un des signataires, Jean-Marc Rolain, étant aussi l’éditeur en chef de cette revue. Face à la pression de la communauté scientifique, l’article a été ré-évalué postérieurement à sa publication. L’expertise, rendue publique par la revue24, a recommandé le retrait de l’article, ce qui n’a pas été fait, son éditeur en chef l’ayant seulement «ouvert à la discussion». On ne peut que déplorer une décision qui remet en cause le jugement par les pairs et va à l’encontre des critiques unanimes de ces derniers. Près de 40 % des articles publiés dans l’International Journal of Antimicrobial Agents depuis sa création en 2013 ont été co-signés par son éditeur en chef, Jean-Marc Rolain, et un, voire plusieurs, membres de l’IHU de Marseille dont Didier Raoult. 25 De tels conflits d’intérêt jettent la suspicion sur la validité de leurs travaux et sont d’autant plus critiquables que cette autopromotion contribue à l’avancement de carrière des auteurs et au financement de leur recherche, tous deux conditionnés par le nombre de leurs publications. 26 L’article de D. Raoult et son équipe oblige à un questionnement sur la responsabilité des auteurs face à l’énorme impact de leurs résultats en termes de soins. On peut s’inquiéter de ce que cette étude si peu probante ait pu susciter une telle adhésion du public. Il a été impossible par la suite d’en corriger les effets. Comme nous le discutons plus loin, cette situation rassemble beaucoup des ingrédients de ce qui s’apparente au «populisme scientifique». Les controverses autour de l’efficacité de l’HCQ ont conduit plusieurs équipes à conduire de nouvelles études. A la suite de la publication de l’une d’entre elles27 qui ne confirmait pas l’efficacité clinique de l’HCQ, ses auteurs ont subi une violente campagne de cyber-harcèlement sur les réseaux sociaux, allant jusqu’à des menaces de mort28. Cette situation a aussi été vécue par trois médecins-cheffes qui en ont fait état dans une tribune de la revue The Lancet29. Ces comportements, exacerbés par les nouveaux médiateurs de l’information que sont internet et les réseaux sociaux,sont totalement inadmissibles et nous les dénonçons avec la plus grande vigueur. Le COMETS s’inquiète aussi des tentatives de judiciarisation du débat scientifique à des fins d’intimidation et en a fait état dans un communiqué (ANNEXE 2). Rappelons, qu’à partir du moment où elles se fondent sur des données factuelles tangibles, la discussion d’hypothèses et de résultats publiés et la mise en cause des procédures de preuves font partie de l’activité normale des chercheurs. Nous conclurons ce chapitre en rappelant que les tensions entre « médecine qui cherche » et « médecine qui soigne », entre l’urgence des soins et l’obligation de rigueur, même si elles posent des problèmes éthiques particulièrement douloureux, ne sauraient éloigner le chercheur d’une démarche intègre. » Lire aussi : - Page 17 à 19 : « E. Défiance envers la science. Quand la parole du scientifique est confrontée au «populisme scientifique» » - Page 24 : « B.ANNEXE 2 Communiqué du COMETS sur la plainte déposée par les Professeurs Didier Raoult et Éric Chabrière à l’encontre d’Elisabeth Bik et de Boris Barbour7 Juin 2021 » L'avis du Comité d'éthique du CNRS au format pdf : https://comite-ethique.cnrs.fr/wp-content/uploads/2021/09/AVIS-2021-42.pdf 8mn30 – : « Les résultats concernant la protection de la vaccination contre l’infection et l’Analyse multivariée ... » « … Et là on a des données qui sont très différentes, qui montrent qu’il y a un effet protecteur du vaccin contre d’une part le décès, on diminuant par 2 la mortalité et d’autre par l’admission en réanimation où la aussi la diminution en réanimation est diminué par 2. Il y a donc un effet protecteur, il n’est pas parfait ce vacin, puisqu’il y a un certain nombre de personnes qui malheureusement continuent à décéder et parmi ces personnes, ce sont des gens qui rentrent dans les catégories que D. Raoult citait tout à l’heure. Cad des personnes âgées obèses ou qui ont des comorbidités importantes, mais ça fonctionne quand même, ça prévient la moitié de la mortalité et ça prévient la moitié des admissions en réanimation. Donc il y a un vrai effet du vaccin qui n’est pas parfait mai qui fonctionne ! »«» Bah oui hein ! Ça c’est un scoop Foutaise ! Ça veut dire quoi une efficacité entre 88 % et 96 % chez les + de 60 ans ? Sinon qu’entre 4 et 12 % des vaccinés peuvent être sujets à hospitalisation, formes graves ou décès ? Et pour info ce sont surtout les immunodéprimés, greffées, personnes très âgées dont les défenses immunitaires sont très faibles les principales personnes vaccinées 2 / 3 touchées ! Pour rappel les vaccins contre la grippe saisonnière l’efficacité se situe généralement entre 50 et 56 % ! Donc rien de neuf au soleil, en dehors de la confirmation et l’aveu de l’IHU que la vaccination fonctionne ! Un commentaire Foutaise ? « Alors,à quand son arrestation ? » Comme t'es un expert en droit d'opérette, déjà des plaintes ont été déposées, le temps de la justice n'est pas du temps réel. Quoique pour certaines affaires, cela y ressemble parfois !!! Tu devrais lire l'avis du Comité d'éthique du CNRS dans son intégralité, tu comprendras qu'il y a matière avec un tel florilège d'accusations, conflits d'intérêts, manque de respect des règles déontologiques, pressions, menaces ... pour que les plaintes en cours soient copieusement argumentées ! |
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Citation de valentin14vanves
++++++++++ +++++++++++++++ +++++++++++++ +++++++++++++++ ++++++++++++ ++++++++++++ Mesure barrière contre la pseudo science, les bonimenteurs et gourous de salon ++++++++++ ++++++++++++++ ++++++++++++++ ++++++++++++ ++++++++++ +
Foutaise, tu devrais jeter un oeil sur la presse internationale pour te rendre compte que contrairement à quelques followers atteints du syndrome de Stockholm et les guignols politicards qui se sont accroché à lui pour faire du racolage politique, il est maintenant moqué ou pire, de partout (US, Canada, GB, Brésil… Belgique… ) ! et même le Comité d’éthique du CNRS le massacre avec d'autres dans leur « AVIS n°2021-42 approuvé en séance plenière le 25 juin dernier » ! C’est dire ! « COMETSComité d’éthique du CNRS AVIS n°2021-42 «COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EN SITUATION DE CRISESANITAIRE: PROFUSION, RICHESSE ET DERIVES » Approbation en séance plénière le 25 juin 2021 » « 2.Des écarts à l‘intégrité scientifique, à la déontologie et à l’éthique lourds de conséquences » «Face à l’urgence de trouver des solutions thérapeutiques à la COVID-19,des acteurs de la recherche et du monde médical ont soutenu que l’intuition ou le «bon sens», médical seraient suffisants pour décider de l’efficacité et de la sécurité d’un traitement. Ils ont déclaré être les tenants d’une «éthique du traitement» qui serait opposée à une «éthique de la recherche»20. Ce discours a servi la promotion, par DidierRaoult et son équipe de l’IHU de Marseille, du traitement de la COVID-19par un antipaludéen connu de longue date, l’hydroxychloroquine(HCQ). Largement ouvert au public, dans des conditions peu respectueuses des règles de déontologie médicale, le traitement a fait l’objet d’un emballement médiatique et politique alors même que son efficacité sur la COVID-19 ne reposait que sur une étude clinique contestable. Les dérives qui ont accompagné la publication de cette étude dans la revue International Journal of Antimicrobial Agents21 ont alerté la communauté scientifique22(voir Annexe 1). Elles sont édifiantes: accepté 24 heures après sa soumission, l’article a eu, dès sa parution, un énorme impact international23; il a été critiqué sur sa méthodologie (élimination de cas, biais statistiques, absence de preuves robustes,) et suscité des commentaires sur le processus de validation par les pairs, l’un des signataires, Jean-Marc Rolain, étant aussi l’éditeur en chef de cette revue. Face à la pression de la communauté scientifique, l’article a été ré-évalué postérieurement à sa publication. L’expertise, rendue publique par la revue24, a recommandé le retrait de l’article, ce qui n’a pas été fait, son éditeur en chef l’ayant seulement «ouvert à la discussion». On ne peut que déplorer une décision qui remet en cause le jugement par les pairs et va à l’encontre des critiques unanimes de ces derniers. Près de 40 % des articles publiés dans l’International Journal of Antimicrobial Agents depuis sa création en 2013 ont été co-signés par son éditeur en chef, Jean-Marc Rolain, et un, voire plusieurs, membres de l’IHU de Marseille dont Didier Raoult. 25 De tels conflits d’intérêt jettent la suspicion sur la validité de leurs travaux et sont d’autant plus critiquables que cette autopromotion contribue à l’avancement de carrière des auteurs et au financement de leur recherche, tous deux conditionnés par le nombre de leurs publications. 26 L’article de D. Raoult et son équipe oblige à un questionnement sur la responsabilité des auteurs face à l’énorme impact de leurs résultats en termes de soins. On peut s’inquiéter de ce que cette étude si peu probante ait pu susciter une telle adhésion du public. Il a été impossible par la suite d’en corriger les effets. Comme nous le discutons plus loin, cette situation rassemble beaucoup des ingrédients de ce qui s’apparente au «populisme scientifique». Les controverses autour de l’efficacité de l’HCQ ont conduit plusieurs équipes à conduire de nouvelles études. A la suite de la publication de l’une d’entre elles27 qui ne confirmait pas l’efficacité clinique de l’HCQ, ses auteurs ont subi une violente campagne de cyber-harcèlement sur les réseaux sociaux, allant jusqu’à des menaces de mort28. Cette situation a aussi été vécue par trois médecins-cheffes qui en ont fait état dans une tribune de la revue The Lancet29. Ces comportements, exacerbés par les nouveaux médiateurs de l’information que sont internet et les réseaux sociaux,sont totalement inadmissibles et nous les dénonçons avec la plus grande vigueur. Le COMETS s’inquiète aussi des tentatives de judiciarisation du débat scientifique à des fins d’intimidation et en a fait état dans un communiqué (ANNEXE 2). Rappelons, qu’à partir du moment où elles se fondent sur des données factuelles tangibles, la discussion d’hypothèses et de résultats publiés et la mise en cause des procédures de preuves font partie de l’activité normale des chercheurs. Nous conclurons ce chapitre en rappelant que les tensions entre « médecine qui cherche » et « médecine qui soigne », entre l’urgence des soins et l’obligation de rigueur, même si elles posent des problèmes éthiques particulièrement douloureux, ne sauraient éloigner le chercheur d’une démarche intègre. » Lire aussi : - Page 17 à 19 : « E. Défiance envers la science. Quand la parole du scientifique est confrontée au «populisme scientifique» » - Page 24 : « B.ANNEXE 2 Communiqué du COMETS sur la plainte déposée par les Professeurs Didier Raoult et Éric Chabrière à l’encontre d’Elisabeth Bik et de Boris Barbour7 Juin 2021 » L'avis du Comité d'éthique du CNRS au format pdf : https://comite-ethique.cnrs.fr/wp-content/uploads/2021/09/AVIS-2021-42.pdf 8mn30 – : « Les résultats concernant la protection de la vaccination contre l’infection et l’Analyse multivariée ... » « … Et là on a des données qui sont très différentes, qui montrent qu’il y a un effet protecteur du vaccin contre d’une part le décès, on diminuant par 2 la mortalité et d’autre par l’admission en réanimation où la aussi la diminution en réanimation est diminué par 2. Il y a donc un effet protecteur, il n’est pas parfait ce vacin, puisqu’il y a un certain nombre de personnes qui malheureusement continuent à décéder et parmi ces personnes, ce sont des gens qui rentrent dans les catégories que D. Raoult citait tout à l’heure. Cad des personnes âgées obèses ou qui ont des comorbidités importantes, mais ça fonctionne quand même, ça prévient la moitié de la mortalité et ça prévient la moitié des admissions en réanimation. Donc il y a un vrai effet du vaccin qui n’est pas parfait mai qui fonctionne ! »«» Bah oui hein ! Ça c’est un scoop Foutaise ! Ça veut dire quoi une efficacité entre 88 % et 96 % chez les + de 60 ans ? Sinon qu’entre 4 et 12 % des vaccinés peuvent être sujets à hospitalisation, formes graves ou décès ? Et pour info ce sont surtout les immunodéprimés, greffées, personnes très âgées dont les défenses immunitaires sont très faibles les principales personnes vaccinées 2 / 3 touchées ! Pour rappel les vaccins contre la grippe saisonnière l’efficacité se situe généralement entre 50 et 56 % ! Donc rien de neuf au soleil, en dehors de la confirmation et l’aveu de l’IHU que la vaccination fonctionne ! Un commentaire Foutaise ? « Alors,à quand son arrestation ? » Comme t'es un expert en droit d'opérette, déjà des plaintes ont été déposées, le temps de la justice n'est pas du temps réel. Quoique pour certaines affaires, cela y ressemble parfois !!! Tu devrais lire l'avis du Comité d'éthique du CNRS dans son intégralité, tu comprendras qu'il y a matière avec un tel florilège d'accusations, conflits d'intérêts, manque de respect des règles déontologiques, pressions, menaces ... pour que les plaintes en cours soient copieusement argumentées ! lol.... tu as lu le rapport du CNRS ..en entier..? mais que devient ta femme...? entre tes lectures délétères.. tes z'ob..sessions.. sur youporn... et le temps passé ici..! mais que devient ta femme..??? Modifié il y a 3 ans, le jeudi 23 septembre 2021 à 01:42 |
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Citation de fouthese
Tu parles de celle qui pratique la mendicité postale sur le fofo pour avoir au moins un inter/jour nullissime à expédier ?
Modifié il y a 3 ans, le jeudi 23 septembre 2021 à 02:15 |
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« Israël : Comment « Décoder l’éco » manipule l’o pinion avec de vrais chiffres »
Modifié il y a 3 ans, le jeudi 23 septembre 2021 à 02:24 |
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Citation de valentin14vanves
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Foutaise, tu devrais jeter un oeil sur la presse internationale pour te rendre compte que contrairement à quelques followers atteints du syndrome de Stockholm et les guignols politicards qui se sont accroché à lui pour faire du racolage politique, il est maintenant moqué ou pire, de partout (US, Canada, GB, Brésil… Belgique… ) ! et même le Comité d’éthique du CNRS le massacre avec d'autres dans leur « AVIS n°2021-42 approuvé en séance plenière le 25 juin dernier » ! C’est dire ! « COMETSComité d’éthique du CNRS AVIS n°2021-42 «COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EN SITUATION DE CRISESANITAIRE: PROFUSION, RICHESSE ET DERIVES » Approbation en séance plénière le 25 juin 2021 » « 2.Des écarts à l‘intégrité scientifique, à la déontologie et à l’éthique lourds de conséquences » «Face à l’urgence de trouver des solutions thérapeutiques à la COVID-19,des acteurs de la recherche et du monde médical ont soutenu que l’intuition ou le «bon sens», médical seraient suffisants pour décider de l’efficacité et de la sécurité d’un traitement. Ils ont déclaré être les tenants d’une «éthique du traitement» qui serait opposée à une «éthique de la recherche»20. Ce discours a servi la promotion, par DidierRaoult et son équipe de l’IHU de Marseille, du traitement de la COVID-19par un antipaludéen connu de longue date, l’hydroxychloroquine(HCQ). Largement ouvert au public, dans des conditions peu respectueuses des règles de déontologie médicale, le traitement a fait l’objet d’un emballement médiatique et politique alors même que son efficacité sur la COVID-19 ne reposait que sur une étude clinique contestable. Les dérives qui ont accompagné la publication de cette étude dans la revue International Journal of Antimicrobial Agents21 ont alerté la communauté scientifique22(voir Annexe 1). Elles sont édifiantes: accepté 24 heures après sa soumission, l’article a eu, dès sa parution, un énorme impact international23; il a été critiqué sur sa méthodologie (élimination de cas, biais statistiques, absence de preuves robustes,) et suscité des commentaires sur le processus de validation par les pairs, l’un des signataires, Jean-Marc Rolain, étant aussi l’éditeur en chef de cette revue. Face à la pression de la communauté scientifique, l’article a été ré-évalué postérieurement à sa publication. L’expertise, rendue publique par la revue24, a recommandé le retrait de l’article, ce qui n’a pas été fait, son éditeur en chef l’ayant seulement «ouvert à la discussion». On ne peut que déplorer une décision qui remet en cause le jugement par les pairs et va à l’encontre des critiques unanimes de ces derniers. Près de 40 % des articles publiés dans l’International Journal of Antimicrobial Agents depuis sa création en 2013 ont été co-signés par son éditeur en chef, Jean-Marc Rolain, et un, voire plusieurs, membres de l’IHU de Marseille dont Didier Raoult. 25 De tels conflits d’intérêt jettent la suspicion sur la validité de leurs travaux et sont d’autant plus critiquables que cette autopromotion contribue à l’avancement de carrière des auteurs et au financement de leur recherche, tous deux conditionnés par le nombre de leurs publications. 26 L’article de D. Raoult et son équipe oblige à un questionnement sur la responsabilité des auteurs face à l’énorme impact de leurs résultats en termes de soins. On peut s’inquiéter de ce que cette étude si peu probante ait pu susciter une telle adhésion du public. Il a été impossible par la suite d’en corriger les effets. Comme nous le discutons plus loin, cette situation rassemble beaucoup des ingrédients de ce qui s’apparente au «populisme scientifique». Les controverses autour de l’efficacité de l’HCQ ont conduit plusieurs équipes à conduire de nouvelles études. A la suite de la publication de l’une d’entre elles27 qui ne confirmait pas l’efficacité clinique de l’HCQ, ses auteurs ont subi une violente campagne de cyber-harcèlement sur les réseaux sociaux, allant jusqu’à des menaces de mort28. Cette situation a aussi été vécue par trois médecins-cheffes qui en ont fait état dans une tribune de la revue The Lancet29. Ces comportements, exacerbés par les nouveaux médiateurs de l’information que sont internet et les réseaux sociaux,sont totalement inadmissibles et nous les dénonçons avec la plus grande vigueur. Le COMETS s’inquiète aussi des tentatives de judiciarisation du débat scientifique à des fins d’intimidation et en a fait état dans un communiqué (ANNEXE 2). Rappelons, qu’à partir du moment où elles se fondent sur des données factuelles tangibles, la discussion d’hypothèses et de résultats publiés et la mise en cause des procédures de preuves font partie de l’activité normale des chercheurs. Nous conclurons ce chapitre en rappelant que les tensions entre « médecine qui cherche » et « médecine qui soigne », entre l’urgence des soins et l’obligation de rigueur, même si elles posent des problèmes éthiques particulièrement douloureux, ne sauraient éloigner le chercheur d’une démarche intègre. » Lire aussi : - Page 17 à 19 : « E. Défiance envers la science. Quand la parole du scientifique est confrontée au «populisme scientifique» » - Page 24 : « B.ANNEXE 2 Communiqué du COMETS sur la plainte déposée par les Professeurs Didier Raoult et Éric Chabrière à l’encontre d’Elisabeth Bik et de Boris Barbour7 Juin 2021 » L'avis du Comité d'éthique du CNRS au format pdf : https://comite-ethique.cnrs.fr/wp-content/uploads/2021/09/AVIS-2021-42.pdf 8mn30 – : « Les résultats concernant la protection de la vaccination contre l’infection et l’Analyse multivariée ... » « … Et là on a des données qui sont très différentes, qui montrent qu’il y a un effet protecteur du vaccin contre d’une part le décès, on diminuant par 2 la mortalité et d’autre par l’admission en réanimation où la aussi la diminution en réanimation est diminué par 2. Il y a donc un effet protecteur, il n’est pas parfait ce vacin, puisqu’il y a un certain nombre de personnes qui malheureusement continuent à décéder et parmi ces personnes, ce sont des gens qui rentrent dans les catégories que D. Raoult citait tout à l’heure. Cad des personnes âgées obèses ou qui ont des comorbidités importantes, mais ça fonctionne quand même, ça prévient la moitié de la mortalité et ça prévient la moitié des admissions en réanimation. Donc il y a un vrai effet du vaccin qui n’est pas parfait mai qui fonctionne ! »«» Bah oui hein ! Ça c’est un scoop Foutaise ! Ça veut dire quoi une efficacité entre 88 % et 96 % chez les + de 60 ans ? Sinon qu’entre 4 et 12 % des vaccinés peuvent être sujets à hospitalisation, formes graves ou décès ? Et pour info ce sont surtout les immunodéprimés, greffées, personnes très âgées dont les défenses immunitaires sont très faibles les principales personnes vaccinées 2 / 3 touchées ! Pour rappel les vaccins contre la grippe saisonnière l’efficacité se situe généralement entre 50 et 56 % ! Donc rien de neuf au soleil, en dehors de la confirmation et l’aveu de l’IHU que la vaccination fonctionne ! Un commentaire Foutaise ? « Alors,à quand son arrestation ? » Comme t'es un expert en droit d'opérette, déjà des plaintes ont été déposées, le temps de la justice n'est pas du temps réel. Quoique pour certaines affaires, cela y ressemble parfois !!! Tu devrais lire l'avis du Comité d'éthique du CNRS dans son intégralité, tu comprendras qu'il y a matière avec un tel florilège d'accusations, conflits d'intérêts, manque de respect des règles déontologiques, pressions, menaces ... pour que les plaintes en cours soient copieusement argumentées ! tu serais pas le Lorant Deutsch.. d'ici..? sourire... Modifié il y a 3 ans, le jeudi 23 septembre 2021 à 02:27 |
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Citation de arthur_rambo
et toi depuis l’éternité....
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" «Maintenant il suffit d’appuyer sur un ordinateur; en à peine un an et demi on est passé de 800 milliards à 4 mille milliards de monnaie créée par la #BCE,avec pour conséquence l’inflation
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" Dr Fouché sur cette société techno sanitariste "
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" Comment arrive-t-on au chiffre de 150.000 Américains morts du vaccin ? On vous explique tout "
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Citation de arthur_rambo
Exact....
Waouh ! Mendier ? Mendier quoi ? Je n'en ai aucunement besoin ! Tu confonds avec toi ! 75 ans ? Tu ne m'as pas assez rajouté d'années ! J'ai 101 ans ! |
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" Toxicologie du langage (II) : abus et malformations (2/3) "
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