" La politique du mensonge. Avec Stéphanie Gibaud, lanceuse d’alerte. "
3 juillet 2024
VIDÉO
" Notre invitée : Stéphanie Gibaud Stéphanie Gibaud, née à Lille, est une lanceuse d’alerte française. En poste chez UBS France à Paris, elle a joué un rôle décisif en dénonçant les pratiques d’évasion fiscale et de blanchiment de fraude fiscale en bande organisée d’UBS AG (Suisse) avec la complicité d’UBS France.
Ses informations ont largement contribué à identifier pour le compte du ministère des Finances français 38 000 comptes offshore qui représentent 12 milliards d’euros.
Après des études linguistiques à l’Université de Lille III, elle a successivement travaillé pour TransManche Link (TML, Le Tunnel sous la Manche) à Calais, l’ambassade des États-Unis à Paris, le club de football RC Lens et la banque de gestion de fortune UBS France à Paris1.
À l’été 2014, elle devient membre fondateur et secrétaire générale de l’association PILA (plateforme internationale des lanceurs d’alerte).
En 2015, elle reçoit le prix Anticor lors de la soirée « Éthique contre casseroles ».
Le 10 septembre 2015, Stéphanie Gibaud est nommée pour le prix Sakharov aux côtés de deux autres lanceurs d’alerte, Edward Snowden et Antoine Deltour. "
" Emission exclusive avec Nicolas Vidal : Analyse percutante sur le consumérisme, les gilets jaunes et la décadence de la société.
Ne manquez pas l'interview exclusive de Nicolas Vidal, journaliste engagé de Putsch Media, réalisée par Kate pour Le Média en 442 ! Son nouvel ouvrage 'Lettre aux autruches et aux tubes digestifs' offre une analyse percutante sur le consumérisme, les gilets jaunes et la décadence de la société. "
VIDÉO
" Bienvenue dans cette nouvelle interview du Média en 442 avec Nicolas Vidal, journaliste pour Putsch Media, à l&rsquocasion de la sortie de son dernier ouvrage, « Lettre aux autruches et aux tubes digestifs ». Dans ce livre, Nicolas Vidal aborde des thèmes aussi brûlants que le consumérisme, les gilets jaunes, la décadence de la société et de l’état.
Notre journaliste Kate a eu l’honneur de rencontrer Nicolas Vidal pour discuter de ces sujets cruciaux pour notre société actuelle. Au cours de cet entretien, Nicolas Vidal nous livre son analyse percutante sur la société de consommation et ses dérives, ainsi que sur les enjeux de la liberté d’expression dans un contexte politique tendu. Il revient également sur les élections européennes et nous donne son point de vue sur la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée Nationale.
Cet avant-propos est l&rsquocasion de vous présenter brièvement Nicolas Vidal. Journaliste engagé, il est connu pour ses prises de position tranchées et son regard critique sur la société. Avec « Lettre aux autruches et aux tubes digestifs », il signe un essai percutant et sans concession, qui ne laissera personne indifférent.
Nous vous invitons donc à découvrir sans plus attendre l’interview de Nicolas Vidal, un entretien riche en réflexions et en analyses, qui vous donnera certainement matière à réflexion. Et un vrai regard sur le journalisme engagé !"
" Législatives : un « front républicain » contre le peuple (Michel Onfray) "
" Entre-deux-tours des élections législatives de 2024, le « front républicain » face au Rassemblement national se constitue. Et donne à voir des alliances improbables allant de l'extrême gauche à l'extrême centre… Un mot d'ordre : "No pasarán !". Mais le péril fasciste est-il là où on l'imagine ? L'analyse de Michel Onfray. "
" Instituts de sondages… entre contrôle et opinion "
05 juillet 2024
" Pour prendre la température, rassurer ou inquiéter, argumenter pendant les joutes télévisées, médias et personnalités politiques raffolent des sondages d’o.pinion. Sans surprise, depuis la dissolution Macron et l’avènement des nouvelles législatives, il en pleut. D’autant que l’affrontement droite-gauche (épargnons-nous les superlatifs inutiles) a rarement été aussi virulent. Les instituts de sondage sont à pied d’œuvre, mais comment procèdent-ils ? Sont-ils sélectionnés ? Sont-ils contrôlés ?
Commander un sondage, c’est pour connaître l’o.pinion. Simple. Brandir un sondage, c’est pour influencer les opinions. Basique. C’est une arme de communication. Toutefois, il est difficile de mesurer l’effet réel que la présentation de ces résultats peut avoir, et ce pour trois raisons : la méfiance grandissante envers le monde médiatiques et la captation des données n’incite personne à répondre ou à dire la vérité ; la présentation des résultats peut être arrangée, bien que contrôlés ; enfin, nul ne peut prédire que les actions correspondront toujours aux réponses données.
Tout ceci étant dit, il est tout de même intéressant de comprendre le fonctionnement des sondages. En trois temps : création, possession, contrôle et publication.
La création d’un sondage
D’abord, un sondage est commandé. La plupart du temps par un média, ou un parti politique. Les questions sont ensuite rédigées par l’institut, et validées par le commanditaire. Les plus gros instituts sont habitués à travailler avec les mêmes clients, et vice versa. Viennent ensuite la constitution du panel (généralement 1 000 personnes, les plus « représentatives » possible), le « terrain », et le redressement. Ce dernier est un point intéressant, souvent fantasmé. « Il nous permet de nous assurer de l'équilibre de nos données. Par exemple, on va demander aux personnes interrogées pour qui elles ont voté en 2017. Si les électeurs d'Emmanuel Macron sont surreprésentés par rapport au score qu'il a fait réellement, on va minorer leur poids. Même chose si on se rend compte qu'on a trop de cadres par exemple ou trop de Bretons... », explique le sondeur d’Elabe Vincent Thibault à BFMTV. "
" 1984, le manuscrit de George Orwell
Roman dystopique majeur devenu outil de compréhension et symbole de résistance dans les crises du monde contemporain, 1984 est l’un des rares manuscrits d'Orwell n’ayant pas été détruit. Celui-ci rejoint notre collection en septembre 2022.
Découvrez la reproduction Deluxe, numérotée et limitée, de 1984. Le manuscrit original est conservé à la John Hay Library (Brown University, Providence) depuis 1992. "
" Amal confirme cette prochaine guerre sans aucun doute liée à l’article 16 déjà annoncé et digéré par l’o.pinion. Retour estival des grippes et des vaccins (il y en aura contre la chaleur et contre la Russie aussi). On relit Rudolf Steiner alors : les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps « sains », c’est à dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront « sains », des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le Soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps…On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. » En tout cas nos contemporains Frankenstein (des années 2020) sont vaccinés contre tout : la vérité, l’amour, la paix, la survie, la nature, la pauvreté, l’enfant, l’âme et même la santé. "
" Emission exclusive avec Nicolas Vidal : Analyse percutante sur le consumérisme, les gilets jaunes et la décadence de la société.
Ne manquez pas l'interview exclusive de Nicolas Vidal, journaliste engagé de Putsch Media, réalisée par Kate pour Le Média en 442 ! Son nouvel ouvrage 'Lettre aux autruches et aux tubes digestifs' offre une analyse percutante sur le consumérisme, les gilets jaunes et la décadence de la société. "
" Bardella 1er ministre à 28 ans et Sandrine Rousseau qui veut saisir l’épargne… oui c’est n’importe quoi ! "
" Ceux qui me suivent depuis quelques années, savent que je ne mens pas. Non pas que ce je dis ou pense soit forcément vrai, mais je dis toujours ce que je pense… au risque de me tromper, mais surtout de ne pas faire plaisir.
J’analyse, je constate, j’anticipe. Pour analyser et anticiper, en se trompant le moins possible il faut faire des constats lucides même si… ils ne font pas plaisir à certains.
Force est de constater que le choix politique que l’on nous propose est devenu n’importe quoi !
Je vais vous parler de Bardella et de Sandrine Rousseau et chacun va en prendre aimablement pour son grade, parce que c’est ce qui me semble être la vérité et les justes constats à poser. Je n’ai rien contre madame Rousseau que vous pouvez trouver fort aimable mais j’ai tout contre ses idées politiques qui sont totalement délirantes. Je n’ai rien contre Monsieur Bardella, son sourire Colgate, ses vidé Tiktok dont la jeunesse raffole et que mes gosses me montrent ce qui a le don de m’agacer mais m’a permis de comprendre la montée du RN dans la jeunesse depuis plus 2 ans.
Bardella est un gosse incapable de diriger le pays du haut de ses 28 ans…
Mais les Français s’en fichent !
C’est cela qui est impressionnant. Objectivement, quand on voit le succès de notre mozarrillon du palais actuel qui a tout foiré, tout détruit, de la classe politique qui est un champ de ruine, à la sécurité publique, sans oublier la dette, sa jeunesse, son immaturité, ses défauts psychologiques, expliquent en grande partie l’échec de ce président détesté par une très grande partie de la population.
Le jeune Attal bien trop jeune du haut de ses 35 ans pour être à Matignon est tout de même en charge de l’un des postes les plus difficiles de la République. Quand on voit ce que l’on voit et l’état de décrépitude de notre pays ceci explique évidemment cela et vous avez un évident lien de cause à effet.
Il faut beaucoup de temps, d’expérience, de sagesse et de travail avant d’être en mesure de tenir avec succès et efficacité certaines fonctions.
Bardella aussi sympathique soit-il n’a en aucun cas les épaules suffisamment solides pour diriger le pays. Le seul fait que le RN y pense “sérieusement” n’est pas franchement sérieux.
" Une université demande au personnel d’enseigner que la blancheur et l’hétérosexualité sont un problème "
PUBLIÉ 19 JUIN 2024
" Les professeurs d’histoire de l’université de Liverpool ont été invités à « problématiser » la blancheur et l’hétérosexualité dans leurs séminaires. Le Telegraph en parle.
Ce conseil a été donné dans un document d’orientation sur la manière de « diversifier » et de « décoloniser » le programme d’enseignement de l’histoire, envoyé cette semaine aux universitaires de Liverpool, qui fait partie des prestigieuses universités du groupe Russell.
Mais hier soir, les critiques ont fustigé ces recommandations, les qualifiant d’« idéologiquement motivées » et de « source de division ».
Dans le rapport, intitulé « History Curriculum Diversity Audit », le personnel est encouragé à « réfléchir de manière créative » à la façon dont il peut intégrer les questions de race et de genre dans les sujets qu’il enseigne.
En donnant des exemples de la manière dont ils peuvent le faire, le guide leur demande de réfléchir : « Un module qui enseigne exclusivement les relations raciales peut-il faire davantage pour problématiser et décentrer la blancheur ? »
L’« audit de diversité » note également l’absence d’« histoire queer » dans les enseignements sur le genre, tout en soulignant qu’il n’y a pas de séminaires « problématisant l’hétéronormativité » – un terme qui fait référence au fait de considérer l’hétérosexualité comme la norme.
Ailleurs, le rapport indique aux professeurs d’histoire qu’il ne suffit pas d’inclure plus de femmes BAME (Black, Asian and Minority Ethnic) ou de chercheurs non binaires dans leurs listes de lecture.
Il leur est également demandé de discuter de la diversité des listes de lecture avec leurs étudiants pour chaque module enseigné.
Le personnel enseignant est également informé qu’il est « essentiel » de faire de leurs séminaires des « espaces sûrs », car des sujets tels que la race et le sexe peuvent être à la fois « émotionnels » et « difficiles » pour les étudiants.
Par ailleurs, les chefs de département sont invités à mettre en place une formation obligatoire sur « l’enseignement inclusif » pour tous les universitaires afin de les aider à « se sentir plus à l’aise pour entamer et gérer de telles conversations ».
Et nous sommes sur le point d’élire un gouvernement travailliste ! Que Dieu nous vienne en aide."
" Guerre de l’information : comment se protéger des fakes et des bots, surtout lorsqu’ils sont lancés par le Pentagone
Nous vivons à l'ère de la guerre de l'information, où les fausses nouvelles et les bots sont utilisés pour influencer l'opinion publique et semer la discorde. Mais saviez-vous que parfois, ces tactiques sont utilisées par des agences gouvernementales, comme le Pentagone ? Voici quelques conseils pour se protéger contre les fakes et les bots, même lorsqu'ils sont soutenus par des acteurs puissants.
Une enquête de Reuters a révélé que le Pentagone a mené une opération psychologique clandestine utilisant de faux comptes sur les réseaux sociaux pour semer le scepticisme sur le vaccin chinois Sinovac aux Philippines. Cette campagne de désinformation, menée par des militaires, visait à influencer l&rsquoinion publique en réponse à la prétendue désinformation de la Chine. Comment se protéger de ces fakes-news lancées par les plus hautes institutions gouvernementales ?
#Psyop Nous sommes dans une guerre d’information et on doit se blinder contre les fakes & les bots.
Le Pentagone a fait une opération psychologique clandestine qui a utilisé des faux comptes pour promouvoir le scepticisme sur le vaccin #Covid chinois.https://t.co/HGgxb4cHR5 ⬇️1/5
— Momotchi (@mmtchi) June 15, 2024
Tout d’abord, il est important de vérifier les sources d’information avant de partager des nouvelles ou des informations. Recherchez des sources fiables et réputées, et méfiez-vous des sites web ou des comptes de médias sociaux qui ont été créés récemment ou qui ont peu de followers. Les bots et les fakes sont souvent créés pour diffuser de fausses informations, il est donc important de faire preuve de prudence et de scepticisme.
Ensuite, soyez conscient des tactiques utilisées pour manipuler l&rsquoinion publique. Les bots et les fakes peuvent être utilisés pour amplifier des messages ou des idées, en créant l’illusion d’un soutien populaire ou d’un consensus. Ils peuvent également être utilisés pour discréditer des individus ou des groupes en diffusant de fausses informations à leur sujet. Soyez conscient de ces tactiques et méfiez-vous des messages qui semblent trop beaux pour être vrais ou qui visent à susciter une réaction émotionnelle.
Enfin, rappelez-vous que même les agences gouvernementales peuvent utiliser des tactiques de désinformation pour atteindre leurs objectifs. Le Pentagone, par exemple, a été impliqué dans des campagnes de propagande secrètes pour discréditer les vaccins chinois pendant la pandémie de COVID-19. Bien qu’il soit important de se méfier des informations provenant de sources étrangères, il est également important de se rappeler que les gouvernements peuvent également utiliser des tactiques de désinformation pour influencer l&rsquoinion publique. Soyez donc vigilant et faites preuve de discernement dans votre consommation d’informations ! "
" Momotchi : Dead internet, bots, trolls et guerre contre la réalité. "
VIDÉO
Dans notre ère contemporaine, nous sommes plongés au cœur d'un univers façonné par la persuasion de masse, un monde complexe où les notions de vérité et de réalité sont devenues floues. Les technologies émergentes ont donné naissance à une nouvelle ère, où les deepfakes, les opérations psychologiques (psyops), les bots, et une multitude d'informations relatives coexistent dans un paysage médiatique tumultueux. Dans cette ambiance de confusion, Momotchi a publié une vidéo qui dresse un état des lieux fascinant sur ce qu'elle a choisi d'appeler le "Dead Internet" et les implications qu'il a sur notre perception de la réalité.
Le « Dead Internet » englobe la perte de confiance progressive dans les informations en ligne. Les deepfakes brouillent la frontière entre vérité et mensonge, les psyops manipulent l&rsquoinion publique, les bots inondent Internet de contenus automatisés, et les faits relatifs laissent place à une réalité personnalisée.
Nous devons repenser notre relation avec Internet et notre capacité à discerner la vérité. Comment pouvons-nous protéger notre pensée critique dans un monde de manipulation ? Momotchi appelle à la réflexion et à l’action, à restaurer la confiance en ligne et à promouvoir la vérité et la transparence. Notre avenir en dépend. "