" Les anti-Raoult signataires de la tribune du Monde ont reçu plus de 18,5M d'euros des labos "
Publié le 04 juin 2023
" Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est précupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective préubliée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
" Les anti-Raoult signataires de la tribune du Monde ont reçu plus de 18,5M d'euros des labos "
Publié le 04 juin 2023
" Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est précupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective préubliée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
Tu ne veux vraiment pas qu’on prévienne la SNSM, parce que vu la situation, c’est plutôt mal barré ... dans tous les sens du terme ?
Sinon pour toi, j’ai trouvé une bouée disponible !
Surtout ne me remercie pas, c’est de bon coeur !
Plus sérieusement, tu devrais lire cet article, ton idôle est en perdition ! :
« Les arguments spécieux de Didier Raoult pour défendre son étude sur l’hydroxychloroquine » Par William Audureau
Publié aujourd’hui à 14h41, modifié à 16h23
« Accusé d’avoir mené une étude thérapeutique « sauvage », le professeur marseillais a défendu son travail dans une tournée médiatique où il a tordu les faits à son avantage. »
" Christian Perronne et Didier Raoult : deux phares dans la nuit d'une pandémie gérée par la peur "
Publié le 05 juin 2023
" L'AVIS TRANCHANT - En langage sportif, on a coutume de dire que "la meilleure défense, c'est l'attaque". S'inspirant de cette célèbre formule, des sociétés savantes du monde médical viennent de se déchaîner, une nouvelle fois, contre Didier Raoult. Le 1er janvier 2022, présentant ses vœux de "bonne année à vous tous mes amis et soutiens de l'IHU", le professeur marseillais avait exprimé sa conviction que "la raison, notre alliée, finira par triompher". Si le triomphe de la raison n'est pas encore avéré, par contre l'heure des comptes approche "pour ceux qui sont censés gérer les crises", et ceci explique sans nul doute leur nervosité.
Drôle de guerre, drôle de chef
Il y a maintenant trois ans, après avoir pourtant expliqué que ce n'est pas un virus qui allait nous empêcher de vivre et... d'aller au théâtre, M. Macron assignait le peuple français à résidence, lui ordonnait le port du masque, inaugurait le "quoi qu'il en coûte" qui allait permettre sa réélection, tandis que - pour la première fois dans l'histoire de la médecine ! - la consigne était donnée aux médecins de convaincre les malades de rester au fond de leur lit, avec pour seul remède le Doliprane.
Et, quand ils étaient au bord de l'asphyxie, il leur fallait composer le 15 pour rejoindre les services d'urgence ou de réanimation d'hôpitaux en manque de personnels et, plus encore, de matériels de protection.
Drôle de chef de guerre. Et drôle de guerre. Mais le chef l'avait dit, et à maintes reprises, dans la même allocution : "Nous sommes en guerre". Le pays est donc parti à la guerre avec des fantassins démotivés et désarmés. Tandis qu'un sous-chef, aujourd'hui monté en grade et titulaire du ministère de l'Intérieur, avait ajouté : "Quand le pays est en guerre, on ne pose pas de questions". Autrement dit : silence dans les rangs, et que pas une tête ne dépasse !
Alors que la classe politique obtempérait sans difficulté, se réfugiant derrière le trop commode "Nous ne sommes pas médecins", la capacité de résistance du peuple français allait venir du courage de grandes personnalités du monde médical, à qui on ne la faisait pas !
Si le commun des mortels pouvait se demander pour quelle raison un des plus vieux médicaments, la chloroquine, était subrepticement retiré des prescriptions, alors qu'il était en vente libre dans les pharmacies jusqu'à la fin de l'année 2019, des scientifiques de renommée mondiale levaient alors le lièvre en révélant qu'en Chine, là où la pandémie était née, cette molécule avait des effets incontestables sur la maladie. "
" Alexandra Henrion-Caude est une chercheuse franco–britannique, docteure en génétique. Pionnière de l’étude de l’ARN dans les maladies génétiques de l'enfant, elle a également été directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Depuis le début de la crise Covid, cette scientifique de renom monte inlassablement au créneau pour alerter la population sur la dangerosité et l'inefficacité de la technique à ARN messager (ARNm) dans les vaccins. Elle en a même fait un livre, rapidement hissé au rang de best-seller. Entretien. "
" Amèle Debey, pour L’Impertinent: Vous êtes auteure de découvertes sur l’ARN. Qu’en est-il de l'ARNm, dont il est question dans le vaccin Covid?
Alexandra Henrion Caude: L’ARN messager est l’outil de base dès lors que l’on fait de la biologie moléculaire, ce qui est mon cas, car c’est l’intermédiaire entre le gène et la protéine. On travaille donc obligatoirement avec l’ARNm dans toutes nos expériences. En termes de développement thérapeutique, je n’ai en revanche jamais cherché à développer des thérapies à base d’ARN, ni d’ARNm. Mes travaux ont consisté à comprendre ce qu’étaient ces ARN, comment ils fonctionnaient et quels étaient leurs liens avec les maladies génétiques.
Mon travail depuis une trentaine d’années consiste à étudier les mécanismes et les liens avec les maladies, et les trois brevets que j’ai pu déposer dans ma carrière concernaient ce en quoi l’ARN pouvait nous servir, non le développement même d’une solution. En fait, dès lors que l'on développe un outil, il est devenu impossible de n’être pas lié à des laboratoires pharmaceutiques, ce qui n’est pas forcément ma tasse de thé: j’aime trop mon indépendance.
A quel moment vous êtes-vous dit que quelque chose clochait dans la gestion de cette crise?
A partir du moment où on a été au courant de cette crise, de façon simultanée. Dès lors que l’on a entendu parler de ces Chinois qui tombaient dans la rue à cause d’un virus inconnu. Et même si aucun de nous ne pouvait prétendre savoir ce qu’il se passait réellement en Chine, les éléments que je pouvais rassembler n’étaient pas cohérents.
Il y a d’abord eu ces images de Chine où l’on voyait des gens tomber raides dans la rue, comme des mouches. J’ai eu du mal à les prendre pour acquises, car si nous avions déjà vu des virus avec de hauts taux de létalité, nous n’avions jamais vu des hommes tomber comme des mouches! Une infection virale se déroule graduellement: on est fatigué, on se sent mal, et donc on reste chez soi! Là, on était en train de nous filmer autre chose, soit du cinéma, soit tout autre chose, mais certainement pas une infection virale. J’aime à rappeler que dans toutes les pandémies, y compris la grippe espagnole, les patients meurent d’infections bactériennes secondaires, jamais du «virus».
J’ai alors regardé tout ce qui était publié au niveau scientifique. Dès le tout départ, dès janvier 2020 donc, ce fut la mauvaise qualité des articles scientifiques publiés sans correction par les pairs sous prétexte de l’urgence, qui m’a mis la puce à l’oreille. Les séquences du virus publiées étaient incomplètes au niveau des schémas. Comme tout chercheur, je suis critique de l’information reçue, mais aussi de celle non reçue! Celles-ci ont aiguisé ma curiosité et je me suis mise à chercher. J’ai cherché les endroits dont on ne nous montrait pas la séquence, et cela correspondait à l’emplacement des fameux gains de fonction dans ce virus. Cela m’a évidemment interpellée.
«On proposait des prises en charge qui mettaient les patients en danger» "
" La FDA ne devrait avoir besoin que de "12 semaines" pour publier les données de Pfizer, et non de 75 ans, selon le plaignant "
" Le groupe à but non lucratif qui poursuit la Food and Drug Administration des États-Unis pour la publication de documents liés à l'approbation du vaccin Comirnaty de Pfizer a calculé qu'il ne faudrait à l'agence que 12 semaines avec 19 examinateurs travaillant à plein temps pour examiner et produire les documents. "
mar. 21 décembre 2021
" ( Children's Health Defense ) – Les responsables de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ont sauté le début des plaidoiries mardi alors qu'un tribunal de district fédéral a évalué si l'agence pouvait prendre 75 ans pour publier intégralement les documents sur le vaccin Comirnaty COVID de Pfizer , selon un avocat représentant plaignants qui ont poursuivi la FDA pour les documents.
Un avocat du ministère américain de la Justice représentant la FDA a déclaré au tribunal de district américain du district nord du Texas que l'agence produira plus de 329 000 documents connexes aussi rapidement que possible, tout en protégeant les informations personnellement identifiables et les secrets commerciaux de Pfizer .
Les professionnels de la santé publique et de la médecine pour la transparence ( PHMPT ), le groupe à l'origine de la demande de la loi sur la liberté d'information (FOIA) et du procès qui a suivi, recherchent des données sur la sécurité et l'efficacité, des rapports sur les effets indésirables et une liste des ingrédients vaccinaux actifs et inactifs.
PHMPT est un groupe de plus de 30 scientifiques, professionnels de la santé, professionnels internationaux de la santé publique et journalistes. Le procès du groupe soutient que la FDA surestime le temps nécessaire et manque de personnel pour le travail.
"En supposant une faible moyenne de 50 pages par heure par personne, même pour examiner les centaines de milliers de pages estimées par la FDA, l'agence n'aurait besoin que de 19 examinateurs pour travailler à plein temps pendant 12 semaines pour examiner et produire ces documents - ce qui est une infime fraction de ses quelque 18 000 employés », a déclaré PHMPT dans un mémoire juridique déposé lundi.
La veille des plaidoiries, la FDA a publié 14 dossiers de documents, le dossier le plus volumineux comprenant 2 030 pages . PHMPT a publié une liste mise à jour qui montre les documents publiés depuis le 17 novembre.
La FOIA n'impose aucun calendrier de traitement particulier, seulement que l'agence traite les demandes "dès que possible", a déclaré la FDA dans un mémoire juridique déposé lundi.
"La question fondamentale reste de savoir quel calendrier de traitement est" praticable "pour l'agence", a déclaré la FDA. "
" #Français - Ricardo Delgado : "L'Objectif de la vaccination est le contrôle eugénique ET comportemental de la population" - LA QUINTA COLUMNA (19 Juillet 2022) "
" Du LancetGate à la certification des données sur l'hydroxychloroquine: retour sur le scandale de l’abandon d'un traitement anti-Covid-19 efficace "
Publié le 09 juin 2023
" Trois années se sont écoulées depuis le LancetGate. Cette affaire est sans doute l’une des falsifications les plus massives de l’histoire de la recherche scientifique. Publiée fin mai 2020 dans la prestigieuse revue The Lancet, cette étude "scientifique" se révèle être une vaste fraude.
Intégralement bâtie sur des données dont le caractère grotesque saute bientôt aux yeux, financée de façon trouble à coups de millions de dollars et impliquant une ancienne star du porno (Ariane Anderson, alias Skye Daniels), elle parvient à son but de manière subreptice : discréditer tout autour du monde un traitement prometteur contre la Covid-19 et décourager son utilisation.
Ennemi public n°1
Il s’agit de l’hydroxychloroquine (HCQ). Cette molécule, bien connue pour ses effets antipaludéens et aux propriétés antivirales avérées, est utilisée depuis plus d’un demi-siècle, sur tous les continents, à grande échelle.
Sans effets secondaires notables, dans le domaine public et donc peu chère, facile à produire, elle est pourtant devenue à cause d’une étude bidonnée, qui l’a assimilée à un produit toxique potentiellement mortel, le mouton noir des pharmacopées.
Comment est-ce possible ? Il faut d’abord relever le rôle central des médias "mainstream" qui, aveugles ou ne voulant pas voir, n’ont procédé à aucune vérification d’usage. La fausse nouvelle est diffusée en rotation lourde. Il faut ensuite s'interroger sur celui des gouvernements, des autorités de santé ou encore de certaines sociétés savantes.
En effet, alors qu’une solution à portée de main apparaît pour limiter les effets délétères d’une épidémie, des politiciens, des responsables sanitaires et parfois des spécialistes très souvent liés par des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique se sont littéralement empressés de trouver un prétexte pour la condamner.
S’agit-il pour eux de faire la place afin de promouvoir une autre porte de sortie à la crise ? En l&rsquocurrence, celle du vaccin, qui n’est à l'époque ni disponible, ni éprouvé. Bénéficier alors d'un traitement précoce nuirait grandement à la mise en place d'un "tout-vaccin", particulièrement lucratif pour l'industrie pharmaceutique.
Régression de la médecine de soins
Le mal est fait. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) fait cesser "par mesure de précaution" les essais cliniques en cours pour jauger l'efficacité de l'hydroxychloroquine.
En France, le ministre de la Santé, Olivier Véran, ne revient pas sur son erreur après avoir saisi le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) : les deux études scientifiques lancées dans l'Hexagone afin de démontrer l’efficacité de l’HCQ, dont l’une montre déjà moins de morts avec celle-ci qu’avec le traitement contrôle, sont brutalement interrompues.
Il n’est plus possible de traiter en dehors de l'hôpital le Covid avec de l’hydroxychloroquine, même une fois l’imposture du LancetGate confondue, dès juin 2020. Une ancienne escort du Nevada a été plus efficace dans sa communication que plusieurs spécialistes internationalement reconnus dans leurs disciplines... La différence ? Quelques millions de dollars."
" À écouter Excellente conférence de Dr Alain Colignon il déglingue les lobbies Big Pharma, les politiques et l'ordre des médecins, il a été suspendu 2ans pour avoir essayé de soigner ses patients pendant la covid et a dénoncé les effets indésirables des vax #Pfizer #Mckinsey et il veut créer un nouvel ordre des médecins « Ordre européen des Praticiens des Arts de la Santé »
(2023
@KairosPresse
J’ai toujours pensé que la vitamine D était utile contre le cancer.
Mais il a fallu la crise du Covid pour que je réalise l’ampleur insensée du scandale.
Nous pourrions peut-être avoir deux fois moins de morts du cancer si tout le monde atteignait un taux optimal de vitamine D.
Je vais vous expliquer comment j’en arrive à cette conclusion – et le rapport avec le Covid.
Mais je voudrais juste que vous réalisiez à quel point ce sujet est capital (et sensible) :
La vitamine D ne coûte quasiment rien ;
Il n’y a rien de plus facile que d’en prendre quelques gouttes tous les jours ;
Les effets indésirables sont rarissimes, toujours liés à un surdosage énorme, et facilement réversibles.
Donc si la vitamine D est bien anti-cancer, ne rien faire serait un crime contre la santé publique !
Prendre de la vitamine D est beaucoup plus simple, moins coûteux et moins risqué que d’autres interventions de « prévention » comme les mammographies systématiques…
… dont je rappelle qu’elles ne sauvent pas de vies, statistiquement, et conduisent de nombreuses femmes à subir des biopsies et chimios inutiles[1].
Et bien sûr, les mammographies ne concernent que les cancers du sein…
… alors que la vitamine D réduit la mortalité de tous les cancers – sans même parler ici de ses effets bénéfiques sur le cœur, le cerveau, les os, etc.
Est-il possible qu’on puisse passer à côté d’une solution aussi simple et salvatrice ?
" Hier à Metz témoignage des familles des victimes de l'injection anti covid, écoutez ce père en larmes qui a perdu son fils Frédéric 4 jours après avoir été contraint à se faire vacciner !! #Pfizer #Mckinsey ( Manif du collectif Parents Résistants 57 Thérèse Live Média) "
" Il avait consulté le dossier vaccinal d’Emmanuel Macron : ce médecin convoqué devant le Conseil de l’Ordre "
Publié le 16/06/2023
" Un médecin généraliste du Pas-de-Calais doit être convoqué ce vendredi 16 juin par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins des Hauts-de-France pour avoir consulté le dossier vaccinal d’Emmanuel Macron en 2021, en pleine crise du Covid-19.
Il affirme avoir une «bonne raison». Ce vendredi, Michaël Rochoy, médecin généraliste à Outreau, dans le Pas-de-Calais, doit passer devant la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins des Hauts-de-France, pour avoir consulté deux fois le dossier vaccinal du président de la République, Emmanuel Macron, en 2021.
L’Ordre lui reproche d’avoir «manqué à ses obligations déontologiques», selon La Voix du Nord. En 2021, le médecin, comme de nombreux autres, a demandé à pouvoir disposer d’une liste de ses patients avec leur statut vaccinal afin de pouvoir accélérer la vaccination contre le Covid-19 dans son cabinet, mais cela lui a été refusé.
Lors d’une consultation l’été, avec un patient ne disposant pas de carte vitale, le médecin s'est rendu compte que le nom et la date de naissance suffisaient pour accéder au dossier vaccinal d’un patient. Etonné, Michaël Rochoy a donc testé avec le nom et la date de naissance du président de la République pour voir s’il s’agissait d’un simple bug ou si les dossiers vaccinaux étaient véritablement aussi faciles d’accès. Bingo : il a pu accéder au dossier d’Emmanuel Macron.
Le médecin a indiqué à La Voix du Nord qu’il a appelé l’Elysée pour signaler le problème. Quelques semaines plus tard, Michaël Rochoy est retourné sur le dossier vaccinal d’Emmanuel Macron pour vérifier si le problème avait été corrigé, et a constaté que non. Par la suite, la Caisse nationale d’assurance maladie a transmis la liste des médecins ayant consulté le dossier du président de la République au Conseil national de l’Ordre des médecins. Michaël Rochoy a donc été convoqué par le Conseil de l’Ordre en décembre 2021, qui l’a renvoyé devant la chambre disciplinaire des Hauts-de-France, dont l’audience a lieu ce vendredi.
Selon Le Point, le médecin risque une sanction allant de l’avertissement à l’interdiction, temporaire ou définitive, d’exercer sa profession. Le médecin s’est cependant défendu, affirmant qu’il n’avait pas consulté le dossier du président de la République par curiosité, et que son statut vaccinal n’était plus une information confidentielle puisqu’Emmanuel Macron avait lui-même fait l’annonce publique de sa vaccination contre le Covid-19.
" Pfizer : scandaleuses révélations sur l'essai clinique "
" Christine Cotton est biostatisticienne. Elle avait sa propre entreprise et a travaillé 25 ans avec l'industrie pharmaceutique. Aujourd'hui, elle sort un livre : "tous vaccinés, tous protégés ?" aux éditions Trédaniel. Elle dénonce les manquements à la réglementation dans les essais de phase 3 de Pfizer depuis 2 ans.
Pierre est spécialiste de la donnée et parieur professionnel. Depuis 1 an, il épuche les données de l'essai de de phase 3 de Pfizer. Ses découvertes sont stupéfiantes. Tout est sourcé dans ses articles :